Carnets SL27 Chronologie Episodes Secrets Refuge

Blue Cove FanFictions Annexes

 

Mythologie Zoyienne (partie unique)

Auteur : la même dingue que celle qui a fait ce site, cad Sydnette (e-mail) la Psy-Caméléonne.

Fan-fiction terminé le : (commencé le 30 mars 2003) dimanche 15 février 2004

Où le situer : nulle part

Notes :

Ce fan-fiction reste une exclusivité de ce site. Comme tous les textes de ces pages Internet (protégés par diverses lois de la propriété intellectuelle, voir début du site), il est bien sûr expressément interdit de le copier, même si vous précisez le nom de l'auteur (je sais que certains sites intéressants regroupent des fan-fictions - j'ai l'intention de faire la même chose - , je ne suis pas intéressée, ne voulant pas que ces récits soient dispersés sur le Net). Le plus simple est de mettre un lien de votre page vers la mienne (pour cela, il n'y a aucun problème. Mais comme je pratique l'échange de liens quasi-systématique, prévenez-moi, je placerai votre adresse dans mes sites partenaires sur la page "Liens").

2) Ce fan-fiction, comme je disais plus haut, est un délire, comme quelques-uns font sur le Net. Quand on s'ennuie, qu'on est une shippeuse de choc et qu'on contemple la frimousse adorable de Jarod sur papier glacé à son mur, on frôle la folie si l'on ne s'active pas... Ce texte est dédié à tous les pôvres shippers comme mouah !!! et spécialement à mes copineeeeuuuuuuhhhhh du Pretender Forum (j'ai nommé Jacobette, Sydnette, Mouah, Lyssa, Didine, Gagou, Anaïs, Kindu, Cindimini, Etoile4You, Aicha, Dragonlady, Gumi, Lilou... J'espère que je n'en oublie pas, sinon ça va barder sur le forum si on s'en aperçoit !).

Bon, après reprise d'écriture de la fanfic, je ne vais pas enlever ma première dédicace, il n'y a pas de raison, je ne les ai pas oubliées, mes copineuh de cette époque. Disons que j'ajouterai une dédicace à tous les membres de The Centre Forum.

Note 3 : L'auteur, qui est une infatigable bavarde, n'a pas pu se retenir de mettre entre parenthèses tous les commentaires qui lui sont venus à l'esprit pendant l'écriture de ce récit, malgré une lecture moins facile. Si jamais vous vouliez néanmoins des précisions, que vous aviez des questions, envoyez-moi un pitit e-mail, je me ferai un plaisir d'y répondre (j'en suis un un stade où je peux encore répondre à tous les e-mails qu'on m'envoie... plus ou moins vite bien sûr, surtout si votre question en amène d'autres qui m'entraînent à créer une nouvelle page).

Note 4 : Sachant que je déteste Zoye (cad Zoey, pour les ignares), ne vous attendez pas à ce que je l'épargne de mes inventions diaboliques, ah ah ah !

 

 

 

 

Préambule : Hum hum... Ceci est un SPOILER INEDIT !!!!

En fait, cela va éclairer notre point de vue sur le Caméléon. J'ai fait une pitite étude
sur les noms des personnages et remarqué récemment une chose importante.

Sur Zoey. Si l'on étudie son prénom, on comprend aisément sa personnalité et ses réactions...

Son prénom signifie "la vie". En grec, "zoe" veut dire "vie" ou "existence". Moui, peu importe en fait. En regardant une émission que je ne nommerai pas (cad QP1C, sur Framboisy 3, présenté par Julien Pampers, c'est bien sûr Questions pour un Champignon - ceux de Champignac, de manière à alimenter Noémie en sucre, laissez tomber ces allusions...), j'ai appris quelque chose de gravissime...

Spoiler par ici...







Mieux vaut vous prévenir que ça va vous choquer !

.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.

J'hésite, tant cela bouleverse notre mythologie...
...
.
.
.
.
.
.
.
Bon, j'y vais, je ne peux pas faire de dessins comme Jac (non seulement je n'ai pas son talent de caricaturiste, mais en plus je peux difficilement reproduire mes dessins ici...), je vais donc vous raconter une pitite histoire...

 

 

Il était au moins deux fois une femme rousse nommée Germaine Avet qui vivait aux Etats-Unis à l'époque heureuse où la famille Bu*h (censuré, désolée !) n'avait pas encore sévi et posé son pied dévastateur à la Maison Blanche... Et alors Germaine vivait en paix, aidant sa famille à élever des cochons et des chevaux, étalant le fumier odorant sur les champs, habillée de bottes et d'une éternelle salopette bleu océan. Tout cela était très poétique et déjà Germaine rêvait de son prince charmant. Elle le trouva en la personne de Ghislain Diosauleille (le fils de Marguerite et Sam), magnifique grand garçon d'un mètre soixante, bien bâti, avec ses quarante-trois kilos tout mouillé, chaussant du cinquante-cinq. Ghislain était particulièrement beau, avec ses yeux vert caca d'oie qui louchaient un peu et ses belles lunettes à monture d'écailles rouges aux verres d'un bon centimètre d'épaisseur. Ses cheveux étaient roux et tout son corps blanc était piqueté de taches de rousseur (notez bien : ceci peut se révéler esthétique, je ne veux vexer personne. Je connais un type beau qui possède plein de taches de rousseur, donc...).

La rencontre eut lieu entre le champ du père Alfred Imer-Curi et le champ du père Limpinpin (celui qui n'avait pas inventé la poudre). Germaine transportait son dindon apprivoisé en laisse pour que celui-ci se dégourdisse un peu les plumes et les pattes. La jeune fille n'attendait plus que son trépas pour enfin pouvoir lui broyer le cou et le dévorer, après avoir regardé le sang quitter le corps de l'animal. Germaine aimait les animaux, ... surtout avec une sauce au vin... Et donc elle se baladait, le coeur ouvert à l'inconnu, disant bonjour à n'importe qui. N'importe qui et ce fut lui : Ghislain Diosauleille et elle lui dit n'importe quoi : "Bonjour, monsieur Diosauleille, que vous êtes joli, du monde une merveille. Sans mentir, si vous parlez comme vous vous fringuez, vous êtes le phoenix des hôtes de Godefroi" (ils habitent un pitit village appelé Godefroi-deu-Monmiraï). A ces mots, le Ghislain ne sait pas se reprendre, il ouvre une large gueule, laisse sa langue pendre. Il bave et déclare :
"Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, je partirai. Vois-tu, je sais que tu n'attendais que moi, pour te marier. Nous irons par les bois et par les forêts. Ne pleure pas, Germaine, nous te marierons, nous te marieri, nous ne marieri, nous te marierons. Vous chantiez, j'en suis fort aise. Eh bien, dansez maintenant, et le bal commencera. Ce sera beau, veux-tu m'épouser ?".

Bien sûr qu'elle veut, elle ne va pas laisser filer un poète si talentueux. Et il lâche le fumier qu'il comptait répandre et lui prend la main, laissant une trace un peu sombre sur celle-ci mais aussi un parfum si agréable...

 

Le mariage fit grand bruit. On rassembla rarement autant de personnes dans la région. Il y avait Marguerite et Sam Diosauleille, Ghislain bien sûr, pis les parents de Germaine Avet, Ghislaine et Romain - comme Romano lol -, le Père Alfred Imer-Curi, le Père Limpinpin, la crémière Mme Léopolde Beuhre, les voisins M. et Mme Ocamezlliah, quelques vaches, quelques oiseaux... Le mariage fut très beau, on fit la fête jusqu'à 1 heure du matin ! On dévora de la semoule, des dindons bien gras avec une sauce au poivre, et on servit un bon vin de table presque pas piqueté, qui révélait quelque ressemblance avec le vinaigre du Père Hiscaupe. On dansa aussi beaucoup. Germaine se prit bien les pieds dans sa belle robe de laine blanche tricotée, mais le couple réussit quand même à danser trois slows, avant de s'écrouler, ivre.

La nuit de noce fut particulièrement agitée. On chercha partout le mode d'emploi de la nuit de noce parfaite. En vain.

Finalement le couple se débrouilla tant bien que mal, se disant que ça ne devait pas être plus difficile que ce qu'il voyaient tous les jours. En prenant modèle sur Grouain le cochon de la ferme, particulièrement coureur, qui aimait grimper sur le dos des truies de la ferme d'à côté, ils trouvèrent finalement le moyen de bien s'amuser.

Si bien que le ventre de Germain commença à s'arrondir.

 

Et, neuf mois plus tard, elle donna naissance à ce qui aurait du être une petite fille comme les autres. Elle avait soigneusement préparé sa naissance. Elle avait tricoté de tas de pulls bien chauds pour l'hiver, des couvertures en patchwork, décoré une chambre de jolis décors rose bonbon un peu fluos, et de photographies des gentils animaux de la ferme : les cochons en train de copuler, la vache Claudine (là vous ne pouvez pas comprendre, spéciale cace-dédi à cette co**sse ! la dingue d'EPS des environs... et dsl pour toutes celles qui s'appellent Claudine) en train de mettre au monde un veau, le vétérinaire plein de sang, les têtes des poulets égorgés, bref de quoi faire de beaux rêves...

Et la petite fille naquit, sous l'oeil attendri de son père, qui avait enfilé une salopette presque propre pour l'occasion et des chaussures pas trop boueuses (Il s'était même lavé les mains !!), et du médecin-accoucheur, car même si on est à la campagne on ne va pas négliger les moyens modernes, n'est-ce pas ?

Quand elle vit la petite chose dans le drap, Germaine hésita entre le "beurrrrrkkkk !!!" et le "c'est quoi, ça ????!!!!". Elle se retint à temps de vomir. En effet, dans le drap était allongée (?), à côté d'un corps humain, une sorte de masse rouge et gluante, dont la peau ressemblait plus à une carapace.

Sa fille était un mutant !

 

Avec le temps va, tout s'en va. Et ainsi, la famille dut bien s'habituer à la présence de leur charmante fille, baptisée Zoye. Enfin, à l'origine elle s'appelait Zoey mais sa soeur jumelle comme elle ne savaient pas prononcer correctement ce nom. La soeur de Zoye, Cathy, était "normale". Elle souffrait bien d'un léger déséquilibre mental et d'une passion pour les falaises, mais physiquement son corps était classique. Zoye, elle, était terriblement complexée. En effet, pas facile de vivre avec un corps mi-humain, mi-crabe.

Mais un jour Zoey rencontra un chirurgien esthétique en début de carrière. Il s'exerça au fur et à mesure sur elle. Elle devait encore porter des prothèses diverses, mais, à l'aide d'une perruque, elle semblait presque humaine. Elle se vit attribuer un visage humain, et put enfin avoir une vie sociale, se faire taper dessus par un flic et être l'une des filles les plus chiantes de tous les Etats-Unis en contrariant les shippers du monde entier.

 

Fin

 

Bon, maintenant j'explique. Le nom de "Zoey" n'est même pas un hasard. Elle était prédestinée. En effet, si l'on observe bien le Petit Labrousse, le dictionnaire révèle que la "zoé" est une larve de mollusque, souvent de crabe.

Et à présent, voici en exclusivité les secrets les plus intimes de Zoye. Observez bien ce dessin :

 

(© Sydnette la Psy Caméléonne, merci !)

La vérité éclate enfin ! D'ailleurs, peut-être Zoye fait-elle partie de ces êtres extra-terrestres qui rêvent de gouverner la Terre (cf nouvelle de H.P. Lovecraft, recueil "Le couleur tombée du ciel" chez Folio SF) ???!

L'ignoble Zoyette n'a pas encore livré tous ses secrets...

 

 

For members of The Centre use only