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Section Le Caméléon (The Pretender)

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Nouveau départ (page 3)

Auteur : Tania Pretender

Où le situer : Il se situe après la fic "Against Fire" (même auteur, bien entendu).

Notes : NC-15 svp, cad que cette fic, par qques scènes un peu difficiles à supporter pour les plus jeunes, est recommandée pour les adolescents de plus de quinze ans et adultes. Merci de votre compréhension. On n'ira pas vérifier non plus, mais ne venez pas vous plaindre après ;-) (je rigole, hum...)

CHAPITRE 4 : A LA RECHERCHE DE JAROD.

Les retrouvailles avaient été chaleureuses. Quoi de plus normal ? Le trio s’était retrouvé après six mois de séparation. Six mois de remords et d’incertitude. Certes, les causes auraient pu être plus joyeuses, mais après tout, le but était cette fois plus facile à porter et plus agréable. Sauver quelqu’un plutôt que le piéger… Broots pouvait enfin arriver à dormir sans avoir honte pour lui même. Sydney trouvait un peu de repos dans l’espoir de jours meilleurs, et mlle Parker… Mlle Parker, elle, ne dormait toujours pas. Même si elle était presque persuadée de retrouver Jarod, elle craignait l’état dans lequel il serait.

Tout le monde s’était installé dans la maison de Michelle pour la nuit. Celle ci avait été ravie d’avoir du monde chez elle, et elle était surtout enchantée de savoir que ces personnes permettraient à Sydney de se sentir un peu mieux.

Le lendemain, ils se retrouvèrent dans la cuisine pour déjeuner. Personne ne rigolait, personne ne plaisantait. Ils avaient tous trop de choses sur le cœur.

« Comment va Nicholas ? s’enquit Mlle Parker pour rompre ce silence, qui la pesait trop.
- Bien, merci… Il est repartit hier pour Dover, dommage que vous l’ayez manqué »

La conversation s’arrêta aussi vite qu’elle était apparue. Personne ne semblait vouloir faire d’effort. L’informaticien n’était comme toujours pas à l’aise – même s’il avait été agréablement surpris devant l’attitude que son ancienne patronne avait à son égard, surtout quand celle ci lui avait avoué être heureuse de le revoir. Après tout, elle n’avait plus aucune raison de le martyriser, à présent, il ne travaillait plus pour, mais avec elle.

Ce fut Parker qui brisa une nouvelle fois le silence. Mais cette fois ci, plus de formalité, plus de politesse. Ils devaient partir. Elle était persuadée que la meilleure chose à faire était de se cacher quelque part pour mener à bien leurs recherches. Faire du remue-ménage au nez et à la barbe du Centre ne leur apporterait rien de bon. Et tout le monde était d’accord avec elle. Même Michelle.

« Michelle, je voulais te dire…
- Je comprends très bien, Sydney, le coupa celle-ci. Va, va l’aider. Je t’attendrai.
- Non… tu dois venir. Rester ici est trop dangereux pour toi. Ce qu’ils seraient capable de faire rien que pour nous arrêter… je ne veux… »

C’était donc convenu. Tout le monde partirait. Ils devaient aussi prévenir Nicholas d’être prudent, ils passeraient de toute manière à Dover pour acheter quelques affaires. Pas le temps de repartir chacun chez soit.

« Et où allons nous dormir ? s’enquit Broots.
- Compte tenu du fait qu’ils ont sûrement mis nos téléphones sur écoute, et se sont aperçu de mon départ, ils vont chercher à nous retrouver. Mieux vaut un endroit discret où ils ne nous retrouveront pas. Un hôtel, une auberge…
- Je connais un endroit qui serait parfait, coupa Michelle. Une auberge, à la campagne. On sera seuls. Et tout le monde est discret là bas. L’aubergiste est une vieille connaissance. »

Ce fut chose faite. Tout ce qu’il leur restait à faire avant de fouiller dans tous les secrets du Centre, c’était s’assurer qu’il n’arriverait rien à Nicholas.

******

Nicholas, justement, avait les mêmes préoccupations qu’eux. Plus il se renseignait sur ce « centre », plus il découvrait ses horribles actes et se rendait compte du danger. Que devait-il faire ? ne risquait-il pas sa vie en fourrant son nez partout ?

« Nick, vient voir ça ! fit Laetitia.
- Quoi, qu’est ce que t’as trouvé d’autre ?! »

Après s’être rendu compte que le Centre avait enlevé des enfants, qu’ils avaient tué leurs familles ou traqué celles qui se cachaient, après avoir découvert qu’ils avaient ‘’élevé’’ des génies pour se faire de l’argent en tuant des innocents, que pouvait-il arriver d’autre ? Que pouvaient-ils découvrir de plus ?!!

« Je… je sais pas si ma source est sûre, mais…Tu sais, nous avions basé toutes nos recherches sur le principe que Jarod avait été attrapé ?… et bien… je … je crois qu’il s’est à nouveau échappé.
- Quoi ? comment tu peux en être sûre ? enfin, je veux dire... ça fait que 2 jours qu’on fait des recherches, même intensivement, et … tu m’as l’air bien sûre…
- Je crois que je commence à comprendre qui ils sont. J’ai récolté pas mal de témoignages par Internet, et… enfin… Je crois qu’il n’était pas à Blue Cove.
- Qu’est ce qui te fait dire ça, au juste ?
- J’en sais rien, je peux pas dire que je les connais assez pour établir leur « modus operandi », mais … j’en sais rien... c’est plus quelque chose que je sens…
- Mais dis-moi, tu as des talents cachés ? fit-il en souriant.
- Nick… qu’est ce que tu comptes faire si on trouve où l’ami de ton père est ?
- Je sais pas encore… Peut-être que… peut-être que j’irai voir mon père et lui parlerai. Alors, tu crois qu’il est où s’il est pas à Blue Cove ?
- Apparemment, le Centre est lui même financé, enfin…dirigé par une autre organisation. Plus grosse. Elle se trouve en Afrique du Sud.
- C’est là qu’aurait été Jarod ?
- Probable. Je crois qu’il vaut mieux vérifier, mais…je pense que c’est ça. »

Miss Parker, Sydney, Michelle et Broots étaient arrivés à Dover dans le début de l’après-midi. La circulation est importante, dans la capitale du Delaware, et Sydney avait l’impression de mettre une éternité. Le temps compte, et chaque seconde perdue dans ces stupides embouteillages pouvait être fatale. Pour eux. Pour son fils. Enfin, au bout de vingt interminables minutes, ils arrivent à destination. Miss Parker est là première à se ruer hors de la voiture, elle craint plus, pour la première fois, pour la vie d’une personne qu’elle ne connaît pas que pour sa propre vie ou celle de personnes qu’elle aime. De personnes comme Jarod. Car Nicholas, plus que quiconque, est en danger immédiat. Sydney, juste derrière elle, appuie sur la sonnette. Et c’est dans leur conversation sur la localisation du Caméléon que le fils du psychiatre et son amie furent interrompus.

« Papa ? Mais…
- Pas le temps de t’expliquer. Pas ici. Je… On peut entrer ?
- Euh… oui, bien sûr ! fit-il en esquissant un demi-sourire intrigué, les sourcils froncés : son père n’avait pas l’air du tout à l’aise. Encore moins que quand il l’avait laissé…
- hum hum… Nicolas, je… je voudrais te présenter…
- Mlle Parker ?
- Comment tu la connais ?répondit l’autre homme, surpris.
- On ne se connait pas, que je sache ! rétorqua celle-ci.
- Non…en effet. Mais… papa, il faut qu’on parle. Entrez. »

C’est ainsi que Nicolas, avec l’aide de son amie, expliquèrent tout ce qu’ils avaient fait ces trois derniers jours et tout ce qu’ils avaient découvert. Broots était très impressionné par les talents d’informaticienne de la jeune femme, et Mlle Parker était particulièrement excitée à l’idée que quelqu’un qui ne soit pas contre elle puisse être au courant de l’endroit où Jarod était.

« Oui, coupa-t-elle. Ca, on s’en doutait qu’il est au Triumvirat. C’est là que vont tous les…
- Mais saviez vous, poursuivit Laetitia, qu’il s’est à nouveau échappé ?
- Quoi ? Sydney et Mlle Parker faillirent s’étouffer en même temps avec le café qu’ils buvaient.
- Oui… j’ai remarqué beaucoup d’agitation dans cette partie du monde… Je n’en suis pas sûre, mais… Visiblement, il y a des nettoyeurs dans tous les villages aux alentours, y compris dans les villes.
- Mais comment avez vous su tout ça ? fit Broots, les yeux grands écarquillés.
- Disons pour faire simple que les relations aux quatre coins du monde, c’est utile. Je connais pas mal de monde qui sont ravis de me donner des infos accessible par eux et pas par moi. Chose qui se produit réciproquement.
- Mouais… C’est très utile, mais… stupide.
- Pardon ? Laetitia, qui avait accepté d’aider son ami sans rien savoir, se voyait à présent insultée par une jeune femme qu’elle ne connaissait pas vraiment, et cela ne lui plaisait guère.
- Il n’y a rien de moins discret. Soyez en sûre. Aller toquer à la porte de Lyle aurait été moins visible et moins suspect.
- En attendant, on sait qu’il n’y a plus de soucis à se faire pour lui, fit Broots.
- Je n’en suis pas si sûr… coupa Sydney. Qui sait dans quel état il se trouve ?
- Il a raison. Jarod vient de passer six mois dans les bras bien-intentionnés de mon cher frérot, et ça ne doit pas faire du bien à la santé. Autant mentale que physique.
- Comment ça, votre frère ? coupa brusquement Nicolas.
- Quoi, vous connaissez les agissements du Centre et vous ne savez RIEN de la fameuse histoire des Parker ?
- Heu… J’avoue, répondit Broots, que même pour moi qui suis aux premières loges, c’est un peu compliqué, alors… »

Mais qu’est ce qui lui avait pris de répondre ça ?! Il voulais se faire tuer ou quoi ?… Broots attendit la réponse cinglante de sa patronne. Qui ne vint pas. Il n’eut pas même droit au regard lourd de reproches. Il devrait s’habituer à ça !

« Hé ! ho ! repris Laetitia. On est assez doués pour pénétrer à l’intérieur du système, s’il vous plaît !
- Heu… ça c’est vrai, il faut bien l’accorder ! »

Cette fois, il eu droit à ce fameux regard. Finalement, ça n’avait peut-être pas tant changé que ça ?…

Après avoir fusillé Broots, la Dragonlady poursuivit :

« Vous n’êtes que des gosses ! vous ne connaissez rien à notre monde ! je refuse que vous vous en mêliez ! même si vous en savez assez, c’est bien trop dangereux !
- Et pouvez vous me dire ce qu’on a en moins que Broots ?
- Hé ! fit celui ci se sentant soudain concerné.
- Ils marquent un point, fit Sydney, resté silencieux jusqu’ici. Mlle Parker ! nous avons besoin d’eux… rangez votre fierté et admettez le ! pour Jarod… »

Silence de mort… Elle, ranger sa fierté ? Ils se regardèrent lourdement, puis, imperceptiblement, la jeune femme approuva d’un signe de tête.

« Je ne veux pas que vous vous mettiez en danger de manière inutile en jouant les héros c’est compris ?! Vous ferez tout ce que je dis sans discuter ! »

Laetitia et Nick se regardèrent du coin de l’œil, un léger sourire sur la bouche. Ils seraient ENFIN utile !

******


Par où commencer ? Il fallait bien sûr s’occuper de deux choses : retrouver Jarod et s’assurer que le Centre ne mettrait plus la main dessus.


Nicolas et Laetitia étaient ainsi chargés de retrouver des indices, en Afrique, en France, en Belgique, et partout ailleurs, pour savoir si l’on avait entendu parlé d’un inconnu au corps abîmé et au regard un peu ahuri…

Quand à Broots et Sydney, ils étaient chargés de trouver un endroit convenable où Jarod pourrait être en sécurité, une fois de retour parmi eux. Ils devaient non seulement trouver un endroit assez reculé pour que celui ci puisse reprendre des forces, mais ils devaient également tout faire sous un faux nom, et mettre en place plusieurs pistes pour pouvoir brouiller le Centre. Michelle les soutenait, sans pouvoir faire grand chose, mais elle restait calme.

Parker, elle faisait les 100 pas car elle se sentait inutile, n’ étant d’aucune utilité… elle se contentait de fouiller dans les recherches des autres en critiquant… Les vilains défauts sont tenaces…
C’était d’ailleurs la cause de grosses disputes entre elle et Laetitia, qui avait elle aussi un caractère bien trempé. Heureusement que Miss Parker faisait tout ça pour Jarod, sinon elle aurait eu vite fait de lui coller son Smith&Wesson sous le menton

« Mlle Parker, s’il vous plaît, calmez vous ! ce n’est pas en agissant ainsi que vous ferez avancer les choses !
- Et vous proposez quoi, docteur Freud ? »

Leurs regards se croisèrent, et ils rirent…Depuis leur retrouvailles, La dragonlady n’avait pas utilisé un seul de ces surnoms… Et cela la faisait aujourd’hui beaucoup rire... Comme elle se le disait, c’était une autre personne… Et elle avait bien hâte de retrouver Jarod pour lui montrer…

« En tout cas, fit Nicolas, nous on a toujours rien… Pas un signe… Je pense pas que Jarod ait pris soin de laisser des indices, de toute manière…
- Alors on fait quoi ? demanda Laetitia
- On joue notre dernière carte, fit Sydney en souriant… »

Et Parker, comme si elle avait lu dans ses pensées, se leva d’un bond et dit :

« si Jarod n’est pas là pour nous dire ce qu’il a fait, il nous faut quelqu’un d’autre pour le simuler… »


Elle partit donc à la recherche du Major Charles et de Gemini… Le problème, c’est qu’ils étaient vraiment bien cachés… Même Emily et Ethan restaient introuvables… au bout de 8 heures intensives de recherche, Miss Parker craqua…

« J’en ai marre ! j’en ai marre ! on a pas le temps ! c’est maintenant que Jarod a besoin de nous ! c’est maintenant qu’il a besoin de moi ! qui sait si Lyle a une piste ? j’ai tellement peur qu’il le retrouve avant nous…
- Calmez vous, tout ira bien… Il nous reste tout de même une dernière chance, finalement, non ?
- Laquelle ? demanda Michelle »

Mais avant que quiconque ait pu lui répondre il vit Miss Parker s’allonger et se laisser bercer par la voix apaisante du Psychiatre…

***

« Alors ? On a QUOI ? aboya Lyle.
- toujours rien, monsieur…je suis désolé, mais Jarod n’a vraiment laissé aucune trace...
- on ne sait même pas comment il a réussi à s’enfuir ! surenchérit le second informaticien.
-Vous avez intérêt à vite trouver ! »

M. Lyle les quitta, et se dirigea vers sa voiture, sur le chemin de sa maison temporaire. Ici, pas d’Asiatique. Et les africaines n’étaient pas du tout pareilles. Que sa vie à Blue Cove lui manquait ! tout ce la à cause du caméléon… Il avait horreur de ça… et Jarod allait payer…

Tout était confus. Comment diable Jarod s’était-il échappé ?! comment avait-il réussi ? Il n’était même pas sensé en avoir envie ! Le pire était l’attente… Jarod aurait dû appelé Lyle… Il aurait dû être perdu sans son ‘’maître ‘’… Mais qu’est ce qui avait foiré ?

Parker. Bien sûr… malgré tout ce lavage de cerveau, son amour pour Parker, sa foi en elle, avait subsisté… C’est vrai qu’il comprenait… comment oublier une femme pareille ? Si parfaite, si belle, si forte ?…dommage qu’elle ne soit que sa sœur…

Un sourire mesquin apparut au coin de ses lèvres… Qu’elle soit sa sœur n’y faisait rien...Il se débarrasserait d’elle, pour garder Jarod…

« C’est Lyle, fit-il en décrochant le téléphone. Vous avez des nouvelles de ma sœur ?
…
- Comment ? elle n’est plus à Seattle ? Mais où est-elle alors ?
…
- Rien à faire !!! dépêchez vous de la trouver, ou des têtes tomberont ! faites la surveiller et prévenez moi du moindre évènement ! »

***

«Alors ? s’enquit Broots.
- Très peu… rien de clair en tout cas… tout ce que j’ai pu comprendre, c’est qu’il n’est ni en Afrique, ni en France comme on aurait pu le penser… J’ai cru comprendre qu’il était déjà aux Etats Unis…
- Déjà ? Mais…il a fait comment pour retrouver ses forces ?
- Un bon samaritain l’a peut-être aidé ? il a peut-être trouvé son double ? proposa Michelle
- Bon on fait comment alors ?
- Peut-être qu’Ethan… suggéra Broots
- Il est introuvable, gémit Parker. Depuis… depuis cette histoire avec Alex… J’en peux plus, Syd… J’ai peur... je suis épuisée…
- Ca fait 23 heures que vous n’avez pas dormi ! c’est normal que vous soyez épuisée ! reposez vous un peu, quelques heures ... ça ira mieux après…
- comment dormir, sachant que Jarod est en danger à chaque instant ! »

Mais a bout de force, elle ne put s’empêcher de s’endormir…

« Jarod ! je suis si heureuse de te voir ! tu…tu me manques !
- Parker… j’ai peur… je sais plus quoi faire… je dors plus depuis la dernière fois où je t’ai parlé, dans cette petite ville… tu me manques…
- tu me manques aussi.
- J’arrive, Parker… je viens… Chez toi… »

« Nooooooon ! cria-t-elle
- Mlle Parker ? Mlle Parker !!! réveillez vous !
- Oh mon dieu ! Sydney ! j’ai fait un rêve atroce ! Jarod... il était là… il avait peur… il était là…
- OU ?
- chez moi ! il venait me chercher… mais j’étais pas là… Et Lyle… oh mon dieu ! Lyle arrivait… Et … »

Parker s’effondra, d’épuisement et de peur. Elle le savait. Elle était sûre, sans hésiter une seconde, que ce n’était pas qu’un rêve… Alors elle espérait de tout son cœur que c’était juste une prémonition… Que tout cela ne s’était pas encore passé. Elle n’avait qu’une chose à faire : rentrer à BlueCove, et tout de suite…


A suivre !

Suite de la fanfic

Pour m'envoyer vos fanfics (tous formats compatibles avec les logiciels courants de Windows - même Xp, pas de pb), écrivez-moi : delphinevb@chez.com . En général, je m'efforce de lire très vite les textes qu'on m'envoie, même si je ne les publie pas aussitôt (cause forfait, et puis travail aussi ;-) ...), afin de proposer un petit commentaire (un auteur attend généralement des feedbacks, j'en sais qqch...).

Sydnette la Psy Caméléonne.

© Onyssius, 2003, in Le Monde d'Ondinaphaë.

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