Carnets SL27 Chronologie Episodes Secrets Refuge
Island of the Haunted
Le résumé non résumé... (préliminaire à la diffusion)
Alors, j'explique d'abord mon codage :
- en blanc, vous avez la narration, ce que
font les personnages et du discours indirect.
- en bleu, et entre
guillemets, vous avez les dialogues (traduits de l'anglais, donc
pardon si cela ne correspond pas tout à fait avec la VF. A
l'heure où j'écris ces mots, le téléfilm n'est pas encore
diffusé en France - mais bientôt en Belgique, alors je ferais
peut-être une nouvelle page, sauf s'il n'y a pas de changement
important)
- en vert, et entre parenthèses,
mes commentaires personnels, plus ou moins utiles...
Ce résumé a été TRES TRES LONG à réaliser, et au final il fait 20 pages manuscrites écrites en pattes de mouches... Il est donc INTERDIT de le copier, comme tous les autres textes de ce site...
Le film commence la nuit. Se déplaçant promptement
d'un bout à l'autre de corridors d'un niveau souterrain du
Centre inconnu, quatre hommes travaillent sur un passage du côté
duquel deux Nettoyeurs montent la garde, devant une cave. Juste
avant que les inconnus ne tournent le coin qui révèle la porte
de la cave, les Nettoyeurs les entendent mais quand bien même
ils se seraient cachés, avant que l'un d'eux puisse appeler à
l'aide, ils sont abattus par les mystérieux intrus.
Toujours bougeant rapidement, deux des hommes
placent des explosifs à des endroits stratégiques sur la porte
de la cave. Il se produit une petite détonation. Les hommes
ouvrent la porte. La pièce qui apparaît ressemble fortement à
un jeu de Mikado pour enfant, représenté par les tiges rouges
de rayons laser. Au-delà de l'enchevêtrement de jets de lumière,
il y a un piédestal, sur lequel est posé un unique coffre.
L'un des hommes roule adroitement sur le sol et
commence à avancer en-dessous des traits de lumière rouge.
Aussitôt qu'il est en position, il ajuste un dispositif, d'un
simple mouvement, en deux parties, à la source d'un rayon. Quand
le contact est établi, le rayon laser de la cave s'éteint.
Alternativement glissant et rampant sous les rayons restants,
l'homme met hors d'état l'un d'entre eux, un à la fois, jusqu'à
ce que la pièce soit totalement dépourvue des lumières rouges
et brillantes.
Finalement, l'homme se lève et fait un signe de tête
à ses compagnons, qui attendaient près de la porte de la cave.
Ils commencent à marcher vers le piédestal en haut duquel on
distingue bien le coffre, le seul qu'on puisse facilement ouvrir
sur le devant sans manipulation compliquée. L'homme remue
doucement le dessus du coffre pour faire sauter les gonds. Des
chaînes délicates en or empêchent le couvercle de s'ouvrir
trop fort. Comme il fait cela, l'homme annnce, très fier :
"Voici
les parchemins...". Il ouvre la porte du coffre,
dignement.
A l'intérieur de cette boîte de métal blindée,
garnie de velours, il y a seulement deux échancrures à
contempler, et des niches qui ont peut-être contenu un jour des
parchemins mais qui maintenant sont vides. Abasourdi momentanément,
dans le plus grand silence, l'homme regarde avec ébahissement.
Puis il annonce à ses compagnons : "Ils ne sont pas là
!".
Apparemment, il n'est pas heureux d'avoir à leur dire cela...
Générique.
Dans une pièce du Centre qui se trouve être
l'infirmerie, ou qui a été aménagée pour en être une avec
des toiles blanches, M. Parker est assis sur une chaise roulante,
regardant fixement et droit devant lui. Il porte une robe de
chambre écossaise (Ils aiment l'Ecosse, les Parker...) à carreaux et il y
a un pansement sur le côté gauche de son front. Miss Parker le
supplie de lui parler, mais son père demeure silencieux et
continue de regarder fixement devant lui. Frustrée, Miss Parker
dit : "Ce n'est pas ce qui aurait du se passer". Une larme
coule sur la joue de M. Parker. On aperçoit un docteur habillé
de blanc dans la pièce. Il a examiné M. Parker en dirigeant le
faisceau d'un crayon-lampe dans ses yeux. Il explique alors à
Miss Parker : "La catatonie est un trouble schyzophrénique,
caractérisée par un état d'abrutissement et par le mutisme. Il
ne fait aucun doute que la blessure causée par le coup de feu
qu'il a reçu dans la tête en est la cause". Miss Parker
demande alors un peu naïvement : "Vous ne pouvez pas
le "réveiller"?". Le médecin répond doucement :
"Oh,
il est réveillé. Il est simplement pris au piège dans
un corps qui ne répond pas".
Miss Parker annonce : "Je voudrais être
seule avec mon père". Le médecin quitte la pièce et la
jeune femme commence à parler : "Si tu es bel et bien
mon père... Papa... Est-ce que tu es là, Papa ?". Elle déploie
la photo réunissant la mère de Jarod et la sienne qui leur a été
faxée à tous les deux, et demande à son père s'il sait
quelque chose à propos de cela. L'état de M. Parker ne change
pas. Miss Parker veut savoir s'il a une idée de ce qu'elles font
ensemble et dit qu'elle n'avait jamais su qu'elles se
connaissaient. M. Parker ne bouge toujours pas. Gentiment, elle
l'embrasse et pose sa tête contre sa poitrine, lui demandant
s'il se pourrait qu'il veuille lui dire quelque chose à ce
propos.
La scène est interrompue par Lyle, qui écarte les
rideaux et appelle : "Eh, Soeurette !". Immédiatement, l'attitude
de Miss Parker change. Elle s'éloigne rapidement de son père et
dévisage son frère à la place. Les rideaux bougent toujours
derrière Lyle, la main de celui-ci toujours sur eux. Les hommes
ayant tué les Nettoyeurs et fouillé la cave à la recherche des
parchemins sont visibles, se tenant juste de l'autre côté des
rideaux. Lyle annonce alors : "Il faut que tu sortes de là". Miss Parker
demande instantanément : "Pourquoi ?". Secouant la
tête pour indiquer les hommes derrière les rideaux, Lyle répond
: "Ils
l'ont dit". Miss Parker veut savoir ce qu'Adama (celui qui avait
ouvert le coffre, membre du Triumvirat, un grand Noir à l'air
peu sympathique, avec des lunettes) et ses "toutous" du
Triumvirat font là. Lyle répond : "Maintenant que notre
père est réveillé et...". Il hésite un moment, puis continue :
"...conscient,
Adama veut que son équipe se charge de sa protection. Ils
veulent qu'il soit isolé". Parlant à Lyle, tout en souriant (hypocritementà
à Adama en arrière-plan, Miss Parker réplique : "Pourquoi ? Ils ont
peur de ce qu'il pourrait dire ou de ce qu'il pourrait révéler
?"
Lyle ferme les rideaux derrière lui, s'approche de
Miss Parker et dit qu'il ne sait pas, mais qu'il a l'impression
que cela a quelque chose à voir avec une cave qu'Adama et ses
hommes ont mise en pièces au SL-15 (sous-terrain 15) la nuit précédente.
Miss Parker montre un vif intérêt pour ces dernières nouvelles.
Elle est curieuse de savoir ce qu'ils cherchaient. Lyle déclare
ne rien savoir. Miss Parker continue de questionner, cette fois méditant
à haute voix pour savoir si Raines pourrait être impliqué.
Lyle dit qu'il en doute, du fait que M. Raines n'est pas réapparu
depuis son ancienne disparition. Il ajoute : "La vérité, c'est
que je n'en sais rien et que je m'en fiche. Quand ces dingues de
Zoulous sont aussi furieux que ça, je me contente de suivre les
ordres".
Lyle marche vers M. Parker, agite sa main de haut en
bas devant son visage, fait claquer ses doigts. M. Parker demeure
tel une statue. Lyle poursuit : "Et maintenant, avec
le cerveau de Papa réduit à l'état de marmelade, ils ont
besoin que quelqu'un d'autre prenne les choses en charge ici...".
Toujours se penchant sur M. Parker, Lyle tourne sa tête
vers Miss Parker, lui fait un clin d'oeil, puis dit : "Considère que je
suis candidat".
Interrompant toute discussion, Lyle réagit à
l'arrivée de quelqu'un derrière Miss Parker. Celle-ci se
retourne pour se trouver face à face avec l'imposante figure
d'Adama, qui ne semble pas du tout apprécier la situation. D'un
ton glacial, il déclare : "Et voilà une Parker de plus...
Etonné de vous voir ici". Défiante, Miss Parker réplique :
"Vraiment
? Considérant que ma famille dirige cet endroit depuis...". Adama
l'interrompt sévèrement : "Le Triumvirat dirige le Centre. Vous
sortez, maintenant".
Momentanément indécise, Miss Parker dirige son
regard vers son père, puis se tourne à nouveau vers Adama :
"Vous
touchez un cheveu de mon père, Adama...", siffle-t-elle,
"et
que Dieu me vienne en aide...". Adama coupe sa menace :
"Je
ne vous ai jamais aimée non plus".
A un autre bout de la pièce, Broots passe sa tête
à travers les rideaux, et appelle doucement le nom de Miss
Parker. Elle le congédie avec un "Pas maintenant,
Broots".
L'informaticien est mal à l'aise, s'éclaircit la voix, mais ne
part pas. "Ce doit être maintenant", dit-il,
comme il lui fait signe des yeux pou qu'elle vienne à lui. Miss
Parker adresse encore à Adama un autre regard effronté et
froid, puis marche jusqu'à l'endroit où le visage de Broots est
encadré par les rideaux. Abaissant sa voix au plus simple
chuchotement, il dit à Miss Parker qu'il a trouvé Jarod, puis
rapidement retire sa tête et part. Miss Parker donne un dernier
regard à son père, puis à Adama, avant de tourner les talons
et de quitter la pièce par le passage dans les rideaux d'où
Broots l'avait appelée.
Au musée Dennison à Boston, dans le Massachussetts,
le professeur Jarod Dodson, en costume clair, avec des lunettes
à montures noires (qui ne sont pas très seyantes, désolée
pour les fans de MTW), saisit un distributeur de PEZ à tête de
clown sur son bureau et l'utilise pour insérer un bonbon dans sa
bouche. Il est au téléphone avec quelqu'un, disant : "C'est un ancien
symbole en quelque sorte"., avec huit symboles de squelettes sur
un cercle et un triangle (très sérieusement, je suis certaine
d'avoir vu ce symbole ailleurs, sur fond bleu, mais je n'ai pas
su le retrouver sur mon ordi. Je vous ferai signe si je remets la
main dessus, surtout qu'à l'époque IOTH était loin d'être
diffusé (cela fait peut-être deux ans !). Son excitation est
perceptible quand il entend que la personne à l'autre bout de la
ligne l'a vu. "Vous avez une adresse ?", veut-il
savoir. Il commence à dire qu'il est très heureux de le "tenir"
puisqu'il l'a cherché pendant des semaines.
Trop excité pour rester assis, Jarod saisit le téléphone
et commence à faire les cent pas. Faisant cela, il entend le
bruit d'une voiture qui s'arrête, très vite, dehors. C'est un
son qu'il a entendu d'innombrables fois avant. C'est pourquoi il
va regarder ce qu'il se passe. Deux étages en dessous, Jarod
voit Miss Parker émergeant d'une voiture qui vient d'arriver.
"Oh
non",
dit-il doucement, et il commence à presser la personne qui l'a
placé en attente, jusqu'à ce qu'il comprenne que c'est
impossible pour cette personne de l'entendre à travers le
silence imposé par le bouton "Attente" du téléphone.
Miss Parker et deux Nettoyeurs sont entrés au rez-de-chaussée,
dans le hall d'entrée du musée. Ses cheveux volant du fait de
l'empressement de ses mouvements, elle demande au premier bureau
de renseignements qu'elle voit après "Jarod Dodson".
Dans son bureau, Jarod répond à la voix au téléphone,
tenant un carnet de notes devant lui comme il coince le combiné
entre les carreaux et son cou. Il dit qu'il a un stylo et est en
mesure d'écrire l'information qu'il cherche.
Miss Parker et son équipe sont montés maintenant,
marchant aussi vite qu'ils peuvent sans cesser de courir réellement,
en bas de l'un des couloirs qui mènent au bureau de Jarod.
La voix à l'autre bout du fil dit à Jarod que le
symbole qu'il recherche est sur le mur à l'extérieur du Bar
Alley Sports. Jarod écrit la position du symbole sur un morceau
de papier jaune dans son carnet de notes. Puis il remercie la
personne et rapidement commence à rassembler ses documents de
travail qui sont répandus partout sur le bureau.
Miss Parker et son équipe tournent le dernier coin
et ouvrent tout-à-coup le bureau de Jarod, l'arme à la main.
Mais le bureau est vide. Jarod a encore trouvé le
moyen de lui échapper. "Trouvez-le !", ordonne Miss
Parker aux Nettoyeurs, qui tournent les talons immédiatement et
quittent le bureau.
Sur le bureau de Jarod, le distributeur de PEZ
reste, mais il y a également un post-it collé dessus qui dit
"Mlle
Parker, désolé de t'avoir manqué. Jarod" (en VO "Miss P. Sorry I
missed you. J.").
Le téléphone sonne dans la pièce et Miss Parker décroche,
aboyant son habituel : "Quoi ?!" dans le récepteur. C'est
Jarod. D'un ton semi-plaisantin, il lui dit : "Tu me poursuis
depuis cinq ans. Pourquoi est-ce que tu ne me laisses pas
tranquille ?" (Parce qu'elle t'aimes, Jay...). La réponse est
classique (et mensongère, comme d'habitude. A force,
on ne croit plus les excuses de MP...) : "Tu sais très bien
que ça ne marche pas comme ça. Mon travail est de t'attraper et
de te ramener au Centre. Tu fuis, je te poursuis, comme
d'habitude". D'ailleurs, dit-elle, elle a besoin
de réponses. Jarod veut savoir de quelles réponses elle a
besoin. Miss Parker dit qu'elle veut savoir qui est réellement
son père, qui elle est réellement. Après cinq ans de questions
à propos des mêmes choses le concernant, Jarod est singulièrement
impassible face à l'état de Miss Parker (petit commentaire :
il marche sur les traces de Sydney...).
Il neige dehors et Jarod marche le long d'une allée
(c'est
le Noël de Jarod 5 ?! Chouette ! On met "Jingle Bark,
Jingle Bark" en boucle : Wouah Wouah Wouah, Wouah Wouah
Wouah... ;-)) ), parlant à Miss Parker avec un téléphone
cellulaire. Elle demande à notre Jay international de dire ce
qu'il pense du fax qu'ils ont tous les deux reçu - celui avec
leurs mères ensemble (nota : envoyé par Raines dans
"The Pretender 2001"). Jarod se moque d'elle : "Tu travailles pour
le Centre. Je croyais que vous autres saviez tout !". La Miss est
agacée : "Je sais qu'ils veulent toujours te récupérer". Saisissant
la balle au bond, Jarod fait référence à ce que lui a dit Alex
(cf
"The Pretender 2001") : "Pourquoi , parce que
je suis un Caméléon ? Parce que je peux devenir n'importe qui ?
Je n'y crois plus... Il y a autre chose". Non
seulement Miss Parker ne sait pas, mais elle n'est pas d'humeur
à jouer, elle veut des réponses. Jarod lui confie finalement
qu'il n'est pas sûr de ce qu'il en pense, mais quelque chose lui
dit que c'est la clé du puzzle tout entier (oui, il a déjà
dit cela à la fin de TP2001...) et quiconque le reconstitue gagne.
Là-dessus, il coupe la connection. Un moment après, Miss Parker
entend le klaxon de sa voiture. Tracassée, elle va à la fenêtre
et regarde. Son tendre et cher Jarodinou (j'aime bien
l'appeler comme ça ;-)~~ ) est justement en train de rentrer dans la
voiture de la Dragon Lady et lui fait un petit signe avec un
sourire alors qu'il s'éloigne à son bord... (MDR !!). Enervée, Miss
Parker retourne au bureau de Jarod et balance avec fracas le
distributeur de PEZ avec le téléphone (la sauvage !...). Mais en-dessous du
distributeur de PEZ se trouve un agrandissement d'une photo d'une
pierre où est taillé un cercle, avec huit symboles de
squelettes sur la circonférence.
Miss Parker rentre au Centre, à bout de nerfs (comme
la fois où elle a arrêté de fumer...). Elle consulte ses compères
Broots et Sydney. Mais ceux-ci ne connaissent pas le symbole
qu'elle a trouvé et, malgré leurs recherches, ne parviennent
pas à comprendre ce que cela peut être. La seule chose qu'ils
savent, c'est que Jarod ne travaillait absolument que sur ce
projet depuis son arrivée au Musée. Sydney quitte le bureau.
Soudain, regardant la photo de Margareth et Catherine, la Miss
constate, grâce à une loupe rectangulaire, que le symbole est
dessus.
Le propriétaire du Bar Alley Sports est en train
d'enlever des boîtes du sous-sol quand il aperçoit Jarod
regarder et caresser le symbole avec les têtes de squelettes sur
le mur, chaché partiellement derrière le lierre, il s'étonne.
Il dit à Jarod que la plupart des gens ne remarquent pas cette bête
chose. Jarod explique que ce symbole sur le mur est la raison
pour laquelle il est là, que c'est sa recherche en "symbologie"
(je crois que c'est un néologisme... Vérification... en effet,
bref, on va dire "étude des symboles", OK ?) qui l'a
mené à cette construction.
Le propriétaire annonce à Jarod qu'il est juste
arrivé à temps pour leur vente "sortie de commerce"
et jure que l'endroit a un "mojo" dessus. Jarod ne
comprend pas le mot "mojo" (qu'il se rassure, moi non
plus !!). L'autre homme lui explique que n'importe où en dehors
de ce bâtiment, cela fonctionne, mais ici non. Le bar pourrait
bien marcher poirtant, il y a tout près une université, un
excellent emplacement, toutefois ils ne viennent pas se
rencontrer à la fin des cours.
Jarod dit au propriétaire qu'il est à la recherche
de quelqu'un qui a du venir là il y a des années... Quelqu'un
qui a du s'intéresser au symbole sur le mur. Le propriétaire
confie qu'il appelle cela les "huit fous" car cela représente
"huit hommes morts autour d'un cercle plus qu'autre chose".
Il commence à expliquer que tout a commencé avec les
Vespasiens, une société secrète qui fut fondée il y a à peu
près cent ans dans le même bâtiment. Il poursuit : "La
rumeur dit qu'un immigrant avait monté une affaire ici, et
ammassé une fortune en tenant des réunions genre "adoration
du Diable" au sous-sol". Jarod s'étonne : "Vous
ne trouvez pas ça un peu tiré par les cheveux ?". Le
propriétaire acquiesce : "Oui, c'est aussi ce que j'ai pensé
au départ. Jusqu'à ce que l'on fasse des travaux de rénovation
au sous-sol et qu'on trouve tout un tas de trucs".
Il montre à Jarod l'espace du sous-sol dans lequel
les découvertes furent faites par un plombier qui tentait
d'ajouter une seconde ligne d'égoût pour le bar à l'étage.
Dans un des murs, il y a une niche qui contient plusieurs objets
lesquels possèdent le même symbole que celui présent sur le
mur à l'extérieur. Parmi les objets se trouve une carte,
indiquant des îles d'Ecosse, qui attire immédiatement
l'attention de Jarod. Tandis que Jarod observe cela, le propriétaire
note qu'un objet a disparu : "Il y avait une boîte bleue,
avec un coeur sculpté dessus, et une poupée en porcelaine à
l'intérieur. La dame a du la prendre". L'allusion à une
femme venue là avant lui conduit Jarod à détourner son
attention de la carte : "La dame ?". "Oui", répond
le propriétaire", "une dame est venue ici il y a
quelques jours". Jarod décrit alors Miss Parker au propriétaire,
pensant que d'une façon ou d'une autre elle l'a précédé à
cet endroit : "Laissez-moi deviner : elle était brune,
grande, des jambes splendides". Le portrait suprend son
interlocuteur : "Non, je n'ai pas eu cette chance. C'était
une dame plus âgée. Elle a posé des questions sur les symboles
et sur les Vespasiens". Jarod montre alors une photo de sa mère
(qu'il a toujours avec lui). A sa grande surprise, le propriétaire
la reconnaît tout de suite. Jarod est incrédule ! Il demande
alors si la femme a dit où elle allait. L'homme lui répond
qu'elle a dit qu'elle retournait à l'endroit d'où l'homme qui
avait construit la tombe dans la niche venait : une île
d'Ecosse, appelée Carthis. Abasourdi par les informations, Jarod
jette un coup d'oeil aux autres objets dans la niche.
De retour au Centre, Broots et Sydney découvrent
Mlle Parker se faisant une prise de sang. Alarmé, Broots se précipite
et lui demande ce qu'elle fait.
Le
For members of The Centre use only