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Le Chat et la Souris (Suite de IOTH) (partie unique)
Auteur : Dana
Notes : Son premier fanfic, shipper bien sûr.
(Heu, Dana, je n'ai pas retouché bien sûr, j'ai juste corrigé 2 ou trois fautes, vala... merchi en tout cas !)
Après le coup de fil de Jarod, Miss Parker
ne put sempêcher de repenser au deux jours passés sur lîle
auprès de lui. Ensemble ils avaient cherché des réponses, pour
essayer de reconstituer leurs deux familles. Elle aurait
tellement aimé que Jarod retrouve enfin sa mère, après tout ce
quil faisait pour les gens, toutes ces familles quil
rapprochait, lui aussi avait le droit de retrouver la sienne.
Toutes ces années, elle lui courait après, essayant par tous
les moyens de le ramener au Centre,
cette prison dont elle essayait désespérément de senfuir.
On lui disait toujours de se méfier de lui, de le haïr, mais
pourtant cétait un homme admirable, il venait en aide à
toutes les personnes en détresse quil croisait, même elle
qui passait son temps a lui courir après et à rendre sa vie
impossible, il la réconfortait toujours dans les moments
difficiles.
Elle sarrêta un instant de penser à lui, cela ne lui
ressemblait vraiment pas, de plus elle savait tellement plus de
choses sur sa famille, elle devait plutôt se concentrer sur cela.
Elle savait maintenant que Raines, cet homme quelle haïssait
tellement, était son père et cette idée la dégoûtait,
comment pouvait- elle avoir le même sang que ce monstre ?
Et celui quelle avait si longtemps considéré comme son vrai père
était mort, enfin si il ne lui avait pas menti encore une fois.
Jarod et elle étaient si proches sur cette île, non, voilà quelle
recommençait, mais elle ne pouvait faire autrement ses pensées
étaient centrées sur lui.
Elle décida finalement de se laisser aller en pensant à ce quelle
voulait ce qui ne lui arrivait que très rarement.
Elle se létait toujours refusé, mais elle le trouvait très
attirant, cela faisait surement partie de ses nombreuses qualités
de caméléon.
Malgrès son désir de haine, rien que penser à lui la faisait
frissonner.
Il lui répétait souvant combien tous les deux se ressemblaient,
maintenant elle sen rendait enfin compte. Le soir sur lîle,
quand la main de Jarod effleura la sienne, et que leurs yeux se
croisèrent impossible de les quitter. Dans ce regard elle
comprit que lui aussi la désirait, et là plus question de se répéter
quelle devait le détester, elle ne pouvait continuer à
lui résister. Sans se rendre compte de ce quils faisaient,
ils échangèrent presque un baiser.
Il lui demanda de quitter le centre, lui donnant lopportunité
de s'enfuir à ses cotés ; une partie delle-même voulait
le suivre, lautre refusait cette idée.
Son refus était idiot, elle le désirait et voulait tellement
quitter le Centre. Mais la peur lavait envahie, la peur daimer,
la peur de ses propres sentiments. Maintenant elle le regrettait,
à cause delle tout était redevenu comme avant, elle le
chat et lui la souris.
Les yeux perdus dans le vide elle ne prit même pas la peine dessuyer
les larmes qui coulaient sur son visage.
Jarod se trouvait dans un petit môtel en
attendant de trouver une nouvelle enquête à résoudre.
Dire quil avait été si près, il espérait tant
reconstituer sa famille, mais il commençait à se rendre à lévidence
: jamais il ne pourait retrouver sa mère.
Ces deux jours passés auprès de melle Parker paraissaient déjà
si loin, il aurait tant aimé que cela dure plus longtemps.
Il lappréciait beaucoup, mais avec le temps elle prenait
une immense place dans sa vie. En apparence elle était dure et
froide, mais lui la connaissait bien, il navait pas mis
beaucoup de temps à comprendre combien elle souffrait, toutes
les personnes quelle aimait se faisaient assassiner et celles qui
lui restaient la trahissaient chaque jour.
Il se rappellerait toujours de ce premier baiser, ce baiser
auquel il comparait tous les autres, celui quune petite
fille lui avait donné, une enfant adorable, sa seule amie dont
il était tombé amoureux.
Elle lui plaisait beaucoup, de toute évidence elle était
magnifique mais il laimait aussi pour leur quête commune,
lui et elle cherchait la même chose : Une vraie famille.
Il voulait quelle le suive, il savait quelle avait
envie, mais quelque chose la retenait, peut être la peur ou cet
homme quelle appellait toujours papa, de toute façon elle
le rejetait.
Toute à lheure en lappelant il avait espéré quelle
change davis, mais rien, tout redevenait comme avant.
Même après cet instant de faiblesse comme elle lappelait,
cet instant intense où ils échangèrent presque un baiser
Il le savait à ce moment là tous deux se désiraient.
Le pire cest quil la désirait encore, il pensait même
être amoureux, elle et lui, les deux personnes quon
conditionnait à ce détester, le chat et la souris.
Il ne pouvait continuer à réfléchir, toutes ses pensées se mélangaient.
Il decida dappeller Sydney, celui qui lavait aidé
tant de fois et quil considérait comme son père.
- Allô
- Sydney, comment fait on pour vivre quand la femme quon
aime nous rejette ?
- Tu parles de Melle Parker ?
- Comment savez vous que je parle d-elle ?
- Jai toujours su que vous étiez sans le vouloir très
attachés lun à lautre, je ne sais pas si tu ten
souviens mais elle est la première petite fille que tu a
rencontrée et
- Et la première qui ma embrassé, bien sûr que je men
souviens Sydney. Jai passé de merveilleux moment auprès
d'elle sur cette île nous étions très proches mais ensuite
elle me rejette en me disant doublier ce qui sest
passé.
- Je suis sûr quelle a des sentiments pour toi.
- Jusqu'à dernièrement, je ne le pensais pas mais lautre
soir je lai vu dans ses yeux.
- Melle Parker est très différente des autres femmes, elle a
beaucoup souffert de la mort de sa mère et le manque damour
de sont père, cette souffrance lui à forgé une forte
personnalitée mais ce nest quune carapace, en fait
elle a juste besoin dêtre aimée et.
- Je lui ai donné mon amour, mais elle nen veut pas.
- Jarod, elle a peur, peur de te dévoiler ses sentiments, elle sest
toujours montrée dure envers les personnes quelle apprécie,
regarde Broots, elle ne perd jamais une occasion pour lhumilier
mais pourtant cest son meilleur ami.
- Mais moi je suis quoi ?
- Laisse lui le temps , un jour elle saura te dévoiler ses
sentiments et ce jour tu deviendras le plus heureux des hommes.
- Merci Sydney.
- Tu na pas à me remercier tout ce que je tai dit tu
le savais déjà,je nai fait que touvrir les yeux.
- Au revoir.
- Jarod attends, je veux que tu saches que je serais toujours là
pour toi et Melle Parker, je vous ai toujours considérés comme
mes enfants.
Et il racrocha.
Le lendemain soir il se décida à la
rappeler , il la connaissait bien elle allait faire comme si de
rien nétait mais il fallait quil entende sa voix.
Quand melle Parker entendit la sonnerie son cur se mit à
battre et la peur lenvahit elle respira et décrocha.
- Allô !
Etonné de ne pas entendre son quoi habituel Jarod lui dit :
- Alors melle Parker tu nest pas énervée aujourdhui
?
- Figure toi que je suis en vacances.
- Tu peux en profiter pour te demander qui sont tes amis et tes
ennemis.
- Sil te plaît jessaye déjà doublier les
nombreux mensonges de mon père alors nen rajoute pas.
- Ah ! Ca fait plaisir de tentendre dire du mal de ton père,
dhabitude tu passes ton temps à le défendre et impossible
de te faire admettre que tu as tort.
- Oui, je sais ce que tu vas dire : jaurais du te faire
confiance.
- Ce nest pas ce que jallais te dire.
Il y eu un long silence qui parut une éternité pour Jarod.
- Jaimerais quon se parle tous les deux, mais pas au
telephone, est ce que nous pourrions nous voir ?
- Tu crois que je dois te faire confiance ? Dhabitude dès
que japparais tu sors ton arme pour marrêter et tu
voudrais que je vienne gentiment à toi ?
- Cette fois,je te promets que je ne serai pas armée. Je sais
que cest dur de me faire confiance mais jai vraiment
besoin de te parler et de toute façon si cela tournait mal, tu
pourrais tenfuir comme tu le fais si bien !
Jarod resta à son tour longtemps silencieux.
- Daccord, je te fait confiance, jèspere ne pas être déçu,
je tattendrai demain dans la discothèque de Blue cove à
23h, nous ne serons pas seuls, ainsi ma fuite sera plus facile
.
Ne me déçois pas Parker.
Elle entendait déjà la tonalité, voilà une de ses mauvaises
habitude, couper avant la fin de la conversation.
Il acceptait de la revoir,il fallait quelle surmonte sa peur, il
lui offrait une seconde chance quelle ne devait en aucun
cas louper.
Avait-il bien fait de lui faire confiance ? En tout cas il ne la
pensait pas capable de le trahir, non, pas après ce qui cétait
passé, du moins il lespérait, avec elle on pouvait sattendre
à tout.
Pendant ce temps au centre Mr Raines parlait au telephone.
- Lyle
Oui
Non,je ne lui fait plus confiance
Elle à toujours était proche de lui
Plus ces deux jours
Non
Postez-vous autour de chez elle, et suivez-la, mais ne
vous faites pas voir
je veux savoir où elle va
Oui
Peut être nous conduira t-elle à Jarod.
Il racrocha .
- Jespère que tu ne nous trahiras pas chère fille, car je
serais dans lobligeance de te tuer.
Autour de Jarod, des gens samusaient,
dansaient , saimaient, il se sentait complètement seul.
Melle Parker avait peut être changé davis, elle ne
viendrait pas, mais quallait-elle lui dire ?
Tant de fois, il entrait dans le cerveau des gens, sachant tout
ce quils pensaient, mais elle, il ny arrivait pas.
Il sassit au bar et commanda un verre
22h20
Melle Parker sortit de chez elle et entra dans sa voiture,
traqueuse, elle ne remarqua pas les deux hommes ainsi que son chère
frère, qui se trouvaient juste au bout de la rue, et la
suivirent dès quelle démarra.
22h45
Melle Parker voyait déjà les couleurs resplendisantes de la
discothèque, mais autre chose attirait son attention, depuis un
moment la voiture de derrière la suivait et elle venait juste de
se rendre compte de qui il sagissait. Ils allaient tout gâcher,
impossible maintenant de rebrousser chemin, elle devait prevenir
Jarod mais sans leur faire comprendre quelle les avait repérés.
Elle sortit de la voiture et marcha tranquillement jusqu'à lentrée,
à linterieur elle commença à saffoler, elle paya
rapidement et courut dans la grande salle, elle se mit à crier
de toutes ses forces le nom de Jarod, mais rien à faire sa voix
ne couvrait pas la musique.
Elle sursauta, quelquun venait de taper sur son épaule,
elle se retourna, cétait Jarod.
- Vite, il faut partir, ils arrivent
- Le centre ? Tu les as prévenus ?
- Non je te jure que non, ils mont suivie, ils sont dehors,
vite
Vu son air affolé, il pouvait lui faire confiance, il se mit à
réfléchir quelques secondes, ce nétait pas le moment de
se faire prendre.
Elle lui prit le bras et le tira vers la sortie
- Vite le temps presse.
- Attends jai quelque chose à régler avant
maccorderais
-tu cette danse ?
Elle lui lanca un regard incompréhensif ? Comment pouvait -il
penser à danser ?
Il lui fit ce magnifique sourire auquel elle ne résista pas. Il
lui prit la main, lattira au millieu de la foule, la serra
contre lui et commença à danser.
- Tu vois, tu peux être sûre que dans cette foule ils ne nous
trouveront jamais et ils
Il ne finit pas sa phrase car un nettoyeur passa à côté deux,
il enfouit sa tête contre lépaule de melle Parker et elle
fit de même. Avec leur plus grand plaisir lhomme les
ignora.
Lyle fit signe à ses hommes :
- Cest fini, elle a du nous voir et le prévenir, ils ont
du passer par cette porte là-bas.
Il montra du doigt une petite porte au fond de la salle et quittèrent
les lieux.
Jarod et Parker se regardèrent et éclatèrent de rire.
- Tu les as bien eus.
- Nous les avons bien eus
Elle lui sourit
- Qui aurait pu imaginer toi et moi sur une piste de danse, en
plus je ne sais même pas danser
- Oh ! Tu te débrouilles très bien
- Je ne tai pas encore marché sur les pieds, en tout cas
toi tu danses très bien
Ah! Oui, joubliais, Monsieur est un
petit génie.
Ils sourirent, mais peu à peu le regard de Melle Parker changea,
il devint plus peureux comme si ce quelle devait lui dire leffrayait.
- Que tarrive t-il ?
- Jai quelque choses à te dire, je ne sais pas si jy
arriverais mais je vais essayer. Avant-hier soir après ton coup
de fil, je me suis dis quil fallait que jarrête de
me répéter que je devais te détester, jai tellement de
chance de connaître quelquun comme toi, un homme toujours
à lécoute, toujours gentil et
maman naurait
jamais voulu ça pour nous et
.
Sa voix sarrêta, des larmes coulaient le long de ses
joues, elle ne pouvait continuer.
Jarod dont les yeux se remplissaient de larmes aussi, la serra
fort contre lui comme pour lui donner du courage. Elle quitta son
étreinte pour plonger ses magnifiques grands yeux bleus dans les
siens.
- Tu as toujours était là pour moi, et moi en revanche, jai
fait de ta vie un enfer.
- Non, il ne faut pas que tu croies ça, cest grâce à toi
que je trouvais la force de continuer à me battre, tu es la
seule que le centre ne ma pas enlevée et je vis chaques jour
dans la crainte de te voir disparaître.
- Je ne me suis jamais sentie aussi bien que le soir que nous
avons passé ensemble sur lîle. Je me sentais à la fois
libre et en sécurité. Je veux te suivre Jarod où tu iras jirai.
Il lui fit un magnifique sourire, celui qui révélait ses deux
magnifiques faussettes.
- Je crois en fait que
Il ne la laissa pas finir sa phrase, il lattira contre lui
et lembrassa au début, un baiser timide, puis doux, tendre
et passionné.
Ils oublièrent tous autour deux, le bruit, les gens, la musique,
il ny avait que lui et elle, les deux êtres qui avaient
tant damour à soffrir.
- Jarod ?
- Oui
- Je taime
Il la serra dans ses bras et lui déposa un baiser sur le front.
- Je taime aussi
Il lembrassa à nouveau et elle lui prit la main.
- Allez viens, on sen va.
Ils se dirigèrent vers la petite porte de secours qui se
trouvait au fond de la discothèque.
Lorsquils eurent passé la porte, elle le prit dans ses
bras elle sy sentait telement bien, elle regarda jarod il
lui sourit, à cet instant jarod eut limpression de voir la
petite fille, ses traits sétaient détendus elle
paraissait plus sereine, libre et encore plus belle.
- Alors où va-t-on ?
Ils se retournèrent brusquement, ils venaient dentendre un
bruit venant des fougères, deux hommes venaient den sortir.
Sans même réfléchir ils tirèrent et les nettoyeurs sécroulèrent.
Jarod sapprocha pour voir si ses balles leur avaient été
fatales,quand il entendit un cri, cétait Parker, il se
retourna brusquement , Lyle la tenait dans les bras et appuyait
son neuf millimètres contre son crâne.
- Lyle !
Lyle lui lança un sourire qui montrait sa satisfaction.
- Bonjour Jarod, très touchante votre histoire mais elle sarrêtera
ici car on rentre à la maison.
- Lâche là !
- Oh ! Cest comme ça quon parle à un homme qui
tient un neuf millimetres à la main, tu es peut-être un génie
mais tu es très mal élevé.
- Normal on ma enlevé à ma famille quand je nétais quun
enfant.
Lyle ignora sa réponse, il parla à lattention de sa sur.
- Notre père avait raison, il savait que tu nous trahirais
soeurette, je ne vous aurais jamais imaginés ensemble tous les
deux , mais bon cest toi qui choisit tes hommes. En ce qui
me concerne Jarod, je naurais jamais cru tavoir si
simplement, on dit que lamour rend aveugle en tout cas en
se qui te concerne cest la vérité.
Lyle caressa le visage de sa sur avec son arme.
- Ah toi ! Tu es toujours aussi belle, tu ne peux pas imaginer
comme je regrette que tu sois ma sur.
Les yeux de Melle se remplissaient de haine, il ne supportait pas
de la voir comme ca.
- Lyle je te jure que si tu la touche je te
- Quoi tu me feras quoi ? Tu tireras sur moi ? Oh jarod ça me
ferait tellement de peine de devoir tirer dans son joli petit crâne.
- Si je me rends, tu la laisseras partir ?
Melle Parker hurla :
- Non Jarod !
Lhomme sans pouce la serra encore plus fort et lui mit la
main sur la bouche.
- Toi on t'a pas demandé ton avis.
Melle Parker fixa Jarod, il le voyait elle allait tenter quelque
chose, mais quoi ?
Il se baissa doucement pour déposer son arme au sol, et là elle
mordit les doigts restants à Lyle le faisant hurler de douleur
et lui donna un violent coup de tête.
- Salope !
Il tituba un instant, et seffondra. Avant quil ne
puisse se relever Jarod lui tira une balle en plein cur.
Melle Parker se jeta dans les bras de son cameleon, pour la première
fois elle avait eu peur de son frère, il la serra jusqu'à ce
qu'elle se calme puis il sécarta. Il avait un regard
triste, elle posa une main sur son visage mais il la repoussa.
- Non je ne veux pas que tu macompagnes, cest trop
dangereux, tu nauras quà dire à Raines que jai
tué les deux nettoyeurs et ton frère.
Avec moi tu seras toujours en danger, ils nabandonneront
jamais, et ils nhésiterons pas à tabattre pour mavoir.
Une larme roula sur sa joue.
- Et s'il tarrivait quelque chose je ne me le pard
Elle posa un doigt sur sa bouche pour le faire taire.
- Oui, mais moi sans toi, je ne peux plus vivre, je préfère
mille fois risquer ma vie chaque jour auprès de toi que de
continuer à vivre une seconde de plus toute seule.
Elle lembrassa et essuya les larmes qui coulaient le long
de ses joues
- Et comme tu le vois je suis assez forte pour me tirer des
situations les plus désespérées.
Ils sourirent.
- Cest vrai, je reconnais que tu m'as vraiment épaté,
quelle maîtrise !
- Attends tu na encore rien vu
Elle lembrassa.
- Cette fois partons et personne ne pourra nous en empêcher.
Elle lui sourit et ils partirent main dans la main en laissant
derrière eux les trois corps inanimés.
Fin
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