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Rêveries (page 4)

Auteur : la même dingue que celle qui a fait ce site, cad Sydnette (e-mail) la Psy-Caméléonne.

Fan-fiction terminé le : (commencé le 10 octobre 2002) dimanche 15 février 2004

Où le situer : C'est la suite directe de "Island of the Haunted", alias "L'Antre du Diable". On ne tiendra pas compte de ma véritable suite, "Transylvania" puisque le fan-fiction que vous allez lire est un délire !! A vrai dire donc, on s'en fiche un peu, mais pour les puristes...

Notes :

Ce fan-fiction est réservé aux grands... si si.

Ce fan-fiction reste une exclusivité de ce site. Comme tous les textes de ces pages Internet (protégés par diverses lois de la propriété intellectuelle, voir début du site), il est bien sûr expressément interdit de le copier, même si vous précisez le nom de l'auteur (je sais que certains sites intéressants regroupent des fan-fictions - j'ai l'intention de faire la même chose - , je ne suis pas intéressée, ne voulant pas que ces récits soient dispersés sur le Net). Le plus simple est de mettre un lien de votre page vers la mienne (pour cela, il n'y a aucun problème. Mais comme je pratique l'échange de liens quasi-systématique, prévenez-moi, je placerai votre adresse dans mes sites partenaires sur la page "Liens").

2) Ce fan-fiction, comme je disais plus haut, est un délire, comme quelques-uns font sur le Net. Quand on s'ennuie, qu'on est une shippeuse de choc et qu'on contemple la frimousse adorable de Jarod sur papier glacé à son mur, on frôle la folie si l'on ne s'active pas... Ce texte est dédié à tous les pôvres shippers comme mouah !!! et spécialement à mes copineeeeuuuuuuhhhhh du Pretender Forum.

... et à mes amis de The Centre Forum, Jarod's Friends Forum, Mailing-list de Blue Cove, ML d'Onyssius, et tout ceux qui m'envoient des fics et ceux qui commentent le site aussi, aidant ainsi à son amélioration !

Note 3 : L'auteur, qui est une infatigable bavarde, n'a pas pu se retenir de mettre entre parenthèses tous les commentaires qui lui sont venus à l'esprit pendant l'écriture de ce récit, malgré une lecture moins facile. Si jamais vous vouliez néanmoins des précisions, que vous aviez des questions, envoyez-moi un pitit e-mail, je me ferai un plaisir d'y répondre (j'en suis un un stade où je peux encore répondre à tous les e-mails qu'on m'envoie... plus ou moins vite bien sûr, surtout si votre question en amène d'autres qui m'entraînent à créer une nouvelle page).

 

 

 

 

Sydney répondit : "Les psychologues devinent tout, vous le savez bien...". De toute évidence, il essayait de plaisanter pour à la fois détendre l'atmosphère et essayer de détourner habilement la conversation tout en ayant l'air de vouloir résoudre son problème. Mais la Dragon Lady ne mordrait pas à l'hameçon : "Vraiment ? Même l'identité de mon père ?". Sydney, pour la première fois devant elle, rougit légérement, et déclara : "Non, je ne savais pas". Miss Parker le coupa : "Dites plutôt que vous ne vouliez pas savoir". Sydney admit : "C'est fort possible. Cela ne me regarde pas, après tout. Il s'agit de votre famille".

Miss Parker répliqua : "En êtes-vous certain ?". Sydney se sentait visiblement mal à l'aise. Il demanda : "Que suis-je censé répondre à une telle question ?". La Dragon Lady fut brève : "La vérité, peut-être". Le psychologue déclara : "Je ne vois pas du tout où vous voulez en venir". La Miss éclata de rire : "Mais bien sûr ! Comme vous ne saviez pas non plus que ma mère ne s'était pas suicidée... Sydney, parfois votre lâcheté me surprend". Il encaissa sans mot dire. Elle reprit : "Donc vous ne saviez pas ? Vous ne savez rien, c'est ça ? Vous "connaissez tous les secrets", pourtant. Mais vous ne savez rien. On me laisse croire qu'un homme qui a fait du mal à ma mère est mon père. Comme si ça ne suffisait pas, on voudrait me faire gober que c'est carrément son meurtrier ! Et puis le Père Noël peut-être... Et Tarzan...".

Sydney tenta de placer un mot : "Ne vous mettez pas en colère de cette manière. Je...". "Ne pas me mettre en colère ! Et vous laisser me déclamer quelques mensonges supplémentaires ! J'en ai plus qu'assez de toutes ces salades !". Elle pleurait de rage. "J'en ai assez, vous m'entendez !". Elle sortit, claquant la porte derrière elle. Sydney s'assit à son bureau, le teint blafard. Une larme roula sur sa joue.

 

 

Miss Parker se brossait les cheveux dans sa chambre, habillée d'une robe légère. Elle sentit soudain un courant d'air. "Eh bien, ma chérie, tu n'es pas très gentille avec ton père..." "Je sais, maman. Mais il m'a menti". "Nous en avons déjà parlé, il avait de bonnes raisons de le faire. Essaie de te faire à cette idée : nous sommes amoureux, lui et moi. Et puisque rien ne peut te convaincre, je vais donc opter pour une méthode radicale !".

Mlle Parker resta un long moment devant sa coiffeuse, pensive. Au bout d'un moment, elle entendit tout de même le raffut qui semblait venir du hall. Elle sortit en trombe, plutôt furieuse. Pour tomber nez à nez avec Raines, lequel lui souffla : "Ah *snurfffffllll* Mlle Parker ! Venez vite ! Je crains que le Centre ne soit victime d'une machination de Jarod !". De nombreux membres du personnel étaient rassemblés devant l'entrée principale du Centre.

Tut tuuuuuuuuttttt !!!! Mlle Parker vint se poster au premier rang. Ce fut pour voir une superbe Ferrari décapotable faire quelques allers et venues dans l'hystérie la plus totale devant les spectateurs stupéfaits. Enfin la voiture s'arrêta, et Catherine Parker, plus belle que jamais, semblant n'avoir presque pas vieilli, descendit, au bras de Sydney. "Voilà, messieurs-dames, je vous annonce officiellement que Sydney et moi venons de nous marier". "Quoi ??!" "Ma chérie, dit Catherine à MP, ne commence pas, nous n'allons pas revenir sur notre décision, c'est trop tard". Raines s'emena : "Catherine. Pourquoi ? Pourquoi venir maintenant ? Et... pourquoi ce défilé ?". Catherine fit un drôle de sourire et déclara : "Oh, mais pour mieux te tuer, mon enfant". Et le geste suivit la parole.

Ainsi elle prit la tête du Centre, fit soigner Lyle en hôpital psychiatrique. Le Centre fut transformé en ludothèque et Jarod y passe de nombreuses heures... On ne sait pas bien si c'est pour jouer avec les Lego et les logiciels présent là, ou plutôt comme prétexte pour voir la fille de la directrice... L'avenir nous le dira peut-être...

... Ou alors les voir s'embrasser dans un recoin de la bibliothèque, entre une pile de Tintin et du Petit Spirou, suffit pour s'en convaincre...

;o)

 

Fin

 

 

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