Carnets SL27 Chronologie Épisodes Secrets Refuge
La vérité éclate enfin (page 2)
Auteur : @ndy56 ( missparker63@hotmail.com )
Où le situer : Il se situe après IOTH.
Notes : Fanfic shipper qui concerne Baby Parker...
Parker : Où est-il ? Où est notre
enfant Jarod ?
Jarod : Pour linstant, comme ils ne peuvent pas léduquer,
ils lont placé dans un orphelinat à Boston.
Parker : Quand partons-nous ?
Jarod : Il faut que tu te reposes mais nous devons vite le récupérer
car le Centre va certainement aller le chercher et le cachera
pour que nous ne puissions jamais le retrouver.
Parker : Je me fiche de ma blessure, ce qui compte, cest
le bébé alors nous partons demain matin. Broots pourrait leur
transmettre de fausses informations comme quoi tu es en
Californie pour détourner leur attention.
Jarod : Tu as raison, mais reprendre notre enfant pourrait savérer
plus compliqué quon ne limagine. Ils pourraient nous
tendre un piège et nous aurions du mal à nous défendre si nous
ne sommes que deux, en plus tu es blessée.
Parker : Pour moi, tu me donnes des sédatifs et ça ira,
pour le Centre il y a Sam.
Jarod : Sam ?
Parker : Oui, Sam, mon nettoyeur.
Jarod : Je sais qui cest mais
Il nest pas
de notre côté.
Parker : Sam est peut-être un simple nettoyeur mais il a un
cerveau. Et puis ça fait 6 ans que lon travaille tous les
deux alors je pense quil acceptera de nous aider.
Jarod appela Sydney et Broots pour les mettre au courant de ce quil
leur était arrivé, lhistoire du bébé et pour leur
expliquer leur plan, ils acquiescèrent avec plaisir. Après
avoir mené le Centre en bateau, il était convenu quils se
rejoindraient à Boston, mais avant ils devaient expliquer sa
mission à Sam. Le nettoyeur fut un peu réticent au début mais
après ces quelques années il sétait quelque peu attaché
à Mlle Parker, il connaissait sa tragique histoire et savait à
quel point la vie avait été dure avec elle. Cest pour ces
raisons quil accepta que Parker, Jarod et lui se rejoignent
à Boston, le lendemain dans un café.
Kittys coffee, Boston, 10h30 :
Parker et Jarod arrivèrent sur la terrasse et sassirent en
face de Sam, qui paraissait inquiet.
Parker : Merci dêtre venu et de nous faire confiance.
Sam : Je vous devais bien ça, vous boîtez ?
Parker : Ce nest rien, jai reçu une balle et jai
un peu de mal à marcher. Cest pour cela que nous avion s
besoin de vous.
Sam : Quest-ce que jaurai à faire ?
Jarod : Vous serez notre chauffeur et vous nous couvrirez en
cas de problème. Parker et moi allons nous faire passer pour un
couple qui sintéresse à ladoption dun enfant.
A un moment, je demanderai les toilettes et jirai chercher
le bébé. Je sortirai par larrière, Parker me rejoindra
et nous nous sauverons.
Sam : Cest un plan qui me parait réalisable. Mais
vous ne pensez pas que le Centre a des agents placés dans le
secteur pour prévenir ce genre de chose ?
Jarod : Cest là que Broots intervient, quand Sydney
et lui seront là, il diffusera un message à tous les
nettoyeurs, leur disant que je suis dans le Boston Muséum. Ce
musée se trouve à lautre bout de la ville par rapport à
lorphelinat.
Parker : je me demande comment tu fais pour mettre au point
des plans aussi tordus, joublie peut-être que tu es un génie.
Sam : Quand débute la « Grande Evasion » ?
Jarod : ce soir à 18 heures.
Parker : Quand Sydney et Broots ont-ils dit quils nous
rejoindraient ?
Jarod : Broots doit scanner la voix de Lyle et le mener en
Californie donc ils seront là en milieu daprès-midi. Ils
emmèneront Debbie et Angelo avec eux car ils ne comptent pas
retourner au Centre.
Jarod serra la main de Sam et aida Mlle Parker à se relever, ils
séloignèrent tous les deux, souriants et confiants puis
le nettoyeur les vit monter dans un taxi.
Bureau de Mr Lyle, Le Centre, 12h00 :
Lyle était au téléphone avec Mr Raines, une petite boîte en
carton traînait sur son bureau et il tenait deux petites
baguettes dans la main.
Lyle : Oui père, je vous dis quil ny avait rien
à San Francisco. Cétait certainement une ruse pour nous détourner
de quelque chose. En attendant, il parait que Broots et Sydney
sont en train de préparer quelque chose de louche. Une équipe
les surveille et sils sortent on les suit à la trace.
Raines : Ne les lâchez pas, je vous ai déjà laissé une
chance alors je vous conseille de ne pas gâcher la dernière.
Lyle : Je fais tout ce qui est en mon possible.
Raines : Comme quoi ce nest pas encore assez.
Lyle : Je dois vous laisser, un de mes hommes vient me
donner du nouveau.
Il se tourna vers on nettoyeur et raccrocha son téléphone.
Lyle : Vous avez du nouveau ?
Homme : Ils sapprêtent à partir, ils ont loué des
billets davion pour Boston.
Lyle : Vous ne les quittez pas des yeux. Je men
occuperai moi-même alors vous ne faites rien sans mes ordres. Cest
clair ?
Homme : Oui Mr Lyle, très clair.
Lyle : Vous mappelez dès que vous savez où ils vont.
Aller, sortez, je voudrais manger en paix.
Hôtel Savannah, Boston, 15h30 :
Debbie était en train de faire découvrir la télévision à
Angelo, tandis que tous les autres mettaient les détails du plan
au point. Broots devra venir avec eux pour diffuser le message dalerte,
Sydney sétait proposé pour garder Angelo et la fillette.
Jarod dut sy reprendre à 3 fois pour que Parker accepte quil
change son pansement, celle-ci prétextant ne pas avoir le temps.
Ils allèrent sisoler dans la chambre et le jeune homme la
soigna, ils sallongèrent ensuite sur le lit et restèrent
un moment sans parler, juste dans les bras lun de lautre.
Lheure du départ arriva rapidement, ils avaient loué un
mini van à loccasion.
Une vingtaine de minutes après, la petite équipe était garée
devant lorphelinat. Jarod se rendit compte que Parker était
préoccupée mais il se dit que cétait parce quils
allaient retrouver leur enfant. Alors quils marchaient en
direction du bâtiment, il posa sa main sur son épaule et tente
de la rassurer en parlant gentiment.
Jarod : Ca va aller Parker, ne te fais pas de soucis.
Parker : Ce sont mes voix Jarod. Elles essaient de me dire
quelque chose mais je ne comprends pas.
Jarod : Tu crois quelles te préviennent dun
danger ?
Parker : Je nen sais rien, elles narrêtent pas
de répéter « ton frère est là ».
Jarod : Ne ten fait pas, Lyle doit être à lautre
bout du pays.
Mais soudain quelquun les appela de lautre coté de
la route, cétait la voix de Lyle, et quand ils se retournèrent,
ils saperçurent que cétait Ethan. Parker et Jarod sétaient
simplement trompés en interprétant les voix de la jeune femme,
ils en étaient dailleurs ravis. Tous les trois se prirent
dans les bras, ils étaient si contents de se revoir après tout
ce temps.
Parker : Ethan, comment vas-tu ?
Ethan : Je vais très bien ma sur, et vous deux ?
Je vois que vous êtes réunis ?
Parker : Oui, cest une longue histoire.
Jarod : Mais quest-ce que tu fais ici ?
Ethan : Mes voix mont dit de venir ici alors me voilà !
Parker : Je suis tellement contente de savoir que tu vas
bien ton mot inachevé ma inquiété. Nous sommes à Boston
pour récupérer notre enfant.
Ethan : Votre enfant ?
Jarod : Oui, encore un plan du Centre, mais nous navons
pas le temps de te lexpliquer. Tu devrais rejoindre nos
amis dans le van noir que tu vois là-bas, ils texpliquerons
ce qui sest passé jusquà aujourdhui.
Parker : A toute à lheure.
Après sêtre enfin retrouvés, ils eurent du mal à se séparer
et à partir chacun de leur coté. Jarod et Parker entrèrent
tout de même dans lorphelinat en se tenant par la taille
et se présentant à une femme qui se trouvait derrière le
comptoir. Ils lui parlèrent de leur souhait dadoption
alors elle leur conseilla le bureau dune assistante sociale.
Ils firent semblant de sy diriger mais montèrent deux ou
trois étages. Parker avait refusé de la laisser y aller seul et
lavait suivi contre son gré. Ils ouvrirent plusieurs
portes avant que les voix de la jeune femme ne les conduisent
chambre 63 où ils trouvèrent lenfant. Mlle Parker prit le
bébé dans ses bras, lui parlant gentiment pour quil ne se
mette pas à pleurer. Ils descendirent discrètement mais la
femme de laccueil les aperçut et commença à crier. Nos
deux héros se mirent à courir, Jarod tenant lenfant
contre lui et Parker tentant de faire abstraction de la douleur.
Ils se retrouvèrent dans une petite ruelle, le van était garé
en face deux, moteur tournant. Jarod monta à larrière
avec Ethan, Broots et lenfant tandis que Mlle Parker était
à lavant à coté de Sam.
Le véhicule démarra en trombe, laissant derrière lui un groupe
de trois ou quatre personnes qui faisaient des signes à léquipe
et leur ordonnaient de rendre le bébé. Celui-ci, à force dêtre
ballotté, sétait mis à pleurer alors Jarod le berça
pour le calmer.
Sam sortit de la ruelle à toute allure au moment où une voiture
passait, ils se heurtèrent mais le van nétait presque pas
abîmé. Ils voulurent sarrêter mais le fait que Parker
ait reconnu Lyle au volant du véhicule les fit changer davis.
Ethan : Jarod, allons à lhôtel Norton.
Jarod : Pourquoi ? Qui y a-t-il là-bas ?
Ethan : Notre famille.
Jarod : Tu as réussi à les réunir ?
Ethan : Oui, ils sont à lhôtel depuis hier, je les
ai retrouvés grâce à mes voix.
Jarod : Cest merveilleux, merci Ethan je
Je ny
crois pas. Cest tellement formidable. Comment vont-ils ?
Comment est Maman ?
Ethan : Ils vont très bien, ils narrêtent pas de
parler de toi. Ils sont fiers de toi et de tout ce que tu as fait.
Jarod se tourna vers Parker, elle navait rien dit et pas
bougé, elle était plongée dans ses pensées. Elle revoyait
Lyle, son jumeau, dans le voiture dont ils avaient défoncé laile
il y a quelques minutes. Le choc avait été violent mais la
voiture ne semblait trop abîmée, le Centre avait su la choisir.
Bien que ce soit un monstre psychopathe, elle ne voulait pas tuer
son propre frère même si elle lavait fait des milliers de
fois dans ses rêves. Mais de là le faire dans la réalité, il
y avait une marge quelle ne voulait pas franchir une
seconde fois quand elle lui avait tiré dessus il y a 2 ans. Ce
jour-là, elle voulait prouver sa loyauté à son père, de plus,
elle ne savait quil était son frère à ce moment-là.
Jarod : Parker, est-ce que ça va ?
Parker : je vais très bien, merci, mon dos me faisait mal cest
tout. Je suis vraiment heureuse que tu retrouves enfin ta famille.
Je suis impatiente de les rencontrer, enfin
De les revoir.
Hôtel Norton, Boston, 19h :
Le petit groupe montait rapidement les escaliers, précédé par
un Jarod très excité à lidée de pouvoir enfin serrer
toute sa famille dans ses bras. Sur le chemin, ils avaient appelé
Sydney pour lui donner ladresse de leur hôtel et quil
les rejoigne avec Debbie et Angelo.
Jarod frappa à la porte et au moment où elle souvrit, une
femme aux longs cheveux roux se jeta dans ses bras. Ils furent
tous invités à entrer et ils commencèrent les présentations.
Au début, Parker se sentait très mal à laise car elle
avait peur que la famille de Jarod ne lui en veuille pour les 6
années de « chasse » qui lavaient empêché de
les retrouver. Mais ils lui expliquèrent quils
comprenaient pourquoi elle avait fait ça et quils lui
pardonnaient.
Jarod était en train de parler avec ses parents, il leur raconta
toutes ses recherches et leur appris quils étaient grands-parents.
Parker profita de la situation pour sisoler avec Sydney,
elle lui dit quelle devait sabsenter mais quil
ny avait pas de quoi sinquiéter et quelle
serait de retour dans moins de deux heures. Elle se faufila dans
le dos de Jarod et alla chercher le van dans le parking. Elle
devait prendre des nouvelles de Lyle, elle ne savait pas pourquoi
mais cétaient ses voix qui ly poussaient. La jeune
femme se dirigea donc vers lhôpital le plus proche du lieu
de laccident, espérant ne pas faire une énorme erreur.
Mémorial Hospital of Boston, 21h00 :
Parker marchait tranquillement dans le long couloir blanc, elle naimait
pas les hôpitaux, leur ambiance, lodeur. Ils lui
rappelaient bien trop le Centre, cette atmosphère austère et
pesante létouffait. Elle sapprocha discrètement du
comptoir alors que linfirmière était dos à elle et elle
jeta un il sur lécran dordinateur. Elle vit
que Lyle était dans la chambre 155, le fait de voir ce nombre leffraya
un peu. Parker ouvrit la porte sans un bruit et sapprocha
doucement du lit, bien que son frère ait les yeux fermés elle
savait quil était éveillé. Il ouvrit les yeux, il
semblait étonné de sa présence. Elle se dit quil allait
certainement vouloir quelle parte mais elle fut prise de
court par sa question.
Lyle : Qui êtes vous ?
Parker : Je
Je suis ta sur jumelle, tu ne te
souviens pas ?
Lyle : Je ne me souviens de rien, même pas de mon nom.
Parker : Tu tappelles
Lyle.
Lyle : Et mon nom de famille ?
Parker : Disons que cest ton nom de famille et que tu
nas pas de prénom.
Lyle : Comment ça, Je ne comprends rien.
Parker : Cest tellement compliqué.
Lyle : Et vous ? Comment vous appelez-vous ?
Parker : Je suis Mlle Parker.
Lyle : Nous sommes frère et sur et nous ne partageons
pas le même nom ?
Parker : Nous avons été séparés à la naissance, moi jai
grandi avec les Parker et toi avec les Bowman. Adulte, tu as pris
le prénom de ton père, Lyle, comme nom de famille.
Lyle : Cest bizarre comme histoire, je ne me rappelle
rien. Et je fais quoi comme métier ?
Parker : Et bien
Tu travailles au Centre, une
entreprise de Blue Cove dans le Delaware. Tu es dans
la sécurité.
Lyle : A Blue Cove, cest sur la côte non ?
Parker : Tu as raison.
Lyle : Jai des images, des paroles qui me reviennent.
Un homme qui a des problèmes de respirations, qui est-ce ?
Parker : Cest ton patron, Raines. Cest aussi
notre père biologique.
Lyle : Que sest-il passé pour que je sois ici ?
Parker : Tu as eu un accident de voiture.
Lyle : Oui, je me souviens, un van noir
il y avait
quelquun que je conn
mais tu étais dedans ?
Parker : Cest exact, je menfuyais avec mon ami.
Tu le détestes.
Lyle : Tout se mélange dans me tête, je vois un homme brun
qui court, il est habillé en noir. Cest ton ami ?
Parker : Il sappelle Jarod, ton travail consiste à le
ramener au Centre dont il sest enfuit il y a 6 ans.
Lyle : Mon travail nest pas très honnête nest-ce
pas ?
Parker : Cela fait au moins 40 ans que le Centre outrepasse
les lois.
Lyle : Jarod est un caméléon, un génie que notre
entreprise a séquestré, cest ce que je me rappelle.
Parker : Cest la vérité, depuis 6 ans jétais
employée pour le ramener mais jai appris plein de choses
et jai tout abandonné pour partir avec lui. Je laime.
Lyle : je vois un bébé, cest le tien ?
Parker : Raines a prélevé le sperme de Jarod, mes ovules
aussi. Ensuite, lhomme qui ma élevée, Mr Parker, et
lui se sont servis de la femme de Mr Parker comme mère porteuse.
Lyle : Vous étiez là pour récupérer votre enfant. Cest
monstrueux, comment ai-je pu laisser faire ça ?
Parker : Ton père adoptif te maltraitait, tu as grandi dans
la haine et tu as atterri au Centre. Tu ne pouvais pas ten
sortir.
Lyle : Mais toi ? Comment as-tu fait ?
Parker : Mr Parker ma envoyée faire mes études en
Italie et au Japon. Et il y avait notre mère, avant que Raines
ne la tue lâchement.
Lyle : Je ne comprends pas très bien.
Parker : Nous sommes les enfants de Raines et de Catherine,
celle-ci était mariée avec Mr Parker, lancien directeur
du Centre et aussi le frère de Raines. Ce dernier sappelle
en réalité Abel Parker mais il avait été abandonné à sa
naissance, cest pour ça quils navaient pas le
même nom. Mr Parker est mort il y a trois semaines.
Lyle : Je vois mieux maintenant, je veux partir aussi. Je
veux commencer une nouvelle vie, quitter ce monde.
Parker : Tu es sûr ?
Lyle : ne me laisse pas sil te plaît. Jétais
un monstre, je veux profiter de cette chance pour changer.
Parker nen croyait pas ses oreilles, elle se demandait si
elle était bien face du vrai Lyle.
Parker : Je suis contente de retrouver un vrai frère.
Elle alla ouvrir la porte du placard et donna ses vêtements à
son frère. La jeune femme le croyait, elle voyait dans ses yeux
quil ne mentait pas et quil ne lui ferait pas de mal.
Parker : Tu nas rien de cassé ?
Lyle : jai quelque chose au poignet mais ça va, je
pourrai courir.
Et cest ce quils durent faire en passant devant deux
infirmières, ils montèrent dans le van et se dirigèrent vers lhôtel
Norton.
Hôtel Norton, Boston, 22h00 :
Toute la famille, ainsi que les amis de Jarod, étaient installés
autour de la table. Quelques minutes après le départ de Parker,
Jarod avait demandé des explications à Sydney et celui-ci lui répondit
quelle avait eu besoin de prendre un peu lair. Le
jeune homme ne lavait bien sûr pas cru mais il savait que
Parker ne prendrait pas de risques après ces retrouvailles. La
porte souvrit et Jarod crut quil allait sétrangler
en voyant Lyle entrer aux cotés de sa sur souriante. Elle
vint voir Jarod et lui expliqua la situation, ce qui le rassura,
puis elle alla prendre son fils dans ses bras.
Parker : Comment allons-nous lappeler ?
Jarod : Après tout ce qui est arrivé, je navais même
pas pensé à ça !
Parker : Jaime beaucoup le prénom Davy, je trouve quil
symbolise le début dune nouvelle vie avec ce qui est arrivé
quand il y avait Angelo.
Jarod : Cest très beau.
Il caressa la joue de lenfant et passa son bras autour de
la taille de Parker, toujours en regardant le bébé.
Jarod : Tu aimes bien ? Tu veux tappeler
Davy ?
Davy : oui.
Parker et Jarod éclatèrent de rire, la jeune femme déposa lenfant
sur le sol et celui-ci alla voir sa grand-mère.
Jarod : Je crois que je vais aller me coucher. Jai loué
des chambres pour Sydney, Broots, Angelo et pour toi aussi Parker.
Elle attrapa la clé et la tendit à son frère, tout en souriant
elle se retourna vers Jarod.
Parker : Je vais donc être obligée de dormir avec toi.
Jarod fut ravi de la tournure quavaient pris les évènements.
Il souhaita bonne nuit à tout le monde et alla se coucher en
compagnie de Parker qui avait laissé Davy aux soins de Margaret
et du Major Charles.
Ils ouvrirent la porte et Jarod sassit sur le lit pendant
que Parker retirait ses bottes.
Jarod : Puisque cest une nouvelle vie, est-ce que je
peux tappeler par ton prénom ?
Parker : Jadorerais cela.
Elle vint sasseoir sur ses genoux et passa ses bras derrière
sa nuque.
Jarod : Je taime Rebecca.
Parker : Je taime Jarod.
Parker lembrassa, ils échangèrent un long baiser passionné
puis Jarod se laissa tomber en arrière sur le lit, ne lâchant
pas sa bien-aimée.
Parker : Je croyais que tu étais fatiguée ?
Jarod : Moi jai dit ça ?
La nuit fut très courte et dès le lendemain, tout le groupe senvola
pour lEurope avec de faux papiers.
Sydney sinstalla en Belgique, Broots et Debbie et province
et tous les autres à Paris. Angelo avait été placé dans une
institution spéciale et il recevait beaucoup de visites de ses
amis.
Jarod travaillait comme chirurgien et comme Parker navait
pas pris de vacances depuis plus de dix ans, elle décida de se
consacrer à Davy. Mais celui-ci ne resta pas longtemps seul car
9 mois après leur arrivée, ses parents lui donnèrent une
adorable petite sur que son père avait tenu à appeler
Catherine.
Fin.
Jespère que vous avez aimé, jattends vos reviews ou
vos mails !! (MissParker63@hotmail.com)
Fin
For members of The Centre use only