Carnets SL27 Chronologie Épisodes Secrets Refuge
Une vie au prix de l'économie (partie unique)
Auteur : @ndy56 ( missparker63@hotmail.com )
Où le situer : Il arrive après le fic "Vacances mouvementées" (même auteur)
Notes : Haletant, on a tjrs envie de connaître la suite des péripéties qui se passent au Centre. Jarod n'a certes ici qu'un rôle "secondaire" mais ce n'est pas l'essentiel.
Chicago, Illinois :
Jarod était assis au beau milieu dun parc, il regardait
des enfants jouer dans un bac à sable. Il les enviait, il navait
pas eu la chance de samuser comme ça lui. Il navait
que deux amis quand il était au Centre : Angelo et Mlle
Parker. Un petit garçon étrange qui ne parlait pas et une
petite fille à lesprit torturé. Bref, une enfance bien
différente de celle de nimporte quel enfant sur terre.
Jarod tenait un carnet rouge dans sa main, sur celui-ci, un
article titrait : « Un jeune garçon de 7 ans tué
dans une collision entre deux véhicules. »
Il détestait ouvrir son journal le matin et tomber sur ce genre
de faits divers, il était révolté de voir des personnes mourir
si jeunes. Il navait jamais compris pourquoi ces horreurs
se produisaient, et il ne le comprendrait certainement jamais, il
le savait que trop bien.
Il observait une jeune femme sur un banc en face de lui qui
surveillait un petit garçon. Il savait que cétait la mère
du jeune Bryan McGuire et lenfant devait être son second
fils. Il pouvait ressentir sa douleur, il voulait laider à
comprendre les circonstances de la mort de son enfant. Il sapprocha
delle pour sasseoir à ses cotés sur le banc.
Jarod : Je mappelle Jarod.
Mme McGuire :
Jarod : Cest votre enfant ?
Il désigna un adorable petit blondinet, les cheveux tous frisés,
en train de faire un pâté de sable.
Mme McGuire : Quest ce que vous voulez ? Vous êtes
avocat ? Vous voulez me faire retirer ma plainte ?
Jarod : Non, au contraire, je veux vous aider à la faire
aboutir.
Mme McGuire : Vous faites quoi comme travail ?
Jarod : Je suis mécanicien.
Elle le dévisageait : ce nétait pas tous les jours
que lon avait loccasion de rencontrer un mécanicien
aussi propre et aussi bien habillé ! Elle ne savait pas
comment réagir, mais il avait un coté protecteur et une voix si
douce et rassurante quelle ne pu résister à lui parler.
Mme McGuire : Comment mavez-vous trouvée ?
Jarod : Jai cherché votre adresse dans le fichier des
plaques dimmatriculation. On pouvait encore la distinguer
sur la photo dans le journal.
Mme McGuire : Quest ce que vous voulez ?
Jarod : Vous aider.
Mme McGuire : Maider ?
Jarod : Parce que je suis sûr quil y a quelque chose
qui cloche dans cet accident.
La jeune femme parut bien plus intéressée par ce quil
venait de dire quauparavant.
Jarod : Parce que, daprès ce que jai pu voir, même
si lautre voiture a grillé le feu rouge, elle avait
largement eu la distance pour freiner.
Mme McGuire : Alors vous me croyez ?
Jarod : Evidement !
La jeune femme tenta de sourire mais ny parvint pas.
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Le Centre, Blue Cove, Delaware :
Mlle Parker se dirigeait dun pas ferme vers le bureau de
Sydney mais fut rattrapée par Broots.
Broots : Mlle Parker, attendez !
Parker : Quoi ? Arrêtez de me crier dans le oreilles, jai
une migraine tous les diables.
Broots : Heu
oui
heu
pardon, jai ça
pour vous.
Le pauvre homme tendit un DSA, elle le saisit brutalement puis le
retourna plusieurs fois.
Parker : Quest ce que cest que ça ?
Broots : Et bien
cest un DSA.
Parker : Je sais bien Broots, ne me prenez pas pour la dernière
des idiotes ! De quand date-il ? Et que se passe-t-il
ce jour-là ?
Broots : je ne sais pas, je ne lai pas encore étudié.
Parker : Où lavez-vous trouvé ?
Broots : Cest Angelo qui me la donné, il a dit
« ton père connaît tous les secrets » alors jai
pensé à vous.
Mlle Parker navait pas attendu la fin de la phrase et sétait
précipitée dans son bureau pour voir de quoi il retournait.
Broots la rejoignit alors quelle commençait à visionner
le DSA. Elle était accoudée à son bureau et paraissait très
intéressée pas ce quelle voyait.
Cela se passait une dizaine dannées avant que Jarod ne sévade
du Centre. Celui-ci était dans le laboratoire, il était seul.
Un infirmier entra, suivi de Monsieur Parker.
Mr Parker : Bonjour Jarod.
Jarod : Bonjour Monsieur Parker, que puis-je faire pur
vous ?
Mr Parker : Je voudrais simplement te faire une prise de
sang. Tu seras peut-être obligé de donner ton sang pour sauver
une petite fille, sil est compatible.
Jarod : Ce sera avec plaisir Monsieur Parker.
Parker haussa les sourcils, mais la suite retint son
attention : on voyait Mr Parker parler avec linfirmier.
Mr Parker : Je veux cette comparaison dADN le plus
vite possible. Faites-la vous-même et nen parlez surtout
à personne.
Sydney entra dans le bureau au moment où le DSA séteignait.
Sydney : Que se passe-t-il ?
Parker : Broots, essayez de trouver de quelle comparaison il
sagit. Et retrouvez-moi cet infirmier.
Sydney : DE quoi sagit-il ?
Parker : mon père a prélevé du sang à Jarod pour faire
une comparaison dADN, je veux savoir pourquoi.
Elle se dirigea vers la porte, Sydney lui demanda ce quelle
comptait faire. Elle répondit quelle allait voir Angelo
car cétait lui qui avait donné le DSA à Broots et quelle
voulait savoir pourquoi.
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Chicago, Illinois :
Jarod sétait fait engager comme mécanicien au garage qui
avait fait le contrôle technique de la voiture responsable de laccident.
Ce garage nétait pas très grand, le père le dirigeait,
le fils était mécanicien. Il y avait un autre employé ainsi quune
femme de ménage.
Jarod travaillait sur une voiture quand le fils du propriétaire,
Jim Wyatt, vint lui donner un coup de main.
Jim : Cette voiture doit être prête dans une heure, alors
je viens taider.
Jarod : Cest sympa car elle me donne du fil à
retordre. Je reviens jai vu quon avait plus de
plaquettes de frein ni de liquide, je vais demander à ton père
den recommander.
Jim : Laisse tomber, on va les chercher nous-même chez un
pote, cest moins cher.
Jarod : Et il fait partie de quelle entreprise ce
pote ?
Jim : Bah, il a monté une affaire avec 2 potes, ça leur
rapporte gros. Et ils les vendent beaucoup moins cher, cest
pratique pour nous.
Jarod : Et tu es sûr de la qualité ?
Jim : Relax ! Cest un pote, il ny a pas de
problèmes. Je dois aller en chercher, jy vais maintenant
alors grouille-toi pur cette caisse.
Quand Jim fut parti, Jarod ouvrit sa combinaison et sortit un
carnet rouge de sa poche intérieure.
Il lut un autre article : « La mère du petit Bryan McGuire
porte plainte pour homicide involontaire. »
Jarod en était certain, ces plaquettes et ce liquide de frein étaient
responsables de la mort du petit Bryan.
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Maison de Mme McGuire, Chicago, Illinois :
Jarod était confortablement installé dans un fauteuil de cuir,
une tasse de thé à la main. Toujours vêtu dun jean noir,
dun tee-shirt blanc et de sa veste en cuir favorite.
Mme McGuire revint de la cuisine avec une assiette de gâteaux,
elle la tendit à Jarod qui en prit un au chocolat.
Mme McGuire : Vous allez vraiment maider à prouver quil
y a quelque chose qui cloche dans cet accident ?
Jarod : Oui, et je sais déjà doù vient le problème.
Mme McGuire : Ah oui ?
Jarod : Cest bien le garage des Wyatt qui est en
partie responsable de cette tragédie.
Mme McGuire : Comment ça ?
Jarod : Ils se fournissent en plaquettes et en liquide de
frein chez des amis, pour que cela leur revienne moins cher. Mais
je suis sûr que cest de la très mauvaise qualité.
Mme McGuire : Alors mon fils a perdu la vie simplement au
prix de quelques économies ?
Jarod : Ne vous en faites pas, je sais que cela ne vous ramènera
pas votre fils. Mais je vais les faire payer.
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Le Centre, Blue Cove :
Angelo était assis dans le fond de la pièce, il avait ramené
ses genoux contre sa poitrine.
Mlle Parker sapprocha de lui en prenant bien soin de ne
faire aucun bruit. Elle portait ses superbes bottes de serpent
ainsi quune minijupe et une chemise écrue afin dêtre
parfaitement assortie. Elle sagenouilla aux cotés dAngelo.
Parker : Angelo, jai besoin que tu maides.
Angelo : Demande à ton père, il connaît tous les secrets.
Parker : Si je pouvais je le ferais, que sait Raines,
Angelo ? Pourquoi mas-tu donné ce DSA ?
Jusquà présent il regardait dans le vide mais pour répondre
à sa question, il la regarda dans les yeux.
Angelo : Raines
méchant
mauvais
a fait du
mal
Parker : Du mal à qui ? Angelo, réponds-moi, du mal
à qui ?
Angelo : Raines
abuse
fait du mal
Mlle Parker était exaspérée, contrairement à ce quelle
pensait, elle navait rien obtenu de la part dAngelo.
Pourquoi Mr Parker avait-il fait des tests ADN à Jarod sans le
dire à personne ? Avec quel ADN voulait-il le
comparer ? Quel secrets allait-elle encore découvrir ?
Elle allait sortir de la salle quand Angelo la rappela.
Angelo : Mlle Parker
peur
Raines abuse
frappe
Parker : Qui frappe-t-il ?
Angelo se jeta sur elle et ils tombèrent à la renverse, il la
tenait par le col et avant quelle nait pu comprendre
ce qui lui arrivait, il lui mit une droite dans la pommette. Elle
narriva pas à le croire, Angelo avait réussi à la
frapper. Elle voulu faire de même en retour mais se ravisa, ce nétait
pas Angelo qui lavait frappée : cétait Raines.
Angelo se releva et se mit à crier en retournant dans le coin de
la pièce.
Angelo : Il frappe des femmes
il abuse
Parker se releva à son tour, elle avait la pommette en sang.
Elle épousseta légèrement sa veste et sa jupe et se dirigea
ensuite vers le bureau de Sydney.
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Banlieue de Chicago, Illinois :
En fouillant dans les affaires de Jim Wyatt, Jarod avait
facilement trouvé ladresse de ses « fournisseurs ».
Il en avait parlé avec Andrew Wyatt, le père, et avait découvert
quil nétait pas du tout au courant des agissements
de son fils. Jarod avait donc réussi à convaincre le vieil
homme de lui donner un coup de main.
Ils étaient garés près dun entrepôt, Jarod vérifia si
sa caméra fonctionnait puis dit à son ami quil était
temps dy aller.
Quand ils entrèrent par la porte de derrière, ils saperçurent
quil ny avait que deux hommes à lintérieur.
Jarod et Andrew savaient ce quils avaient à faire :
ils sortirent de leur planque en menaçant les deux hommes avec
un fusil. Jarod les filmait.
Jarod : On peut vous aider à porter ces caisses ?
Homme : Non mais vous êtes qui ? Quest ce que
vous voulez ?
Jarod : On voudrait juste quelques explications, des
informations sur ce que vous refourguez.
Homme : Non mais de quoi vous parlez ?
Jarod, qui tenait toujours sa caméra entre les mains ainsi que
des chaînes, se retourna vers Andrew.
Jarod : Il veut savoir de quoi on parle ?
Il lança les chaînes à celui qui navait pas ouvert la
bouche jusque là.
Jarod : Tiens, attache ton pote, tu veux ?
Le jeune homme sexécuta et Jarod lattacha à son
tour. Il posa sa caméra pendant quAndrew continuait à les
menacer avec son fusil de chasse. Jarod alla dans sa voiture et
entra dans lentrepôt avec.
Jarod : Ca vous dit de tester votre matos ? Jai
installées vos super plaquettes ainsi que votre liquide de frein
sur cette voiture. Vous croyez que je pourrai marrêter
avent de vous réduire en bouillie ?
Homme : je ne comprends rien à ce cirque, quest ce
que vous voulez ?
Jarod : parce que ce nest pas vous qui financez Jim
Wyatt ?
Homme : Si, et alors ?
Jarod : Et bien ce sont vos fournitures quil a installées
sur un véhicule qui a causé la mort dun gamin. Il navait
que 7 ans.
Homme : Et quest ce qui vous dit que cest la
faute du matériel ? Cest peut-être ce type qui a mal
fait son boulot.
Jarod : Très bien, alors vous ne verrez pas dinconvénients
à servir de testeurs ?
Jarod alluma le moteur et commença à reculer la voiture pour
prendre plus délan.
Jarod : Cest simple, pour vous blanchir, il suffit de
tester.
Homme : Comment ça, Quest ce que vous allez
faire ?
Jarod : Et bien on va voir, cest moi qui ai installées
vos plaquettes sur ce véhicule alors jai confiance en moi,
on va bien voir !
Jarod accéléra, puis les deux hommes se mirent à hurler pour
quil sarrête, ce quil fit.
Homme : Cest bon, cest vrai, ce nest pas
de la super qualité. On aurait jamais dû vendre ça.
Jarod : A combien de garages avez-vous livré ces
merdes ?
Homme : jen sait rien moi
quelques uns.
Jarod : COMBIEN ?
Homme : 3 ou 4, cest dans le bouquin, là-bas.
Lhomme lui désigna une table sur laquelle se trouvaient
des dizaines de papiers en vrac. Jarod alla chercher le bouquin
et sorti de lentrepôt avec Andrew.
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Le Centre, Blue Cove :
Quand Parker entra dans le bureau de Sydney, le visage en sang,
celui-ci et Broots sinquiétèrent. Ce fut le psychologue
qui la soigna.
Sydney : Que sest-il passé Mlle Parker ?
Parker : Cest Angelo qui ma frappée, mais ce nest
pas le plus important.
Sydney : Pourquoi la-t-il fait ?
Parker : Bonne question Dr Spock . Broots ?
Broots était occupé sur son ordinateur, comme dhabitude.
Il sétait inquiété pour Parker quand il lavait vue
entrer. Bien quelle ne soit jamais aimable avec lui, quelle
le taquine et quelle lui ait déjà fait comprendre quil
ne se passerait rien entre eux, il laimait. Il admirait son
courage, sa détermination, le fait quelle ne se vexe pas
et quelle se fasse obéir : cétait tout son
contraire.
Soudain la voix de Parker le ramena à la réalité
Parker : BROOTS ?
Broots : Oui
Euh
Que puis-je faire pour
vous ?
Parker : Essayez de trouver des femmes à Blue Cove qui ont
porté plainte pour coups et blessures, des femmes qui ont eu des
rapports de près ou de loin avec Raines.
Sydney : Cest donc pour ça quAngelo vous a
frappée.
Parker se leva de sa chaise et se dirigea vers la porte mais se
retourna en latteignant.
Parker : Quelle perspicacité Dr Freud ! Vous métonnez
de jours en jours.
Quand elle fut sortie, celui-ci se retourna vers Broots et ne put
retenir un de ses sourires énigmatiques
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Domicile de Mme McGuire, Chicago, Illinois :
Cétait le matin, lair était frais mais Jarod aimait
cela, cétait revigorant. Il était en face de la jolie
maison dans laquelle il avait pris le thé précédemment. Il
attendait simplement que le journal soit livré. Quand ce fut
fait, il le ramassa, sonna et fut accueilli avec un semblant de
sourire. Cétait une situation quil naimait pas
particulièrement. Il ne savait pas sil devait être triste
ou se réjouir. Comment être heureux devant une femme qui vient
de perdre son enfant. Dans ces circonstances, il pensait que si
la justice était rendue, la famille, les amis seraient plus
aptes à oublier, ou du moins à y penser le moins possible.
Jarod : je voulais vous apporter le journal moi-même.
Mme McGuire : Merci Jarod de mavoir fait confiance.
Jarod : Le troisième homme a été arrêté hier soir par
la police.
Mme McGuire : Vous avez été génial.
Jarod : je voulais simplement que la justice soit rendue.
Toues les pièces défectueuses ont été retrouvées.
Mme McGuire : Je ne vous remercierai jamais assez.
Ils se prirent dans les bras.
Jarod : Je suis désolé mais je dois vous laisser, je pars
quelques jours en vacances à Dallas.
Mme McGuire : Prenez soin de vous Jarod.
Jarod : Vous et votre fils aussi, à bientôt.
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Le Centre, Blue Cove :
Parker était dans son bureau, des centaines de pensées
traversaient son esprit alors quelle observait le ciel,
adossée au renfoncement de la fenêtre. Elle apprenait tous les
jours de nouvelles monstruosités sur le Centre ou les gens qui y
« travaillaient ». Elle narrivait déjà pas à
digérer le fait que Raines, lhomme qui a tué sa mère,
manipulé Kyle et Ethan
soit son père mais il fallait en
plus quil ait frappé des femmes. Peut-être était était-ce
bien lui qui avait frappé sa mère ce fameux soir ? Elle
fut coupées de ses pensées noires quand Broots entra dans son
bureau.
Broots : Mlle Parker ?
Parker :
Broots : Mlle Parker ?
Parker : Ou...oui Broots? Quest ce que vous voulez?
Broots : Et bien jai les recherches que vous mavez
demandé deffectuer hier soir.
Parker : Alors ? Quest ce que ça donne ?
Broots : Jai fait mes recherches sur les agressions
comme vous me laviez demandé alors jai essayer dagrandir
le cercle des
Parker : BROOTS ! Quand apprendrez vous à aller droit
au but ? Ca fait plus de 5 ans que je mescrime à vous
le faire comprendre !
Tout en disant cela, elle sétait servie une vodka et en
avait avalé la moitié du verre. Ce qui montra à Broots quil
ne valait mieux pas continuer à lexcéder sous peine de se
retrouver dici 5 min en congé pour accident du travail.
Broots : Il na pas fait que frapper des femmes, il en
a violé deux.
Parker avala la fin de son verre, et voilà, encore une horrible
nouvelle pour commencer une journée. Rien de mieux pour que
Parker se défoule toute la journée sur le pauvre Broots.
Parker : Laissez ce dossier ici
et sortez.
Broots se jeta sur la porte, il navait pas fallu le prier
pour sortir de cet enfer.
La jeune femme ouvrit le dossier et commença à lire, quelques
photos agrémentaient le texte, ce qui montra à Parker que son
« père » ny était pas allé de main morte. Un
père qui frappe, viole et assassine, un frère cannibale, un « oncle »
qui se suicide et une mère lâchement assassinée : tout
cela la confortait dans le sentiment de sen être pas trop
mal sortie par rapport au reste de sa famille.
Lune des femmes avait porté plainte mais la seconde navait
pas osé.
Parker était debout au milieu de son bureau, le verre de vodka
quelle venait de se resservir dans un main et le rapport de
police dans lautre. Soudain elle lâcha son verre qui se
brisa en mille morceaux au contacte du sol. La photo de la femme
qui navait pas porté plainte avait retenu son
attention : Margaret, la mère de Jarod
The End, suite dans « Le monde na pas changé »
Fin
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