Carnets SL27 Chronologie Épisodes Secrets Refuge
Fuir pour survivre (page 2)
Auteur : Dana (de The Pretender Forum)
Où le situer : Selon les propos de Dana, c'est une suite de IOTH et une fin.
Notes : C'est ce qu'on appelle un bonheur pour shippers... lol J'adore ce fanfic, il y a un suspense insoutenable (alors sur le forum, qd il faut en plus attendre pour avoir la suite, je ne vous dis pas... Heureusement que j'étais ne vacances, je devenais dingue sinon !!)
Note finale : Ah !!! Ce que c'est beau (et bien écrit, Dana !)
-Ah Raines ! Je vous cherchais ! ,Sydney lappella
juste avant quil ouvre la porte.
- Sydney -*crissement*- jallais partir déjeuner mais jai
oublié mes clefs de voiture -*crissement*-.
- Je voulais justement vous voir, si nous allions déjeuner ?
- Cest une très bonne idée - *crissement* .
Broots sentit les battements de son cur saccélérér,
la poignée de la porte venait de bouger, Raines allait entrer.
Sydney essayait de dissuader désespérément Raines dentrer
dans le bureau.
- Je peux vous y conduire, jai beaucoup de questions à
vous poser.
- *crissement* Avec un chauffeur en plus - *crissement* - daccord.
Raines lâcha la poignée, au grand soulagement de Broots et
suivit Sydney à lextérieur, linformaticien respira
longuement
MP avait prit son temps, pourvu que Broots réussisse, sinon ils
se trouveraient tous les 3 dans un drôle de pétrin et en plus
par sa faute ! Elle arriva devant la porte, les nettoyeurs la
laissèrent entrer cette fois sans la suivre, ils avaient compris
le message, pensa t-elle.
Jarod marchait de long en large de sa cellule, comme promis ses
poignets étaient détachés. Quand il la vit, il sourit.
- Alors tu as
- Jarod
Elle savança et attrapa les barreaux.
- Je nai que très peu de temps, Broots a trafiqué la caméra
de surveillance. Jarod, je veux te faire sortir dici.
Il ne croyait pas ce quil venait dentendre, elle
allait laider à senfuir, elle, celle qui lavait
pourchassé pendant tant dannées avec un acharnement sans
pareille !
- Je ne sais pas comment my prendre, connais tu un moyen de
sortir dici ?
- Je me suis déjà enfui, je pourrais recommencer, mais pas de
cette prison, mais Raines et Lyle
- Ne toccupe pas deux, en ce qui les concerne je sais
quoi faire.
Il hésita un instant mais finalement osa, il posa ses mains sur
les siennes, laissant libre court à la douceur de cet instant
tant attendu, elle ne les retira pas. Sans dire un mot, ils se
parlèrent du regard, profitant de cette precieuse parenthèse
hors du temps en savourant un plaisir quils setaient
toujours refusé
.
Elle perdit complètement la notion du temps et oublia que les
minutes défilaient et quelle ne devait pas sattarder.
Broots, en pleine crise de panique toujours enfermé dans le
bureau de Mr Parker, brisa ce moment magique.
Elle attrapa le talkie-walkie et le colla contre son
oreille,Jarod la fixait, admirant ses moindres faits et gestes,
elle était magnifique !
- Melle Parker que faites vous ? Il faut remonter, bredouilla t-il
- Tout doux, Broots, j arrive !
Elle replongea ses yeux dans ceux de Jarod.
- Je dois y aller.
Il quitta ses mains pour caresser sa joue ne quittant toujours
pas ses yeux.
- Je vais te faire sortir dici, Jarod.
Elle posa sa main sur la sienne puis la retira et sortit.
Melle Parker, de retour à son bureau ne
pensait plus qua une chose : Jarod.
Autant la dernière fois sur lîle elle avait réussi à se
convaincre que lattirance quelle avait ressenti à
son égard sexpliquait par létat de faiblesse où
elle se trouvait à ce moment là mais aujourdhui elle ne
pouvait se le cacher, il se passait réellement quelque chose
entre eux
Il fallait absolument quelle le sorte de là
!
- Oh Melle Parker ! Cette fois jai bien cru que jallais
y rester.
Broots venait dentrer en claquant violemment la porte,
toujours sous leffet de la peur quil venait de
ressentir.Voyant quelle ne lécoutait quà
moitié, il lappella :
- Melle Parker ?
Elle émergea :
- Oui
- Vous avez dit OUI ? sétonna t-il
- QUOI Broots ?
- Je vous disais que nous lavions échappé belle et Sydney
est parti déjeuner avec Raines, AAAAAAAAAhhhh, rien que dy
penser, il ne va rien pouvoir avaler. Avez vous parlé à Jarod ?
- Oui, nous avons parlé.
Sydney entra, au désespoir de Broots, qui navait pas pu
satisfaire sa curiosité.
-Alors docteur Freud, vos impressions sur ce déjeuner en compagnie
du charmant Docteur Raines ? se moqua t-elle.
- Figurez vous que cétait enrichissant, il peut savérer
très interéssant,même si nous ne partageons pas les mêmes
points de vues.
Broots fit une grimace.
- Arrêtez Sydney, sinon un jour la gentillesse vous tuera,
ajouta t-elle.
Depuis près de 3 heures, Sydney lisait,
Broots écoutait la télé enchainant des émissions plus débiles
les unes que les autres, pour couronner le tout en riant bêtement,
et elle réfléchissait. Aucune solution valable pour sortir
Jarod ne lui venait à lesprit, elle décida finalement
quelle improviserait. Mais à quoi bon attendre ? Autant passer
à laction tout de suite, elle se leva, avança jusquau
poste de télé et létéignit dans un soufflement agacé
de Broots.
- Venez Broots, Sydney ?
Il leva la tête de son bouquin.
- Oui ?
- Je voudrais vous parler.
Elle sassit sur le bureau ou Sydney était accoudé et
Broots les rejoingnit.
- Qu'y a t-il Parker ? Interrogea Sydney.
- Je vais faire sortir Jarod, murmura t-elle de peur quune
personne indésirable ne la surprenne.
- Quoi ? mais vous êtes folle ! hurla Broots
- Chut ! Parlez moins fort
- Pardon, mais si Raines
- Foutez-moi la paix avec votre phobie ridicule , Raines ne me
fait pas peur !
- Mais, je suppose que vous avez un plan ?
- A vrai dire ?
Non, mais dès que Jarod sera libre il
trouvera sans doute un moyen.
- Non, je ne veux pas que vous y allez, vous allez finir comme
votre mère
, Broots sarrêta concient de ce quil
venait de dire, oh pardon, je ne voulais pas
- Ce nest rien Broots, je viens de comprendre ce qui a
poussé ma mère à donner sa vie pour sauver jarod et je suis prête
à faire le même sacrifice, il le mérite.
Sydney pensa à ce que Catherine lui avait confié, quelques
jours avant sa mort, ses voix lui avait dit que Jarod et sa fille
tomberaient secrètementt amoureux lun de lautre et
quun jour sa fille tenterait tout même jusqu'à risquer sa
vie pour le sauver, et si elle réussissait, ils seraient reunis
pour léternité
ensemble, ils deviendraient plus
forts que tout. Au fond de lui-même Sydney avait toujours voulu
croire que cet amour existait.
Broots continuait à mettre tout en euvres pour la dissuader :
- Oui mais nous Melle
- Je tiens à le faire seule, je ne veux pas de votre aide, dès
que je serai sortie, je vous demande de quitter le Centre pour
que vous ne soyez en rien impliqués dans cette histoire, Debbie
a besoin de vous et vous Sydney, vous avez déjà tant perdu
.
Broots eu envie de lui dire ce quil avait sur le cur.
Il hésita mais finalement se lança, mais en modifiant légèrement
sa pensée
- Nous avons besoin de vous.
- Attendez un peu Broots avant de me mettre sous terre, dit elle
un sourire jaune aux lèvres qui montrait quelle essayait de se
rassurer elle-même ; mais si par malheur cela devait se terminer
différemment que ce que jespérais noubliez pas dembrasser
Debbie pour moi et de lui dire quelle profite du Papa formidable
quelle a et quelle soit consciente quelle a beaucoup de chance.
Elle sourit à Broots qui lui était à deux doigts déclater
en sanglots, elle le serra timidement dans ses bras ce qui étonna
fort linformaticien, elle fit de même à Sydney en lui
faisant promettre :
- Et vous, veillez bien sur votre famille et sur vous .
Elle ouvrit le tiroir de son bureau et chargea son arme. Les deux
hommes admiraient cette femme, qui se lançait seule dans une
bataille sans pitié contre plusieurs hommes avec un courage, une
force et une obstination incroyable.
Avant de quitter son bureau elle se tourna vers eux :
- Et merci davoir toujours était là pour moi et de mavoir
acceptée comme amie.
En quittant la pièce ,Parker avait laissé
un silence de mort,Broots lebrisa :
- Nous ne pouvons pas la laisser seule,sécria-t-il,je ne
sais pas ce que vous en pensez mais elle à toujours était là
pour nous et
Sydney leva un doigt faisant comprendre à Broots de se taire, il
fouilla dans un de ses tirroirs et en sortit son arme qui navait
encore jamais servi.
- Sydney, quallez vous faire avec ça ?demandaBroots.
- Venir en aide à Melle Parker.
- Mais
- Baissez dun ton Broots, suivez moi
Sydney chargea son arme et la rangea soignesement dans son
pantalon.
Puis ils sortirent et traversèrent le Hall, par bonheur ils ne
croisèrent personne car bien quil essayer de le cacher
Broots parraissait extrêmement nerveux, il courait derrière
Sydney, regardant de tous les côtés. Ils entrèrent dans le
bureau de MP, Sydney cherchait quelque chose dans les tiroirs.
- Qu'est-ce que vous cherchés ?
- Larme du major Charles.
- Celle qui devait tuer la mère de Melle Parker ? Mais pourquoi
?
A présent Broots tremblait de la tête au pied
- Ah ! la voilà !
Il posa larme dans les mains de Broots qui faillit la faire
tomber sous la pression.
- Oh non ! Sydney, ne mobligez pas, supplia-t-il
- Vous voulez aider Parker oui ou non ?
- Bien sûr, mais
- Vous en aurez besoin pour vôte sécuritée
- Mais je ne sais pas
- Mais si, quand le moment viendra vous saurez, faites moi
confiance.
Les nettoyeurs laissèrent entrer seule MP
comme la fois précédente. Jarod couchait sur son lit, se leva
quand il la vit entrer.
- On sen va Jarod.
Elle sortit son arme
- Recule toi
Il exécuta sa volontée.
Elle tira une balle dans la serrure qui résista mais qui
succomba sous leffet de la deuxième. Jarod lui sourit mais
ce sourire sestompa quand l'alarme de sécurité retentit.
Les deux nettoyeurs entrèrent,elle ne leurs laissa pas le temps
de tenter quoi que ce soit, elle tira deux balles et ils sécroulèrent.
Elle ouvrit la porte, lui prit la main, le tirant vers la sortie.
- Attends,la stoppa Jarod
Il lattira contre lui et lembrassa tendrement. (Il était
temps
et cette fois pas dOcee chiante au possible pour
tout gâcher).
- Ca veut dire merci ? demanda t-elle en lui souriant.
- Non, juste un je taime.
Elle lui sourit à nouveau, et il l'attira à son tour vers la
sortie.
Elle ne le lâcha pas, ils coururent ensemble dans les sombres et
long couloirs souterrains.
Arrivé à un carrefour, ils négligèrent de regarder des
deux côtés et bien sûr Lyle surgit d'on ne sait où attrapant
sa sur et collant son revolver contre sa tempe.
MP jeta son arme sur le sol, espérant que
Jarod puisse sen servir. Il se baissa rapidement mais Lyle
larreta :
- Non Jarod, je ne fairais pas cela si jétais toi, enfin
sauf si tu ne tiens pas à ma sur ce qui métonnerait
fort.
Jarod se redressa.
- Désolé mais tu nira pas plus loin, tu es ici chez toi.
Oh soeurette ! Quelle mouche t'a piquée, pourquoi avoir libéré
le petit génie et ce baiser ah, vous me répugnez tous les deux,
Raines, enfin notre cher père ne va pas apprecier, tu te
souviens quand il parlait de décapitation ?
Le regard de MP restait depuis le début plongé dans celui de
Jarod cherchant la moindre solution, mais pour sûrement une des
premières fois de sa vie, il nen trouvait aucune.
Sans quil ne sen doute, alors que tout semblait
perdu, une détonnation fit sursauter Jarod mais ce nétait
pas MP qui seffondra mais Lyle.
MP se retourna et découvrit avec étonnement
que ses deux amis se trouvaient derrière eux et que Broots tout
tremblant tenait encore larme dans ses mains.
- Je ne voulais pas
murmura t-il au bord des larmes.
Jarod comprenait la détresse dans laquelle se trouvait Broots,
la même quil avait ressenti lorsquil avait du tuer
un homme pour se défendre
.
- Vous avez fait ce quil fallait
Mp sapprocha et posa sa main sur son épaule.
- Merci,Broots vous mavez sauvée la vie.
Après ces paroles réconfortantes, limformaticien se
sentit un peu mieux, ce sentiment saccentua quand il se répéta
que sil ne lavait pas sauvé, il sen serait
voulu éternellement.
MP se tourna une dernière fois vers le corps sans vie de lhomme
sans pouce.
- Allez, on y va, dit-elle dune voie energique en ramassant
son arme au sol et en serant à nouveau la main du Caméléon
dans la sienne, au plus grand plaisir de Sydney... qui lutta pour
dissimuler sa joie.
La partie netait pas encore gagnée, ils continuèrent leur
course périlleuse vers la sortie, tout en evoluant prudemment
vers le hall MP dit :
- Broots,Sydney, je vous avaisdemandé de ne pas me suivre.
- Les amis sont là pour sentraider, répondit Sydney tout
en essayant tant bien que mal de reprendre son souffle.
- Merci beaucoup.
Tout ce beau monde entra dans lascenseur. La tension
nerveuse se lisait sur tous les visages, les nettoyeurs rôdaient
dans les parages, leur présence invisible impregnait tout ...
- Maintenant, nous te suivons Jarod, cest toi qui connaîs
la sortie.
- Melle Parker ?
Elle se retourna vers lui.
- Où est Raines ? demanda Broots en sortant le premier de lascenseur
arrivé à destination.
Ils découvrirent avec stupeur que devant eux se dressaient 5
colosses
- Attention les nettoyeurs ! Cria MP .
Trop tard ! dans un hurlement de douleur, Broots seffondra,
il venait dêtre touché. Jarod lui arracha son arme et
plaqué contre le mur tira, Parker et Sydney firent de même.
Un tonnerre de coup de feu se succéda, suivi de temps à autres
par les hurlements des personnes touchées. Puis soudain, 5 corps
à terre, les nettoyeurs avaient été mis hors détat de
nuire. MP parcourut la pièce du regard, personne nétait
touché à part Broots qui se tordait de douleur, tous trois se
précipitèrent vers lui .
- Broots ça va ? sinquiéta MP .
Il lui répondit par une grimace et un "jai été
beaucoup mieux que ça !". Jarod examina sa blessure :
- Vous vous en sortirez, mais nous devons vous conduire à lhôpital,
je vais vous confectionner un garot, vous ne devez pas perdre
trop de sang.
Jarod prenait le temps de tout lui expliquer comme sil
parlait à un jeune enfant tant Broots semblait éffrayé.
Sans que personne ne le lui demande, MP quitta sa superbe chemise
en soie - sûrement très coûteuse - et la tendit à Jarod.
- Tu crois que ça fera laffaire ?
- Oui je pense.
MP serra la main de Broots pour le soutenir, celui ci toujours
soucieux de limpressionner, serra les dents . Jarod enroula
la chemise autour de son épaule, Broots hurla .
Sydney allait attraper son portable pour appeler une ambulance
quand un grincement sinistre le stoppa net.
Le visage le plus menacant du Centre apparut,
accompagné comme toujours de sa célèbre bouteille doxygène.
Il tenait une arme quil pointait sur MP, elle avait été
aussi rapide que lui, et maintenant ils se faisaient face, se
menacant .
- Alors - *crissement* - Catherine avait raison ?
Sydney se demanda comment Raines etait au courant du secret de la
mère de MP, de toute évidence , les nouvelles circulaient vite
au Centre
.
- Vous et Jarod, réunis ensemble - *crissement* plus forts que nimporte
quelle puissance ! Mais je suis désolé, la prophétie ne saccomplira
pas cette fois -*crissement*.
Raines tourna brusquement son arme en direction de Jarod, réalisant
quil allait le tuer, MP nésita pas un instant, plus
rapide, elle lui tira une balle en plein cur, dans un râlement
plus terrifiant que jamais, il sécroula :
- Ma fille
Son corps se détendit, laissant ses yeux ouverts face au néant,
MP sagenouilla et les lui ferma.
- Cette fois, je crois que cest vraiment fini pour lui,
affirma t-elle.
- Qui sait ?, il ne meurt vraiment jamais, et pour dit Jarod en laidant
à se relever.
Jarod regarda les nettoyeurs avec un leger remord :
- Tu crois que ces le prix à payer pour travailler avec le
diable ?
- Peut-être.
Broots à présent debout, sappuyait sur lépaule de
Sydney, des gouttes de sueurs perlaient sur son front, le
psychiatre appella les secours et cette fois sans interruption.
Jarod passa son bras sur lépaule de MP et ils se dirigèrent
vers la sortie, suivis de Broots et Sydney.
- Maintenant quils sont tous mort, plus besoin de ton
passage secret, dommage jaurais aimé le connaître.
Il lui sourit .
- Si tu es très gentille peut-être que je te le montrerai.
Ils éclatèrent de rire.
Enfin dehors, Broots fut transporté à lhopital,
il souffrait mais comme à son habitude en rajoutait un peu,
Sydney inquiet le suivit en voiture.
Jarod et Parker enfin seuls (c'est pas trop tôt) marchaient dans
les jardins du Centre.
- Ne tinquiète pas pour Broots, ses blessures ne sont que
superficielles, il sen remettra vite.
Elle se blottit contre lui (OUECH !!!!!!!!!)
- Quas tu lintention de faire maintenant ? lui
demanda le Caméléon.
- Raines et Lyle mort, lhéritage des Parker mattend
dont la direction du Centre
enfin pour toi et moi, si tu
es d accord ?
Il lui sourit puis prit un air dubitatif :
- Hou
Je ne sais pas, il faudrait que tu me laisses
quelques heures pour peser le pour et le contre, tu sais ce nest
pas une décision que je dois prendre à la légère et
Elle lui donna une tape affectueuse sur lépaule. Il lembrassa,
ils restèrent un long moment serrés lun contre lautre,
émerveillés dêtre si bien ensemble.
- Bien sûr que je reste avec toi.
Elle lui sourit
- Et que dirais tu si nous faisions du Centre un orphelinat, un
Centre de recherche contre les maladies
Et bien dautres
choses encore, je suis sûre que Broots et Sydney seraient ravis.
- Cest une idée fabuleuse, en tout cas ce nest pas
la place qui nous manque.
- Alors, Maman disait vrai, toi et moi, ensemble, plus forts que
tout
- Oui et je suis persuadé que où quelle soit, elle est très
fière de toi.
Elle lembrassa.
- En quelle honneur ai-je droit à un de tes baisers ? Le futur
Centre ?
- Non,cest juste ma façon à moi de te dire que je taime
(Ah ! elle la dit, cest un miracle !)
FIN
Grâce à lhéritage des Parker, ils transformèrent le
Centre, repeignant les murs de couleurs vives et agréables, créant
des Centres de recherches, de dépistages, des orphelinats, des
maisons de retraites, des associations écologiques (petite pensée
à Micky), des centres dhébergements pour SDF, des
garderies, ils envoyèrent aussi des montagnes de dons pour les
pays du Tiers Monde. Les grands jardins qui entouraient le Centre
furent remplis de jeux pour enfants plus originaux les uns que
les autres, de nombreux stands créatifs pour faire de la pate à
modeler, des moulages, des dessins, et bien dautres choses
encore. Dans ce nouvel espace raisonnent à longeur de journée
de joyeux cris denfants et leurs éclats de rire .
Sydney fut chargé de la direction de la maison de retraite,
Broots de la garderie, tous deux beaucoup plus à laise
dans leur nouvelle fonction.
Angelo retrouva sa liberté mais il préfera rester auprès de
ses amis, passant ses journées dans les jardins à observer les
enfants rire et samuser.
Quant à Jarod et Parker, ils dirigèrent ensemble le bâtiment
tout entier, effaçant toutes traces que lancien Centre
avait laissées à travers le monde, engagant du personnel compétent
et digne de confiance, rendant des services, redonnant de la gaieté,
soulageant les personnes en difficultés, luttant côte à côte
contre tous les malheurs possibles et imaginables présents sur nôtre
planète
Les rouleaux disaient vrais, la prophétie sétait
accomplie.
Fin
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