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Rêveries (page 2)
Auteur : la même dingue que celle qui a fait ce site, cad Sydnette (e-mail) la Psy-Caméléonne.
Fan-fiction terminé le : (commencé le 10 octobre 2002)
Où le situer : C'est la suite directe de "Island of the Haunted", alias "L'Antre du Diable". On ne tiendra pas compte de ma véritable suite, "Transylvania" puisque le fan-fiction que vous allez lire est un délire !! A vrai dire donc, on s'en fiche un peu, mais pour les puristes...
Notes :
Ce fan-fiction est réservé aux grands... si si.
Ce fan-fiction reste une exclusivité
de ce site. Comme tous les textes de ces pages Internet
(protégés par diverses lois de la propriété intellectuelle,
voir début du site), il est bien sûr expressément interdit de le copier, même
si vous précisez le nom de l'auteur (je sais que certains
sites intéressants regroupent des fan-fictions - j'ai
l'intention de faire la même chose - , je ne suis pas intéressée,
ne voulant pas que ces récits soient dispersés sur le Net). Le
plus simple est de mettre un lien de votre page vers la mienne (pour
cela, il n'y a aucun problème. Mais comme je pratique l'échange
de liens quasi-systématique, prévenez-moi, je placerai votre
adresse dans mes sites partenaires sur la page "Liens").
2) Ce fan-fiction, comme je disais
plus haut, est un délire, comme quelques-uns font sur le Net.
Quand on s'ennuie, qu'on est une shippeuse de choc et qu'on
contemple la frimousse adorable de Jarod sur papier glacé à son
mur, on frôle la folie si l'on ne s'active pas... Ce texte est dédié
à tous les pôvres shippers comme mouah !!! et spécialement à
mes copineeeeuuuuuuhhhhh du Pretender Forum.
Note 3 : L'auteur, qui est une infatigable bavarde, n'a pas pu se retenir de mettre entre parenthèses tous les commentaires qui lui sont venus à l'esprit pendant l'écriture de ce récit, malgré une lecture moins facile. Si jamais vous vouliez néanmoins des précisions, que vous aviez des questions, envoyez-moi un pitit e-mail, je me ferai un plaisir d'y répondre (j'en suis un un stade où je peux encore répondre à tous les e-mails qu'on m'envoie... plus ou moins vite bien sûr, surtout si votre question en amène d'autres qui m'entraînent à créer une nouvelle page).
Jarod passa une main délicate derrière la tête de
Miss Parker. Il lui caressa les cheveux en lui tenant ce discours
: "Tu
sais, je... Tu as compris de toute manière... J'ai été assez
explicite la dernière fois. Sache que je..." (Il vient de piquer
ces paroles remplies d'une émotion émotive à Jean-Jacques
Goldman, non ? C'est scandaleux !...). Jarod poursuivit, après avoir
changé de main (sinon il fatigue du poignet, d'habitude
moins surmené que ces dernières heures...) : "Parker... Enfuis-toi
avec moi ! Evade-toi ! Ne reste pas là, tire moi de là, et
caetera !" (scandaleux bis !). Il lui dit :
"Je
t'ai...".
Il ne put arriver à la fin de sa phrase, sa gorge se nouant. Il
préféra choisir une solution radicale. Un long baiser mouillé
s'ensuivit, (dans le genre "soupe de langue"
tant attendue par certaines shippeuses survoltées) avec force bruits
de sucion et autres désagréments mais ils se sentaient heureux
comme jamais. Leurs langues apprirent à se muscler (ha ha, je viens
d'apprendre à casser tout effet romantique par une simple évocation
de la nature exacte d'un baiser, c'est trop drôle !).
Parker, après avoir trouvé par miracle un t-shirt
noir qui traînait là, enleva les boutons de la chemise de Jarod
un à un, en riant (jolie image, non ?). Elle passa ses
mains chaudes et douces sur son torse poilu et déposa quelques
baisers çà et là. Jarod s'allongea. Miss Parker partit deux
minutes dans la salle de bain et revint comme ça :
(Cette photo n'a pas été retouchée, il est
bon de le savoir... Car on va m'accuser de me servir impunément
de photos de Loïs et Clark... Oui... Ben je ne suis pas la seule...
Hum, n'est-ce pas les copineeeuuuhhh... Les seules photos sur mon
ordi représentant ce que je voulais venaient de là !)
Jarod remarqua : "Hum, tirer tout cet attirail... Mais
ça te va à ravir, comme tout ce que tu mets de toute manière". Il commença
à s'occuper d'elle. Quand elle en fut au même point qu'au début
de cet histoire, elle sauta sur le lit et bondit à califourchon
sur Jarod.
C'est à ce moment-là qu'elle se réveilla.
(tous les shippers doivent devenir dingues et avoir une envie furieuse de faire subir le même sort à la narratrice qu'à Ocee et Zoey - ben si c'est ça, je vais mal finir...)
Miss Parker avait rêvé de Jarod. Grande
constatation... Elle se leva, trouva sa nuisette bleu nuit à
terre, au milieu d'éclats de verre. C'est sûrement le bruit de
verre cassé qui avait entraîné son imagination. En tout cas,
elle faisait de drôles de rêves. Ceux de Broots sur elle
devaient être des dessins animés pour enfants à côté des
siens. Ouh la la ! Les rêves n'étant pas le fruit du hasard, c'était
inquiétant. Comment cacher ça au reste du monde ? Elle devait
être odieuse pour compenser. Bon, ça, elle savait faire.
Quand elle arriva au Centre, elle se dit qu'il se
passait quelque chose de grave. Il y avait comme un vent de
douceur inhabituelle. Manque de chance, elle voulait être méchante.
Elle entra dans son bureau, entièrement redécoré. Du rose
bonbon partout. Miss Parker se demanda si c'était le fantôme de
Brigitte qui lui avait fait un coup pareil. Elle sortit,
furieuse, et alla agresser Broots : "C'est vous qui avez
redécoré mon bureau avec des tas de fanfreluches tout juste
bonnes à orner la chambre de votre fille ?". Sydney répondit
à la place du pauvre informaticien terrorisé qui ne sut émettre
que quelques sons : "Heuuuuuuuuu.............. Heeuuuuuuuuuuuuuuu....
N.............."; et déclara : "Voyons, Mlle Parker,
c'est vous qui avez amené tout ce matériel au petit jour. Vous
êtes passé au bras de Jarod, Raines était furieux. Vous l'avez
frappé méchamment, il en est tombé, avec sa bouteille". Miss Parker
regarda le psychologue et lui demanda : "Vous avez pris vos
cachets ce matin ? Il faudrait peut-être songer à consulter un
confrère...". Sydney demanda : "Vous ne vous
souvenez pas ?". Miss Parker répondit d'une voix
assurée : "Si j'avais assommé Raines, je n'oublierais
pas ça si vite !".
Sydney ajouta : "En tout cas, tout le monde vous a vu
faire. Dites, où est Jarod ?". Miss Parker : "Comment voulez-vous
que je le sache ?! Je ne suis pas sa baby-sitter !". Sydney
sourit, Broots rigola franchement. MP : "Quoi ?!!". Sydney :
"C'est
que pendant une bonne heure on a pu vous voir pendue à son bras.
Vous l'appeliez "Jarodinou chéri" et lui vous
surnommait "mon ange sucré"...". Miss Parker
faillit une fois de plus s'étouffer de rage : "Quoi ?!! "Mon
ange sucré" ?!! S'il m'avait appelé comme cela, il se
serait pris deux baffes et puis c'est tout !!!". Elle fit le
geste, manquant de peu de toucher Broots qui recula prudemment.
Miss Parker déclara : "J'ai fait un drôle de rêve. Mais
je n'ai pas vu ni touché Jarod aujourd'hui, à ma connaissance.
Sauf si je suis somnambule". Sydney remarqua : "Vous n'aviez pas
l'air de dormir...". Miss Parker écourta la conversation
: Lyle s'amenait.
"Eh bien, Soeurette, toujours prête à
m'aider à faire la chasse aux petites chinoises ?". Miss Parker
se dit qu'elle allait devenir, heu qu'elle était folle... Elle
demanda : "Quoi ?!!". Lyle sourit : "C'est de l'humour,
chère soeur...". Miss Parker déclara : "Eh bien il est nul
ton humour !". Lyle répliqua : "J'en achèterai un
sac plein à Super U". Miss Parker fut très troublée, elle
avait déjà vécu ce dialogue, elle en était certaine ! Lyle
demanda : "Alors, avec Jarod ? Combien d'enfants prévus
? Un mariage ?". Miss Parker ne put se retenir et
envoya une droite dans la tête de son frère, lequel s'affala
sur le sol avec un bruit mat. Elle entendit une voix ironique
derrière elle : "Joli coup !".
Elle avait reconnu instantanément sa voix et se
retourna : Jarod !
Elle fonça vers lui, furieuse. Il la prit par la
taille, l'enlaça et l'embrassa. Miss Parker voulait répliquer
mais une force supérieure à elle, une sorte d'attraction qui la
collait à Jarod l'en empêchait. Elle s'aperçut tout de même
que beaucoup d'employés les regardaient. Elle cria : "Vous voulez ma photo
?".
Puis elle retourna vers Jarod. Main dans la main, ils partirent
se balader dans le parc du Centre. Arrivée sur les petits
chemins, Miss Parker tomba soudain nez à nez avec... elle-même
!
Elle s'arrêta, stupéfaite. Jarod ne fut pas plus
surpris que cela. Il déclara simplement : "Tiens, deux Miss
Parker au lieu d'une... Mmmmmm................". Visiblement
il réfléchissait déjà à des trucs tordus. Miss Parker frappa
sa semblable pour qu'elle s'arrête aussi et lui demanda : "C'est toi qui a redécoré
mon bureau ?". Miss Parker 2 répliqua : "Oui, mais c'est
aussi moi qui ai frappé Raines. Il fallait le faire, non ?". MP : "Oui, d'accord. Un
bon point pour toi". MP2 : "Merci !". MP : "De rien". MP2 : "Je t'en prie". MP : "Où en étions-nous
? Ah oui... C'est toi qui a fait tout cela ce matin ?". MP2 : "Ben ouiiiiiii.......
C'est bô, non ?". MP : "Tu as des goûts de
chiotte !". MP2 : "Méfie-toi, je suis
toi, ce sont tes goûts !". MP : " ' Risque pas !". MP2 : "Je suis toi, et tu
es moi, nous sommes une, et tu aimes le rose bonbon, et... Jarod
!".
MP admit : "Bon, pour Jarod, je suis d'accord, mais pas
pour le rose bonbon". L'intéressé remarqua : "Ca, c'est un bon
point. Deux tigresses en chaleur au lieu d'une,
hummmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm hummmmmmmmmmmmm...". MP : "Ne te fais pas trop
d'illusion, je te garde pour moi toute seule !". MP2 : "Tu refuserais de
partager avec toi ?!" MP répondit : "Oui. Qui es-tu
d'ailleurs, pour être comme moi ?". MP2 : "Je suis toi. Je te
guide, je suis ta petite voix". Elle frappa Miss Parker qui
s'écroula.
(Sydnette, sadique a trouvé malin de laisser durer le suspense...)
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