Carnets SL27 Chronologie Épisodes Secrets Refuge
Une vie volée (partie unique)
Auteur : @ndy56 ( missparker63@hotmail.com )
Où le situer : Il arrive après le fic "Le monde n'a pas changé" (même auteur)
Notes : Sans doute la meilleure partie pour ce qui est des rebondissements. Cette fic est en ça fidèle à l'esprit du Centre : toute vérité énoncée peut être contredite deux minutes après... Une petite note funèbre à la fin gâche un peu le tableau (sauf si vous n'êtes pas fans - vous comprendrez) mais les toutes dernières phrases font rêver...
Résumé des deux premières parties :
Angelo donne deux DSA à Mlle Parker. Grâce au premier, elle découvre
que Mr Parker a prélevé le sang de Jarod pour faire une
comparaison dAdn. Plus tard elle apprend que Raines a violé
Margareth, la mère de Jarod.
Grâce au second elle apprend aussi que Margareth est tombée
enceinte et que les dates correspondent à celles de la naissance
de Jarod. Ce qui voudrait dire quils partageraient le même
père : Raines
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Le Centre, Blue Cove : (Quelques jours après les nouvelles
découvertes sur Jarod.)
Mlle Parker marchait dans le couloir quand elle aperçut Broots
sortant dune salle avec plusieurs dossiers dans les mains.
Elle se précipita sur lui et lattrapa par le col de sa
chemise, ce qui lui fit lâcher ses dossiers. Ceux-ci tombèrent
et des dizaines de feuilles séparpillèrent sur le sol.
Parker : Dites-moi que vous avez trouvé un moyen de
comparer mon ADN avec celui de Jarod.
Broots : Bah
Euh
En fait
Parker, le secouant violement : Répondez-moi, oui ou
non ?
Elle lâcha sa chemise et le pauvre informaticien lui répondit
en regroupant ses recherches.
Broots : Je suis retourné à lendroit où Sydney et
moi avions trouvé le sperme de votre p
Mr Parker
Parker : Et ?!
Broots : je suis désolé, il ny avait rien qui
appartenait à Jarod.
Quand Broots se releva, Parker saisit de nouveau son col.
Parker : Alors quest ce que vous attendez ?
Continuez vos recherches ! Je veux des réponses.
Elle lui prit les épaules et le poussa vers son bureau puis fit
claquer ses talons en direction du bureau de Sydney. Pour le
trouver en communication téléphonique avec Jarod.
Parker : Jarod ? Il faut quon parle.
Jarod : Sydney ma déjà tout raconté.
Parker jeta un regard noir sur Sydney, lair de dire « non
mais vous ne vous mêlez jamais de vos oignons ? ».
Jarod : Je crois quon devrait travailler en équipe si
on veut démêler cette toile daraignée finement tissée.
Et aussi pour faire payer Raines pour tout le mal quil nous
a fait, et pour ce quil a fait à ma mère aussi.
Parker : Et noublie pas ma mère. Si jai bien
compris, tu parles de vengeance ?
Jarod : Cela te pose un problème ?
Parker : Cest juste que ça métonne de toi, le
bon Samaritain.
Ils raccrochèrent en même temps à la fin de cette phrase.
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Domicile de Mlle Parker, Blue Cove :
Mlle Parker sortait de sa douche, vêtue dune simple
serviette blanche. Elle sursauta quand Jarod apparut devant elle.
Parker : Du calme Wonderboy, je te rappelle quon est
peut-être du même sang.
Jarod, lui montrant une seringue : Cest pour cela que
nous allons faire des tests. Comme ça, nous saurons à quoi nous
en tenir.
Parker sadossa au mur de la chambre, remontant un peu sa
serviette.
Parker : Comme ça nous saurons à quoi toi tu devras ten
tenir.
Le Caméléon lui lança lun de ses petits sourires, «mais
bien sûr
»
Jarod : Au fait, ça ne te dérange pas de mhéberger
pendant quelques jours ? Ca nous évitera les aller et
retours de lhôtel, et puis je suis sûr que cest
dernier endroit où le Centre viendra me chercher.
Il posa les deux sacs de voyages quil tenait sur le sol
puis sassit, faisant mine de tester le matelas.
Parker, sur un ton ironique : Mais vas-y Jarod, mets-toi à
laise et surtout fais comme chez toi .
Elle attrapa son pyjama de soie bleue et alla senfermer
dans la salle de bain. Quand elle en ressortit elle prit une
couverture sur le lit et alla dormir dans le salon après sêtre
fait prélever son sang par Jarod.
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Le lendemain matin, domicile de Mlle Parker :
Jarod était en train de préparer le café dans la cuisine,il était
7h et il voulait apporter le petit déjeuner au lit à Parker. Il
se disait que cela la mettrait peut-être de meilleure humeur que
le jour précédent.
Il sapprocha de la jeune femme encore endormie, sans faire
de bruit. Elle était si belle, et paraissait si inoffensive,
elle ne ressemblait pas à la femme forte quelle montrait
durant la journée. Dun coté il se disait que si elle était
sa sur, cela anéantirait tous ses espoirs de futur avec
elle. Depuis plus de 30 ans il voulait quelle fuie le
Centre, pour quils vivent ensemble et saiment sans
barrières.
Mais maintenant il avait des doutes, elle serait à ses cotés
bien sûr, mais ce ne serait pas la même chose.
Il lui caressa doucement le visage, elle retira sa main
brusquement. Quand elle ouvrit les yeux ce fut pour le foudroyer.
Elle but une gorgée de café et alla se préparer. Jarod lui
annonça ce quil comptait faire de sa journée :
trouver un labo et comparer leur ADN le plus vite possible.
Jarod : On aura la réponse ce soir.
Parker : Très bien, moi je vais procéder à quelques vérifications
dans lancien bureau de Mr Parker.
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Laboratoire de recherches génétiques de Dover :
Jarod sétait fait engager comme chercheur pour pouvoir accéder
au matériel scientifique le plus rapide et le plus précis.
Jarod : Dr Stewart ?
Stewart : oui, cest bien moi. Vous êtes le nouveau
chercheur ?
Jarod : Cest exact. Jarod Wesley.
Les deux hommes se serrèrent la main et commencèrent à marcher
dans le grand hall du bâtiment.
Stewart : Je vais vous montrer votre labo et vous présenter
vos nouveaux collègues.
Jarod fit le travail dun laborantin jusquà la pose déjeuner.
Il profita de labsence des autres chercheurs pour commencer
le travail pour lequel il était là. Mais il dut sarrêter
rapidement car ses collègues avaient fini de manger et il navait
pas de passe pour atteindre une machine dont il avait besoin.
Parker lui avait demandé de la tenir au courant le plus possible
alors il lappela sur son portable.
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Bureau de Mlle Parker, Le Centre :
Parker était assise dans le canapé, faisant tourner un verre de
scotch dans sa main.
Parker : Jarod, du nouveau ?
Jarod : Je suis dans le labo, jai commencé les tests
mais je nai pas encore accès à toutes les salles. Ca
devrait aller, et de ton coté ?
Parker : Broots na toujours rien. Mais ce matin, avant
de partir, jai repensé à quelque chose. Je lavait
totalement oublié. Mon pè
Elle séclaircit la voix.
Mr Parker avait une cachette secrète derrière un carré de
carrelage de la salle de bain de son bureau. Quand javais
11 ans, un jour je lai surpris en train dy regarder
des papiers. Le problème cest que cest désormais le
bureau de Raines et quil ne la pas quitté depuis ce
matin.
Jarod : Quand il sera parti, je pense que Broots pourra
neutraliser les caméras assez longtemps pour que tu y jettes un
petit coup dil.
Parker : Cest ce à quoi je pensais.
Jarod : Très bien, fais attention à toi.
Parker : toi aussi.
Elle raccrocha dun coup puis porta la main à sa bouche.
Que venait-elle de dire ? Cela avait été plus fort quelle.
Elle voulait tellement découvrir la vérité quelle ne
voulait pas que Jarod se fasse prendre maintenant. Aussi, elle ne
voulait quil lui arrive quelque chose, après tout il était
peut-être son frère ? En tout cas, cette nouvelle lui
faisait moins de mal que le jour où elle a appris que Lyle, son
cannibale de collègue, était de la même chair quelle.
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Vingt minutes après, au Centre :
Parker entra dans le bureau pour se diriger vers la salle bain.
Elle saccroupit et frappa à plusieurs carreaux du mur
avant den trouver un qui sonnait creux.
Elle le retira et trouva une petite boîte métallique, et il y
avait dans celle-ci plusieurs papiers. Ainsi elle découvrit que
si le dirigeant du Centre « Mr Parker » venait à
disparaître, le seul héritier ne serait autre que le plus âgé
de ses enfants. En loccurrence ce serait une héritière,
elle eu le flash de la vidéo de sa naissance, elle était née
avant Lyle donc elle avait tous les droits.
Elle découvrit plusieurs papiers indiquant les liens quentretenait
Le Centre avec le Triumvirat, ce qui pourrait laider avec
la police pour créer des problèmes à Raines et à Lyle.
Mais ce qui attira son attention fut le dernier document.
Elle appela donc Jarod.
Parker : Je crois que tu peux abandonner tes tests.
Jarod : Quest ce que tu as trouvé ?
Parker : Des documents qui prou
Elle leva la tête.
Ses yeux remontèrent le long dun fin tuyau de plastique
pour sarrêter sur un vieux crâne chauve à laspect
vampirique.
Raines : Je vous remercie davoir retrouvé les papiers
que je recherche depuis plus de 30 ans. Vous mavez vraiment
facilité la tâche
Raines sécroula sur le sol, assommé par un dictionnaire
tenu par Broots.
Broots : Jai essayé de vous prévenir en téléphonant
mais
enfin, jai fait ce que jai pu.
Parker mit les document dans sa poche et fit u grand sourire à
Broots.
Parker : Je crois que vous venez de me sauver la vie Broots.
Je vous remercie pour ce coup de maître.
Elle ramassa le téléphone quelle avait laissé tomber en
voyant Raines.
Parker : Jarod, tu es toujours là ?
Jarod : Est-ce que ça va ? Que sest-il passé ?
Parker : Rien, tout va pour le mieux. Comme je te disais,
les documents que jai trouvés affirment que Raines nest
pas ton père. Les dates correspondaient mais cétait un
hasard, ce doit être les résultats de la comparaison quavait
fait Mr Parker dans le DSA.
Jarod : Je suis vraiment soulagé. Mais je vais tout de même
terminer les tests pour en être sûr.
Parker : On se rappelle, moi jai quelques comptes à régler.
Elle se retourna vers Broots qui était en train de vérifier si
Raines avait toujours un pouls.
Parker : Laissez-le tomber et allez chercher Sydney et
rejoignez-moi à la voiture. Dépêchez-vous avant que Raines ne
reprenne conscience. Enfin
sachant quil na
jamais eu de conscience, ça risque dêtre dur.
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Dans la voiture :
Depuis quils avaient fuit le Centre, Mlle Parker, Sydney et
Broots navaient pas prononcé un mot. Ils ne savaient pas
comment réagir. Devaient-ils regretter leur choix ou sen réjouir ?
Après tout il valait mieux avoir le Centre avec soit que contre
soit. Mais tous les trois savaient au fond deux quils
avaient pris la bonne décision.
Ils sortirent de leurs pensée en entendant des coup de feu. Ils
se trouvaient sur une route de campagne mais les sbires de raines
les avaient retrouvés. Parker accéléra mais une balle fit éclater
lun des pneus. Il retentit comme une légère explosion. La
voiture heurta le trottoir. Puis le paysage tourna, la voiture
partait en tonneau. Ils se soulevèrent de leur siège, à peine
retenus par leur ceinture. Sydney et Broots allèrent sécraser
sur le toit de la voiture. Parker, qui ne sétait pas
attachée atterrit dans les fougères. Elle avait perdu le contrôle
du véhicule après sêtre pris une balle dans la hanche
gauche.
Elle était très sonnée mais elle releva la tête, elle
entendit dire que Sydney et Broots étaient toujours dans la
voiture.
Soudain, un bruit assourdissant, comme un choc très violent. Une
lumière qui brûle les yeux, et un souffle qui efface tout sur
son passage.
La voiture avait explosé, ou plutôt, les nettoyeurs avaient
fait exploser le reste de la carcasse.
Parker resta les yeux grand ouverts, des larmes dévalaient le
long de ses joues blêmes. Elle ne réalisait pas. Tout ce quelle
savait cétait quelle devait fuir ou elle mourrait
elle aussi.
Elle traversa tant bien que mal un bosquet, se tenant la hanche
pour ne pas perdre trop de sang. Au moment où elle atteignait la
route, un nettoyeur apparut mais elle tira la première et toucha
sa cible en plein cur. Elle neut pas le temps de se
dire de se planquer quun camion sarrêta à sa
hauteur et le conducteur lui proposa de monter.
Il était brun, la cinquantaine et bedonnant mais surtout il lui
semblait sympathique.
Homme : Mais vous saignez ?
Parker : Ce nest rien, où allez-vous ?
Homme : Je vais à la sortie de Blue Cove.
Parker : Parfait alors vous me déposerez chez moi.
Homme : Vous ne préférez pas que je vous conduise à lhôpital ?
Parker : Je vous ai dit que ce nétait rien, jai
ce quil faut chez moi pour me soigner. Je peux vous
demander quelque chose ?
Homme : oui, bien sûr.
Parker : Est-ce que vous pouvez faire un petit détour par
Boat Street ? je voudrais récupérer ma fille à lécole.
Homme : Il ny a aucun problème.
Elle chercha son portable pour appeler Jarod mais elle avait dû
le perdre dans laccident.
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Domicile de Mlle Parker, Blue Cove:
Parker entra suivie de Debbie, à qui elle demanda daller
chercher la trousse de secours dans la salle de bain. Debbie était
inquiète, elle savait quil était arrivé quelque chose
mais elle ne savait pas quoi exactement. Elle se sentait tout de
même en sécurité avec Parker. Elle ne lui posa pas de question
pour n pas lénerver.
Parker profita que la fillette séloigne pour appeler Jarod.
Parker : Jarod il faut que tu viennes chez moi le plus vite
possible. Enfin non, je dois repartir avant de me faire prendre
par Raines. Rejoins-moi à lhôtel First Night à lest
de Blue Cove le plus vite possible je ten supplie.
Jarod : Parker, est-ce que ça va ? Je ne tai
jamais vue dans cet état.
Parker : Dépêche-toi, je texpliquerai tout là-bas.
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Hôtel First Night, Blue Cove:
Jarod entra en trombe dans la chambre, pour y trouver Debbie en
pleurs dans les bras de Mlle Parker.
Jarod : Parker, que se passe-t-il ? Où sont Broots et
Sydney ?
Parker allongea Debbie et fit signe à Jarod de la suivre sur le
balcon.
Parker : On a eu un accident de voiture. On fuyait le Centre
car Raines mavait trouvé dans son bureau et Broots lavait
assommé. Jai reçu une balle dans la hanche, ce qui ma
fait perdre le contrôle du véhicule. Jai été éjectée
et puis
je
Jarod : Est-ce quils sont blessés ? Le Centre
les retient ?
Parker : Non Jarod
La voiture a explosé
ils étaient
dedans.
Jarod se retourna, il donna un coup de poing dans le mur.
Jarod : Mais ça nest pas possible, pas maintenant.
Pas eux, pas encore. Pourquoi ?
Il pleurait, il sassit parterre, dos au mur. Parker ne
savait pas du tout comment réagir. Elle sétait fait comme
devise de rester forte et insensible face aux pires situations.
Mais cétait trop dur pour elle, elle aussi venait de
perdre deux êtres chers. Elle venait de perdre en même temps un
père et un frère.
Elle sassit aux cotés de Jarod et prit sa main dans la
sienne. Pour nimporte quelle personne ne connaissant pas le
Centre, ce geste pouvait paraître naturel. Mais pour Parker cétait
un combat intérieur. Le bien contre le soi-disant mal. Le chat
contre la souris. Son cur contre sa raison.
Elle balaya ses pensées futiles du moment quand Debbie les prit
tous les deux dans ses bras. Tous les trois se mirent tout
simplement à pleurer, ne pensant quaux deux souvenirs de
Sydney et de Broots.
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Le lendemain matin :
Parker sétait réveillée la première et relisait les
documents quelle avait trouvés le jour précédent.
Jarod sapprocha delle et lui dit quils
devraient aller voir la police, cest donc ce quils
firent.
Parker étant lunique propriétaire du Centre permit à la
police de faire ses perquisitions. Des dizaines ou même des
centaines de preuves montrèrent la culpabilité de Raines et de
Lyle ainsi que celle du Triumvirat.
Etrangement, tous les dossiers qui auraient pu incriminer Mlle
Parker ou salir la mémoire de Broots et de Sydney avaient
disparu.
La police soupçonna un certain Angelo mais rien ne fut prouvé.
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Le jour de la relaxe de Mlle Parker :
Jarod : Je te ramène chez toi ?
Parker : Avec plaisir. Où est Debbie ?
Jarod : Elle a préféré rester chez toi.
Parker : Cela doit être tellement dur pour elle.
Jarod : Jai appris que sa mère était morte elle
aussi ?
Parker : Oui, elle a eu un accident de voiture.
Jarod : Alors elle na plus personne ?
Parker : Elle na plus que nous.
Jarod savança pour ouvrir la portière à Mlle Parker qui
lui répondit par un sourire. Une fois à lintérieur elle
commença à lui faire part de ses projets.
Parker : Javais envie de te dire quelque chose.
Jarod : Quest-ce qui se passe ?
Parker : Et bien maintenant que je possède le Centre, jaimerais
le transformer en un endroit gai. Avec des enfants, des jeux, de
lamour
Un orphelinat plus précisément, ça pourrait
redorer le blason du Centre.
Jarod : Cest une merveilleuse idée.
Parker : Mais jaurais besoin daide, de ton aide.
Jarod : Jen serais ravi.
Parker : IL faudra quon soccupe dAngelo.
Et je pensais à autre chose.
Jarod : Vas-y.
Parker : Jaimerais adopter Debbie. Je ne supporterais
pas de la perdre, que lon soit séparées.
Jarod : Tu as raison, elle tadore. Elle a vraiment
peur de se retrouver toute seule alors je suis sûr que cette
nouvelle va lui remonter un peu le moral.
Ils arrivèrent devant la porte de la maison, Jarod se tourna
vers Parker.
Jarod : Moi aussi il faut que je te dise quelque chose.
Parker : Moi aussi je taime Jarod.
Et avant quil nait le temps de réaliser ce quelle
venait de dire, elle lembrassa. Ce fut un baiser tendre et
passionné, ils se serraient lun contre lautre. Lun
semparant du parfum de lautre et séchangeant
leur amour. Cest désormais unis par un lien indélébile
quils entrèrent dans la maison et annoncèrent leurs
projets à Debbie.
La fillette état folle de joie, elle avait perdu son père mais
elle savait quelle nétait plus seule et que de
nouveaux parents veilleraient sur elle.
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Deux ans après, au Centre :
Le Centre était devenu un endroit très réputé, une centaine denfants
y résidait. Jarod et Parker étaient mariés et ils avaient
adopté Debbie sans problèmes. Jarod avait retrouvé sa famille
et ils vivaient tous heureux.
Mr Raines et Mr Lyle étaient en prison et y resteraient jusquà
la fin de leurs jours. La police était même remontée jusquau
Triumvirat.
Mlle Parker était dans le hall, elle cherchait Jarod, elle
croisa Debbie.
Parker : Dis-moi ma chérie, tu naurais pas vu ton père ?
Debbie : Si, il est dans le jardin avec les deux petits
nouveaux.
Parker : Merci, à plus tard ma puce.
Parker sapprocha de Jarod assit dans lherbe, en train
de discuter avec deux garçons denviron 10 ans.
Parker : Chéri, est-ce que je pourrais te parler un instant
sil te plaît ?
Jarod : Oui bien sûr.
Il se leva et ils commencèrent à marcher en se tenant le bras.
Parker : Est-ce que tu crois que lon pourrait
accueillir un nouveau pensionnaire ?
Jarod : je ne sais pas trop, il faudrait penser à sarrêter
tout de même.
Parker lui fit un sublime sourire.
Parker : Oh mais tu sais on a le temps. Il ne sera là que dici
7 mois
The end.
Voilà, voilà, jai mis du temps à la finir mais je la
voulais la plus parfaite possible (à mon goût)
Jespère que vous avez aimé, envoyez moi, des feedbacks sil
vous plaît !!!!
Gros bizou à Shuka, Vicky, Juliette, Ange Cavalière, Hannah et
tous les autres et continuez vos fics car vous me faites rêver !!!
Fin
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