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La Dragon Lady au Bois Dormant

Auteur : la même dingue que celle qui a fait ce site, cad Sydnette (e-mail) la Psy-Caméléonne.

Fan-fiction terminé le : commencé samedi 14 décembre 2002, terminé le dimanche 15 février 2004

Où le situer : Nulle part puisque le fan-fiction que vous allez lire est un délire !!

Notes :

Ce fan-fiction reste une exclusivité de ce site. Comme tous les textes de ces pages Internet (protégés par diverses lois de la propriété intellectuelle, voir début du site), il est bien sûr expressément interdit de le copier, même si vous précisez le nom de l'auteur (je sais que certains sites intéressants regroupent des fan-fictions - j'ai l'intention de faire la même chose - , je ne suis pas intéressée, ne voulant pas que ces récits soient dispersés sur le Net). Le plus simple est de mettre un lien de votre page vers la mienne (pour cela, il n'y a aucun problème. Mais comme je pratique l'échange de liens quasi-systématique, prévenez-moi, je placerai votre adresse dans mes sites partenaires sur la page "Liens").

2) Ce fan-fiction, comme je disais plus haut, est un délire, comme quelques-uns font sur le Net. Ce texte est dédié à tous ceux qui aiment délirer comme mouah !!! et spécialement à mes copineeeeuuuuuuhhhhh du Pretender Forum (j'ai nommé Jacobette, Sydnette, Mouah, Lyssa, Didine, Gagou, Anaïs, Kindu, Cindimini, Etoile4You, Aicha, Dragonlady, Gumi, Lilou... J'espère que je n'en oublie pas, sinon ça va barder sur le forum si on s'en aperçoit !).

... et dédié depuis à mes autres connaissances plus récentes ! The Centre Forum en force !! (et tous les autres lieux où je sévis aussi ! LOL) Spéciale dédicace à TC 33 qui m'a donné envie de finir cette fic.

Note 3 : L'auteur, qui est une infatigable bavarde, n'a pas pu se retenir de mettre entre parenthèses tous les commentaires qui lui sont venus à l'esprit pendant l'écriture de ce récit, malgré une lecture moins facile. Si jamais vous vouliez néanmoins des précisions, que vous aviez des questions, envoyez-moi un petit e-mail, je me ferai un plaisir d'y répondre (j'en suis un un stade où je peux encore répondre à tous les e-mails qu'on m'envoie... plus ou moins vite bien sûr, surtout si votre question en amène d'autres qui m'entraînent à créer une nouvelle page).

 

Note 4 : Si à un moment ou à un autre vous avez l'impression que l'histoire est fouillée et complètement idiote, c'est logique, si si... (Et d'ailleurs si vous n'avez pas cette impression, vous avez trois possibilités : - Soit vous avez la vue très basse
- Soit vous êtes un peu idiot sur les bords... (et au milieu aussi)
- Soit vous avez un esprit aussi délirant que moi
Pour les trois possibilités, votre cas est très grave et je vous conseille un bon médecin (opticien, ou psychiatre...)... ). Bonne lecture !

 

 

 

 

Il était quelques fois, il y a très très longtemps, un merveilleux château appelé Centim, situé dans la Montagne Bleue. Ses tours noirâtres se détachaient sur le ciel gris, tandis que des nuées de corbeaux croassaient en guettant leurs proies.

Dans ce château vivaient un roi et une reine (ah vi ? que c original !). Le roi, Parka 1er, était réputé pour ses mesures dictatoriales, ses répliques momolles "N'est-ce pas, mes anges ?" (à toute sa cour), et une certaine tendance à l'hypocrisie... Sa femme, Catherette, commençait à en avoir un peu marre... Parka 1er avait un frère nommé Rainet. Rainet était très jaloux de Parka et il le lui faisait bien sentir. Il lui balançait de la purée à le petite cuillère à la cantine du château, lui crevait les pneus de sa bicyclette et s'occupait de Catherette de très très près (mais cette dernière trahison était secrète).

Un mauvais jour, Catherette annonça qu'elle était enceinte. Parka fut très heureux, même s'il se demanda comment sa femme pouvait bien être enceinte alors qu'il ne l'approchait même pas... Cela dit, ce bref moment de joie passée, il retourna s'enfermer dans son bureau et n'y pensa plus.

Rainet s'approcha alors de Catherette...

Rainet : "Il paraît que tu es enceinte ??..."
Catherette : "Ben ça se voit, nan ?" demanda-elle en désignant son ventre arrondi.
R : "Vi... Qui est le père ?"
C : "Tu aimerais bien le savoir, hein ?"
R : "Sinon je poserais pas la question..."
C : "Ben tu le sauras pas, heeeeeeuuuuu !!!! Na na nère !"
R : "C'est moi ?"
C : "Peut-être".
R : "C'est moi ?"
C : "Peut-être".
R : "C'est moi ?"
C : "Peut-ê... Oh, et puis flûte !"
R : "Pourquoi ne veux-tu pas répondre ?"
C : "Parce que je ne sais pas la réponse. C'est peut-être Beny"
R : "Le marchand de frites ?"
C : "Non, ça c'est Greg"
R : "Ah bon"
C : "Ouais"
R : "Ben alors c'est qui Beny ?"
C : "Mon amant secret"
R : "Il est plus secret puisque tu viens d'en parler"
C : "Oui, mais si tu répètes quoi que ce soit, je te tranche la gorge et je ne te ferai plus de massages. Et toc !"
R : "Tu penses que c'est qui le père ?"
C : "Je m'en fous. Car je vais faire un bébé toute seeeeeuuuullllleeeuuuhhh, je vais faire un bébéééé toute seeeeuuulleuh !!!!"
R : "Tu n'as pas choisi la génétiiiiique, mais la date, son signe astrologiiiique..."
C : "Je vais faire un bébé toute seuuuleuh"
(une parodie, où ça ??)
R : "Ca ne nous avance pas bcp"
C : "Moi, si. Salut ! "
R : "Quoi ???"
C : "Ca veut dire plus de massages, ni de câlins dans les bois en regardant passer les trains. Tu m'enbêteuh, flûte ! Casse-toi !"

Rainet est très déçu et il va se venger. Il sait très bien qu'un coup pareil ne peut avoir été monté que par Parka (il a du forcer Catherette, d'ordinaire si gentille), dont il vient certes de démolir la voiturette de golf à coup de massue. Sa vengeance sera terribleuh !

Et qd Catherette met au monde sa fille, il s'amène. Sans que Catherette ne le voit, il prononce doucement une formule magique : "Kahzaipotoubah ! Kikiveupajouet ! panboumdanleugrenié ! Ezpouftoudisparez !". Catherette tombe dans les pommes en mettant au monde un deuxième bébé, ce qui n'était pas prévu, mais on n'a pas encore inventé l'échographie... Rainet s'empare du deuxième bébé. C'est un garçon. Il décide de l'appeler Bobet. Il disparaît, traînant derrière lui sa longue cape noire et rouge et laissant un léger nuage sulfureux, où voltige son rire démoniaque...

Catherette se réveille, tandis que sa femme de chambre, Ednette, la femme de Rainet mais super sympa, apporte de l'eau.

Ednette : "Oh ! Quel beau bébé ! C'est une fille ! Comment allez-vous l'appeler ?"
Catherette avait pô prévu de prénom. Elle hésite.
C : "Heu, je sais pas trop. Peut-être..."
E : "Aurore ?"
( ;-) clin d'oeil aux fans de Disney...)
C : "Aurore, c'est super moche. Heu, je sais pô, moi... Heu, Parquerette !"
E : "Ah bon"
C : "Ca ne vous plaît pas ?"
E
(qui a peur soudain) : "Oh si ! C'est un très très joli prénom... Hum, heu, faut que j'y aille... Le lait... sur le feu..."
La petite Parquerette s'est mise à téter goulûment comme une bienheureuse.
C : "Vi, vi... Oh, ma petite chérie, comme tu es mignonne ! Je vais te gâter ma puce, te chérir et... Wooooouuuuuuaaaaaaaaaaaaaaïïïïïïïïïïïïïïïïïïïeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuhhhhhhhhhhhh !!!!!!"
La petite chérie vient de la mordre dans le bras. Maintenant elle regarde Catherette avec ses beaux yeux bleus innocents, fait un renvoi peu discret, s'étire et s'endort dans ses bras, serrant la robe de Catherette dans sa petite mimine.

 

Parquerette grandit à Centim. Elle rencontre du monde dans le château : Angeolet, un garçon un peu simple d'esprit qui croque sans cesse des biscuits étranges, et aussi Jaret, le fils du seigneur d'à-côté. Parka n'aime pas Jaret, mais Parquerette s'obstine à le voir.

Puis malheureusement la vie les sépare : Jaret va faire carrière dans l'élevage d'aligators, menacé par Parka qui est à ses trousses, depuis une mystérieuse histoire. En effet, Jaret, qui ne connaît pas ses parents, voulait poser des questions à Rainet. Mais Parka s'y oppose et chasse Jaret, après que celui-ci ait dérobé sept dossiers de couleur rouge. Depuis trois gardes le poursuivent, mais ils ne le trouvent pas. Ces gardes, ce sont Sinet, Brooett, et Parquerette. Sinet est un homme étrange s'il en est, philosophe. Il cherche à analyser chaque geste et propos. Brooett est un trouillard, il fuit tout ce qui bouge et regarde Parquerette en bavant. Parquerette se dit qu'elle est mal barrée avec ceux-là...

Elle décide de prendre les choses en main : il faut qu'elle retrouve Jaret. En effet, lors de leur dernière rencontre, il lui a promis une surprise sans donner de détails. Parquerette adore les surprises... Elle aimerait bien voir sa surprise de très près et déshabillée... (lollll). Donc il faut qu'elle le retrouve.

 

Parquerette se balade dans la Montagne Bleue. En allant au marché, elle est intriguée par qqch qui dépasse d'une poubelle. Un objet rouge. Cela ressemble fortement aux cahiers rouges qu'avait dérobé Jaret. Elle vient plus près et étouffe une exclamation : "Les carnets rouges !" (que c'est original, n'est-ce pas ?).

Une voix : "C'est normal, Jaret sait pô lire !"

Parquerette se retourne. Elle se trouve nez à nez avec un jeune homme de son âge, de sa taille, aux yeux clairs, au sourire éclatant.

Bobet : "Je suis Bobet"
Parquerette : "Enchantée !"
B : "Pas autant que moi. Vous êtes vraiment ravissante, et intelligente et, douée..."

Parquerette se dit qu'il se fout un peu d'elle, il ne la connaît que depuis deux minutes. Mais elle aime les compliments. Elle écoute donc les discours de Bobet, lequel lui parle de sa beauté, de son intelligence, et de toutes ses autres qualités, en long, en large, et en travers et avec l'aide accessoire d'un bon dictionnaire des synonymes planqué dans sa large manche. Enfin, Parquerette se met à bâiller et déclare : "Bon, bah, j'y vais, j'ai rendez-vous avec un ami.
- Jaret ? demande l'autre, soupçonneux.
- Je n'ai pas de compte à rendre, que je sache..."

Elle monte dans la maison devant laquelle elle s'était arrêtée, en ayant eu le soin de saisir les carnets rouges.

Super faux entracte

Le lectorat s'étant plaint, nous remplaçons les entractes par de faux... ;o)

Véritable faux entracte n°2

Pause (véritable !) chocolat chaud et gâteau choco pour la narratrice qui commence à avoir mal aux fesses et au poignet (qui maigrit !) à force de taper à l'ordinateur...

Dernier entracte (tout aussi faux ;o) )

Finalement changement de programme : banane et chausson aux pommes... Comment ? Le lectorat s'en contrefout ??

Parquerette arrive enfin en haut de l'escalier de 413 marches qu'elle vient de grimper ! Elle tombe nez à nez avec Jaret.

"Heu, salut !
- Salut !
- Je t'ai amené les carnets rouges.
- C'est pas la peine, je ne sais pas quoi en faire.
- Je peux te les lire, moi.
- Ah ouais ! C'est gentil de le proposer.
- Tu voix, là par exemple il est marqué que Bobet est mon frère. Hein ????!!
- Ah ouais, ça je savais. Rainet en a déjà parlé avec son frère.
- Ben il est pas chié le frérot. Il m'a draguée pendant une bonne demi-heure ! Bon, bref... Je peux donc te faire la lecture.
- Trop classe.
- Bah c'est normal je t'aimeuh bien.
- Moi aussi.
- Hum..."

Ils se mettent à rougir. A ce moment-là, Parquerette sent une piqûre au niveau de la cuisse gauche. En effet, Bobet, jaloux de l'attention que portait Parquerette à Jaret, s'est caché pour les observer, avant d'empoisonner sa soeur avec une seringue remplie d'un liquide indéfini. Parquerette s'effondre. Plus personne ne sait la réveiller. Et personne ne trouve non plus le coupable d'une telle infâmie...

 

Jaret désespère depuis de longs mois. Il ne voit plus Parquerette. Il ne sait pas du tout où elle a été emmenée.

En effet, comment pourrait-il deviner qu'elle est tout au fond du Bois Oregondoldeveniz ? Cela fait plusieurs semaines déjà que Bobet essaie tout pour la réveiller, maintenant qu'elle est en son pouvoir (ha ha ha ha ha *'scusez, on avait oublié le bruitage et les effets spéciaux, manque un éclair d'ailleurs !*. Mais il a beau faire, jouer de la musique, se déshabiller et jouer à Tarzan dans la pièce, hurler devant ses oreilles, Parquerette ne bouge pas d'un pouce.

Mais un jour, Jaret, se promenant sur son rolex (même que sur cet engin il ne faut pas croiser de ligne de tramway sinon on risque... mouais, dédicace ! LOLLLL comprenne qui pourra - cad une seule personne qui ne va pas lire ceci, mais passons...) sur une petite route de campagne, entend tout ce tintamarre (tintamarre, tintamarre, marre, marre, marabout, marabout, marabout, bout, bout, bout d'ficelle, bout d'ficelle... heu, bon okey-dokey, on arrête...). Il décide de s'approcher !

Il entre dans un grand parc plein de déchets radioactifs où la nature s'épanouit plus qu'ailleurs, c'est-à-dire qu'elle n'est pas encore complètement morte, on voit çà et là quelques plantes mutantes qui ressemblent vaguement à des fleurs ! Et, au bout d'un chemin où Jaret se fait quelques bobos en marchant sur divers pièges à loups et autre comité d'accueil, se trouve une cabane. La fameuse cabane au fond du jardin, dont les mérites seront vantés au XXe siècle par un imitateur lyonnais comme la rosette que je me ferais un plaisir d'engloutir (avec du pain, mais sans beurre) si mon lectorat n'attendait pas. Il se dit que justement il en a besoin et là, il saisit une tronçonneuse et plutôt que de faire un massacre parce que les remakes ça suffit merci découpe soigneusement le passage nécessaire pour passer (bah voui, vous y avez cru, quand les héros de BD font un trou dans la porte comme ça ? C'est un effet spécial. Peter Pan il est moins bête parce que dans "Hook" il a pris soin de n'avoir à traverser qu'un tissu, et il avait son poignard ! Un dégourdi, celui-là ! Quoi ? Je suis ? HS ? Fort possibleuh...). Même qu'il est pas très adroit notre Jaret car il doit s'y prendre en trois fois.

Ayant ainsi brillamment averti Bobet de son arrivée, il se prend un coup de poele. Mais c'est finalement la tronçonneuse qui en prend un coup et Bobet trouve même le moyen de se couper sur une des lames (pas doués, hein, nos héros ?).

Jaret arrive devant Parquerette et il décide de l'embrasser, après avoir achevé Bobet en lui envoyant un coup de poing bien placé, même que l'autre est à terre, plié en deux, et fait "ouaouk ! ouaouk ! ouaouk !", on dirait presque un phoque. Jaret pose ses lèvres sur celles de sa douce promise, même si on lui a rien promis du tout. Celle-ci ouvre les yeux et lui colle une baffe. "Non, mais ! On t'a déjà dit que c'était pô poli d'embrasser une dame sans lui demander son avis.
- Mais, gente Parquerette, je viens de te sauver la vie !
- Ah bon. Flûte, alors je te suis redevable. Tu veux que je t'invite ?
- Où ça ?
- Bah au Fleunche ou au Maque Dau par exemple.
- Ou à la Pideza Paille ? Je t'invite, allez !
- Oh, c'est cool !
- Oui, mais notre conversation est débile !
- Certes, mais c'est ça le sponsoring !
- Bien bien... Et après on irait à Malibu ?
- Pourquoi pas ? J'aimerais bien voir Mitch Buchannon pour de vrai.
- Bah je veux pas te décevoir mais il a du un peu changer. Il vieillit hein !
- Donc CJ aussi.
- Voui, mais j'aime de toute façon pas les airbags vivants. Mes yeux ne regardent que toi, mon amour !
- C'est si joliment dit. Bon, bah d'accord, je veux bien aller gambader sur la plage.
- Et étaler un peu de crème Iveurochais ?
- Encore un sponsor ?
- Oui.
- C'est pénible.
- Certes. Tu es d'accord ?
- Oui, mais pas la crème. Ca colle.
- Ah non, pas elle. Elle te protège bien, mais ne colleuh pas. Pas traces blanches, et pas de sable collé.
- C'est magique !
- Non c'est Iveurochais.
- Bon bah alors on va à Malibu".

Ils partent dans un super cabriolet rouge décapotable, apparu là on ne sait pas comment mais c'est comme ça dans les histoires, faut pas demander comment arrivent les trucs sinon ça perd de sa magie. A Malibu, il fait beau, car s'il pleuvait on n'aurait pas envoyé les héros là-bas, où tout est neuf et tout est sauvage, un libre continent sans grillage, beau comme on n'imagine pas, là-bas, où ils pourront enfin faire les galipettes qu'attend impatiemment notre lectorat décidément très coquin voire même franchement pervers. Et alors la Lune est pleine, et là on entend une jolie musique romantique comme chais pas moua, hum, "it's my life" de Bon Jovi, heu nan ;o) "message in a bottle" de Police (chouetteuh ! "I send a SOS... (...) message in a bottle"... hummmmm), disons "Eye in the sky" d'Alan Parson's Project comme diraient les spécialistes utilisateurs de Macintosh (dédicace !) qui heureusement compensent cette tare extrême par de chouettes références musicales : "I am the eye in the sky, lookin' at yooooouuuuuuu, ooouuhh, I can read your mind, I am...". Et là ils reprennent leur conversation :

"Alors comme ça j'ai dormi 1 an et demi ? ("dont let the fire rush to your head...."
- Oui ("I've heard the accusation before")
- Eh ben dis-donc les sorts de nos jours c'est pô de la rigolade ! ("but I'm..." bon on a copris...)
- Bah non. Et quels sont tes projets maintenant ?
- Bah je vais enlever mon pull, j'ai trop chaud.
- Quel beau pull !
- Voui.
- Il est neuf ?
- Non, lavé avec Myrleine.
- Tiens, je savais pas qu'on les avais comme sponsor ?
- Non, je me suis trompée.
- Bon, où on en était ?
- Mes projets.
- Ah.
- Oui.
- Et alors ?
- Bah je vais me marier avec toi.
- Ah bon ?
- Ben on est dans un conte, tu veux décevoir le lectorat ? Ils sont capables de faire une pétition. Et des fois ça aboutit, on peut avoir des DVD et tout comme ça, faut se méfier.
- Tu as raison, mais c'était pas dans mes projets.
- Tu allais faire quoi ?
- Bah retourner pioncer parce que ça m'a fatigué cette affaire.
- Bah la seule différence est que je dors avec toi, et les lecteurs sont contents.
- Oki. Mais ils vont s'imaginer des trucs, les lecteurs ?
- Evidemment, je t'ai dit, ce sont des pervers.
- Eh ben.
- Ben ça fait aussi partie de mes projets".

Ils s'éloignèrent main dans la main. On ne sait pas s'ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants mais on peut l'imaginer. Car le monde est bien vide sans imagination... En tout cas, ils furent heureux, et Centim devint rapidement un lieu désert et sordide qu'on oublia et laissa à son triste sort.

 

Fin.

 

 

 

 

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