Carnets SL27 Chronologie Épisodes Secrets Refuge
Quand Jay rencontre Parker (page 3)
Auteur de cette partie : Marimok (Jacobette à l'époque)
Notes : Ce fanfic a été écrit petit à petit sur le forum. C'est Mouah et les autres qui avaient décidé de continuer en quelque sorte "Qd Parker rencontre Jarod" mais en envoyant les deux dans le futur plutôt que dans le passé... Petit à petit on a obtenu un nouveau fanfic.
Blue Cove. Delaware. Le Centre.
Miss Parker vaque à ses occupations habituelles, Sydney à ses
talons.
MP, la voix lasse : «Il a laissé quoi le dernière fois ?»
SYD, sourire béat aux lèvres : «Un carnet rouge...»
MP: «pour changer.»
SYD, toujours souriant: «...Et.....ça....»
Il lui tend une photo...Un montage de Parker plus vieille,
vraiment plus vieille...
MP, un petit sourire au coin de la bouche: «Magnifique! Il
s'ennuie au point de me vieillir par ordinateur. Votre petit génie
commence à péter un boulon Syd, et c'est encore moi qui en fait
les frais.»
SYD: «ça veut forcément dire quelque chose...»
MP, exaspérée: «ça veut toujours dire quelque chose...mais,
la question reste la même : QUOI ?!»
Son téléphone sonne. Elle décroche...
MP, d'un ton sec, très énervée: «QUOI ?!»
Interlocuteur : «Allo ? Allo ??»
MP: «oui, quoi ?»
Interlocuteur: «Miss Parker ? Allo ???»
MP: «Essayez de coller votre oreille contre les petits trous,
vous entendrez mieux Brrroooots !»
BROOTS: «ah, ça y est, je vous entend...j'ai retrouvé la trace
de Jarod ! Il est dans un hotel, à Los Angeles, avec une
certaine...Zoey, je crois...»
MP, raccrochant: «cette fois je te tiens Jarod! Sydney, qu'on prépare
le jet, Jarod passe du bon temps à la cité des anges avec sa pétasse!»
Los Angeles. Californie. Un hôtel.
Une nuée de bulles scintillantes remonte à la surface des flûtes
remplies d'un champagne doré.
Bercés par l'océan, caressés par la brise légère, Jarod et
Zoey se délectent d'une nuit si tranquille, où seul le murmure
des vagues vient briser le silence...
Assis à la terrasse de leur chambre, ils regardent l'étendue ténébreuse
qui s'enfuie vers le reste du monde. Où est la mer ? où sont
les cieux ? tout semble se rejoindre comme aux premières heures
de la terre, quand tout ne faisait qu'un, quand les racines et
les nuages s'entremêlaient à l'infini.
Soudain, le calme est rompu, Zoey qui vient de finir son verre,
s'en sert un deuxième, noyant le charme dans un flot éthylique.
JAROD: «C'est ton 16ième verre, tu crois pas que ça fait
beaucoup ?»
ZOEY: «beh non, voyons, l'alcool, c'est tout du bonheur...d'ailleurs,
je suis en bonheur avec toi mon amour.»
JAROD: «moi aussi je t'aime, mais 16 verres, tout de même...»
ZOEY: «mais, ce n'est pas l'alcool qui me fait tourner la tête,
je m'enivre de toi Jarod...»
Jarod, la regarde de ses yeux couleurs «rôti brûlé», et
l'embrasse fougueusement...
Mais Zoey qui, visiblement n'a pas supporté sa 16ième coupe de
champagne, s'endort dans les bras de son bien-aimé et commence
à ronfler, aussi bruyante et sensuelle qu'un vélomoteur qui
arpenterait les côtes du Mont Blanc.
Jarod la serre contre lui tendrement et, admirant la mer étoilée,
s'endort lentement...
Ailleurs. Du côté des dieux. Chez les Cupidones shippeuses.
CS1 (Cupidone shippeuse 1, pour ceux qui suivent pas): «Qu'est-ce
que c'est que ce foutoir ??? ça ne va pas du tout en bas! Jarod
file un mauvais coton!»
CS2 (Cupidone shippeuse 2, pour ceux qui, décidément n'ont rien
compris): «Mais non, c'est pas du coton, c'est les cheveux de
Zoey ! HA !HA !HA !HA !HA ! un peu d'humour ne fait pas de mal»...puis,
prenant un air sérieux et une voix grâve: «mais l'heure est
grave, il faut sauver Jarod !»
CS17(Cupidone shippeuse 17...je suis sûre que vous demandez
combien il y a de Cupidones shippeuses !): «Et le soldat Ryan
aussi ! HA !HA !HA !HA !HA !»
CS29 (Cupidone shippeuse 29...je suis lourde ou quoi ?): «Sans
oublier Willy ! HA !HA !HA !HA !HA !»
Décidément, l'heure est à la blague chez les Cupidones, qui
n'ont pas l'air de s'ennuyer !
CS9: «Oui, bon ça va les blagues douteuses à 1 euro...»
CS15: «1 euro...ça fait combien ça ?»
CS9: «on s'en fou! il faut montrer à Jarod de quoi son avenir
sera fait, avant qu'il ne s'engage définitivement avec Miss
Quiche Lorraine !»
CS137: «Oui, au boulot les filles!»
Et, les Cupidones shippeuses modifient l'axe du temps...
Los Angeles. Californie. Devant l'infini salé des eaux profondes.
Jarod se réveille, courbaturé, seul sur le sable, les yeux dans
l'eau, mon rêve était trop beau, l'été qui s'ach...non, c'est
bon j'arrête, Roch Voisine c'est pas mon truc de toutes façons....Les
yeux mi-clos, il inspecte rapidement les alentours.
Au bord de l'immensité limpide, il aperçoit une vaste demeure
aux vitrages imposants et aveuglants.
Une ombre rondouillarde apparaît alors au pas de la porte. Elle
semble lui faire des signes. Jarod ne comprend rien, il se sent
perdu comme s'il avait brusquement basculé dans un univers
parallèle...
La silhouette descend les quelques marches menant jusqu'au sable,
rate une marche, se vautre de tout son long, se relève comme si
de rien n'était en effectuant une furtive mais non moins
magnifique roulade et s'avance vers lui...
Malgré les kilos en plus et le temps qui semble être passé sur
elle avec autant de délicatesse qu'une armoire qui vous tombe
dessus, Jarod la reconnais de suite, il faut dire que la coiffure
n'a pas changé d'un pouce, il reconnaîtrait cette touffe rousse
entre mille...la stupeur s'abat alors sur lui, il s'agit bel et
bien de cette chère Zoey...mais, comment était-ce possible ???
ZOEY, visiblement pas très sobre: «Za...Jo....Jarod, tu viens
mon chéri?»
JAROD, apparemment très perturbé par le « mon chéri » (le
surnom, pas le chocolat !): «heeeuu, je....oui, bien sûr....je....j'arrive...»
Jarod se relève, tourmenté par ce monde étrange. Il en saura sûrement
plus à l'intérieur de cette immense maison de verre, qu'il espère
être une maison miroir, une maison qui reflètera sa vie et
l'aidera à comprendre qui il est, où il est et surtout pourquoi
il y est... car, Jarod a beau être un génie, cette situation
semble totalement lui échapper.
Jarod pénètre dans l'antre de tous les mystères...
Mettant tout son génie à l'oeuvre, il fait rapidement le tour
de l'essentiel...a droite sur le bar, traîne une bouteille de
vin...vide, sur la table, une bouteille de whisky...vide, sur la
table basse, une bouteille de vodka....encore vide, sur le mur,
un poster en velours de Pascal Sevran avec écrit dessus: «I
love Dalida»...cette fois, il en est sûr, ici, vit une ivrogne.
Il a deux possibilités: lui ou Zoey. Cependant, étant donné
qu'il se sent sobre et, qu'après s'être mangé la porte quatre
fois, Zoey cherche l'interrupteur du porte-manteau, notre petit génie
en conclut , que sa douce et tendre, est légèrement voire
fortement portée sur la boisson...Une Sue Ellen à Malibu en
quelque sorte, bien que la sienne n'ai ni le maillot rouge, ni
les accessoires volumineux qui vont de pair...Elle n'a que
l'alcoolisme.
Mais bon, qu'à cela ne tienne, son hobby préféré n'est, ni
plus ni moins, d'aider les pauvres personnes en détresse et il
aidera sa femme à se sortir de ce mauvais pas...
Cependant, il ne connaît pas toute son histoire, et le meilleur
reste encore à venir...
Quelques heures plus tard...
Jarod regarde Zoey. Elle est allongée sur le lit, une bouteille
vide à la main, l'haleine aussi fraîche que du lait caillé. Sa
vie est donc devenue si pathétique. Il se met alors à penser à
Miss Parker...Où est-elle ? Qu'est-elle devenue ?
A cet instant, l'extirpant de sa rêverie, son téléphone sonne...
JAROD: «Allo...»
INTERLOCUTEUR: «Jarod, c'est moi...»
Jarod reconnaît de suite cette voix. Il en est stupéfait, mais
il en est certain, il s'agît de...
JAROD: «Tiens, je pensais justement à toi»
MP: «je m'inquiétais Jarod, cela fait 5 jours que je n'ai pas
de nouvelle de toi»
JAROD: «tu t'inquiétais ? Pour moi ?»
MP: «je sais que la dernière fois nous nous sommes quittés en
désaccord, mais, comprend moi, si j'abandonnais mon mari pour
venir vivre avec toi, le centre se douterait de quelque chose.»
Cette phrase le laisse béat, anéanti, comme si un troupeau de
Demis Roussos lui était passé dessus. Parker mariée ! Et qui
émet l'hypothèse de venir vivre avec lui ! seraient-ils amants
? tromperait-il Zoey, sa légitime épouse, avec une femme mariée
?! Et UNE PARKER MARIEE qui plus est !!! On se croirait dans «les
feux de l'amour» là !
JAROD: «t...tt....tt...
MP: «Arrête de te moquer de mes voix intérieures...»
JAROD: «je voulais dire, tu es mariée ?»
MP: «soit sérieux un peu....si tu n'étais pas partie avec
Zoey, jamais je n'aurai épousé Broots...tu sais bien que je
l'ai fait par dépit...nous n'allons pas recommencer cette
discussion.»
«Broots, elle est mariée avec Broots...comment peut-elle
prononcer «Broots» et «épousé» dans la même phrase s'en s'étouffer»
pense-t-il. Il ne sait pourquoi, mais cette annonce de mariage
entre Broots et Parker, lui donne les signes précurseurs d'un
fou rire imminent. Décidément, sa vie est pleine de surprises,
et pas des moindres!
MP: «Jarod, tu me manque, j'ai envie de te voir...puis, il faut
que je te dise quelque chose d'important.»
JAROD: «Où es-tu Parker ?»
MP: «Tiens, ça faisait longtemps que tu ne m'avait pas appelé
comme ça...tu es sûr que tout va bien Jarod ?»
JAROD: «un peu fatigué, mais ça va, merci.», puis, l'occasion
étant trop belle, Jarod poursuit avec un: «tu me manque aussi»
des plus passionnels.
MP: «Je serai sur la plage dans demi-heure, viens m'y rejoindre.»
Ils raccrochent tout les deux.
Jarod, lève les yeux, il ne sait pas pourquoi, mais il à envie
de sourire. Il jette un coup d'oeil sur Zoey, toujours égale à
elle même, pareille à un sac à vin, ivre morte, la bouche
ouverte...Quelle tristesse !
Mais il s'en moque, car ce soir....................... IL A
RENCARD AVEC PARKER !!!
Jarod regarde la pendule, les minutes semblent ne pas s'écouler,
encore une lubie du temps.
Après...demi-heure d'attente, L'heure H est enfin arrivée.
Jarod descend sur la plage. Debout, devant les vagues, il la
reconnaît sans peine, sa silhouette est toujours la même, fine,
élancée, superbe...Elle regarde l'immensité scintillante qui
s'enfuie à ses pieds. Il pose la main sur son épaule...lentement
elle se retourne, ses cheveux flottent au vent comme des voiles
portés par la brise. Puis, enfin elle le regarde......
Stupeur extrême !!!! Ce n'est pas Parker, c'est un laideron
inconnu sur le bord de plage!
JAROD: «oh excusez-moi, je vous ai prise pour quelqu'un d'autre
.»
LAIDERON INCONNU DU BORD DE PLAGE, souriant: «Ce n'est pas
grave, ça m'arrive fréquemment...»
Sur ce, il se retourne, et c'est là qu'il l'aperçoit enfin,
juste derrière lui, éclairée par la douceur de la lune. Elle
n'a pas changé, elle est toujours aussi belle. Elle le regarde,
s'avance lentement.
MP: «Cela fait 5 jours que j'attend ce moment Jarod.»
Elle s'avance encore, et pose délicatement ses lèvres sur les
siennes...Puis, elle l'attrape par le cou, et l'embrasse
fougueusement, avec tous les organes buccaux que cela nécessite.
Cinq minutes et trente-sept secondes plus tard, elle le lâche
dans un filet de bave très romantique.
JAROD, très doucement: «moi, ça fait trente ans que j'attend
ce moment...»
MP: «pardon ?»
JAROD: «non, je disais juste que j'étais très content qu'on
soit là maintenant...tu m'as manqué tu sais.»
MP: «tu m'as manqué aussi, Jarod.»
Ils restent un instant silencieux, savourant juste le fait d'êtres
seuls et de pouvoir se perdre dans le regard de l'autre. C'est si
peu et pourtant tant de choses. Puis, Parker rompt le silence.
MP: «Jarod, il faut que je te dise quelque chose...je ne sais
pas comment aborder cela...bon, voilà, je...je......je suis
enceinte.»
Jarod, la fixe, ne sachant que répondre. Quelques secondes plus
tard, il tente tout de même une approche de félicitations
d'usages.
JAROD: «heeeuu....je.....je suis très heureux pour Broots et
toi....»
MP: «non Jarod, ce n'est pas lui le père....c'est.......c'est
toi !»
«WAAAAAOOOOOOOOOOOOOW» pense-t-il
JAROD: «je....tu.......je veux dire, tu en est sûre ?»
MP: «absolument certaine, vu que depuis qu'il s'est coincé les....enfin...tu
sais.....ses.....attributs masculins dans la portière de la
voiture, Broots est stérile et impuissant....»
JAROD, légèrement confus: «ah oui, la portière de voiture....je
me demande comment j'ai fait pour oublier ça.»
MP: «Il faut trouver une solution. Maintenant que j'attends ton
enfant, je ne peux plus et ne veux plus vivre dans le mensonge...Fondons
enfin notre propre famille Jarod...Je t'aime tu sais, je veux
vieillir et mourir à tes côtés.»
JAROD, lui caressant le lobe de l'oreille: «tu es tout pour moi,
je veux te voir chaque seconde, chaque respiration, à chaque
battement de coeur qu'il me reste jusqu'à la mort...Partons loin
d'ici, la vie nous tend enfin les bra...»
Ils se serrent l'un contre l'autre, et s'embrassent avec passion....
Mais, tous les bonheurs sont éphémères...
Une longue voiture sombre s'arrête dans un crissement de pneu
hurlant à la mort. Une ombre sort furtivement. Un coup de feu
retentit, puis un autre. L'ombre s'engouffre alors à nouveau
dans le véhicule, et disparaît derrière une traînée de
poussière...
Lentement, le corps de Parker glisse jusqu'au sol.
Elle ne peut pas parler mais elle sait que tout s'arrête là...Elle
sent son coeur ralentir dans sa poitrine, elle perçoit le visage
de Jarod, penché au dessus d'elle, elle entend faiblement sa
voix mais ne comprend pas. Elle a peur. Une larme perle sur sa
joue. Tout devient sombre, ténébreux. Au loin, elle entend un hélicoptère,
sûrement un du centre, qui rôde comme un vautour autour de sa
proie. Pour elle tout fini ici, sur un triste bord de plage. Elle
entend une dernière fois la voix de Jarod, sent l'écume des
vagues venant effleurer sa main et le souffle glacial qui éteint
la flamme de son coeur. Les battements de sa vie se taisent
alors, dans un silence assourdissant.
Jarod s'effondre dans le sable, serrant Parker contre lui, dernière
étreinte en cette douce nuit meurtrière.
Relevant la tête, il aperçoit Zoey, sur le pas de la porte. Péniblement
il se relève et marche, encore étourdis, vers la demeure de
glace. Il monte les marches, et rentre chez lui.
Zoey est contre le bar. Elle le fixe, le regard haineux.
ZOEY: «je t'avais dit de ne plus la voir, je t'avais dit que je
la tuerai sinon...mais tu ne m'a pas écouter...quand je t'ai vu
la prendre dans tes bras, ça m'a fait mal, tu m'a fait souffrir
Jarod. Alors j'ai pris le téléphone et je les ais appelés....je
t'avais prévenu...»
Elle s'approche de lui, voulant le serrer dans ses bras...
ZOEY: «maintenant, elle ne viendra plus se mettre entre nous,
nous serons heureux, enfin....»
JAROD: «tu es complètement folle, vas-t'en, sors de ma vie !
jamais, tu m'entends, jamais plus je ne veux te voir !»
ZOEY: «Mais j'ai fait ça pour nous, Jarod...»
Mais, s'en est trop, il ne peut entendre son flot d'ineptie plus
longtemps. Il saisi un couteau posé sur le bar et, sans réfléchir,
l'enfonce dans la poitrine de sa femme. Zoey s'écroule. Il lâche
alors la lame et regarde ses mains, maculées de sang. Il reste
un moment tétanisé, puis d'un pas hésitant, quitte l'immensité
de verre et retourne auprès de Parker. Il se met à genoux, et
éclate en sanglots. Toutes les larmes de son corps se déverse
sur celui sa belle. En un jour, il a tout gagné...puis tout
perdu. Maintenant il n'a plus rien, même ses yeux n'ont plus une
goutte à verser.
Abandonnant sa plage, il erre dans les rues désertes et mornes
de la ville. Il marche, il marche seul et se met à courir, à
courir, à courir, comme pour fuir cette réalité mélancolique.
Enfin, il s'arrête. Tout en bas la mer danse au pied des rocher,
si paisible et si effrayante. Il sait que bientôt elle sera son
antre, le tombeau de son âme. Il avance au bord de la falaise,
regarde une dernière fois le monde, et s'enfonce dans le vent.
Il tombe vers les profondeurs noires de l'inconnus, mais il sait
que la mort lui sera plus douce qu'une vie sans Parke...La mer
l'attrape dans ses bras.
Tout est noir...Le temps recule
Soudain il se réveille...Zoey dort à ses côté, paisible,
calme, et aussi mince qu'un cure-dents. Il est de nouveau à son
hôtel, il n'est pas marié...ce n'était donc qu'un rêve...
Soudain, un crissement de pneu déchire la quiétude. Il reconnaît
de suite la manière intempestive et discrète du Centre !
Parker monte les escaliers de l'hôtel quatre à quatre, elle
sait que Jarod et au bout des marches, elle va enfin l'attraper.
Elle arrive devant la porte. Deux....Trois....et défonce celle-ci
d'un magistral coup de talon...
Elle se trouve alors nez à nez avec.....................Zoey,
seule dans la chambre. Une fois encore, Jarod s'est échappé...
MP, souriant: «Alors c'est vous, la dulcinée du petit génie !»
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