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Seconde séance (page 1)

Auteur : la même dingue que celle qui a fait ce site, cad Sydnette (e-mail) la Psy-Caméléonne.

Fan-fiction terminé le : (commencé le 30 mars 2003)

Où le situer : après IOTH

Notes :

Ce fan-fiction reste une exclusivité de ce site. Comme tous les textes de ces pages Internet (protégés par diverses lois de la propriété intellectuelle, voir début du site), il est bien sûr expressément interdit de le copier, même si vous précisez le nom de l'auteur (je sais que certains sites intéressants regroupent des fan-fictions - j'ai l'intention de faire la même chose - , je ne suis pas intéressée, ne voulant pas que ces récits soient dispersés sur le Net). Le plus simple est de mettre un lien de votre page vers la mienne (pour cela, il n'y a aucun problème. Mais comme je pratique l'échange de liens quasi-systématique, prévenez-moi, je placerai votre adresse dans mes sites partenaires sur la page "Liens").

2) Ce fan-fiction, comme je disais plus haut, est un délire, comme quelques-uns font sur le Net. Quand on s'ennuie, qu'on est une shippeuse de choc et qu'on contemple la frimousse adorable de Jarod sur papier glacé à son mur, on frôle la folie si l'on ne s'active pas... Ce texte est dédié à tous les pôvres shippers comme mouah !!! et spécialement à mes copineeeeuuuuuuhhhhh du Pretender Forum ! heu, disons de The Centre Forum maintenant, mais bon, les "anciennes" aussi hein ! :-)


Note 3
: L'auteur, qui est une infatigable bavarde, n'a pas pu se retenir de mettre entre parenthèses tous les commentaires qui lui sont venus à l'esprit pendant l'écriture de ce récit, malgré une lecture moins facile. Si jamais vous vouliez néanmoins des précisions, que vous aviez des questions, envoyez-moi un pitit
e-mail, je me ferai un plaisir d'y répondre (j'en suis un un stade où je peux encore répondre à tous les e-mails qu'on m'envoie... plus ou moins vite bien sûr, surtout si votre question en amène d'autres qui m'entraînent à créer une nouvelle page).

Heu, j'oubliais : à ceux qui me demandaient de lui donner plus de conseils, non, un vrai psy est avant tout là pour écouter, pas pour donner des conseils, ce n'est pas du tout la même chose. Et sinon désolée, mais le métier est ici un peu transformé... LOL Désolée pour les vrais psys ou assimilés... :-)

 

 

 

 

Sydnette la Psy Caméléonne (que nous abrévierons ds la suite par S, pour faciliter l'écriture) : Alors, vous avez encore fait le même rêve ?
Jarod : Eh oui. Je suis sur cette île avec Miss Parker (la psy, lors de la première séance, a eu tous les détails de la vie de Jay, pour ne pas faire trop long...). Je lui mets une couverture sur les épaules. Nous parlons, nous parlons, et puis là...
S : Là ?
J (cad Jarod...) : Là... Hum... Je me penche vers elle. Elle se penche aussi. Et nous nous embrassons langoureusement.
S : Pourtant il n'y a rien eu.
J : Eh non, Ocee interrompit la scène.
S : Cette co***sse d'Ocee...
J : Je ne vous le fais pas dire... J'ai appris un peu plus tard que c'était Zoey, vous savez, la petite rousse...
S : Oui, je ne risque pas d'oublier de sitôt. Eh bien, qu'a-t-elle encore fait, celle-là ?
J : C'est elle qui a envoyé Ocee.
S : !!!!
J : Oui, surprenant, n'est-ce pas ? Vous voulez que je vous raconte la suite de mon rêve ?
S : Allez-y, je suis tout ouïe...

J : M Raines, coiffé d'un chapeau tirolien, débarque avec Angelo à la main. Ils se mettent à chanter et danser autour de nous. Sydney arrive et dit soudain : "Mlle Parker, vous avez pensé aux conséquences ?". Là-dessus, mon amoureuseeeuuhhh se met à rougir et met ses mains autour de son visage comme elle l'a fait en vrai.
S : Pourquoi a-t-elle fait cela, d'ailleurs ?
J : A cause de son inner sense. Elle a su que j'avais rêvé d'elle. Et Dieu sait si ces rêves sont gênants. J'ose à peine les évoquer...
S : Allez-y, je suis psy, pas Saint Pierre
.
J : Eh bien, vous savez, avec le Centre... Ils avaient pris l'habitude de me doper à l'aide de divers produits... Et j'ai imaginé ou vécu, je ne saurais dire, de drôles de choses...
S : De drôles de choses ?
Vous pourriez être plus précis ? (Syd manque de baver, telle Gagou ds Centre Story... )
J : Raisonnablement non (note du psy : flûte !
). Disons que j'imagine... je l'embrasse, et le reste... Vous voyez ce que je veux dire...
S : Vi vi, pas de problème (Syd se dit qu'elle a tellement imaginé de scènes shippers qu'il doit bien avoir l'un de ses scénarios qui colle !
) Et pourquoi ne pas lui dire ?
J : Je lui ai dit.
S : Ah, vi, dans la voiture.
J : C'est elle qui fait de la résistance.
S : Telle papy
. Bon... Il va falloir passer au niveau supérieur !
J : Au niveau supérieur ?
S : Oui, faites marcher votre imagination. Vous lui sautez dessus, l'attachez sur une chaise, et hop !
J : !!!
S : Oui, enfin, j'exagère pê un peu (nan, tout compte fait, c'est parfait comme ça !
), mais il ne faut pas vous contenter (Syd est ici plus "Ménie Grégoire" que psy lol ! ) de lui écrire des poèmes. Il faut agir, votre Miss Parker aime l'imprévu et l'action.
J : On dirait que vous la connaissez.
S : C'est tout comme,vous m'avez fait d'elle un portrait très... précis.
J : Vous êtes étrange pour une psy.
S : C'est que je suis aussi Caméléonne.
J : Pardon ???

S : Rien, rien... Continuez. Vous me parliez l'autre jour de vos instincts meurtriers...
J : Oui, j'ai tué un homme de sang froid tout de même.
S : Ah, j'avais cru comprendre que vous aviez le sang chaud ! (la shippeuse déborde
) Heu... J'avais cru comprendre que vous aviez une bonne raison.
J : Il n'y a jamais de raison assez bonne pour justifier le meurtre d'un homme.
S : *soufflée !* Heu... Heu... Mais heu, vous deviez le faire, sinon il vous aurez tué. quoi qu'il en soit, je voudrais que nous revenions non pas sur ce facheux incident avec Damon, que je considère comme légitime personnellement mais sur vos rapports plus qu'houleux avec M. Lyle.
J : Il a essayé de tuer mon frère...
S : Oui, bien sûr, je conçois très bien que ça n'est pas un enfant de coeur.
J : Des fois on dirait qu'il... qu'il me regarde différemment, mais à certains moments je l'ai vu me considérer comme une proie et je ne supporte pas cela. Je supporte encore moins quand il regarde sa soeur...

Silence soudain.
S : Sa soeur ? Que voulez vous dire ?
J : Eh bien disons qu'il ne la regarde pas comme si elle était sa soeur. Et moi, ça me rend dingue de savoir qu'il porte un tel regard sur elle.
S : Vous êtes jaloux de leur proximité ?
J : Vous n'y êtes pas, je veux dire que quand il la regarde, certains jours, ce n'est point une affection fraternelle, mais le résultat d'un désir profond. Il est dingue de Mlle Parker ! Je ne suis pas jaloux de lui, non, même si j'aimerais être plus proche d'elle que maintenant, mais j'ai surtout peur pour elle...
S : Que voulez-vous qu'il lui fasse ?
J : Je ne sais pas. L'agresser peut-être.
S : Il ne va pas violer sa propre soeur ?
J : Qu'en sait-on ? Il est fou à lier.
S : Ce terme ne signifie rien.
J : Hummm. Disons qu'il a des petits soucis mentaux... Une psychose si vous préférez. Je ne suis pas spécialiste en psychanalyse, je n'ai fait qu'un peu de psycho, mais je dirais que son enfance l'a sacrément marqué. La plupart des névroses et psychoses sont le résultat de l'enfance de toute façon, non ?
S : Plus ou moins, oui.
J : En tout cas, ce sont ses frustrations et pensées agressives refoulées qui ressurgissent.
S : On dirait que votre vie est basée sur Lyle. Vous en parlez beaucoup ?...
J : Depuis que je l'ai rencontré, je pense trop à lui. Il m'en a fait voir, vous savez. C'est, comment dire ? Mon ancien bourreau, n'ayons pas peur des mots. Il a fait des expériences sur moi, avec le docteur Raines. Il a arrêté mon coeur. Dites... Vous me croyez ?

Ses yeux de cocker faisaient pitié à voir. Il se tourna vers Sydnette, complètement impassible. Elle bougea un peu dans son fauteuil rouge.

S : Oui, bien entendu. Je ne remets pas en cause vos propos. Je crois que rien n'est vraiment étonnant avec le Centre...
J : Et puis là il veut s'en prendre à elle. J'ai des projets fous, vous savez ? J'aimerais bien l'enlever, comme dans les contes...
S : Vous avez imaginé comment ?
J : Bien sûr. J'en ai rêvé et je l'ai imaginé de manière plus consciente aussi.
S : C'est très bien ça.
J : Oui, j'ai réussi à accepter le fait que j'étais fou amoureux d'elle. Malheureusement ça n'a pas l'air réciproque...
S : Qu'elle laisse croire.
J : Ca, c'est sûr. Quand elle est seule, en petite nuisette dans sa chambre, je l'ai déjà surprise en train de regarder ma photo et, heu...
S : Hum ?
J : Bah elle faisait pas qu'un travail d'observation...
S : Je vois
(très bien, même !)
J : Et ça me rend fou de la surprendre comme ça.
S : Vous l'espionnez souvent ?
J : Heu, quand même oui. Disons au moins une fois par mois je prends ma journée et je la suis. Ou je m'arrange en tout cas pour m'introduire chez elle le soir.
S : Ce n'est pas très légal (la Syd regrette immédiatement ses propos !!
)
J : Oh, je ne fais rien de mal. Juste l'observer.
S : Jusque dans sa salle de bain ?
J : Ca m'est arrivé, mais j'évite, car ça me rend vraiment dingue, ça. J'aime surtout la regarder dormir.

 

 

Suite de la fanfic bientôt !

 

 

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