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Blue Cove FanFictions Annexes

 

Island of the Haunted

 

Le résumé non résumé... (préliminaire à la diffusion)

Alors, j'explique d'abord mon codage :

- en blanc, vous avez la narration, ce que font les personnages et du discours indirect.
- en
bleu, et entre guillemets, vous avez les dialogues (traduits de l'anglais, donc pardon si cela ne correspond pas tout à fait avec la VF. A l'heure où j'écris ces mots, le téléfilm n'est pas encore diffusé en France - mais bientôt en Belgique, alors je ferais peut-être une nouvelle page, sauf s'il n'y a pas de changement important)
- en
vert, et entre parenthèses, mes commentaires personnels, plus ou moins utiles...

Ce résumé a été TRES TRES LONG à réaliser, et au final il fait 20 pages manuscrites écrites en pattes de mouches... Il est donc INTERDIT de le copier, comme tous les autres textes de ce site...

 

Le film commence la nuit. Se déplaçant promptement d'un bout à l'autre de corridors d'un niveau souterrain du Centre inconnu, quatre hommes travaillent sur un passage du côté duquel deux Nettoyeurs montent la garde, devant une cave. Juste avant que les inconnus ne tournent le coin qui révèle la porte de la cave, les Nettoyeurs les entendent mais quand bien même ils se seraient cachés, avant que l'un d'eux puisse appeler à l'aide, ils sont abattus par les mystérieux intrus.

Toujours bougeant rapidement, deux des hommes placent des explosifs à des endroits stratégiques sur la porte de la cave. Il se produit une petite détonation. Les hommes ouvrent la porte. La pièce qui apparaît ressemble fortement à un jeu de Mikado pour enfant, représenté par les tiges rouges de rayons laser. Au-delà de l'enchevêtrement de jets de lumière, il y a un piédestal, sur lequel est posé un unique coffre.

L'un des hommes roule adroitement sur le sol et commence à avancer en-dessous des traits de lumière rouge. Aussitôt qu'il est en position, il ajuste un dispositif, d'un simple mouvement, en deux parties, à la source d'un rayon. Quand le contact est établi, le rayon laser de la cave s'éteint. Alternativement glissant et rampant sous les rayons restants, l'homme met hors d'état l'un d'entre eux, un à la fois, jusqu'à ce que la pièce soit totalement dépourvue des lumières rouges et brillantes.

Finalement, l'homme se lève et fait un signe de tête à ses compagnons, qui attendaient près de la porte de la cave. Ils commencent à marcher vers le piédestal en haut duquel on distingue bien le coffre, le seul qu'on puisse facilement ouvrir sur le devant sans manipulation compliquée. L'homme remue doucement le dessus du coffre pour faire sauter les gonds. Des chaînes délicates en or empêchent le couvercle de s'ouvrir trop fort. Comme il fait cela, l'homme annnce, très fier : "Voici les parchemins...". Il ouvre la porte du coffre, dignement.

A l'intérieur de cette boîte de métal blindée, garnie de velours, il y a seulement deux échancrures à contempler, et des niches qui ont peut-être contenu un jour des parchemins mais qui maintenant sont vides. Abasourdi momentanément, dans le plus grand silence, l'homme regarde avec ébahissement. Puis il annonce à ses compagnons : "Ils ne sont pas là !". Apparemment, il n'est pas heureux d'avoir à leur dire cela...

 

Générique.

 

Dans une pièce du Centre qui se trouve être l'infirmerie, ou qui a été aménagée pour en être une avec des toiles blanches, M. Parker est assis sur une chaise roulante, regardant fixement et droit devant lui. Il porte une robe de chambre écossaise (Ils aiment l'Ecosse, les Parker...) à carreaux et il y a un pansement sur le côté gauche de son front. Miss Parker le supplie de lui parler, mais son père demeure silencieux et continue de regarder fixement devant lui. Frustrée, Miss Parker dit : "Ce n'est pas ce qui aurait du se passer". Une larme coule sur la joue de M. Parker. On aperçoit un docteur habillé de blanc dans la pièce. Il a examiné M. Parker en dirigeant le faisceau d'un crayon-lampe dans ses yeux. Il explique alors à Miss Parker : "La catatonie est un trouble schyzophrénique, caractérisée par un état d'abrutissement et par le mutisme. Il ne fait aucun doute que la blessure causée par le coup de feu qu'il a reçu dans la tête en est la cause". Miss Parker demande alors un peu naïvement : "Vous ne pouvez pas le "réveiller"?". Le médecin répond doucement : "Oh, il est réveillé. Il est simplement pris au piège dans un corps qui ne répond pas".

Miss Parker annonce : "Je voudrais être seule avec mon père". Le médecin quitte la pièce et la jeune femme commence à parler : "Si tu es bel et bien mon père... Papa... Est-ce que tu es là, Papa ?". Elle déploie la photo réunissant la mère de Jarod et la sienne qui leur a été faxée à tous les deux, et demande à son père s'il sait quelque chose à propos de cela. L'état de M. Parker ne change pas. Miss Parker veut savoir s'il a une idée de ce qu'elles font ensemble et dit qu'elle n'avait jamais su qu'elles se connaissaient. M. Parker ne bouge toujours pas. Gentiment, elle l'embrasse et pose sa tête contre sa poitrine, lui demandant s'il se pourrait qu'il veuille lui dire quelque chose à ce propos.

La scène est interrompue par Lyle, qui écarte les rideaux et appelle : "Eh, Soeurette !". Immédiatement, l'attitude de Miss Parker change. Elle s'éloigne rapidement de son père et dévisage son frère à la place. Les rideaux bougent toujours derrière Lyle, la main de celui-ci toujours sur eux. Les hommes ayant tué les Nettoyeurs et fouillé la cave à la recherche des parchemins sont visibles, se tenant juste de l'autre côté des rideaux. Lyle annonce alors : "Il faut que tu sortes de là". Miss Parker demande instantanément : "Pourquoi ?". Secouant la tête pour indiquer les hommes derrière les rideaux, Lyle répond : "Ils l'ont dit". Miss Parker veut savoir ce qu'Adama (celui qui avait ouvert le coffre, membre du Triumvirat, un grand Noir à l'air peu sympathique, avec des lunettes) et ses "toutous" du Triumvirat font là. Lyle répond : "Maintenant que notre père est réveillé et...". Il hésite un moment, puis continue : "...conscient, Adama veut que son équipe se charge de sa protection. Ils veulent qu'il soit isolé". Parlant à Lyle, tout en souriant (hypocritementà à Adama en arrière-plan, Miss Parker réplique : "Pourquoi ? Ils ont peur de ce qu'il pourrait dire ou de ce qu'il pourrait révéler ?"

Lyle ferme les rideaux derrière lui, s'approche de Miss Parker et dit qu'il ne sait pas, mais qu'il a l'impression que cela a quelque chose à voir avec une cave qu'Adama et ses hommes ont mise en pièces au SL-15 (sous-terrain 15) la nuit précédente. Miss Parker montre un vif intérêt pour ces dernières nouvelles. Elle est curieuse de savoir ce qu'ils cherchaient. Lyle déclare ne rien savoir. Miss Parker continue de questionner, cette fois méditant à haute voix pour savoir si Raines pourrait être impliqué. Lyle dit qu'il en doute, du fait que M. Raines n'est pas réapparu depuis son ancienne disparition. Il ajoute : "La vérité, c'est que je n'en sais rien et que je m'en fiche. Quand ces dingues de Zoulous sont aussi furieux que ça, je me contente de suivre les ordres".

Lyle marche vers M. Parker, agite sa main de haut en bas devant son visage, fait claquer ses doigts. M. Parker demeure tel une statue. Lyle poursuit : "Et maintenant, avec le cerveau de Papa réduit à l'état de marmelade, ils ont besoin que quelqu'un d'autre prenne les choses en charge ici...".

Toujours se penchant sur M. Parker, Lyle tourne sa tête vers Miss Parker, lui fait un clin d'oeil, puis dit : "Considère que je suis candidat".

Interrompant toute discussion, Lyle réagit à l'arrivée de quelqu'un derrière Miss Parker. Celle-ci se retourne pour se trouver face à face avec l'imposante figure d'Adama, qui ne semble pas du tout apprécier la situation. D'un ton glacial, il déclare : "Et voilà une Parker de plus... Etonné de vous voir ici". Défiante, Miss Parker réplique : "Vraiment ? Considérant que ma famille dirige cet endroit depuis...". Adama l'interrompt sévèrement : "Le Triumvirat dirige le Centre. Vous sortez, maintenant".

Momentanément indécise, Miss Parker dirige son regard vers son père, puis se tourne à nouveau vers Adama : "Vous touchez un cheveu de mon père, Adama...", siffle-t-elle, "et que Dieu me vienne en aide...". Adama coupe sa menace : "Je ne vous ai jamais aimée non plus".

A un autre bout de la pièce, Broots passe sa tête à travers les rideaux, et appelle doucement le nom de Miss Parker. Elle le congédie avec un "Pas maintenant, Broots". L'informaticien est mal à l'aise, s'éclaircit la voix, mais ne part pas. "Ce doit être maintenant", dit-il, comme il lui fait signe des yeux pou qu'elle vienne à lui. Miss Parker adresse encore à Adama un autre regard effronté et froid, puis marche jusqu'à l'endroit où le visage de Broots est encadré par les rideaux. Abaissant sa voix au plus simple chuchotement, il dit à Miss Parker qu'il a trouvé Jarod, puis rapidement retire sa tête et part. Miss Parker donne un dernier regard à son père, puis à Adama, avant de tourner les talons et de quitter la pièce par le passage dans les rideaux d'où Broots l'avait appelée.

 

Au musée Dennison à Boston, dans le Massachussetts, le professeur Jarod Dodson, en costume clair, avec des lunettes à montures noires (qui ne sont pas très seyantes, désolée pour les fans de MTW), saisit un distributeur de PEZ à tête de clown sur son bureau et l'utilise pour insérer un bonbon dans sa bouche. Il est au téléphone avec quelqu'un, disant : "C'est un ancien symbole en quelque sorte"., avec huit symboles de squelettes sur un cercle et un triangle (très sérieusement, je suis certaine d'avoir vu ce symbole ailleurs, sur fond bleu, mais je n'ai pas su le retrouver sur mon ordi. Je vous ferai signe si je remets la main dessus, surtout qu'à l'époque IOTH était loin d'être diffusé (cela fait peut-être deux ans !). Son excitation est perceptible quand il entend que la personne à l'autre bout de la ligne l'a vu. "Vous avez une adresse ?", veut-il savoir. Il commence à dire qu'il est très heureux de le "tenir" puisqu'il l'a cherché pendant des semaines.

Trop excité pour rester assis, Jarod saisit le téléphone et commence à faire les cent pas. Faisant cela, il entend le bruit d'une voiture qui s'arrête, très vite, dehors. C'est un son qu'il a entendu d'innombrables fois avant. C'est pourquoi il va regarder ce qu'il se passe. Deux étages en dessous, Jarod voit Miss Parker émergeant d'une voiture qui vient d'arriver. "Oh non", dit-il doucement, et il commence à presser la personne qui l'a placé en attente, jusqu'à ce qu'il comprenne que c'est impossible pour cette personne de l'entendre à travers le silence imposé par le bouton "Attente" du téléphone.

Miss Parker et deux Nettoyeurs sont entrés au rez-de-chaussée, dans le hall d'entrée du musée. Ses cheveux volant du fait de l'empressement de ses mouvements, elle demande au premier bureau de renseignements qu'elle voit après "Jarod Dodson".

Dans son bureau, Jarod répond à la voix au téléphone, tenant un carnet de notes devant lui comme il coince le combiné entre les carreaux et son cou. Il dit qu'il a un stylo et est en mesure d'écrire l'information qu'il cherche.

Miss Parker et son équipe sont montés maintenant, marchant aussi vite qu'ils peuvent sans cesser de courir réellement, en bas de l'un des couloirs qui mènent au bureau de Jarod.

La voix à l'autre bout du fil dit à Jarod que le symbole qu'il recherche est sur le mur à l'extérieur du Bar Alley Sports. Jarod écrit la position du symbole sur un morceau de papier jaune dans son carnet de notes. Puis il remercie la personne et rapidement commence à rassembler ses documents de travail qui sont répandus partout sur le bureau.

Miss Parker et son équipe tournent le dernier coin et ouvrent tout-à-coup le bureau de Jarod, l'arme à la main.

Mais le bureau est vide. Jarod a encore trouvé le moyen de lui échapper. "Trouvez-le !", ordonne Miss Parker aux Nettoyeurs, qui tournent les talons immédiatement et quittent le bureau.

Sur le bureau de Jarod, le distributeur de PEZ reste, mais il y a également un post-it collé dessus qui dit "Mlle Parker, désolé de t'avoir manqué. Jarod" (en VO "Miss P. Sorry I missed you. J.").

Le téléphone sonne dans la pièce et Miss Parker décroche, aboyant son habituel : "Quoi ?!" dans le récepteur. C'est Jarod. D'un ton semi-plaisantin, il lui dit : "Tu me poursuis depuis cinq ans. Pourquoi est-ce que tu ne me laisses pas tranquille ?" (Parce qu'elle t'aimes, Jay...). La réponse est classique (et mensongère, comme d'habitude. A force, on ne croit plus les excuses de MP...) : "Tu sais très bien que ça ne marche pas comme ça. Mon travail est de t'attraper et de te ramener au Centre. Tu fuis, je te poursuis, comme d'habitude". D'ailleurs, dit-elle, elle a besoin de réponses. Jarod veut savoir de quelles réponses elle a besoin. Miss Parker dit qu'elle veut savoir qui est réellement son père, qui elle est réellement. Après cinq ans de questions à propos des mêmes choses le concernant, Jarod est singulièrement impassible face à l'état de Miss Parker (petit commentaire : il marche sur les traces de Sydney...).

Il neige dehors et Jarod marche le long d'une allée (c'est le Noël de Jarod 5 ?! Chouette ! On met "Jingle Bark, Jingle Bark" en boucle : Wouah Wouah Wouah, Wouah Wouah Wouah... ;-)) ), parlant à Miss Parker avec un téléphone cellulaire. Elle demande à notre Jay international de dire ce qu'il pense du fax qu'ils ont tous les deux reçu - celui avec leurs mères ensemble (nota : envoyé par Raines dans "The Pretender 2001"). Jarod se moque d'elle : "Tu travailles pour le Centre. Je croyais que vous autres saviez tout !". La Miss est agacée : "Je sais qu'ils veulent toujours te récupérer". Saisissant la balle au bond, Jarod fait référence à ce que lui a dit Alex (cf "The Pretender 2001") : "Pourquoi , parce que je suis un Caméléon ? Parce que je peux devenir n'importe qui ? Je n'y crois plus... Il y a autre chose". Non seulement Miss Parker ne sait pas, mais elle n'est pas d'humeur à jouer, elle veut des réponses. Jarod lui confie finalement qu'il n'est pas sûr de ce qu'il en pense, mais quelque chose lui dit que c'est la clé du puzzle tout entier (oui, il a déjà dit cela à la fin de TP2001...) et quiconque le reconstitue gagne. Là-dessus, il coupe la connection. Un moment après, Miss Parker entend le klaxon de sa voiture. Tracassée, elle va à la fenêtre et regarde. Son tendre et cher Jarodinou (j'aime bien l'appeler comme ça ;-)~~ ) est justement en train de rentrer dans la voiture de la Dragon Lady et lui fait un petit signe avec un sourire alors qu'il s'éloigne à son bord... (MDR !!). Enervée, Miss Parker retourne au bureau de Jarod et balance avec fracas le distributeur de PEZ avec le téléphone (la sauvage !...). Mais en-dessous du distributeur de PEZ se trouve un agrandissement d'une photo d'une pierre où est taillé un cercle, avec huit symboles de squelettes sur la circonférence.

 

Miss Parker rentre au Centre, à bout de nerfs (comme la fois où elle a arrêté de fumer...). Elle consulte ses compères Broots et Sydney. Mais ceux-ci ne connaissent pas le symbole qu'elle a trouvé et, malgré leurs recherches, ne parviennent pas à comprendre ce que cela peut être. La seule chose qu'ils savent, c'est que Jarod ne travaillait absolument que sur ce projet depuis son arrivée au Musée. Sydney quitte le bureau. Soudain, regardant la photo de Margareth et Catherine, la Miss constate, grâce à une loupe rectangulaire, que le symbole est dessus.

 

Le propriétaire du Bar Alley Sports est en train d'enlever des boîtes du sous-sol quand il aperçoit Jarod regarder et caresser le symbole avec les têtes de squelettes sur le mur, chaché partiellement derrière le lierre, il s'étonne. Il dit à Jarod que la plupart des gens ne remarquent pas cette bête chose. Jarod explique que ce symbole sur le mur est la raison pour laquelle il est là, que c'est sa recherche en "symbologie" (je crois que c'est un néologisme... Vérification... en effet, bref, on va dire "étude des symboles", OK ?) qui l'a mené à cette construction.

Le propriétaire annonce à Jarod qu'il est juste arrivé à temps pour leur vente "sortie de commerce" et jure que l'endroit a un "mojo" dessus. Jarod ne comprend pas le mot "mojo" (qu'il se rassure, moi non plus !!). L'autre homme lui explique que n'importe où en dehors de ce bâtiment, cela fonctionne, mais ici non. Le bar pourrait bien marcher poirtant, il y a tout près une université, un excellent emplacement, toutefois ils ne viennent pas se rencontrer à la fin des cours.

Jarod dit au propriétaire qu'il est à la recherche de quelqu'un qui a du venir là il y a des années... Quelqu'un qui a du s'intéresser au symbole sur le mur. Le propriétaire confie qu'il appelle cela les "huit fous" car cela représente "huit hommes morts autour d'un cercle plus qu'autre chose". Il commence à expliquer que tout a commencé avec les Vespasiens, une société secrète qui fut fondée il y a à peu près cent ans dans le même bâtiment. Il poursuit : "La rumeur dit qu'un immigrant avait monté une affaire ici, et ammassé une fortune en tenant des réunions genre "adoration du Diable" au sous-sol". Jarod s'étonne : "Vous ne trouvez pas ça un peu tiré par les cheveux ?". Le propriétaire acquiesce : "Oui, c'est aussi ce que j'ai pensé au départ. Jusqu'à ce que l'on fasse des travaux de rénovation au sous-sol et qu'on trouve tout un tas de trucs".

Il montre à Jarod l'espace du sous-sol dans lequel les découvertes furent faites par un plombier qui tentait d'ajouter une seconde ligne d'égoût pour le bar à l'étage. Dans un des murs, il y a une niche qui contient plusieurs objets lesquels possèdent le même symbole que celui présent sur le mur à l'extérieur. Parmi les objets se trouve une carte, indiquant des îles d'Ecosse, qui attire immédiatement l'attention de Jarod. Tandis que Jarod observe cela, le propriétaire note qu'un objet a disparu : "Il y avait une boîte bleue, avec un coeur sculpté dessus, et une poupée en porcelaine à l'intérieur. La dame a du la prendre". L'allusion à une femme venue là avant lui conduit Jarod à détourner son attention de la carte : "La dame ?". "Oui", répond le propriétaire", "une dame est venue ici il y a quelques jours". Jarod décrit alors Miss Parker au propriétaire, pensant que d'une façon ou d'une autre elle l'a précédé à cet endroit : "Laissez-moi deviner : elle était brune, grande, des jambes splendides". Le portrait suprend son interlocuteur : "Non, je n'ai pas eu cette chance. C'était une dame plus âgée. Elle a posé des questions sur les symboles et sur les Vespasiens". Jarod montre alors une photo de sa mère (qu'il a toujours avec lui). A sa grande surprise, le propriétaire la reconnaît tout de suite. Jarod est incrédule ! Il demande alors si la femme a dit où elle allait. L'homme lui répond qu'elle a dit qu'elle retournait à l'endroit d'où l'homme qui avait construit la tombe dans la niche venait : une île d'Ecosse, appelée Carthis. Abasourdi par les informations, Jarod jette un coup d'oeil aux autres objets dans la niche.

 

De retour au Centre, Broots et Sydney découvrent Mlle Parker se faisant une prise de sang. Alarmé, Broots se précipite et lui demande ce qu'elle fait.

Le

 

 

 

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