Carnets SL27 Chronologie Épisodes Secrets Refuge
Quand Jay rencontre Parker (page 4)
Auteur de cette partie : Sydnette la Psy-Caméléonne
Notes : Ce fanfic a été écrit petit à petit sur le forum. C'est Mouah et les autres qui avaient décidé de continuer en quelque sorte "Qd Parker rencontre Jarod" mais en envoyant les deux dans le futur plutôt que dans le passé... Petit à petit on a obtenu un nouveau fanfic.
Retour dans le Futur
Quatrième
round signé la Psy Caméléonne
Il était une fois.... Ah non, c'est l'influence récente des
contes... Bon, l'histoire se passe quelque part sur la Terre,
dans un endroit reculé. Le Delaware, pitit état où tant de
choses se passent. La Baie de Blue Cove, dont l'eau bleue et
scintillante peut faire croire au visiteur innocent que le coin
est calme. A tort. Pour exemple, un bâtiment pris au hasard sur
la côte... Une grande entreprise dont les activités restent
mystérieuses... et dont le nom est tout aussi intrigant... Le
Centre.
Miss Parker vaque à ses occupations habituelles, Sydney reste
obstinément derrière elle, tel Broots habituellement.
MP (l'air fatiguée et le ton indiquant sa lassitude) :
"Il a laissé quoi la dernière fois ?"
SYD (habituel sourire béat aux lèvres) : "Un
carnet rouge..."
MP (se demande si Sydney ne se fiche pas d'elle, mais ne dit
rien) : "Pour changer."
SYD (toujours souriant) : "...Et.....ça...."
Il lui tend une photo...Un montage montrant la Dragon Lady plus
vieille, vraiment plus vieille...
MP, un petit sourire au coin de la bouche: "Merveilleux ! Je
vais l'accrocher dans mes toilettes pour me poiler de temps en
temps... Jarod est attentionné. Et il n'a pas assez de travail
à voir. Il s'ennuie au point de me vieillir par ordinateur.
Votre petit Einstein commence à péter un boulon, Syd. Et je
paie encore les pots cassés .D'autant plus que cette mascarade
ne le ramène pas au bercail"
SYD: "Ca veut forcément dire quelque chose..."»
MP, exaspérée: "Toujours votre petit refrain... Mais je
remarque qu'après toutes ces années vous n'avez toujours pas réussi
à trouver l'essentiel : QUOI ?!"
Broots arrive, un soupçon essoufflé :
"Pfffffffffffffffff.... Pfffffffffffffffffffff... (ça
me rappelle un autre fanfic) Missssss... heu... Parker...."
MP (excédée, se demande si c'est tout de suite qu'elle va
lui mettre une baffe) : "QUOI, Broots ?!!! Qu'est-ce
qu'un éclopé du niveau souterrain je ne sais combien vous a
encore confié ?"
Broot (inquiet) : "Rien. J'ai juste rencontré
Ralfy, celui qui a une main sur le ventre à cause d'une mauvaise
greffe. Il passe le bonjour à tout le monde, mais...."
MP (se retenant pour ne pas coller ses quatre vérités à un
informaticien qu'elle connaît) : "QUOI ?!!! Que se
passe-t-il donc pour qu'on vous voie revenir rouge, suant, et
soufflant comme un escargot rhumatisant à qui l'on aurait imposé
la vitesse d'une Formule 1 ?"
Broots : "Rien. Mais il y a du courrier pour vous".
Il lui tend une lettre et cherche à s'éclipser. Miss Parker le
retient : "Vous n'allez pas filer comme ça et laisser
Sydney prendre l'orage tout seul ?..."
Broots : "Oh, heuuuuuuuuuuuu, nooooooooooonnnn, mais heu,
c'est-à-dire que j'ai heu du travail, et heu................."
MP : "On ne me la fait pas à moi, Broots !"
Elle commence à décacheter l'enveloppe, bien que l'identité du
destinataire ne soit plus un secret pour elle : elle reconnaîtrait
cette écriture entre mille ! Jarod...
Elle ouvre et commence à lire : "Chère Miss Parker, gna
gna gna... Je suis au regret... gna gna... dire combien cette
situation est triste... gna gna gna... Mais... gna gna gna... Tu
me manques même quand tu es près de moi... gna gna gna... (pour
elle-même) Sapristi, c'est une lettre d'amour ce machin ! (elle
poursuit) Et puis... gna gna gna... Quand tu me liras....
gna... je serai ailleurs car je ne peux accepter plus longtemps....
gna gnaaaa ? (le dernier gna est paniqué !)... quand tu
liras cette lettre je serais mort".
Elle n'a pas le temps d'en lire plus, elle s'effondre.
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Los Angeles. Californie. Un hôtel.
Une nuée de bulles scintillantes remonte à la surface des flûtes
remplies d'un champagne doré.
Bercés par le "hou hou" des hiboux, se caressant
mutuellement la joue, Jarod et Zoey semblent se délecter d'une
soirée si tranquille, où seul le ronflement du voisin vient
troubler le silence (la narratrice signale que c'est poétique
et qu'y'a même des rimes...).
Allongés sur la terrasse de leur chambre, ils se regardent.
ZOEY : "Ahhhhhh Tu as bien fait d'envoyer cette lettre à
Parker. Tu as l'air plus tranquille, maintenant".
JAROD : "Tu n'es pas jalouse ?"
ZOEY (qui cherche depuis une demi-heure comment assassiner
Parker ) : "Nooonnn. Tant que tu es heureux, c'est ce
qui compte. Je ne puis lutter contre ça... Votre amitié. Je
t'aime, tu sais, je peux faire ça pour toah !"
Jarod est ravi. Il se demande si c'est bien la bonne chose à
faire, mais finalement, comme Zoey le prend bien. Il peut
toujours la garder comme amie. Parker. Il aime Zoey. Il la
regardent. Ils s'embrassent. Jarod la serre contre lui tendrement
et, admirant la nuit étoilée, glisse discrètement sa langue
dans sa bouche et alors...
"BON ! CA SUFFIT !!!!!!"
Sur un pitit nuage, loin, au milieu d'oiseaux magiques et de fées
aux aîles brillantes. Avec leurs pitites aîles et leur cerveau
productif, des êtres. Dans des espaces où manque l'oxygène, où
rien ne frissonne, ni rien ni personne, juste quelques hommes (©
J-J. Goldman)... quelques hommes justes... enfin plutôt les
divines Cupidones Shippeuses !
"C'est quoi ce bordel ?!"
Une CS ("cupidone shippeuse" n'oublions pas)
s'énerve.
Une autre CS : "Chhhhhuuuuutttt ! Ca y est, tu te mets à être
aussi malpolie que Parker...
CS : "Quoi ?!!! Nan mais t'as vu ? C'est inadmissible ! De
ma mémoire de shippeuse, j'ai rarement vu pire comme situation.
Je vais lui balancer une ou deux flèches dans le c*l pour la
calmer, la Zoette !"
L'autre CS : "Ne t'inquiète pas. Tout ce beau monde a oublié
que leur destin était entre nos mains tel un M&Ms qui n'y
fond pas... Le pouvoir, nous le possédons. Reste à les remettre
dans le droit chemin..."
CS : "Que fait-on ? On les envoie encore dans le passé ?"
L'autre CS : "Nan, ça a bien marché, mais Parker va finir
par se douter de quelque chose à force de visiter le Dirty Trick
Motel... Si on lui envoie plein de visiteurs, y'en aura bien un
pour se souvenir du prospectus. Imagine la cata !"
CS : "Alors on fait quoi ? On ne peut pas les laisser comme
ça !"
L'autre CS : "Eh bien, on va jouer à Retour dans le Futur...".
Elle saisit une flèche et l'envoie discrètement sur Miss Parker
qui ne s'en aperçoit pas puisque son sommeil est aussi profond
que la grande faille de San Andreas (nldr : près de San
Francisco, donc pas loin de chez MTW!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!).
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Miss Parker se réveille, la tête lourde (ça me rappelle un
fanfic, ça !). Que s'est-il passé ? Soit un rouleau
compresseur s'est trompé de chemin et est venu la caresser, soit
un mauvais plaisantin lui tape sur la tête avec un marteau de
trente kilos... Elle est au Centre... Elle reconnaît vaguement
le tableau devant elle, bizarrement sombre. Que fait-elle par
terre dans le bureau de son père ? Et où est celui-ci ?
Etrange, tout est sombre, enfin encore plus sombre que d'habitude.
On dirait le SL-27. Oui, on dirait que cette pièce a subi un
incendie semblable à celui du niveau souterrain. Sydney aurait-il
encore joué les poseurs de bombes ? Persuadée d'être encore
mal réveillée, elle finit par se lever, et s'exclame :
"PUT**N DE ME**E ! Qu'est-ce qu'il s'est passé ici ?"
Tout semble réellement avoir pris feu. Mais on semble bien aussi
ne pas avoir fait le ménage et déblayé les cendres depuis une
bonne dizaine d'années !
Elle sort de la pièce, déboussolée, incapable de se souvenir
de quoi que ce soit. Elle se rappelle vaguement une histoire de
lettre...
Elle tombe sur Sydney, qui sourit et s'exclame : "Ah !
Bonjour Mlle Parker ! Bien remise ?"
Miss Parker le regarde, abasourdie : "Remise ?"
Sydney (avec un ton de psychologue - vous ne savez pas ce que
c'est ? *Lisez-moi plus* eh eh -) : "Eh bien... Depuis
qu'on a retrouvé Catherine, vous étiez heureuse mais bizarre,
il faut l'avouer. C'est bien compréhensible, mais..."
MP (l'interrompant, comme d'habitude) : "Catherine
? Quelle Catherine ?"
Syd (avec un ton limite professoral) : "Voyons,
Mlle Parker, je veux parler de votre mère bien sûr ! De qui
d'autre ?..."
Miss Parker est devenue blanche, limite verte, et elle se
rattrape de justesse à la cravate du psy.
MP : "Ma mère... ma mère est vivante..."
Syd se dit que décidément le champagne n'est pas bien supporté
par sa collègue. Cela provoque même des troubles de
comportement. Il n'aurait pas du la laisser boire ces quatorze
verres la veille...
Justement Catherine Parker arrive. Elle n'a presque pas changé.
Mais, chose étrange, elle porte un petit garçon tout brun dans
ses bras. Il doit avoir cinq ou six ans au maximum.
CP (Catherine Parker, pour ceux qui ne connaissent pas les
abréviations usuelles...) : "Tiens, ma chérie, prends-le
un peu, je dois faire des courses en ville. Je n'en ai pas pour
longtemps, rassure-toi".
MP (interloquée, saississant le petit qui commence à baver
sur son tailleur bleu nuit en soie) : "Mais qui est-ce
?"
CP : "Comment ça ? Mais ton fils, ma puce. Tu es sûre que
ça va ?"
MP : "Oui oui.........................
.........................".
Catherine s'éloigne. Le petit s'endort à moitié sur l'épaule
de sa mère.
MP : "Sydney, je n'y comprends plus rien. Oh !!! Erk, beurk
et triple zut ! Cet idiot bave sur mouah ! Mon beau tailleur de
chez Paul Carmin ! Zutalors ! Bon, Syd, je ne le répéterai pas
deux fois... QUI EST CE GAMIN ???!!!"
Sydney (un air inquiet sur le visage) : "Mais...
votre fils ! Vous savez, Brigitte était enceinte, et elle... a
accouché d'un petit garçon, censé être votre frère. En réalité,
c'est votre fils. Mais ça fait déjà deux ans que vous êtes au
courant, je m'étonne de votre quest..."
MP (la tête lui tourne) : "Laissez tomber, je suis
un peu, heu... fatiguée".
Elle se dirige vers son bureau. Elle ouvre la porte et elle découvre
alors...
(la narratrice n'ose pas le dire)
... elle découvre alors Lyle et Broots bouche à bouche !!!!!!
(Cindimini et Etoile4You vont tuer la narratrice, c'est sûr,
heureusement qu'elle a son pote Lecter pour chasser les intrus.
Car on m'avait piqué Jay, n'est-ce pas, Lys... Je ne veux pas
faire de concurrence à une copinnneeeuuuhhh comme toi, alors...
Comme personne ne veut d'Hannibal... La narratrice, consciente d'être
hors-sujet, va bientôt revenir à son histoire, non sans avoir dégusté
un peu de bûche glacée framboise vanille abricot).
Lyle et Broots s'embrassent avec tous les bruits, filets de bave,
et mouvement que ça nécessite. Ils semblent même vouloir faire
plus.......
Miss Parker se précipite aux toilettes et son petit déj' se
retrouve bientôt au fond d'une cuvette blanche.
Elle se passe un peu d'eau sur le visage, se tapote les joues.
MP (murmurant) : "Je dois rêver. Oui, c'est ça,
je rêve...".
Elle repart vers son bureau et jette à nouveau un oeil. Mais son
horrible jumeau et l'informaticien de service sont bien en train
de se faire des câlins peu corrects. Elle n'a pas été victime
d'une hallucination.
Sa mère est vivante, son père disparu, le bureau cramé, elle a
un fils, et maintenant Lyle et Broots sont très très amis. Tout
est normal... Il ne manque plus que...
"JAROD !!!! JAROD est là !".
La voix de Sam.
MP : "Jarod... Bien, où çà ?...".
Sam a vieilli bizarrement. Broots aussi à y réfléchir. Mais
que se passe-il donc ?
Elle sort de son bureau et tombe nez à nez avec Jarod, justement
!
MP : "Tiens tiens ! Tu es là !"
Elle l'attrape par le bras.
Jay : "Mais ?! Tu es folle, ça fait deux ans que le Centre
ne me poursuit plus. Depuis que ta mère a repris l'affaire de
loin... Bon, c'est pas de tout ça, laisse-moi passer !"
MP : "Pourquoi ?"
Jay : "Je cherche Lyle !"
MP : "Pourquoi ?"
Jay : "Je veux le tuer !"
MP : "Joyeuse nouvelle ! Pourquoi ?"
(la narratrice se dit que MP aime les "pourquoi".
Promis, elle s'achètera un sac de vocabulaire à Auchan...)
Jay : "Laisse-moi passer ! Où est Lyle ?"
MP : "Dans mon ex-bureau, en train de faire je ne sais quoi
avec Broots...".
Jay : "Ah ? Comme d'habitude alors..."
MP : "Ne me dis pas que tu étais au courant !"
Jay : "Qui ne l'est pas ? Ils ne se cachent pas".
MP : "C'est pas normal... Comment ça se fait ?".
Jay : "Je ne sais pas. Mais n'oublie pas ce principe : Ex
nihilo nihil..."
Une petite fille toute brune arrive en courant et agrippe Jarod :
"PAPAPAPAPAPAPA
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"
MP : "C'est... ta fille ?!!!"
Elle manque de s'étouffer.
MP (à bout de souffle) : "Qui est la mère ?"
Jay : "Mais... Zoey !! Et Lyle l'a tuée. Je veux
l'assassiner aussi".
MP : "La première bonne action de mon frère ! Il faut le féliciter
!".
Justement Lyle arrive, un paquet dans la main gauche, des
baguettes dans la droite, avalant goulûment de la viande, tandis
que Broots lui fait de nombreux bisous dans le cou.
Jay : "Je vais le tuer, ce gars !!!".
Soudain il s'arrête, regarde Miss Parker et demande : "Qui
est ce garçon ?".
MP : "Mais notre fils, voyons !".
Elle s'approche de Lyle, jette un oeil à son repas.
MP (contemplant la viande) : "Eh bien ! La Zoette,
elle est pas plus apétissante comme ça !".
Lyle : "C'est ce que je me suis dit aussi, je ne voulais pas
m'empoisonner".
Justement Zoey apparaît, quarante kilos de plus qu'auparavant,
des bigoudis dans les cheveux, une bouteille de rhum à la main,
suivie de la nounou de sa fille, Grand-Ma Zoye. Miss Parker se
dit que Lyle a manqué une bonne action, voire deux.
Zoye se prend les pieds dans le tapis, à moins que de grandes
jambes aux doigts de pieds vernis de violet ne l'aient aidée à
se casser la gu**le...
MP : "Bien fait".
Mais déjà l'infâme Zoye se précipite vers le Caméléon et l'écrase,
tout en lui bavant dessus pour l'embrasser. Miss Parker détourne
les yeux, dégoûtée !
Zoey : "Oh ! Mon amour ! Jaroooooood !!! Eh ! Lili-Rose, ma
puce, ça va ?".
Miss Parker se demande si elle ne va pas elle-même assassiner la
Zoey.
Jarod et son amie s'embrassent. Quelques filets de bave plus loin...
MP (inquiète) : "Mais qu'est-ce que je fais du
gamin ?".
Jay (repartant avec Zoey) : "Oh ! Tu sauras bien
t'en occuper toute seule, je te fais confiance ! Allez, fais la
banane ! Et n'en mange pas trop (de bananes), ça fait
grossir. Remarque, ça dépend desquelles ! Allez, je te laisse,
ma grosse petite Parker ! Et pis : Carpe diem !..."
Il repart, son insupportable gamine à la main, l'autre bras
essayant vainement de faire le tour de la taille de Zoey. C'est
bien sûr cette sa**pe qui a rendu Jay comme ça !
Miss Parker s'évanouit.
Revient le cours normal des choses... Enfin, si l'on peut appeler
ça normal... Le temps repart en arrière...
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"Hou hou ! Mlle Parker !"
La voix de Broots. Pas de doute. La Miss ouvre les yeux. Sa tête
est très, très lourde.
"QUOI, Broots ?"
Broots : "Nous avons retrouvé la trace de Jarod grâce à
la lettre. Il n'est pas mort. Il se prélasse dans un hôtel avec
Zoey !"
MP : "Bien ! En chasse, Broots ! Nous allons les rattraper,
le petit génie et la roussâsse !".
Elle agrippe Sydney au passage. Ses talons résonnent dans le
couloir. Bruits de voix. Bruits de pas. Claquement de porte.
Crissements de pneus. En route vers la Californie.
CS : "Eh, qu'est ce qu'on fait ? On va pas la laisser
continuer sa vie dans ce sens là !
L'autre CS : "T'inquiètes.. le message est délivré.
Encore un coup des Cupidonnes Shippeuses !"
CS : "Et si elle n'a pas compris ? "
L'autre CS : "Libre à nous de recommencer ... Car, après
tout ... NOUS SOMMES LES MAITRES DU TEEEMMMPS"
Omnia vincit amor...
Ad vitam aeternam...
La fin, devant être un writing-game, n'a
jamais été faite
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