Carnets SL27 Chronologie Épisodes Secrets Refuge
C'est le moment (partie unique)
Auteur : @ndy56 ( missparker63@hotmail.com )
Où le situer : Il se situe après Island of the Haunted.
Notes : Merci à elle bien sûr qui m'encourage bcp. Je sais qu'elle aime les feedbacks, alors n'hésitez pas ! Personnellement je ne me lasse pas de ce genre de fics. Celle-ci se rapproche fortement de "L'âme soeur" et du "Shadow" (ce qui est un compliment croyez-moi !!).
Domicile de Mlle Parker, Blue Cove, 21h :
Il faisait nuit, comme à chaque fois que Mlle Parker rentrait
chez elle ces temps-ci. Même si Jarod ne donnait plus vraiment
signe de vie, elle passait le plus clair de son temps au Centre.
Mais cela ne servait quà montrer à Raines et à son frère
quelle continuait à rechercher Jarod. De plus, elle nétait
pas présomptueuse en disant que si elle narrivait pas à
capturer Jarod avec Sydney, Lyle navait aucune chance,
surtout avec léquipe de nettoyeurs quil sétait
trouvée.
Mlle Parker ôta ses longues bottes de cuir et sinstalla
dans son sofa après sêtre servie un verre de son whisky
préféré. Elle aimait cela, quand elle rentrait chez elle, elle
ne pensait plus à rien et se laissait aller.
Mais tout dun coup un mouchoir imbibé déther lui
fut collé sur le visage. Sa vision se troubla, elle neut
pas le temps de réagir ou de voir son agresseur que déjà ses
paupières se fermaient toutes seules. Elle tenta de lutter lespace
dun instant, mais elle navait plus aucune force et sendormit.
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Le Centre, Blue Cove, le lendemain, 10h :
Sydney entra dans le laboratoire en sifflotant, Broots retira les
écouteurs de ses oreilles en le voyant arriver. Il tendit au
psychologue le journal quil était en train de feuilleter.
Broots : Vous avez vu Sydney, la police a trouvé un 7ème
cadavre, à New Haven dans le Connecticut.
Sydney : Oui, jespère que la police va vite mettre la
main dessus car la gent féminine commence à paniquer.
Broots : il paraît que pour tuer ses victimes, il tue une
femme dans chaque état, par ordre alphabétique.
Sydney : Où avez-vous lu ça Broots ?
Broots : Bah
Dans le journal que vous tenez entre les
mains. Daprès les enquêteurs, cet homme en prend à
de très belles femmes, grandes, minces, brunes aux yeux bleu
clair
Sydney : Mais cela correspond à la description de
Parker ?
Broots : Et dans lordre alphabétique, après le
Connecticut cest bien le Delaware. Cest pour cela que
je minquiète, el plus il est 10h et mlle Parker nest
toujours pas là.
Sydney : Je ne pense pas quil y ait de quoi sinquiéter,
Mlle Parker sait très bien se défendre. Je vais lappeler
pour lui conseiller de faire attention à elle.
Le réducteur de tête sassit, prit le téléphone et
attendit un instant après avoir composé le numéro.
Sydney : Son téléphone fixe ne répond pas, je vais
essayer son portable car elle doit être sur la route.
Il tenta de nouveau sa chance mais il nobtint aucune réponse.
Broots : Je minquiète vraiment, on devrait aller chez
elle pour voir si elle na rien.
Sydney : Ne paniquez pas Broots, peut-être est-t-elle tout
simplement en train de dormir car elle est malade. De plus, cela
lui est déjà arrivé de disparaître quelques heures sans nous
donner de nouvelle. Nous allons voir chez elle.
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Domicile de Mlle Parker, Blue Cove, 11h :
En arrivant à la porte dentrée, ils virent que celle-ci
était entrouverte et Sydney la poussa délicatement. Sur le
canapé ils remarquèrent la veste de Parker, mais ce qui les
alerta fut le verre de whisky brisé sur le sol. Ils fouillèrent
les autres pièces mais ils avaient bien compris quil était
arrivé quelque chose à Mlle Parker.
Ils repassèrent au Centre pour prendre du matériel et revinrent
ensuite au domicile de leur patronne. Durant plus de deux heures,
Broots et Sydney recherchèrent empreintes, indices, ADN, mais cétait
en vain. Il se décidèrent enfin à contacter la police.
Ils procédèrent à des recherches minutieuses pendant tout laprès-midi
ainsi quà des enquêtes de voisinage mais ils ne trouvèrent
rien.
Sydney et Broots commençaient à paniquer, ils narrivaient
pas à joindre Jarod et celui-ci ne répondait pas à leurs mails.
Ils retournèrent alors au Centre et dirent à Raines et à Lyle
quelle avait pris quelques jours de repos. Ils attendaient
désespérément un appel de Jarod car ils savaient quil était
le seul à pouvoir la retrouver.
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Quelque part dans la forêt, pendant ce temps-là :
Parker se réveilla dans une petite pièce quasiment vide. Elle
avait froid et navait quun fin chemisier de soie et
un pantalon pour se réchauffer. Elle observa autour delle
mais ne pouvait pas bouger à sa guise car elle avait les pieds
attachés ainsi mains liées dans le dos. Dans cette pièce elle
ne distinguait quun tapis et plus dun centimètre de
poussière sur le sol. La pièce était plongée dans une
obscurité profonde et les yeux de Parker commençaient peu à
peu à sy habituer. La jeun femme tenta de repérer des
bruits familiers, quelque chose qui pourrait lui indiquer lendroit
où elle se trouvait. Elle appela au secours pendant un bon
moment mais personne ne lui répondit,elle en déduit quelle
devait se trouver dans un endroit assez retiré. Elle passa donc
la nuit seule dans le froid, en proie à des dizaines de
questions.
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Le Centre, Blue Cove, 21h :
Sydney était seul dans le laboratoire, il pensait à Parker,
celle qui aurait pu être sa fille. En tout cas, il la considérait
comme telle, il était fier delle, de son courage et de sa
détermination. Il admirait le fait quelle ne paraissait
jamais transparaître aucune émotion, mais il sen désolait
aussi. Elle ne sétait presque jamais plainte de la mort de
sa mère, de Thomas
Elle avait encaissé tellement de tragédies,
essayant de ne jamais céder, elle ne lavait fait quune
fois. Il navait pas été présent mis les inspecteurs lui
en avait parlé, elle avait craqué en croisant lhomme quelle
croyait être lassassin de Thomas au commissariat. Quand il
était venu la chercher, il avait bien vu quelle était désespérée
et quelle était emplie de tristesse, de regrets.
La sonnerie du téléphone retentit, cétait enfin Jarod.
Sydney : Jarod cest très grave, Mlle Parker a été
enlevée par lhomme que la presse surnomme « le Tueur
des Etats ».
Jarod : Quoi ?! Mais quand ?
Sydney : La police dit quil sagirait davant-hier
soir.
Jarod : Cela veut dire quil ne reste plus que trois
jours pour la trouver, il tue ses victimes le soir du 4ème je
crois.
Sydney : Cest exact, il faut absolument que tu te
mettes sur lenquête car tu es le seul à pouvoir la sauver.
Jarod : Je crois que cest le FBI de New York qui est
sur cette enquête, je men occupe. A plus tard Sydney, je
vous recontacte dès que jai du nouveau.
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Le lendemain matin, bureau du FBI de New York, 8h :
Jarod entra et se présenta à lagent qui soccupait
de lenquête sur le « Tueur des Etats ».
Jarod : Excusez-moi, vous êtes lagent en charge de laffaire
Baxter ?
Agent : Cest exact, agent Gidley.
Le Caméléon lui tendit son CV ainsi que quelques papiers « officiels »
et les deux hommes se serrèrent la main.
Jarod : Je suis lagent Jarod Hewitt, Washington ma
envoyé en tant quobservateur.
Gidley le dirigea vers son bureau, quand Jarod fut assis, lagent
lui tendit un café. Nayant toujours aucune piste sur le
serial killer, il était prêt à accepter nimporte quelle
aide. Il lut son CV et commença à lui détailler laffaire.
Gidley : Cest une affaire difficile, cet homme tue
sans se soucier de rien sauf des indices quil pourrait
laisser. Daprès ces meurtres, nous avons pu déduire quil
sagit dun homme blanc, entre 35 et 50 ans. Il a eu
une enfance difficile, quand il était jeune, il a été plutôt
maltraité par sa mère. Elle lenfermait dans sa chambre
pendant 2 jours, ensuite elle abusait de lui et le laissait réfléchir
pendant encore une journée tout seul dans le noir. Le physique
de sa mère correspond à celui des victimes.
Jarod : Après 8 victimes, vous navez que son dossier
de lhôpital psychiatrique ?
Lagent sarrêta de lire le CV de Jarod, il leva les
yeux vers lui en fronçant les sourcils.
Jarod continua, sans rien remarquer.
Jarod : Vous navez pas dempreintes, de témoins,
dindices ?
Gidley : Comment ça 8 victimes ?
Jarod réalisa alors ce quil venait dapprendre à
Gidley. Il était tellement pressé de dépingler cet
assassin , pour retrouver Parker, quil avait totalement
omis de parler de la jeune femme à lagent.
Jarod : Je dois vous dire que je pense quune de mes
amies a été enlevée par cet homme avant- hier soir.
Gidley : Pardon ? Mais cest très important,
comment avez-vous pu oublier de nous donner cette
information ?
Jarod : Vous devriez contacter la police de Dover, elle est
déjà sur lenquête.
Gidley : Comment savez-vous quil sagit bien de
notre homme ?
Jarod : Mon amie est brune, mince, elle a les yeux bleus et
elle est sublime. Ca vous va comme certitude ?
Gidley se leva, il fit le tour de son bureau et sarrêta à
lencadrement de la porte. Il se retourna ensuite vers Jarod
qui put lire de la pitié dans ses yeux. Il savait bien quil
fallait agir vite pour retrouver Parker, il savait aussi quelle
ne sen sortirai pas vivante.
Gidley : Vous savez très bien que normalement, je devrais
vous retirer de lenquête car vous êtes impliqué émotionnellement.
Mais jimagine que si je fais ça, vous nallez pas
vous en arrêter là.
Jarod : Vous avez parfaitement raison.
Gidley sourit, puis sortit, laissant Jarod plongé dans ses pensées.
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Quelque part dans la forêt 12h :
Parker était toujours attachée, elle regardait les moindres
recoins de la pièce, espérant trouver une idée pour sévader.
La pièce était très sombre, le rideau était si épais quil
ne laissait passer quun mince rayon de lumière.
La porte souvrit et un homme entra dans la pièce en tenant
un verre deau et une paille. Il était grand, sa carrure
impressionnait presque Mlle Parker. Il avait les cheveux brins,
mal coiffés, des gouttes de sueur perlaient sur son front et ses
joues. Il était sale et empestait lalcool, il saccroupit
près de Mlle Parker pour lui proposer à boire. Elle détourna
la tête en une grimace de dégoût, prétextant quelle navait
pas soif.
Parker : Qui êtes-vous ? Où sommes-nous ?
Homme : Tu le sauras bien assez tôt maman.
Il sortit un couteau et le pressa sous la gorge de Mlle Parker,
avec lautre main il retira les menottes qui retenaient ses
pieds et ses mains. Il la poussa dans lautre salle, il lassit
sur une chaise et lui rattacha les poignets dans le dos. Lhomme
sassit de lautre coté de la table, il buvait une bière.
Comment quelquun pouvait-il avoir aussi peu de goût :
une bière, franchement
Et pourquoi pas du cidre non
plus ? (je tiens à préciser que je suis 100% bretonne et
que jadore le cidre, cétait juste comme ça !
lol)
Parker : Quest-ce que vous me voulez ?
Homme : Maintenant que je tai retrouvée maman, tu vas
pouvoir payer pour tout le mal que tu mas fait.
Parker ravala sa salive, il buvait de la bière, dhabitude
elle nen raffolait pas, mais quest-ce quelle
avait soif. Elle détourna le regard et saperçut que le ménage
navait pas du être fait depuis des années dans cette
cabane. Elle ne comprenait rien à la situation et se demandait
qui était ce malade, elle nétait même pas sûre de
vraiment vouloir le savoir dailleurs.
Lhomme se leva, il détacha le bandana quil avait
autour du cou et bâillonna Mlle Parker avec, ce qui lui donna
envie de vomir.
Homme : Tu vas rester ici bien sagement maman. Moi je dois
aller chercher à boire.
Une fois quil fut sortit, elle entendit les claquements dun
verrou.
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Bureau du F.B.I, New York, 15h :
Gidley et Jarod étaient en train détudier les photos et
les rapports quils avaient dans le bureau. Une dizaine dagents
étaient sur lenquête depuis plus de deux mois mais ils ne
trouvaient rien. Bien sûr, ils avaient eu quelques pistes mais
rien de bien sérieux, ils navaient jamais eu de réelles
chances de coincer ce psychopathe.
Quelquun frappa soudain à la porte, Jarod tendit le bras
pour réveiller Gidley qui venait de sendormir. Celui-ci
faisait tout pour retrouver ce malade, il ne dormait plus, ne
mangeait plus, il était obnubilé par cette affaire.
Jarod : Entrez.
Homme : Agent Gidley, Agent Hewitt, il y a un homme qui veut
vous parler au sujet de laffaire Baxter, ça a lair sérieux
car il vient de Blue Cove exprès.
Gidley : Faites-le entrer.
Lhomme sassit à coté de Jarod, il avait environ 50
ans et portait une chemise bleue à carreaux. Il avait des cernes
sous les yeux, ce qui traduisait un manque de sommeil certain.
Jarod : Quel est votre nom Monsieur ?
Homme : Je mappelle Peter Bradford. Cest la
police de Blue Cove qui menvoie.
Gidley : On nous a dit que vous aviez des informations pour
nous ?
Bradford : Je ne sais pas si ça pourra vous aider, jai
vu les infos qui disaient quil y a deux jours, Mlle Parker
a été enlevée chez elle. Cest une voisine, je suis passé
devant chez elle ce soir-là et il y avait un homme.
Jarod : Vous en êtes sûr ? Que faisait-il ?
Bradford : Et bien jai vu un camion de serrurier, et
un homme accroupi devant la porte de la maison. Cétait en
fin daprès-midi, vers 18h je crois. Cest lheure
à laquelle je commence ma ronde de surveillance dans le quartier.
Gidley : Votre ronde ?
Bradford : Je fais partit dune association de voisins,
nous surveillons le quartier car il y a eu des cambriolages. Je
suis vraiment nul, je nai rien vu venir
Tout est de
ma faute, jaurai du le savoir, je suis tellement désolé
Jarod : Vous ne pouviez pas savoir. Vous pouvez nous en dire
plus sur cet homme, physiquement, il était comment ?
Bradford : je ne lai vu qu'accroupi mais il était
brun et assez costaud, il portait une combinaison bleue.
Gidley : Quel âge avait-il environ ?
Bradford : Je nen ai aucune idée, je suis vraiment désolé
Si ! je sais, il avait une marque sur la nuque.
Jarod : Quest-ce que cétait, un tatouage ?
Bradford : Non, cétait plutôt comme une grosse tache
de naissance.
Gidley : Cest tout ce que vous avez ? Le camion,
à quelle entreprise appartenait-il ? De quelle couleur était-il ?
Bradford : Pfff
je ne sais pas, il était bleu avec des
écritures jaunes, cest out ce que je peux dire.
Jarod : Vous ne vous en souvenez pas ? Faites un effort
sil vous plaît, vous êtes notre seule piste depuis 2 mois.
Bradford : Je crois que le nom commençait par
Har
Harrington
Harrisburg
mais
je ne suis pas sûr.
Gidley : Je vous remercie, cest déjà ça. Suivez cet
agent, il va prendre votre déposition.
Lagent désignait un homme en uniforme bleu marine,
Bradford le suivit mais il était déçu de ne pas avoir pu les
aider aussi bien quil laurait voulu.
Une heure après, Jarod avait trouvé la serrurerie en question
et leur avait passé un coup de fil. Il entra dans le bureau de
Gidley et lui apprit quil ny avait eu aucun dépannage
de lentreprise dans le quartier ce soir-là.
Gidley : Je crois quon le savait tous les deux.
Jarod : Quelquun leur a volé un camion il y a trois
jours.
Gidley : Un ami à moi va venir dans quinze minutes. Cest
Larry Flynn, celui qui présente le journal du midi sur la chaîne
info.
Jarod : Vous allez passer le signalement aujourdhui ?
Gidley : Vous avez une meilleure solution car je suis
preneur. On va déjà donner ce quon a et on avisera après.
Lagent posa sa main sur lépaule de Jarod, il voulait
lui montrer quil était compatissant et quil pouvait
lui offrir toute sa confiance.
Jarod : Je vous remercie de me laisser sur lenquête.
Je sais que vous faites tout votre possible. Mais cest si
dur de devoir rester ici sans rien faire, sans rien pouvoir faire.
Jai tellement peur pour mon amie !
Gidley : Vous êtes sûr que ce nest quune
amie ?
Jarod se frotta la nuque, évidement, Parker nétait pas quune
amie mais en avait-elle conscience ? Probablement que non
puisquelle rejetait chacune de ses propositions.
Jarod : Jy tiens plus que tout, et si elle venait à
mourir je
je ne sais pas ce que
Il avait les larmes aux yeux, il se pencha en avant pour les
essuyer.
Gidley : Ne dites pas nimporte quoi, on va la
retrouver ne vous en faites pas. Elle sera saine et sauve jen
suis sûr.
Il était dix-huit heures, le signalement avait été passé et
des dizaines de personnes avaient déjà contacté la police et
le FBI. Mais rien nétait intéressant pour linstant
et Jarod commençait à désespérer. Il était tellement
inquiet, il ne restait plus que deux jours avant que ce malade ne
tue Parker et il ne trouvait rien.
Gidley lui avait trouvé un bureau, il était assis sur un siège
de cuir noir et tenait son portefeuille dans les mains. Jarod louvrit
et en sortit une photo de la jeune femme, il lavait faite
un soir où il avait pénétré chez elle pendant quelle
dormait. Elle était sur le canapé, il avait été chercher une
couverture pour la réchauffer, il lavait trouvée si belle.
Il avait apporté son appareil photo avec lui car il voulait
pouvoir lavoir toujours à ses cotés. Depuis Carthis, elle
lui manquait terriblement, bien plus quavant, il avait été
si proche delle ! Elle lui avait presque laissé croire que
quelque chose était possible entre eux, et puis, au dernier
moment elle sest ravisée, comme toujours. Parker était
resplendissante sur cette photo, elle paraissait plus paisible et
son masque de dureté semblait être tombé au profit dune
sorte de vulnérabilité qui la rendait bien plus douce.
Quelquun frappa à la porte et entra, Jarod se tourna vers
Gidley et se redressa en replaçant la photo de la jeune femme
dans son portefeuille.
Gidley : Jarod, venez car je crois quon a quelque
chose.
Dans le bureau de Gidley se trouvait un technicien en face dun
écran dordinateur, Jarod saperçut que cétait
une vidéo conférence.
Jarod : Il y a du nouveau ? Qui est cette femme ?
Gidley : Elle sappelle Maxine Cooper, elle dit que lhomme
avec qui elle sortait il y a deux semaines encore correspond au
signalement.
Jarod : Elle est vraiment sûre ?
Maxine : Jen suis sûre et certaine, il a une tache de
naissance marron sur la nuque et il a 44 ans.
Jarod tourna la tête vers lécran, il navait pas
remarqué que la jeune femme avait des similitudes avec Mlle
Parker : brune, yeux bleus, mince
Jarod : Pouvez-vous nous dire comment il était avec
vous ?
Maxine : Au départ cétait lhomme idéal, prévenant
toujours prêt à rendre service, il moffrait souvent de
beaux cadeaux, des bijoux.
Gidley : Des bijoux, pouvez-vous nous en décrire un ?
Maxine : Il y a quelques heures, jai reçu cette bague
par la poste.
La jeune femme approcha lobjet de la caméra et Jarod le
reconnut immédiatement, cétait une bague en argent, carrée
Jarod : Cest la bague de Parker, ce salaud est bien
notre homme !
Il avait dit cette phrase en se levant et lavait clôturée
en frappant un coup violent sur la table. Gidley sétait
levé pour lui dire de se calmer car ils étaient sur le point de
le retrouver.
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Quelque part dans la forêt, 20h :
Parker était restée seule toute laprès-midi dans la
cabane, elle avait repensé au jour où elle avait été coincée
avec Jarod sur lIle de Bahia Grande, en Floride, à cause dun
cyclone. Un fou à lier du nom de Bartlett, les avait capturés
pour se venger de Jarod mais elle avait réussi à se détacher
en se déboîtant le pouce. Cest donc ce quelle tenta
de faire mais les menottes étaient trop serrées et tout ce quelle
avait réussi à faire cétait se faire mal. Elle tentait
de trouver un moyen de senfuir avant que le psychopathe ne
revienne mais cétait trop tard, il était déjà de retour.
Cet après-midi avait parut long à Mlle Parker car elle était
restée seul mais de lautre elle navait pas eu assez
de temps pour senfuir.
Il rentra dans la cabane en portant deux packs de bières dans
les bras et en titubant, Parker se félicita de toujours savoir
se contrôler même quand elle prenait un ou deux verres de trop.
Lhomme se pencha, sortit une clé de sa poche et détacha
les pieds de Parker.
Homme : Jimagine que tu dois avoir envie de te
soulager !
Il parlait dune voix quasiment inintelligible, la jeune
femme voulut profiter de son erreur. Au moment où elle se leva,
elle lui donna un coup violent dans les côtes et il seffondra
de tout son long sur le sol tellement il ne tenait plus debout.
Elle ramassa tant bien que mal la clé quil avait laissé
tomber et ôta lune de ses menottes. Elle ne put retirer lautre
car lhomme commençait à se redresser, elle se retourna
pour lui infliger lun de ses plus beaux uppercuts. Parker défit
ensuite la seconde menotte, ouvrit la porte et se mit à courir
après navoir trouvé quune moto. Elle avait choisi
ses jambes, ne sachant pas conduire ce genre dengin et se
demanda comment son kidnappeur avait pu la conduire en étant
complètement ivre.
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Domicile du kidnappeur, Warwick, Etat de New York, 20h30 :
Jarod et Gidley débarquèrent dans une piaule sordide, Maxine
leur avait indiquée ladresse dAlex Turner, son
ancien petit ami. Elle lavait quitté un jour où il était
absent car il la frappait quand il était ivre, ce qui était
plutôt fréquent. Lendroit était immonde, une odeur répugnante
y régnait, de la nourriture pourrissait dans des assiettes sur
lesquelles des rats se faufilaient.
Gidley se retourna vers Jarod et ses hommes, il semblait vraiment
dégoûté, tout comme eux.
Gidley : Ca métonnerait quon trouve quelque
chose mais mettez des gants. (en parlant à deux agents) Trouvez-moi
ses relevés téléphoniques !
Jarod commençait à paniquer mais il ne le montrait pas aux
autres, il se faisait de plus en plus de soucis pour Parker qui
devait passer des heures atroces en compagnie de ce porc. Elle
qui aimait tant prendre soin delle, qui avait une maison
toujours parfaitement bien rangée et propre. Elle devait vivre
à coté de ce monstre.
« Si tu touches à un seul de ses cheveux, tu peux signer
ton arrêt de mort » pensa-t-il.
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Quelque part dans la forêt, 20h45 :
Parker courait depuis 45min le long dun petit sentier, elle
était fatiguée mais voyait enfin de la lumière dans une cabane
à environ 300m. Elle sy précipita, en priant pour que
quelquun puisse laider. Un chasseur dormait à lintérieur,
au moment où elle sapprochait de lui, elle entendit un
bruit de moteur à lextérieur. Tout en secouant lhomme,
elle jeta un il par la fenêtre et remarqua quune
moto approchait.
Parker : Où est votre téléphone ?
Homme : Mais
qu
qui êtes-vous ?
Parker (paniquée) : Où est-il ?
Lhomme désigna le bureau, en attrapant lappareil
Parker lui dit de prendre son fusil mais elle neut pas le
temps de composer le numéro car un coup de feu avait retentit et
le chasseur était tombé, touché au cur.
Parker tourna la tête vers lentrée, son kidnappeur était
là, fusil dans les mains. Il paraissait avoir repris tout contrôle
et une grimace immonde sétait dessinée sur son visage.
Homme : Je savais que je te retrouverais ici, il ny
que dans cette cabane quil y a toujours quelquun !
La jeune femme aperçut un fusil qui reposait contre le mur, à
deux mètres delle. Elle voulut se jeter dessus mais elle
tomba à la renverse quand une douleur monstrueuse monta en elle.
Elle descendit sa main sur sa cuisse et sentit un liquide chaud
se déverser sur celle-ci. Parker tentait de compresser sa
blessure mais lhomme sapprocha et lassomma dun
coup de poing en plein visage, ce qui lui fit perdre connaissance.
Il lui attrapa le bras et la passa en travers de son épaule pour
se diriger vers sa moto puis vers la cabane.
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Dans la voiture, Warwick, 21h45 :
Jarod navait encore rien trouvé, il se dirigeait vers lhôtel
qui leur servait de Q.G., à 60km de New York. Tout en
conduisant, Jarod tapotait nerveusement le volant avec ses doigts.
Il se demandait ce quils avaient bien pu oublier, ils
avaient envoyé au laboratoire presque tout ce quils avait
trouvé à lappartement pour les faire analyser. Il fallait
maintenant attendre, ce qui était le plus dur pour Jarod car il
se sentait impuissant. Il narrêtait pas de voir le sublime
visage de Parker, devant ce feu de bois ou même avant quand il
était rentré dans la chambre au moment où elle se changeait.
Il lavait vue presque nue, elle était magnifique, cétait
la plus belle femme du monde et il ne la reverrait peut-être
jamais. Il la voyait aussi enfant, la première fois quil lavait
vue derrière cette vitre et quil avait mis ses doigts
contre le verre. Il avait su ce jour-là, quelle nétait
pas comme les autres et il en avait eu confirmation quand elle
avait déposé ce doux baiser sur ses lèvres le lendemain.
Gidley était à coté de lui, il réfléchissait, pensait à
tous les indices quand son téléphone sonna.
Gidley : Agent Gidley
.oui
où exactement ?...vous
en êtes sûr ?...Merci beaucoup, cest génial !
Jarod : Que se passe-t-il ?
Gidley : En épluchant les relevés téléphoniques, nos
agents ont trouvé quil avait joint plusieurs fois une
agence immobilière.
Jarod : Et ?
Gidley : Il semblerait quil ait loué une cabane dans
le Catskill State Park, à environ 70km dici.
Jarod souffla, il pressa laccélérateur et fit demi-tour,
il croisait les doigts pour retrouver Parker et pour que linformation
soit exacte.
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Quelque part dans la forêt, 21h45 :
Lhomme arrivait à la cabane, il laissa tomber Parker par
terre dans la chambre et lenferma de nouveau. Il sassit,
il était essoufflé et ouvrit de nouveau une bière pour se « désaltérer ».
Alex : Tu es une très vilaine maman. Tu es la pire de
toutes mais maintenant tu vas payer. Tu vas être punie comme tu
me punissais, il faut respecter son aîné. Ce nest pas
bien de désobéir.
Il but une gorgée et se leva, il ferma les volets de bois et
retourna à la table. Il sassit de nouveau et reposa sa tête
sur ses bras croisés pour commencer à dormir en ronflant.
Parker était de nouveau seule dans le noir, mais elle avait
perdu beaucoup de sang et elle était inconsciente.
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Cabane du garde forestier, 23h00 :
Les deux hommes arrêtèrent leur véhicule à quelques mètres
de la cabane, ils sentaient que quelque chose nallait pas.
Ils sapprochèrent de la porte, arme au poing, et entrèrent
dun coup. Ils virent des traces de sang et sapprochèrent
du bureau, derrière se trouvait le garde forestier, il était
mort. Il y avait des traces de lutte et du sang partout, Jarod
avait la gorge serrée. Les agents suivirent les traces de moto,
dautres flics les avaient rejoint. Il y avait plusieurs
cabanes dans les environs, Gidley en prit une, comme Jarod et les
autres agents prirent les deux dernières. Jarod était seul dans
sa voiture, il crispait de nouveau ses doigts sur le volant, il
touchait enfin au but. Cétait décidé, il devait enfin
avouer tous ses sentiments à Mlle Parker, lui dire combien il laimait
avant de la perdre définitivement. Il avait avec lui la bague de
Parker, un agent était venu de Dover pour la lui donner, il lobservait.
Il adorait les goûts de Parker, elle était toujours bien coiffée,
bien habillée, bien maquillée et portait de sublimes bijoux.
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Cabane du kidnappeur, 23h15 :
Lhomme se réveilla, il lança une canette de bière par
terre et se dirigea vers la pièce où se trouvait Mlle Parker
qui reprenait peu à peu conscience. Il saccroupit à coté
delle et lui caressa la joue pour écarter une mèche de
ses cheveux. Elle ouvrait doucement les yeux, son corps était
tout engourdi et elle narrivait pas à bouger le moindre
membre. Il tenait un couteau dans sa main gauche et défaisait
les boutons du pantalon de Parker avec lautre, il glissa
ensuite sa main sur son ventre et commença à déboutonner son
chemisier. Il fit lentement descendre la lame le long de son
ventre, la remonta et coupa son soutien-gorge. Il allait écarter
les pans de sa chemise quand quelquun se jeta sur lui.
Les deux hommes tombèrent à terre et Parker se rendit compte
que linconnu nétait autre que Jarod. Ils échangèrent
plusieurs coups de poing mais le kidnappeur réussit à prendre
le dessus, Parker ne pouvant aider Jarod. Elle réussit néanmoins
à ramper sur quelques mètres pour attraper une canette de bière
qui traînait sur le sol. La jeune femme la saisit, parvint tant
bien que mal à se relever et au moment où lhomme lui
tourna le dos, elle lui brisa la bouteille sur le crâne. Celui-ci
seffondra sur Jarod, qui le repoussa et se précipita sur
Parker qui venait de tomber.
Jarod : Est-ce que ça va ?
Parker : Aide-moi à me relever.
Jarod : Tu as perdu beaucoup de sang, tu ne devrais pas
marcher.
Elle fixait le sol et ses cheveux empêchaient Jarod de voir ses
yeux. Il se pencha et vit quelle pleurait alors il la prit
dans ses bras. Contre toute attente, elle passa aussi ses bras
autour de lui et le serra plus fort. Et pour la première fois
depuis 30 ans, Parker se laissa aller, elle craqua enfin et se
mit à pleurer, serrée contre le Caméléon.
Parker : Oh Jarod, si tu savais comme jai eu peur. Je
croyais que jamais plus je ne reverrais tes yeux chocolat, que je
nentendrait plus ta voix
Jarod : Cest fini Parker, tu vois, je suis toujours là
pour tembêter.
Il se releva, passant une main sous ses genoux et lautre
sous son dos pour la soulever. Il sortit de la cabane et la déposa
doucement à lavant de la voiture. Jarod se retourna car
Gidley arrivait, il lui apprit quil allait à lhôpital
et que le kidnappeur était menotté dans la cabane.
Gidley : Comment va-t-elle ?
Jarod : Elle a reçu une balle dans la cuisse, elle a perdu
beaucoup de sang mais elle est très forte donc ça va aller.
Il monta à coté de Mlle Parker, il prit sa main et passa sa
bague à son index gauche, la jeune femme souriait.
Parker : Je croyais que je lavais perdue, merci Jarod,
jy tiens beaucoup.
Durant le trajet, elle sendormit en reposant la tête sur lépaule
de Jarod. Celui-ci se mit lui aussi à sourire, elle avait enfin
laissé tomber son masque de dureté et cette carapace
indestructible révélait une jeune femme douce, naturelle et
pleine damour à revendre.
Hôpital The Middle (lol), Warwick, 7h :
Jarod entra dans sa chambre sans un bruit et sassit sur le
bord du lit, elle était si belle. Il caressa tendrement ses
cheveux, puis sa peau et déposa un baiser sur son front. Parker
ouvrit fébrilement les yeux, elle sourit et se redressa.
Jarod : Bonjour. Comment te sens-tu aujourdhui ?
Parker : Je vais beaucoup mieux, et cest grâce à toi.
Jarod la regarda un moment, il était vraiment stupéfait par ce
changement brutal de comportement envers lui. Il crut quil
était dans un rêve et il ne voulait pas se réveiller si cétait
ça !
Jarod : Tu sais, je voulais te dire
Parker tendit la main et plaça son index devant sa bouche.
Parker : Ne dis rien. Cest à moi de parler pour une
fois, jai réfléchit pendant ces deux jours et je crois
que cest le moment. Jai compris plein de choses et je
me suis rendue compte de mes sentiments. Je me cachais la vérité
depuis tant dannées, je crois quinconsciemment je ne
voulais pas la voir en face. Javais peut-être peur quil
tarrive quelque chose comme à ma mère, Thomas, mon p
enfin,
toutes les personnes que jaime disparaissent les unes après
les autres. Cest drôle, je naurais jamais imaginé
que jétais capable de te dire ce que je vais te dire, je
crois que
enfin
je taime Jarod.
Il prit son visage entre ses mains et approcha ses lèvres des
siennes. Ils échangèrent un long baiser durant lequel ils se
montrèrent tout leur amour. Il lui souffla ensuite un « je
taime » à loreille. Après, il monta sur le
lit et sallongea à ses cotés pour passer un long moment
dans les bras de la jeune femme.
Parker : Je dois appeler Sydney, on doit lui dire pour nous.
Je dois le rassurer aussi
Jarod eut un regard troublé , ce qui inquiéta Parker.
Parker : Que se passe-t-il Jarod ?
Jarod : Non, ce nest rien, cest quand tu as dit
« nous ». Cest une sensation étrange mais
tellement agréable. Tu as raison de lappeler, je lui avait
promis de lui donner des nouvelles régulièrement mais je lavais
totalement oublié.
Elle lembrassa puis se retourna pour attraper le téléphone.
Sydney : Sydney à lappareil.
Parker : Sydney, cest Parker.
Sydney : Parker ?! Comment allez-vous? Vous allez bien?
Parker : Je vais bien Sydney, je suis à lhôpital car
jai été blessée mais tout va bien.
Sydney : Je suis rassuré, Broots aussi, il est à côté de
moi. Jarod est avec vous ?
Parker : Oui, je dois vous dire quelque chose Sydney.
Sydney : je me doute de ce que vous allez me dire, vous vous
êtes enfin avoué vos sentiments ?
Parker : Vous nêtes pas psy pour rien à ce que je
vois ! Vous avez raison et nous allons quitter la ville. Je
pars Sydney, et je ne reviendrai jamais au Centre.
Sydney : Faites vite, le Centre doit être sur vos traces.
Je suis ravi de cette décision, je vous souhaite tout le bonheur
que vous méritez.
Parker : Merci, vous aussi. Vous devriez quitter le Centre
pendant quil en est encore temps, avant de disparaître
comme ma mère et tous ceux qui sont en rapport avec le Centre.
Sydney : Vous avez raison, comme vous partez ,cest
peut-être le moment.
Parker : Jen suis sûre. Prenez soin de vous, de
Broots et de Debbie.
Sydney : Oui, vous aussi, mais je suis sûr que nous nous
reverrons.
Parker : Cest évident, je vous passe Jarod.
Jarod : Merci pour tout Sydney, et excusez-moi de ne pas
vous avoir tenu au courant.
Sydney : Cest déjà oublié, je voulais te dire que
je te souhaite de retrouver ta famille.
Parker sétait levée et elle préparait son sac en
souriant, ce qui rendait Jarod heureux.
Jarod : Je la réunirai et nous viendrons tous vous voir.
Sydney : Je te crois, à bientôt Jarod, et félicitations.
Jarod : Encore merci davoir été toujours présent et
à très vite.
Il eut du mal à raccrocher, mais Parker lui prit la main et lentraîna
hors de lhôpital et ils montèrent dans un taxi.
Parker : Où va-t-on ?
Jarod : Loin du Centre.
Parker : Avec plaisir !
Fin. Voilà, ce fut un réel plaisir décrire cette fic
alors jespère que vous laurez appréciée. Pour me
le dire, nhésitez pas avec les feedbacks : missparker63@hotmail.com !!
Fin
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