Carnets SL27 Chronologie Episodes Secrets Refuge
Rêveries (presque NC-17 lolll)
Auteur : la même dingue que celle qui a fait ce site, cad Sydnette (e-mail) la Psy-Caméléonne.
Fan-fiction terminé le : (commencé le 10 octobre 2002)
Où le situer : C'est la suite directe de "Island of the Haunted", alias "L'Antre du Diable". On ne tiendra pas compte de ma véritable suite, "Transylvania" puisque le fan-fiction que vous allez lire est un délire !! A vrai dire donc, on s'en fiche un peu, mais pour les puristes...
Notes :
Ce fan-fiction est réservé aux grands... si si.
Ce fan-fiction reste une exclusivité
de ce site. Comme tous les textes de ces pages Internet
(protégés par diverses lois de la propriété intellectuelle,
voir début du site), il est bien sûr expressément interdit de le copier, même
si vous précisez le nom de l'auteur (je sais que certains
sites intéressants regroupent des fan-fictions - j'ai
l'intention de faire la même chose - , je ne suis pas intéressée,
ne voulant pas que ces récits soient dispersés sur le Net). Le
plus simple est de mettre un lien de votre page vers la mienne (pour
cela, il n'y a aucun problème. Mais comme je pratique l'échange
de liens quasi-systématique, prévenez-moi, je placerai votre
adresse dans mes sites partenaires sur la page "Liens").
2) Ce fan-fiction, comme je disais
plus haut, est un délire, comme quelques-uns font sur le Net.
Quand on s'ennuie, qu'on est une shippeuse de choc et qu'on
contemple la frimousse adorable de Jarod sur papier glacé à son
mur, on frôle la folie si l'on ne s'active pas... Ce texte est dédié
à tous les pôvres shippers comme mouah !!! et spécialement à
mes copineeeeuuuuuuhhhhh du Pretender Forum .
Note 3 : L'auteur, qui est une infatigable bavarde, n'a pas pu se retenir de mettre entre parenthèses tous les commentaires qui lui sont venus à l'esprit pendant l'écriture de ce récit, malgré une lecture moins facile. Si jamais vous vouliez néanmoins des précisions (dingues que vous êtes !), que vous aviez des questions, envoyez-moi un pitit e-mail, je me ferai un plaisir d'y répondre (j'en suis un un stade où je peux encore répondre à tous les e-mails qu'on m'envoie... plus ou moins vite bien sûr, surtout si votre question en amène d'autres qui m'entraînent à créer une nouvelle page).
Il était une fois une brunette qui dormait... (zut ! ça n'est pas
un conte ici. Tiens, c'est une idée de génie que je viens
d'avoir !!!! Oh la la, de l'écriture en perspective !!!) Miss Parker était
allongée, une superbe nuisette bleu nuit (je ne sais
pourquoi, je lui ai attribué des tas de nuisettes bleu nuit
favorites !) un peu courte si bien que le Caméléon
pouvait contempler le bas de son dos (et le reste !). Jarod se demandait
combien de temps il allait tenir, accroché d'une main à une
infractuosité dans une pierre de la maison de sa Dragon Lady préférée,
d'autre part au rebord de la fenêtre par laquelle il regardait.
Ses pieds étaient délicatement posés sur un rebord présent
miraculeusement (car sinon mon histoire serait ratée, quoi !
Hasard utile, comme dans la série !). Son corps tremblait légérement
plus par quelque chose d'étrange qui l'envahissait que par la
température. Il faisait relativement chaud pour la saison mais
de toute façon Jarod était bouillant. Cela faisait maintenant
une pitite heure qu'il contemplait celle pour qui son coeur
battait. Tout son corps exprimait le désir brûlant qui
l'envahissait chaque fois qu'il la voyait (Syd exagère !!! Je
ne poursuivrai pas trop loin la description au cas où des gens
innocents et peu informés liraient ces pages. Bref, certains
esprits pervers verront où je veux en venir. Je vous l'ai dit,
ce fan-fiction est très très spécial. Un shipper finit par
avoir quelque circuit défaillant quand il n'y a plus matière à
s'extasier !).
Un rayon de lune éclairait le paysage lunaire, heu...
("quand
je vois tes yeux, je suis amoureux, quand j'entends ta voix je
suis fou de toi, quand je vois tes fesses, y'a un truc qui s'd..."
Dany Brillant s'est fait parodier !) la chambre de Miss Parker (MDR, je ne vais pas
finir ce truc entière !). Jarod se décida et ouvrit doucement à
l'aide d'une pince-monseigneur la fenêtre de Miss Parker. Gling,
Bling-ting-ting-gling-gling-gling... bref, un bruit de verre
qu'on brise. Il tremblait tellement qu'il n'avait pas été fichu
de se servir de son instrument (oups, j'allais faire un commentaire
mais me retiendrai finalement !). Manque de bol, la vitre s'était
joyeusement brisée sur le sol dans un fracas terrible. Jarod
paniqua (moui,
ça nous verrons... MDR Quel esprit... Pour ceux qui auraient un
peu de mal, parlez verlan !) et jeta un coup d'oeil inquiet, de Miss
Parker à la fenêtre. Comment redescendre ? Impossible ! Et la
silhouette allongée sur le lit bougeait.
Miss Parker murmura un "C'que c'est ?" et agrippa
son oreiller d'une main ferme en se retournant. Elle était
toujours allongée mais offrait à présent un spectacle encore
plus passionnant pour Jarod qui se trouva dépourvu (quand Brigitte fut
venue... Ah NON, hein ? Je te l'interdis, Sydnette. C'est cela,
d'être l'auteur. On fait ce qu'on veut, na !) quand se présenta
cette vue ! Il fila aux toilettes et revint cinq minutes plus
tard. La Miss n'avait pas bougé. Il ne put s'empêcher de la
contempler avec ce sourire dont il a le secret, les bras croisés,
redevenant progressivement maître de lui-même.
Entendant un grognement, il regarda plus près,
s'approchant du lit avec précaution et doucement s'assit près
du corps presque inerte de sa future dulcinée (il fallait juste
qu'elle fasse un pitit effort). Il pencha sa tête, observant sa
peau de près (question de vérifier qu'elle n'avait pas de
rides... Ah ah, Syd sadique >:->> qui sait très bien
que sa chère Andy n'a pas une ride, donc son personnage non plus
!),
relevant à nouveau chaque détail, l'emplacement de chaque grain
de beauté. Puis il posa ses lèvres sur celles, chaudes et
roses, de Miss Parker (ça y est, je fonds !!!!).
A ce moment-là, Miss Parker ouvrit un oeil et dit :
"Hum,
nounours !". Et elle enfonça sa tête dans les
bras de Jarod, lequel lui caressa aimablement la tête et les
jambes (accessoirement
!) et...
(hum,
ce fanfic va finir interdit aux moins de 18 ans...). Miss Parker se
roula et griffa légèrement Jarod au passage (c'est une tigresse,
celle-ci !). Enfin, elle ouvrit les deux yeux et demanda
: "Où
suis-je ? Qui suis-je ? Que fais-je ? Où est mon martinet que je
frappe celui qui me retient prisonnière !". Elle se débattit,
cria, frappa, avant de se rendre compte de deux choses
importantes :
1) Jarod était là et elle n'avait pas la
possibilité de l'arrêter.
2) Elle était pratiquement nue, ayant à moitié arraché la
nuisette en se débattant.
Elle rougit, prit une couverture qui trainaît là (hum, l'auteur
regrette instantanément ce qu'elle vient de faire. On revient en
arrière). Elle rougit encore puis se recroquevilla,
percevant nettement le regard de Jarod sur elle (et le reste si elle
a une bonne vue). Elle frissonna. Jay demanda charitablement
: "Tu as froid ?". Il était prêt à la réchauffer (sans blague !). Miss Parker se dit
que cette fois il n'allait pê pas se contenter de lui mettre une
couverture autour des épaules, mais si ! (Je ne peux tout de
même pas pervertir ici aussi - parce que dans "Centrion"
1ère version, ouh là ! - les personnages). Jarod savait être
sage, même s'il en avait assez de ce petit jeu de dupes ("...voir sous
les jupes des filles" - Alain Souchon) ; il voulait un peu
plus (un
vrai bizou, déjà !).
Ensuite elle lui demanda : "Que fais-tu là,
Jarod ?".
Sa voix était cassée, elle avait du mal à parler, gênée.
"Depuis
combien de temps es-tu là ?". Jay répondit avec un sourire :
"Depuis
suffisamment longtemps pour découvrir que tu suces ton pouce en
dormant...". Miss Parker se dit que son autorité
en prenait un coup et qu'elle allait y perdre en crédibilité...
Souriant de toutes ses dents belles et fortes (grâce à Polodent,
qui fait de belles dents), elle demanda : "Et à part ça, tu
as vu quoi, au juste ?". Jarod lui décocha son sourire spécial
et murmura : "Tout ce qu'un homme peut rêver de voir".(J'ai la désagréable
impression que ce que j'écris est à peu près aussi bon qu'un
roman de supermarché. Mais si bien sûr ceux-ci parlaient de
Jarod et Parker, je réviserais mon point de vue à leur sujet...)
Parker rougit encore. Elle déclara néanmoins :
"Tu
sais que j'ai le pouvoir de te ramener au Centre". Jarod sourit
: "Moui...
Mais tu ne le feras pas". Miss Parker parut surprise de tant
d'aplomb : "Ah ? Vraiment ? Pourquoi donc ?". Jarod, avec
un sourire sadique : "Car il ne serait pas esthétique de se
balader sans rien sur le dos, sans ta crème de jour, sans t'être
coiffée et avec tes... qui feraient bouloum-bouloum en se balançant..." (ha ha ha ha ha ha
!!!!).
Miss Parker faillit hurler. Elle se retint à temps et remarqua :
"Si
tu venais pour m'enquiquiner, c'est réussi. Mais tu devrais
renouveler ton stock de blagues". Jarod : "Promis, j'en achèterai
un tout neuf à Super U" L'auteur a copié une phrase trouvée
ailleurs, espérant qu'on ne lui en voudra pas trop, mais du coup
Miss Parker réplique : "J'ai l'impression que tu m'as déjà
dit un truc du genre ! Mais de là à savoir où et quand...". Jarod :
"Ah
la la, si tu perds la mémoire, maintenant ! Tu vieillis, ma
petite !".
"Toi
aussi, mon grand". Jay : "Oui, mais moi je
n'attrape pas des rides partout, au coin des yeux, sur les joues,
au coin des lèvres, et même sur le cou. En plus ces quelques
varices...". Il n'a pas le temps de poursuivre que
la Dragon Lady crie : "AAAAAAAAAAAhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Arrête ça immédiatement
!!!!!!!!!!! J'ai cru un instant que c'était vrai !". Jarod :
"Mais
c'est vrai". Miss Parker manqua de s'évanouir
puis trouva un miroir et son coeur reprit une allure normale.
Jarod était écroulé : "Ah, c'est trop drôle, tu gobes tout
!".
Miss Parker était furieuse. Elle allait même envoyer une bonne
claque sur la joue droite de Jarod, mais elle se ravisa. "Ton humour est
vraiment nul !", s'exclama-t-elle. "Je sais", admit-il,
"mais
je me rattrape au lit !". Miss Parker demanda : "Ah, vraiment ?
Prouve-le !" Jarod s'avança vers elle...
(Sydnette, sadique a trouvé malin de laisser durer le suspense...)
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