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Quand Jay rencontre Parker (page 3)

Auteur de cette partie : Marimok (Jacobette à l'époque)

Notes : Ce fanfic a été écrit petit à petit sur le forum. C'est Mouah et les autres qui avaient décidé de continuer en quelque sorte "Qd Parker rencontre Jarod" mais en envoyant les deux dans le futur plutôt que dans le passé... Petit à petit on a obtenu un nouveau fanfic.

 

Blue Cove. Delaware. Le Centre.

Miss Parker vaque à ses occupations habituelles, Sydney à ses talons.
MP, la voix lasse : «Il a laissé quoi le dernière fois ?»
SYD, sourire béat aux lèvres : «Un carnet rouge...»
MP: «pour changer.»
SYD, toujours souriant: «...Et.....ça....»
Il lui tend une photo...Un montage de Parker plus vieille, vraiment plus vieille...
MP, un petit sourire au coin de la bouche: «Magnifique! Il s'ennuie au point de me vieillir par ordinateur. Votre petit génie commence à péter un boulon Syd, et c'est encore moi qui en fait les frais.»
SYD: «ça veut forcément dire quelque chose...»
MP, exaspérée: «ça veut toujours dire quelque chose...mais, la question reste la même : QUOI ?!»
Son téléphone sonne. Elle décroche...
MP, d'un ton sec, très énervée: «QUOI ?!»
Interlocuteur : «Allo ? Allo ??»
MP: «oui, quoi ?»
Interlocuteur: «Miss Parker ? Allo ???»
MP: «Essayez de coller votre oreille contre les petits trous, vous entendrez mieux Brrroooots !»
BROOTS: «ah, ça y est, je vous entend...j'ai retrouvé la trace de Jarod ! Il est dans un hotel, à Los Angeles, avec une certaine...Zoey, je crois...»
MP, raccrochant: «cette fois je te tiens Jarod! Sydney, qu'on prépare le jet, Jarod passe du bon temps à la cité des anges avec sa pétasse!»

Los Angeles. Californie. Un hôtel.

Une nuée de bulles scintillantes remonte à la surface des flûtes remplies d'un champagne doré.
Bercés par l'océan, caressés par la brise légère, Jarod et Zoey se délectent d'une nuit si tranquille, où seul le murmure des vagues vient briser le silence...
Assis à la terrasse de leur chambre, ils regardent l'étendue ténébreuse qui s'enfuie vers le reste du monde. Où est la mer ? où sont les cieux ? tout semble se rejoindre comme aux premières heures de la terre, quand tout ne faisait qu'un, quand les racines et les nuages s'entremêlaient à l'infini.
Soudain, le calme est rompu, Zoey qui vient de finir son verre, s'en sert un deuxième, noyant le charme dans un flot éthylique.
JAROD: «C'est ton 16ième verre, tu crois pas que ça fait beaucoup ?»
ZOEY: «beh non, voyons, l'alcool, c'est tout du bonheur...d'ailleurs, je suis en bonheur avec toi mon amour.»
JAROD: «moi aussi je t'aime, mais 16 verres, tout de même...»
ZOEY: «mais, ce n'est pas l'alcool qui me fait tourner la tête, je m'enivre de toi Jarod...»
Jarod, la regarde de ses yeux couleurs «rôti brûlé», et l'embrasse fougueusement...
Mais Zoey qui, visiblement n'a pas supporté sa 16ième coupe de champagne, s'endort dans les bras de son bien-aimé et commence à ronfler, aussi bruyante et sensuelle qu'un vélomoteur qui arpenterait les côtes du Mont Blanc.
Jarod la serre contre lui tendrement et, admirant la mer étoilée, s'endort lentement...

Ailleurs. Du côté des dieux. Chez les Cupidones shippeuses.

CS1 (Cupidone shippeuse 1, pour ceux qui suivent pas): «Qu'est-ce que c'est que ce foutoir ??? ça ne va pas du tout en bas! Jarod file un mauvais coton!»
CS2 (Cupidone shippeuse 2, pour ceux qui, décidément n'ont rien compris): «Mais non, c'est pas du coton, c'est les cheveux de Zoey ! HA !HA !HA !HA !HA ! un peu d'humour ne fait pas de mal»...puis, prenant un air sérieux et une voix grâve: «mais l'heure est grave, il faut sauver Jarod !»
CS17(Cupidone shippeuse 17...je suis sûre que vous demandez combien il y a de Cupidones shippeuses !): «Et le soldat Ryan aussi ! HA !HA !HA !HA !HA !»
CS29 (Cupidone shippeuse 29...je suis lourde ou quoi ?): «Sans oublier Willy ! HA !HA !HA !HA !HA !»
Décidément, l'heure est à la blague chez les Cupidones, qui n'ont pas l'air de s'ennuyer !
CS9: «Oui, bon ça va les blagues douteuses à 1 euro...»
CS15: «1 euro...ça fait combien ça ?»
CS9: «on s'en fou! il faut montrer à Jarod de quoi son avenir sera fait, avant qu'il ne s'engage définitivement avec Miss Quiche Lorraine !»
CS137: «Oui, au boulot les filles!»
Et, les Cupidones shippeuses modifient l'axe du temps...

Los Angeles. Californie. Devant l'infini salé des eaux profondes.

Jarod se réveille, courbaturé, seul sur le sable, les yeux dans l'eau, mon rêve était trop beau, l'été qui s'ach...non, c'est bon j'arrête, Roch Voisine c'est pas mon truc de toutes façons....Les yeux mi-clos, il inspecte rapidement les alentours.
Au bord de l'immensité limpide, il aperçoit une vaste demeure aux vitrages imposants et aveuglants.
Une ombre rondouillarde apparaît alors au pas de la porte. Elle semble lui faire des signes. Jarod ne comprend rien, il se sent perdu comme s'il avait brusquement basculé dans un univers parallèle...
La silhouette descend les quelques marches menant jusqu'au sable, rate une marche, se vautre de tout son long, se relève comme si de rien n'était en effectuant une furtive mais non moins magnifique roulade et s'avance vers lui...
Malgré les kilos en plus et le temps qui semble être passé sur elle avec autant de délicatesse qu'une armoire qui vous tombe dessus, Jarod la reconnais de suite, il faut dire que la coiffure n'a pas changé d'un pouce, il reconnaîtrait cette touffe rousse entre mille...la stupeur s'abat alors sur lui, il s'agit bel et bien de cette chère Zoey...mais, comment était-ce possible ???
ZOEY, visiblement pas très sobre: «Za...Jo....Jarod, tu viens mon chéri?»
JAROD, apparemment très perturbé par le « mon chéri » (le surnom, pas le chocolat !): «heeeuu, je....oui, bien sûr....je....j'arrive...»
Jarod se relève, tourmenté par ce monde étrange. Il en saura sûrement plus à l'intérieur de cette immense maison de verre, qu'il espère être une maison miroir, une maison qui reflètera sa vie et l'aidera à comprendre qui il est, où il est et surtout pourquoi il y est... car, Jarod a beau être un génie, cette situation semble totalement lui échapper.
Jarod pénètre dans l'antre de tous les mystères...
Mettant tout son génie à l'oeuvre, il fait rapidement le tour de l'essentiel...a droite sur le bar, traîne une bouteille de vin...vide, sur la table, une bouteille de whisky...vide, sur la table basse, une bouteille de vodka....encore vide, sur le mur, un poster en velours de Pascal Sevran avec écrit dessus: «I love Dalida»...cette fois, il en est sûr, ici, vit une ivrogne. Il a deux possibilités: lui ou Zoey. Cependant, étant donné qu'il se sent sobre et, qu'après s'être mangé la porte quatre fois, Zoey cherche l'interrupteur du porte-manteau, notre petit génie en conclut , que sa douce et tendre, est légèrement voire fortement portée sur la boisson...Une Sue Ellen à Malibu en quelque sorte, bien que la sienne n'ai ni le maillot rouge, ni les accessoires volumineux qui vont de pair...Elle n'a que l'alcoolisme.
Mais bon, qu'à cela ne tienne, son hobby préféré n'est, ni plus ni moins, d'aider les pauvres personnes en détresse et il aidera sa femme à se sortir de ce mauvais pas...
Cependant, il ne connaît pas toute son histoire, et le meilleur reste encore à venir...

Quelques heures plus tard...
Jarod regarde Zoey. Elle est allongée sur le lit, une bouteille vide à la main, l'haleine aussi fraîche que du lait caillé. Sa vie est donc devenue si pathétique. Il se met alors à penser à Miss Parker...Où est-elle ? Qu'est-elle devenue ?
A cet instant, l'extirpant de sa rêverie, son téléphone sonne...
JAROD: «Allo...»
INTERLOCUTEUR: «Jarod, c'est moi...»
Jarod reconnaît de suite cette voix. Il en est stupéfait, mais il en est certain, il s'agît de...
JAROD: «Tiens, je pensais justement à toi»
MP: «je m'inquiétais Jarod, cela fait 5 jours que je n'ai pas de nouvelle de toi»
JAROD: «tu t'inquiétais ? Pour moi ?»
MP: «je sais que la dernière fois nous nous sommes quittés en désaccord, mais, comprend moi, si j'abandonnais mon mari pour venir vivre avec toi, le centre se douterait de quelque chose.»
Cette phrase le laisse béat, anéanti, comme si un troupeau de Demis Roussos lui était passé dessus. Parker mariée ! Et qui émet l'hypothèse de venir vivre avec lui ! seraient-ils amants ? tromperait-il Zoey, sa légitime épouse, avec une femme mariée ?! Et UNE PARKER MARIEE qui plus est !!! On se croirait dans «les feux de l'amour» là !
JAROD: «t...tt....tt...
MP: «Arrête de te moquer de mes voix intérieures...»
JAROD: «je voulais dire, tu es mariée ?»
MP: «soit sérieux un peu....si tu n'étais pas partie avec Zoey, jamais je n'aurai épousé Broots...tu sais bien que je l'ai fait par dépit...nous n'allons pas recommencer cette discussion.»
«Broots, elle est mariée avec Broots...comment peut-elle prononcer «Broots» et «épousé» dans la même phrase s'en s'étouffer» pense-t-il. Il ne sait pourquoi, mais cette annonce de mariage entre Broots et Parker, lui donne les signes précurseurs d'un fou rire imminent. Décidément, sa vie est pleine de surprises, et pas des moindres!
MP: «Jarod, tu me manque, j'ai envie de te voir...puis, il faut que je te dise quelque chose d'important.»
JAROD: «Où es-tu Parker ?»
MP: «Tiens, ça faisait longtemps que tu ne m'avait pas appelé comme ça...tu es sûr que tout va bien Jarod ?»
JAROD: «un peu fatigué, mais ça va, merci.», puis, l'occasion étant trop belle, Jarod poursuit avec un: «tu me manque aussi» des plus passionnels.
MP: «Je serai sur la plage dans demi-heure, viens m'y rejoindre.»
Ils raccrochent tout les deux.
Jarod, lève les yeux, il ne sait pas pourquoi, mais il à envie de sourire. Il jette un coup d'oeil sur Zoey, toujours égale à elle même, pareille à un sac à vin, ivre morte, la bouche ouverte...Quelle tristesse !
Mais il s'en moque, car ce soir....................... IL A RENCARD AVEC PARKER !!!
Jarod regarde la pendule, les minutes semblent ne pas s'écouler, encore une lubie du temps.
Après...demi-heure d'attente, L'heure H est enfin arrivée.
Jarod descend sur la plage. Debout, devant les vagues, il la reconnaît sans peine, sa silhouette est toujours la même, fine, élancée, superbe...Elle regarde l'immensité scintillante qui s'enfuie à ses pieds. Il pose la main sur son épaule...lentement elle se retourne, ses cheveux flottent au vent comme des voiles portés par la brise. Puis, enfin elle le regarde......
Stupeur extrême !!!! Ce n'est pas Parker, c'est un laideron inconnu sur le bord de plage!
JAROD: «oh excusez-moi, je vous ai prise pour quelqu'un d'autre .»
LAIDERON INCONNU DU BORD DE PLAGE, souriant: «Ce n'est pas grave, ça m'arrive fréquemment...»
Sur ce, il se retourne, et c'est là qu'il l'aperçoit enfin, juste derrière lui, éclairée par la douceur de la lune. Elle n'a pas changé, elle est toujours aussi belle. Elle le regarde, s'avance lentement.
MP: «Cela fait 5 jours que j'attend ce moment Jarod.»
Elle s'avance encore, et pose délicatement ses lèvres sur les siennes...Puis, elle l'attrape par le cou, et l'embrasse fougueusement, avec tous les organes buccaux que cela nécessite.
Cinq minutes et trente-sept secondes plus tard, elle le lâche dans un filet de bave très romantique.
JAROD, très doucement: «moi, ça fait trente ans que j'attend ce moment...»
MP: «pardon ?»
JAROD: «non, je disais juste que j'étais très content qu'on soit là maintenant...tu m'as manqué tu sais.»
MP: «tu m'as manqué aussi, Jarod.»
Ils restent un instant silencieux, savourant juste le fait d'êtres seuls et de pouvoir se perdre dans le regard de l'autre. C'est si peu et pourtant tant de choses. Puis, Parker rompt le silence.
MP: «Jarod, il faut que je te dise quelque chose...je ne sais pas comment aborder cela...bon, voilà, je...je......je suis enceinte.»
Jarod, la fixe, ne sachant que répondre. Quelques secondes plus tard, il tente tout de même une approche de félicitations d'usages.
JAROD: «heeeuu....je.....je suis très heureux pour Broots et toi....»
MP: «non Jarod, ce n'est pas lui le père....c'est.......c'est toi !»
«WAAAAAOOOOOOOOOOOOOW» pense-t-il
JAROD: «je....tu.......je veux dire, tu en est sûre ?»
MP: «absolument certaine, vu que depuis qu'il s'est coincé les....enfin...tu sais.....ses.....attributs masculins dans la portière de la voiture, Broots est stérile et impuissant....»
JAROD, légèrement confus: «ah oui, la portière de voiture....je me demande comment j'ai fait pour oublier ça.»
MP: «Il faut trouver une solution. Maintenant que j'attends ton enfant, je ne peux plus et ne veux plus vivre dans le mensonge...Fondons enfin notre propre famille Jarod...Je t'aime tu sais, je veux vieillir et mourir à tes côtés.»
JAROD, lui caressant le lobe de l'oreille: «tu es tout pour moi, je veux te voir chaque seconde, chaque respiration, à chaque battement de coeur qu'il me reste jusqu'à la mort...Partons loin d'ici, la vie nous tend enfin les bra...»
Ils se serrent l'un contre l'autre, et s'embrassent avec passion....
Mais, tous les bonheurs sont éphémères...
Une longue voiture sombre s'arrête dans un crissement de pneu hurlant à la mort. Une ombre sort furtivement. Un coup de feu retentit, puis un autre. L'ombre s'engouffre alors à nouveau dans le véhicule, et disparaît derrière une traînée de poussière...
Lentement, le corps de Parker glisse jusqu'au sol.
Elle ne peut pas parler mais elle sait que tout s'arrête là...Elle sent son coeur ralentir dans sa poitrine, elle perçoit le visage de Jarod, penché au dessus d'elle, elle entend faiblement sa voix mais ne comprend pas. Elle a peur. Une larme perle sur sa joue. Tout devient sombre, ténébreux. Au loin, elle entend un hélicoptère, sûrement un du centre, qui rôde comme un vautour autour de sa proie. Pour elle tout fini ici, sur un triste bord de plage. Elle entend une dernière fois la voix de Jarod, sent l'écume des vagues venant effleurer sa main et le souffle glacial qui éteint la flamme de son coeur. Les battements de sa vie se taisent alors, dans un silence assourdissant.
Jarod s'effondre dans le sable, serrant Parker contre lui, dernière étreinte en cette douce nuit meurtrière.
Relevant la tête, il aperçoit Zoey, sur le pas de la porte. Péniblement il se relève et marche, encore étourdis, vers la demeure de glace. Il monte les marches, et rentre chez lui.
Zoey est contre le bar. Elle le fixe, le regard haineux.
ZOEY: «je t'avais dit de ne plus la voir, je t'avais dit que je la tuerai sinon...mais tu ne m'a pas écouter...quand je t'ai vu la prendre dans tes bras, ça m'a fait mal, tu m'a fait souffrir Jarod. Alors j'ai pris le téléphone et je les ais appelés....je t'avais prévenu...»
Elle s'approche de lui, voulant le serrer dans ses bras...
ZOEY: «maintenant, elle ne viendra plus se mettre entre nous, nous serons heureux, enfin....»
JAROD: «tu es complètement folle, vas-t'en, sors de ma vie ! jamais, tu m'entends, jamais plus je ne veux te voir !»
ZOEY: «Mais j'ai fait ça pour nous, Jarod...»
Mais, s'en est trop, il ne peut entendre son flot d'ineptie plus longtemps. Il saisi un couteau posé sur le bar et, sans réfléchir, l'enfonce dans la poitrine de sa femme. Zoey s'écroule. Il lâche alors la lame et regarde ses mains, maculées de sang. Il reste un moment tétanisé, puis d'un pas hésitant, quitte l'immensité de verre et retourne auprès de Parker. Il se met à genoux, et éclate en sanglots. Toutes les larmes de son corps se déverse sur celui sa belle. En un jour, il a tout gagné...puis tout perdu. Maintenant il n'a plus rien, même ses yeux n'ont plus une goutte à verser.
Abandonnant sa plage, il erre dans les rues désertes et mornes de la ville. Il marche, il marche seul et se met à courir, à courir, à courir, comme pour fuir cette réalité mélancolique.
Enfin, il s'arrête. Tout en bas la mer danse au pied des rocher, si paisible et si effrayante. Il sait que bientôt elle sera son antre, le tombeau de son âme. Il avance au bord de la falaise, regarde une dernière fois le monde, et s'enfonce dans le vent. Il tombe vers les profondeurs noires de l'inconnus, mais il sait que la mort lui sera plus douce qu'une vie sans Parke...La mer l'attrape dans ses bras.

Tout est noir...Le temps recule

Soudain il se réveille...Zoey dort à ses côté, paisible, calme, et aussi mince qu'un cure-dents. Il est de nouveau à son hôtel, il n'est pas marié...ce n'était donc qu'un rêve...
Soudain, un crissement de pneu déchire la quiétude. Il reconnaît de suite la manière intempestive et discrète du Centre !

Parker monte les escaliers de l'hôtel quatre à quatre, elle sait que Jarod et au bout des marches, elle va enfin l'attraper. Elle arrive devant la porte. Deux....Trois....et défonce celle-ci d'un magistral coup de talon...
Elle se trouve alors nez à nez avec.....................Zoey, seule dans la chambre. Une fois encore, Jarod s'est échappé...
MP, souriant: «Alors c'est vous, la dulcinée du petit génie !»

 

 

 

Suite de la fanfic

 

 

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