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Centrion (version la plus décalée)

Auteur : la même dingue que celle qui a fait ce site, cad Sydnette (e-mail) la Psy-Caméléonne.

Fan-fiction terminé le : commencé et terminé le 10 octobre 2002 (la veille de l'anniversaire de Jean-Jacques Goldman)

Où le situer : Nulle part puisque le fan-fiction que vous allez lire est un délire !!

Notes :

Ce fan-fiction reste une exclusivité de ce site. Comme tous les textes de ces pages Internet (protégés par diverses lois de la propriété intellectuelle, voir début du site), il est bien sûr expressément interdit de le copier, même si vous précisez le nom de l'auteur (je sais que certains sites intéressants regroupent des fan-fictions - j'ai l'intention de faire la même chose - , je ne suis pas intéressée, ne voulant pas que ces récits soient dispersés sur le Net). Le plus simple est de mettre un lien de votre page vers la mienne (pour cela, il n'y a aucun problème. Mais comme je pratique l'échange de liens quasi-systématique, prévenez-moi, je placerai votre adresse dans mes sites partenaires sur la page "Liens").

2) Ce fan-fiction, comme je disais plus haut, est un délire, comme quelques-uns font sur le Net. Ce texte est dédié à tous ceux qui aiment délirer comme mouah !!! et spécialement à mes copineeeeuuuuuuhhhhh du Pretender Forum (j'ai nommé Jacobette, Sydnette, Mouah, Lyssa, Didine, Gagou, Anaïs, Kindu, Cindimini, Etoile4You, Aicha, Dragonlady, Gumi, Lilou... J'espère que je n'en oublie pas, sinon ça va barder sur le forum si on s'en aperçoit !).

Note 3 : L'auteur, qui est une infatigable bavarde, n'a pas pu se retenir de mettre entre parenthèses tous les commentaires qui lui sont venus à l'esprit pendant l'écriture de ce récit, malgré une lecture moins facile. Si jamais vous vouliez néanmoins des précisions, que vous aviez des questions, envoyez-moi un petit e-mail, je me ferai un plaisir d'y répondre (j'en suis un un stade où je peux encore répondre à tous les e-mails qu'on m'envoie... plus ou moins vite bien sûr, surtout si votre question en amène d'autres qui m'entraînent à créer une nouvelle page).

 

Note 4 : Si à un moment ou à un autre vous avez l'impression que l'histoire est fouillée et complètement idiote, c'est logique, si si... (Et d'ailleurs si vous n'avez pas cette impression, vous avez trois possibilités : - Soit vous avez la vue très basse
- Soit vous êtes un peu idiot sur les bords... (et au milieu aussi)
- Soit vous avez un esprit aussi délirant que moi
Pour les trois possibilités, votre cas est très grave et je vous conseille un bon médecin (opticien, ou psychiatre...)... ). Bonne lecture !

 

 

 

 

Il était bien trois fois une brunette qui vivait dans une bâtisse pas marrante appelée le Centrifughe. Comme elle n'avait pas eu le courage et la possibilité de se tirer de là au plus vite quand il était encore temps (c'est-à-dire à sa naissance à peu près) elle était prisonnière de cette organisation secrète visant à compter les grains de sable du Sahara et accessoirement à gagner du fric en exploitant un ou deux paumés qui traineraient par là par des procédés aussi divers que la voyance ou la magie. Il y avait justement un vilain démon pas beau qui veillait et surveillait activement le bon fonctionnement de tout. Ce type-là s'appelait Rainhoveurdoz et était l'homme le plus repoussant que la Terre ait jamais créé. Il avait des verrues partout, une peau pustuleuse et mystérieusement collante, une bosse, rien dans la cervelle. Il lui manquait plus d'une dent et il traînait derrière lui une charette de gourdins qui roulait en faisant "cui cui" quand il se déplaçait. Les gourdins lui servaient principalement à taper sur la tête de ceux qui se moquaient de lui et puis sur Centrion. Centrion était le surnom de Miss Térici, qui était justement la fille du magicien tout puissant (sauf au lit, oups, commentaire déplacé !) qui régnait sur la région, le vilain pas beau dont j'ai fait la description plus haut. Miss Térici, la brunette qu'on a cité au début, était malheureuse car elle ne pouvait s'échapper du Centrifughe, la fameuse organisation qui l'exploitait. Tout le monde était méchant avec elle. De plus, sa vilaine soeur Brikolhe, une blonde à l'air idiot dont la passion était de déguster des sucettes, ne trouvait rien de mieux que de l'embêter.

Un jour le père du château d'à côté, M. Majorrhett et sa femme Margaritavussuila organisèrent un bal pour un anniversaire. Le beau fils des châtelains, Jarodalajoi, 42 ans mais musclé et au physique d'Apollon, cherchait à se marier. Il aurait préféré rester célibataire et flirter gentiment en papillonant deci-delà jusqu'à la fin de ses jours mais ses parents n'étaient pas du même avis.

La pauvre Centrion entendit parler de tout cela et fut bien triste car elle ne pourrait pas y aller. Elle essaya de supplier son frère jumeau, Lyloli, un sinistre cannibale (mais moins distingué qu'Hannibal Lecter !) à l'oeil enflammé, mais en vain !

La pauvre Centrion était vraiment désespérée.

Et elle pleurait.

A chaudes larmes (environ 25 degrés mais ça refroidit vite, c'est comme le sang qu'avalent Hannibal ou Lyloli au passage quand ils dévorent une victime en commençant par lui mordre le cou tel un vampire et que le liquide rouge coule à flots et que... Tiens, on dirait un banal film à n'importe quelle heure de la journée. Toute cette violence, je vais me plaindre au conseil supérieur des abrutis, heu...).

Et elle avait perdu son ours en peluche.

Et personne ne voulait lui faire un câlin (sauf Rainhoveurdoz mais là elle se méfiait vu la manière dont il matait ses jambes).

Je dirais même plus que son moral baissait.

Et que si elle continue comme ça elle va se jeter par la fenêtre avant la fin de mon histoire et je serai bien embêtée, sans héroïne (mais non, je ne me shoote pas, je parle de Miss Térici !).

Bref il fallait faire quelque chose.

Et comme nous sommes dans un conte, il va y avoir un type ou une meuf qui va débarquer avec une baguette magique et faire : "Pouf !" avec un objet magique, et toc ! la Centrion va aller au bal et rentrer avant minuit sous peine de voir sa jolie robe en peau de chauve-souris se réduire en poussière et ses collants rouges et jaunes à petits pois (clin d'oeil à D, avec qui j'ai passé de bons moments, même si c'était débile !) se transformer en pamplemousses... Elle va trouver son beau prince charmant et alors ils furent heureux et eurent plein de rejetons braillards et capricieux... Non non. Nous sommes dans mon conte et vous me connaissez mal si vous croyez que je vais me limiter à copier une histoire en changeant le titre et les personnages. En plus je préfère ma version. Bref, lisez la suite.

Oui, mais il faut que l'auteur(e) se décide (OK, "l'auteure" est un mot idiot, néologisme et inutile, on dirait la patronne du MNF et non ça n'est pas moi. Je suis moi, c'est déjà pas mal). Est-ce une idée ou l'auteur s'égare dans des digressions saugrenues ? Et pourquoi utilise-t-elle des mots que Loana ne comprendrait pas alors que depuis le début elle écrit n'importe quoi ? Hum, l'auteur fait ce qu'elle veut ("je suis le narrateur et c'est mon choix !" ) !

L'auteur va-t-elle cesser d'ennuyer son monde et poursuivre son histoire ? Oui, mais gling-gling, tournez la page au son de la clochette et poursuivez...

 

Miss Térici se dit qu'elle n'allait pas se laisser marcher sur les pattes toute sa vie. Elle alla trouver son père. Rainhoveurdoz ne fut pas ravi et voulut la menacer.

Alors Centrion saisit un gourdin dans la remorque qui faisait "cui cui" quand son propriétaire se déplaçait. Elle en choisit un bien long, bien dur (...no comment... omg, quel esprit, non mais quel esprit... *vous voyez, je prévois même les commentaires salaces avant qu'on ne me les dise*) et entreprit une grande chose. Elle tapa sur Rainhoveurdoz avec. La tête de l'autre se fendit en deux et il s'écroula avec un grincement sinistre tandis que son âme s'envolait déjà pour quelque sombre et sulfureux antre géré par Satan (ô que c'est bô cette phrase ! on dirait presque du Jacobette !). Le sang gicla, mais je vous passerai les détails répugnants.

Bref, Centrion s'était débrouillée seule. Mais une espèce de fée minuscule (c'est une fausse, attention !!), avec des aîles grises, des oreilles ridiculeusement pointues et un nez retroussé s'amena. Centrion, d'un ton glacial et même froid ( ! ) dit : "Attends un peu, microbe !", saisit à nouveau son gourdin qu'elle avait lâché en découvrant qu'elle s'était cassé un ongle et essaya de frapper la créature avec. La fée s'enfuit mais soudain la tapette à mouche s'abattit et il ne resta plus qu'une bouillie de bouts d'aîles, d'yeux en pagaille, de petits morceaux de chair éparpillés et un sang bleu se répandit (l'auteur veut concurrencer Roald Dahl dans le répugnant-amusant !). Miss Térici s'écarta, elle ne voulait pas salir son tailleur. Elle avait en plus trouvé le moyen de se casser un deuxième ongle. Quelle vie, mais quelle vie ! Elle regarda sa montre de chez Gutchie (hum, je suis une fanatique des marques, tout le monde sait ça...) et déclara : "M...e (censure, si ça ne vous plaît pas, plaignez-vous au conseil supérieur des abrutis), je vais être en retard !".

Elle se rendit dans sa chambre, ouvrit son placard et délara : "Flûte ! Je n'ai rien à me mettre sur le c.. !" (hum, qu'elle parle mal, celle-ci ! Ah la la, quand les personnages se rebellent... Je sais bien que "On a toujours raison de se révolter" - Gérard Miller, une de mes citations préférées, datant de Mai 68, avec les barricades, les cris, les drapeaux, etc... Youpiiiiiie !! J'ai d'ailleurs commencé à prévoir des panneaux "shipperisme powwaaaa", "producteurs = menteurs" etc... pour le prochaine manif' du genre ;-) Je rigole mais je suis révoltée de nature ! - mais tout de même). Alors elle ouvrit les tiroirs de sa commode tout en se déshabillant de l'autre main. Elle faillit tomber plusieurs fois et manqua de se casser la jambe, mais se rattrapa de justesse, heureusement (sinon mon histoire serait encore une fois compromise. Elle m'embête, celle-là, à n'en faire qu'à sa tête et à se fourrer dans des situations dangereuses). Elle trouva un collant de dentelle qu'elle enfila, avec une merveilleuse guêpière, blanche elle aussi. Elle mit ensuite une mini-jupe (quoi, j'ai oublié de lui faire enfiler un string ? Non, non, cela fait bien longtemps qu'elle n'en met plus. Enlever une ficelle prend du temps dans son emploi du temps et réduit le champ de vision de tous ces minets affolés qui la regardent, ébahis, à la bibliothèque du Centrifughe, quand elle décide, par le plus grand des hasards, d'aller chercher un volume se trouvant tout en haut des rayonnages et qu'elle doit pour cela monter sur une échelle se trouvant derrière le divan où les minets sont assis... quel esprit-bis !) lui arrivant à mi-cuisse et un haut assorti, en cuir. Elle sortit après s'être maquillée avec les nouveaux produits JeMets et parfumée lourdement avec le Cacocotte n°5. Elle sortit et bondit sur son cheval à bascule. Puis elle finit la route à pied.

 

Quand Centrion arriva au château du comte Majorrhett et de sa femme Maragaritavussuila, elle fit sensation. On la présenta immédiatement à Jarodalajoi qui, loin de l'apprécier dès le premier instant, se munit d'une pince à linge pour éviter les relents de Cacocotte n°5 qui venaient lui chatouiller les narines de manière persistante. Ensuite, il prononça un vague : "B'jour, poupée !" et l'observa. Là, sans poésie ni fioritures, il déclara d'une voix grave et lente (car il fumait beaucoup la moquette et que cet acte endort un peu) une expression type de la jeunesse d'alors, toujours actuelle : "T'es bonne !".

La Miss se sentit flâtée et remonta un peu sa jupe pour qu'il ne manque pas trop de spectacle. Elle répondit : "Oh super ! Je parie que t'es un vrai étalon, grand fou !" (sapristi ! L'auteur ne contrôle plus rien ! Miss Parker est pervertie au dernier degré et Jay aussi ! Ils ont trop regardé le Loft ou quoi, pour devenir abrutis à ce point ?!).

Un peu plus loin, deux personnes les observaient.

Centrion et Jarodalajoi allèrent faire un tour dans les buissons. Quand ils ressortirent, Jarodalajoi était si épuisé qu'il s'écroula sur une chaise non loin, déjà complètement défoncé comme quelqu'un que je connais suite à un léger abus de stupéfiants (oh, les jeunes, ils fument du hakik, faut amener la police, avec des flashball...), d'avance.

Quand il reprit pleinement conscience, il se dit en contemplant certaines traces laissées sur son corps et sur son jean (traces de griffes etc...) qu'il avait du passer un bon moment. Mais avec qui ? Telle était la question. Il ne lui restait plus dans la main qu'un chapeau horrible de chez Tchanièl...

 

Entracte...

Hum... L'auteur poursuit. On vient de lui faire remarquer que dans un conte il n'y a pas d'entracte. Ah bon ? Et qui a décidé ça ? Le président de la République, le Pape ou le Père Noël ? Non mais sans blague ! Mon conte a un entracte et puis c'est tout. Je récidive :

 

Entracte (bis)...

Deuxième entracte passé. Vous voyez qu'il y a des entractes dans les contes ! Nous sommes donc maintenant dans la septième partie alors il n'y aura plus d'entracte (d'ailleurs je n'en suis pas à la moitié comme quoi les entractes sont fourbes dans les contes !).

Jarodalajoi tenait toujours l'affrosité de chapeau de chez Tchanièl et se demandait qui pouvait bien être son propriétaire. Il fit un pitit sondage autour de lui et réunit trois personnes qui déclaraient être le propriétaire. Il avait annoncé qu'il épouserait la personne à qui cette chose appartenait (même si elle avait un certain mauvais goût).

La première personne était Brikolhe, l'une des filles de Rainhoveurdoz, toute de rose vêtue. On aurait dit un bonbon, sans la saveur.

La deuxième personne était un certain Broute. Délaissé par les femmes, il s'était tourné vers ses semblables et lorgnait Jarodalajoi depuis un pitit moment déjà (rien de risible, sauf si l'on imagine Broots avec une voilette et en tutu !).

La troisième personne (trois, c'est bien pour un conte !) était Centrion.

Brikolhe essaya le chapeau. Il ne lui allait pas. Elle fut jetée dans la fosse aux renards (ça changera des lions) mais s'en échappa en les chatouillant.

Centrion essaya le chapeau. Il ne lui allait pas.

Broute essaya le chapeau. Il ne lui allait pas.

Jarodalajoi se dit qu'il avait du commettre une erreur quelque part.

Enfin on se rendit compte que le chapeau était une chaussette et que déformée comme elle l'avait été elle allait à tout le monde.

Jarodalajoi prit donc Centrion comme maîtresse, Broute comme cireur de pompe et Brikolhe comme femme de ménage. Jamais il ne se maria et ils vivent encore tous ensemble, malheureux, en échangeant leurs rôles quand la situation vire au drame.

 

Fin.

 

 

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