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Cadeau surprise

 

Fiche

 

Titre : Cadeau surprise (Toy Surprise)

Saison : 2

Episode : #12 (12/22) (épisode n° 34)

Date de 1ère diffusion américaine : 7 mars 1998

Date de 1ère diffusion en France : 28 novembre 1998 (sur M6 - je ne compte pas Série Club)

Acteurs :

Michael T. Weiss : Jarod
Andrea Parker : Mlle Parker
Patrick Bauchau : Sydney
Harve Presnell : M. Parker
Pamela Gidley : Brigitte
Richard Marcus : M. Raines
Ryan Merriman : le jeune Jarod
Alex Wexo : le jeune Sydney
Ashley Peldon : la jeune Mlle Parker
Paul Dillon : Angelo
Jon Gries : Broots
Nynno Ahli : Hayes
Mark Arnott : M. Conti
Christopher Kennedy Masterson : Chris Conti
Mike Ornest : l'aide-soignant, l'infirmier d'urgence (appelez ça comme vous voudrez !)
David Sawyer : le jeune M. Parker

Scénario : Juan Carlos Coto

Réalisation : Fred K. Keller (en gros deux valeurs sûres pour cet épisode !!)

Comme d'habitude, je vous préviens : en blanc, la narration, en bleu le dialogue, en vert le commentaire (humoristique ou analyse sérieuse, selon les cas...). Comme ça on repère bien les différents éléments... (même le 5e ? oh, faut voir !)

Heu, j'écris petit aussi, mais avec les photos et la longueur de l'épisode, c'était impossible de faire autrement. J'espère juste que vous aurez pensé à mettre votre ordinateur en 800 * 600 (résolution écran comme on dit, sur le bureau, après un click droit c'est Propriétés :-) ) comme conseillé sinon bonjour les yeux !!

 

Détails

 

Quelques images nous remettent en mémoire la situation... Puis...

Le Centre, Blue Cove, Delaware...

D'abord une ch'tite vue de haut puis... Bureau de Mlle Parker. Nous voyons un cadre contenant une photo de Mlle Parker (en tailleur bleu) posant avec son père et un autre cadre contenant une oeuvre d'art représentant un oeil.

Arrêt sur image SVP. C'est un très joli dessin, mais somme toute assez effrayant. Et cet oeil unique n'est pas sans nous rappeler aussi les yeux que dessine Jarod, notamment dans "Troubles mentaux" ("Crazy" - # 3-01). Donc ici, c'est une très discrète allusion à un thème récurrent : le voyeurisme. Oui, nous sommes au Centre, vous êtes surveillés, un oeil est constamment braqué sur vous... Et puis cet oeil est effrayant, comme je l'ai dit, donc en plus ces personnes qui surveillent ne sont pas des anges... A côté du dessin, et derrière divers dossiers (dont 1 portant le mot "CENTRE" écrit en travers et en rouge, genre "Confidentiel") une soucoupe transparente contenant d'alléchants (hummm) bonbons colorés. Une main colorée (c pô raciste, je l'ai déjà dit, seulement je décris quoi ! S'il avait été vert ou rose à petits pois jaunes, j'aurais précisé pareillement) s'approche et s'empare d'un des bonbons (un rouge, sûrement à la fraise...). C'est un nettoyeur, à en voir son costume digne des "men in black" et visiblement il est nouveau pisqu'il se permet de prendre un bonbon (il a pas vu l'écriteau : "attention, ça mord" devant le bureau ??? Remarquez, "on ne sait jamais si elle va aboyer ou mordre", dixit Djjjarod...). Il se retourne vite fait, entendant des pas, mais rien a priori.

Nous voyons une ombre (celle de Mlle Parker) se profiler derrrière la vitre translucide. Hayes (c'est son nom comme on l'apprendra) déballe le bonbon et le fourre dans sa bouche, tandis que Mlle Parker (les cheveux recourbés vers le haut, comme souvent dans la saison 2, toute de noir - enfin gris très foncé, oki ! - vêtue, ce qu'on comprendra après) débarque discrètement dans son bureau, observe la scène d'un air surpris, levant très légèrement un sourcil, et demande : "La cafeteria est fermée ?". Elle laisse se reclaquer pas trop fort la porte derrière elle. Le Nettoyeur est surpris et embêté : "Ah, Mlle Parker. (celle-ci croise les bras et attend) Au... Aujourd'hui tout le monde devait sortir du Centre pour les exercices d'alerte à l'incendie" (c'est presque une question).

Mlle Parker réplique : "Alors pourquoi est-ce que vous jouez avec le feu ?". Il en a le souffle coupé : que lui raconte-t-elle ? D'ailleurs il explique : "Je ne saisis pas". Mlle Parker répond : "Hayes (prononcer Éyiz), si vous voulez (elle se déplace vers lui, les bras croisés, comme juste avant. Ses talons font un léger bruit sur le sol) travailler pour moi, il y a trois choses que vous devez savoir. Tout d'abord, votre noeud de cravate (elle le bouge elle-même, alors qu'il regarde, assez surpris) doit être impeccable. Ensuite (légère pause), achetez une nouvelle cravate ! (elle sourit un peu, lui aussi)".

Hayes demande, alors que Mlle Parker se déplace vers le bureau : "Et la dernière ?". Mlle Parker revient se poster devant lui, un cendrier en argent posé sur sa main droite, en annonçant : "Les bonbons sont pour les clients." Hayes regarde Mlle Parker, sans doute surpris, mais elle ne bouge pas. Il comprend, soupire, cherche le papier dans sa poche et recrache la friandise dans le papier, qu'il dépose dans le cendrier. Mlle Parker fait un sourire crispé, lui aussi. Il a l'air exténué, comme s'il venait d'affronter une épreuve terrible, et il la dépasse et sort de la pièce, tandis que le téléphone sonne.

Mlle Parker s'approche du bureau, appuie sur un bouton ("biiip !") et énonce : "Quoi ?" (assez fatigué aujourd'hui, comme le "whaaat ?!" original d'ailleurs). On entend la voix de M. Parker : "Ah ! Enfin j'te trouve, chérie !". "Papa ?". Mlle Parker saisit le combiné et demande : "Ah, c'est toi ?". Son père répond : "Oui, à moins que tu aies un autre père dont on m'aurait caché l'existence. (il appelle du Bermuda International Airport - Aéroport international des Bermudes -) J'ai essayé de te joindre à la maison. Qu'est-ce que tu fais au Centre dimanche, en particulier ce dimanche ?". Bon, stooopp !! Quand j'ai revu cet épisode en début 2003 sur M6, j'ai surtout retenu cette phrase à propos du père. C'est une discrète allusion (et un clin d'oeil des scénaristes. Ici, c'est leur grand copain Juan Carlos Coto, on a l'habitude de lui, il nous pond des scénarii mythologiques régulièrement !) aux interrogations sur la paternité qui apparaissent dans cette même deuxième saison avec le personnage de Ben Miller. Et quand on sait qu'on aura cette certitude dans IOTH (supeeeerrr nouvelle pour MP !! lolllll J'adore !)... Mlle Parker répond du tac au tac : "Un faux renseignement sur Jarod. Où es-tu ?". (C'est qu'elle a de l'humour quand elle s'y met ! lol) "Je m'apprête à monter dans un hélicoptère. Je serai à Blue Cove ce soir". Mlle Parker a l'air surprise et tracassée : "Mais tes vacances alors ?". M. Parker répond : "Je ne suis pas d'humeur à faire de la bronzette sur une plage. Impossible d'oublier quel jour on est aujourd'hui (lundi 13 avril 1998, au cas où vous sauriez pô !). J'ai beaucoup pensé à ta mère". Mlle Parker tombe des nues, elle n'a pas l'habitude d'un tel discours : "Ah bon, c'est vrai ?". Il faut comprendre qu'à chaque autre anniversaire M. Parker avait l'habitude de s'éloigner le plus possible du Centre et du cimetière où sa femme a été enterrée (pour de faux...). M. Parker réplique : "Pourquoi, ça t'étonne (un coup d'une musique proche de "Parker's Loss"...) ?". Mlle Parker est troublée par l'émotion : "Pourquoi, c'est... C'est juste que c'est la première fois que tu me téléphones ce jour-là. C'est ça qui m'étonne". Preuve que M. Parker n'est jamais là pour elle, et surtout pas quand il le faut, comme pour le deuil de sa mère en avril 1969... puisque Sydney a du réconforter la petite MP. M. Parker continue : "C'est seulement à mon âge qu'on commence à faire un retour sur soi et à avoir des regrets. Il y a beaucoup de choses que j'aurais aimé (légère pause) te dire, à toi, et aussi à elle, depuis longtemps". Là il y a allusion aux secrets qu'il a caché : la paternité sans doute, mais aussi la prophétie, et ainsi de suite... Par contre, là, il est sans doute sincère. Eh oui ! M. Parker n'est pas un pourri total, il a des regrets !!! Waoooh !! Mlle Parker hallucine (nous aussi !), mais trouve la force, malgré une émotion qui se ressent dans sa voix, de dire : "Tu sais, Papa, je suis à ta disposition...". Visiblement M. Parker n'a pas envie de poursuivre (émotion qu'il ne veut pas exprimer ou indifférence ?), il fait semblant de n'avoir rien entendu : "Bon, je serai là à sept heures. J'te verrai ?". Mlle Parker saisit la photo dans le cadre sur le bureau (on notera son exquis vernis à ongles bordeaux foncé !!) et répond : "J'étais sur le point de partir au cimetière, mais on pourrait aller (elle se retient) voir maman ensemble si tu veux (on sent qu'elle retient vraiment ses larmes de justesse) ?". "Oui, pour une fois on sera tous les trois réunis. Alors attends-moi !". Ca, c'est bien vrai. Rarement les Parker se sont retrouvés à trois, comme on l'a compris notamment dans l'épisode "La folle équipée" (quand Mlle Parker évoque la partie de Monopoly). Il coupe et se dirige vers l'hélicoptère. Mlle Parker continue néanmoins : "Je serai à la maison. Papa ?". Mais M. Parker ferme alors la porte de l'hélico. Plus personne n'est au bout du fil. Mlle Parker pose le combiné sur son épaule de la main droite et, tenant toujours le cadre de la main gauche, l'observe pensivement.

On voit ensuite Mlle Parker déambuler lentement dans un des couloirs du hall. Elle passe devant un ascenceur. L'Ascenceur. Glig ! Deux filles en sortent.

MP s'arrête et le regarde pensivement. Alors qu'il se referme, les souvenirs lui reviennent.

Flash-Back : Deux hommes retiennent Mlle Parker, passant dans l'ouverture d'une porte. Mlle Parker (enfant) hurle : "Non, maman, naaannnnn !! Maman !!! Nannn !!". Elle se débat mais les hommes sont forts. On voit les jambes de Catherine Parker, allongée dans l'ascenceur, morte (enfin elle semble morte, nous savons depuis "Instinct naturel" ce qu'il en est, mais bien sûr MP n'est à cette époque pas du tout au courant !). Quelqu'un se trouve à côté d'elle. Elle se libère et court jusqu'à côté de sa mère, toujours inerte bien entendu. On entend les coups de feu (qui se situent avant normalement, mais la mémoire ne s'arrête pas à ça) et la petite hurle. Elle crie encore : "Laissez-le moi !", en parlant de son paquet-cadeau et s'éloigne, tirée par les deux hommes.
L'ascenceur se referme complètement. Mlle Parker revient à elle... Elle dit, doucement, avant de s'éloigner : "Tu me manques, Maman..."
("Tu manques, si tu savais... Tu manques... tant..." - oups, c'était la pause JJG du jour ! lol).

Mlle Parker continue son chemin, une valisette (comme celle qu'utilise Jarod pour les DSA) dans les bras, et croise celui de Sydney, lequel lui adresse la parole : "Le jour de l'anniversaire de la mort de sa mère est un jour éprouvant où chacun porte sa croix (merci pour l'allusion biblique, Syd ! Encore une à ajouter à la loooongue liste, et pis c'est du langage chrétien, ça, fort répandu dans tP), à plus forte raison quand on est seul. Si vous voulez accepter ma compagnie (c'est gentil, dis-donc !! Tu t'inquiètes plus pour elle que son père généralement !) pour aller au cimetière, heu...". Mlle Parker, les yeux toujours tristes et un peu embués, réplique : "Je vous remercie, Sydney, mais je ne porterai pas toute seule la croix cette année". Sydney a l'air très surpris : "Votre père sera là ?". Mlle Parker, qui s'était arrêtée, revient plus près vers lui, et répond : "(soupir) Je suis allée sur la tombe de ma mère chaque année, régulièrement, le jour de l'anniversaire de sa mort mais mon père, lui, n'est jamais venu avec moi. (elle fait "non" de la tête et s'arrête de parler un instant) Je ne comprends pas pourquoi les gens attendent d'être au terme de leur existance pour éprouver des regrets (elle a l'air d'avoir un joli tee-shirt à trous en dessous. C'est pour Jay, hein, coquine ? Heu, on s'égare, là, non ? Dans un moment pareil, c'est honteux ! lolll)". Petite musique bien triste et Syd qui fait son travail d'analyste : "Quand on éprouve un regret, c'est qu'on a enfoui une émotion (ce qui répond à notre question de tout à l'heure : pourquoi M. Parker coupe la communication. Il est incapable, comme sa fille, d'affronter ses émotions, sinon il sait que c'est la mort...). Mais la mort de votre mère est une blessure, une blessure que même les Parker ne peuvent feindre d'ignorer (voui, y'en a pas un paquet, des comme ça... ;-) ). Vous ne l'avez jamais vu avoir du chagrin ? (là, Parker détourne le regard et tourne la tête, elle a trop peur de ce qu'elle peut laisser échapper...) Le jour où vous arriverez à partager cette douleur avec lui (c'est pas demain la veille pisque la fille est déjà très froide, mais alors le paternel carrément frigorifique, donc il ne va pas se confier comme ça...), la blessure se refermera...". Sydney s'éloigne, et Parker sourit légèrement, toujours les yeux bizarrement mouillés... Elle repart, et là on voit le conduit d'aération de près. C'est Angelo ! Il a écouté la scène et là pointe le nez, disant tout bas : "La fille est triste". Puis il redisparaît.

Notre Parker internationale continue son petit bonhomme de chemin à travers les couloirs..., se dirigeant vers la sortie, et croise (pour le pire) Brigitte (qui porte une veste à manches d'Harlequin - mais si, à losanges de toutes les couleurs ! -), qui marche elle aussi. Les deux se dévisagent et Brigitte interpelle la Dragon Lady : "Eh bien, ma p'tite chérie, je trouve que c'est une honte" (elle m'énerve toujours autant, celle-là, on voit que ça faisait un moment que je n'avais pas regardé d'épisode de la saison 2...). Mlle Parker la regarde, laissant son regard s'apesantir sur ce que tient la blondasse, et lui rétorque : "De voler des fournitures de bureau ?". L'autre poursuit son attaque : "De penser que vous ne puissiez jamais attraper Jarod. (Là je m'interroge : le fait-elle exprès ? Ignore-t-elle quel jour ils sont ? Connaissant ses habitudes de pé**sse, je répondrai : non, je crois bien qu'elle le fait exprès...) Quelle mine vous avez ! (avec un sourire cynique) Mettez un peu de fard à joues, chérie ! (c'est vrai qu'elle a le teint pâle - mais on a déjà vu plus pâle ! -) On pourrait croire que vous faites de la dépression !".

Elle s'éloigne. Mlle Parker ignore sa remarque (la blanche colombre - lolll - ignore la bave du vilain crapaud...) et se retourne, vers la sortie.

Conduisant (dans sa supeeeerbe voiture noire - une Lincoln aussi ? nan, une Mercedes je pense bien. Enfin, j'y connais pas grand-chose... En tout cas, ça ne doit pô être une Jaguar... - ) vers chez elle, Mlle Parker reçoit un autre appel. Elle décroche et, au lieu du "Quoi ?!" habituel, demande : "Papa ?". Mais cette fois il s'agit de Jarod, dans une cabine téléphonique, qui lui demande, le ton un soupçon paniqué : "Tu as parlé à ton père aujourd'hui ?". Mlle Parker est décontenancée, et surtout agacée (elle a visiblement tout sauf envie de lui parler) : "Qu'est-ce que tu veux encore ?". Jarod répond : "Je veux t'aider. Dis-moi où tu es." La Dragon Lady coopère et répond : "Je viens de quitter Blue Cove. Qu'est-ce qu'il y a, Jarod ?". "Fais demi-tour ! Retourne au Centre aussi vite que tu peux !". (voix off) "Pourquoi ?". Gros plan sur Jarod, qui prévient : "Quelqu'un veut assassiner ton père". Blocage de Miss Parker...

Générique (pour le détail, cf page Les Secrets du Centre).

On voit à nouveau la voiture de Mlle Parker, alors qu'apparaît le titre : "CADEAU SURPRISE " (je vais mettre les propos affichés en jaune). On entend en voix-off Jarod : "Quelqu'un a donné l'ordre d'assassiner ton père. D'après mes sources, il y aurait un dossier appelé "Arkham" (je reviendrai là-dessus, c'est important) dans l'ordinateur ("avec HARVE PRESNELL") du Centre. Les explications qu'on cherche seraient dedans". Sur un ton plutôt furieux et agacé, Mlle Parker répond : "Aujourd'hui, je ne suis pas d'humeur à jouer aux devinettes ("PAMELA GIDLEY")". "Je sais quel jour nous sommes, Mlle Parker. ("RICHARD MARCUS") C'est le Centre qui t'a enlevé ta mère, c'est exactement ce qu'il s'est passé avec la mienne. ("CHRISTOPHER KENNEDY MASTERSON") Ne les laisse pas achever leur oeuvre et tuer ton père". Mlle Parker réplique : "Mon père t'a gardé prisonnier au Centre durant toute ta vie (voui, 33 ans, comme l'âge du Christ, on sait - cf page Manuscrits, in Dossier IOTH pour les détails ! -) ("MARK ARNOTT"), quelles raisons aurais-tu de jouer les Bons Samaritains ?" (référence biblique, bis ! Et pas des moindres) La réponse ne se fait pas attendre : "Parce que s'il meurt, mes questions resteront sans réponses ("RYAN MERRIMAN"), les tiennes également". Mlle Parker reste silencieuse, Jarod raccroche à la cabine téléphonique. Mlle Parker, avec un beau crissement de pneus, fait demi-tour et retourne vers le Centre.

Chaîne des Monts Turner, Idaho

On voit de la super végétation, des montagneuh ! Bon, oki, j'arrête mes descriptions à deux balles... On entend une voix : "Jarod, j'hésite à donner mon accord". Jarod, sac à dos - et pas des plus petits - marchant à côté d'un type ("ALEX WEXO") dehors, répond : "Monsieur Conti, j'ai discuté avec les anciens éducateurs de Chris. On est tous tombés d'accord ("ASHLEY PELDON"), il est prêt pour cette ascension, mentalement et physiquement." M. Conti répond : "J'aimerais croire qu'une ("PAUL DILLON") grande randonnée en montagne va l'aider (bah, Jarod est dans le coup, nan ? Alors t'inquiète, petit !). Mais depuis l'accident ("et JON GRIES dans le rôle de Broots") de voiture de Chris l'année dernière on a tout essayé : les maisons de repos, les séjours distrayants, enfin tout ("co producteur JAN DeWITT")". Il s'arrête, saisit le bras de Jarod et demande : "Dites... Je voudrais que Chris soit comme avant". Jarod lui fait un sourire confiant : "Je suis venu pour ça (il regarde un type blond aux cheveux bouclés qui squatte sur un pont avec un gros sac à dos). Chris a perdu son meilleur ami, il faut du temps pour guérir de cette blessure" (comme il faut du temps à Parker, s'pas ? ;-) ) M. Conti remarque : "On sent que vous parlez comme quelqu'un qui a perdu un être cher (Jarod bouge ses oreilles en souriant - comme Anthony Hopkins, ça me fait rire -)". Le Caméléon affirme : "Je me battrai jusqu'au bout pour que votre fils s'en sorte (et un sourire spécial, un !)". Il s'éloigne, marche vers Chris, lequel est venu plus près, et l'apostrophe : "Bonjour Chris ! Jarod Crockett (comme Davy Crockett, vouii !) (il lui tend la main que l'autre, buté, ne serre pas) Il faut se mettre en route ("co-producteur JUAN CARLOS COTO") si on veut battre les autres équipes parties à l'aube du camp de base (le camp Power Quest, comme l'indique le tee-shirt de Djjjarrod). (il regarde la montagne derrière lui) T'es prêt à faire l'ascension de ce monstre ?". Chris (qui porte un beau tee-shirt d'une célèbre équipe de basket - meuh si, le logo avec la mouche... -) répond : "J'suis prêt à rentrer à la maison". Le père est consterné. Chris s'éloigne ("produit par MARIANNE CANEPA"). ("producteurs consultants TONY BLAKE PAUL JACKSON") Jarod hausse les épaules, observant Chris (genre "c'est pas gagné"...).

Le Centre, Blue Cove, Delaware (sûrement au labo de simulation ici)

Si, si, c'est suffisamment identifiable... On entend la voix de Broots : "Pour ne rien vous cacher, je préférerais être à la maison, hein ! ("co-productrice exécutive JOHANNA PERSON") J'espère accompagner ma fille à son cours de danse" (elle aussi fait de la danse ? Tiens donc, Kelsey Mulrooney aussi pê ??). Il se poste devant un ordinateur (fait sombre, juste une lampe, typique du Centre, ça, connaissent pô l'éclairage, tous des radins !), tandis que Mlle Parker l'apostrophe : "Le dossier Arkham, rien que le dossier, au boulot (ben dites-donc, c'est un écran plat qu'il a, un merveilleux PC en plus... lolll Ce ferait plaisir à Mac et Lyyn - spécial dédicace !! -) et pas de futilités !" ("co-producteur exécutif TOMMY THOMPSON"). "C' aurait été plus facile de le chercher sur mon ordinateur, je ne vois vraiment pas pourquoi on n'irait pas dans mon bureau". Mlle Parker réplique : "Parce que c'est là qu'ils commenceront les recherches". "Mais qui ? Il n'y a personne ici !". Mlle Parker saisit le menton de Broots dans sa main gauche et répond assez violemment : "Les gens qui essayent de tuer mon père (elle a de belles boucles d'oreilles - des perles blanches -)". Broots fait une tête pas possible : "Quoi ?". Mlle Parker le lâche, regarde l'écran question de lui rappeler sur quoi concentrer son attention. Broots comprend et murmure : "Oh, mon Dieu ! Je suis navré". Mlle Parker, plus calme, poursuit : "Vous savez de quoi il s'agit maintenant". Broots : "D'accord. Arkham". Il se met au travail.

Dans la pièce, sombre comme tout, une porte s'ouvre à l'opposé et quelqu'un entre : Sydney. ("producteurs exécutifs CRAIG W VAN SICKLE & STEVEN LONG MITCHELL"). Mlle Parker va vers lui, tandis qu'il se met à parler : "Vous avez réussi à prévenir votre père ?". (scénario JUAN CARLOS COTO") "Son portable est hors-service, ainsi que la radio de l'hélicoptère (elle regarde Broots, puis ils marchent) Il atterrit sur la piste de la Tour dans quatre heures. Sydney ("réalisation FRED K. KELLER"), quand il a téléphoné tout à l'heure, c'était pour se rapprocher de moi (eh oui, ça arrive pas souvent, mais qd ça arrive ça déroute, hum ? L'a un beau gilet, Syd, soit dit "en passant")". "Attention, Parker ! Vous avez déjà été déçue par votre père (bien, petit, elle va se faire de fausses joies, celle-ci !)". "Sydney (elle agrippe son col, loll), je sais que vous étiez là (effet de caméra, qui bouge. Mlle Parker joint les mains, tout tourne, c'est magnifique) le jour où ma mère a été assassinée. Est-ce que vous l'avez vu ne serait-ce qu'une fois ?". Sydney se détourne, regarde le sol en se déplaçant un peu et répond : "Ressentir de la peine pour elle (à voir sa tête, ma ch'tite Parker, je me ferais pas trop d'illusion !!) ? (il fait une moue négative)". "Dites-le moi !". "Quelques moments après sa mort, votre père m'a demandé de ne pas en parler, ni à vous, ni à Jarod, ni à personne (la Miss se repproche) Il m'a ordonné de retourner au travail comme si rien ne s'était passé. Et ensuite (visiblement ça l'embête un peu d'en parler, la Miss, elle, est très curieuse), ooh... (il secoue la tête)". La Dragon Lady insiste : "Quoi ? (elle soutient son regard, qu'elle capte d'abord) Quoi ?". Il regarde dans le vague, répondant néanmoins : "Et ensuite il a dit "La vie doit continuer" (belle philosophie, Caïn ! - ah bon, c pô son nom ? ;-) -)". Mlle Parker est refroidie tout d'un coup (étrange, hein ?).

Zouh ! Mouvements dans un conduit d'aération. Angelo bien sûr, qui reprend son p'tit refrain : "La fille est triste". On voit MP s'éloigner à travers le grillage (important, ça ! Ca insiste sur l'enfermement - cf fiche symbole). "Tout le monde est triste". Il bouge dans son conduit, comme un orang-outang presque. Il s'arrête dans un coin, au-dessus d'une collection de babioles (c'est son terrain de jeu, si, si), parmi lesquelles des jouets (un petit bâteau jaune, ...), un paquet de Crackers Jack, et une boîte en carton. "La fille est triste". Il soulève, sans faire tomber les objets posés dessus, le couvercle de la boîte en carton. Elle est pleine de DSA !!! (qui sait tous les secrets contenus dans ces dizaines de disques ?!!!) Il fouille, puis en saisit un, coincé entre deux épaisseurs de carton, et le met entre ses dents. Il referme la boîte, met aussi une boîte de Crackers Jack dans sa bouche, et repart en sens inverse.

Chaîne des Monts Turner, Idaho

De la végétation (ça me rappelle les randonnées dans les Hautes Alpes...), et pis un bruit de pas aussi. Jarod et Chris évolue sur une piste en pente un peu poussiéreuse (pas bon pour l'allergie, ça, je pense !). Chris se plaint : "La boussole ne marche pas bien. (Jarod ne fait aucun commentaire - beurk, qu'il est laid son manteau kaki, pitiiié, retrouve ton manteau noir !! Remarque, ta coiffure est déjà mieux que ds tP 2001... bon...). On est perdus je crois". Jarod commente à présent non sans humour : "Tu as raison, je crois". Chris tend la boussole à Jarod et déclare : "De toute façon, c'est pas ma faute". Jarod lui demande : "Donne-moi notre position, ça vaudrait mieux (Chris a l'air de s'en foutre complètement !). Tous les deux, on forme une équipe. On doit communiquer". Ca a l'air d'agacer l'autre : "Vous les guides, vous êtes tous pareils (ah bon ??? Ils sont tous comme Jarod ??!!! ). Vous essayez de me faire craquer". Jarod le regarde avec un pitit ai semi-innocent : "De te faire craquer ?". "Ouais, de parler, de communiquer. Vous voulez tous que je vous dise des trucs. J'ai pas besoin que tu m'aides, laisse-moi !". Jarod remarque : "Rien ne t'oblige à affronter ça tout seul". Chris reprend la boussole et déclare : "Allez, on va grimper, c'est tout". Jarod hoche la tête et remarque : "Ca va être bien plus facile que tu le crois". Il fait un petit mouvement de tête (vous savez quoi ? il prépare un truc, celui-là, ça se flaire à 500 m ! Comment, je vous apprends rien ? hummm). Chris suit son regard : une jeep vert kaki (immatriculée A-691570 - bon, 69 comme 1969, 15 comme je sais pas, 5 janvier pê, et 1970 comme l'année de la mort de CP... mouais... bon, ça nous mène au "1" si on ajoute les chiffres, bof... Quant au "A"... Arkham ?), recouverte d'une bâche, et entourée de barils non identifiés. Chris et Jarod enlèvent la bâche. Chris lit un petit carton : "La jeep est en panne, on est allés chercher un garagiste (et la marmotte met le chocolat dans le papier d'alu, aussi)". Jarod, souriant, demande : "Tu penses la même chose que moi ?". "Quoi ?" (c'est une manie dans cette série ! lolll) "(du pouce il désigne la voiture) Le raccourci. (Chris semble ne pas comprendre) On répare la jeep, on passe par le sentier coupe-feu, on les prend tous de court et on gagne". Chris s'en fout et le déclare : "Ca m'est égal". "On fera plus vite que les autres. Ce sera notre p'tit secret. Tu n'y vois pas d'inconvénient ? Les secrets, ça te connaît, non ?".

Le Centre, Blue Cove, Delaware, ordinateur principal

Broots est en train de manipuler... Un panneau d'affichage indique : "Decryption open" (il décrypte ! si, si), tandis que Broots commente : "Ouverture du dossier secret (" * type Encrypt = ARKHAM") Ah, ça y est ! Je suis sur Arkham ! (et il a pas encore croisé de gens bizarres à corps moitié humain, moitié poisson, quel bol !! - laissez tomber, j'en parlerai plus tard !)". Sydney vient plus près, Mlle Parker rapplique. Un bruit de roulettes maintenant (j'allais dire, tout ce monde, tant de temps, et personne ne remarquerait rien ? Ce serait étrange, même dans le Centre "désert")... M. Raines débarque, traînant son charriot au pied d'un escalier. "Arkham ?". Mlle Parker marche vers lui (bruit de talon), l'arme à la main : "Qu'est-ce que vous faites ici ?". M. Raines semble étonné (je vois, Arkham pour lui c'est très limpide, pour nous aussi, nous le verrons plus tard) : "C'est ici que je vis...". Il observe Mlle Parker (Sydney est posté juste derrière, un peu en retrait), qui tire le cran de sûreté. "Vous soufflez un mot, je vais vous exécuter". Broots intervient derrière : "Heu, Mlle Parker ! (elle recule) Nous avons un petit problème (faut pas demander !!)...". "Allez, continuez, Broots ! (elle pointe tjrs son arme sur "Abelichou"...)". Broots réplique : "Je ne peux pas, il y a une sorte d'alarme sur le dossier. Si je l'ouvre, un message d'alerte sera envoyé". Mlle Parker, ne perdant pas de vue Raines, énonce : "Très bien, quelle que soit la personne qui tire les fils, elle saura qu'on est là. Ding dong, je l'entends déjà (lollll). Ouvrez-le !". Broots s'exécute, mais constate : "Oh, tout s'embrouille ! Le texte devient du charabia tout à coup !". Mlle Parker interroge : "Vous avez eu le temps de voir ?". "Neutralisation, 300, 19 h. Heu...". Sydney intervient : "19 heures, c'est l'heure exacte à laquelle votre père doit atterrir sur la piste de la Tour (Raines suit attentivement le débat).". On entend un "ting ting ting" et Parker s'approche de Raines, pointant son arme : "Alors maintenant, vous avez projeté de tuer mon père ?". "Je n'étais pas au courant de cette affaire-là" (vu sa tête, non, je veux bien croire, Arkham n'est pas Raines... cf en bas de cette fiche pour les explications, mais essayez de deviner avant) (sur sa cravate, il y a des tas d'animaux, on dirait des moutons... Hum, qu'en conclure ??). Nouvelle amabilité parkerienne : "Rien que de vous voir ça me donne la nausée (et de savoir qu'il est ton père, alors ??!!)". Les lumières s'éteignent, ne reste plus qu'un éclairage de sécurité (voui, sinon on verrait rien du tout !!) dans cette salle d'avance sombre... D'ailleurs Raines fait un trait d'esprit : "Je dirais que cette affaire est obscure pour tout le monde, Mlle Parker (ah ah ! lolll Cela dit, il te dit la vérité, là, Parker ! C cool de revoir les épisodes après, ça permet de tout comprendre !)".

L'écran devient noir un instant, puis on voit Broots, légérement paniqué, avec une lampe-torche dont il projette le faisceau autour de lui, qui commente : "Plus d'ordinateur, et plus de téléphone. Et plus d'électricité". Mlle Parker commente : "Une commande électronique a fermé les portes" et Sydney : "On est bloqué au niveau souterrain". Raines explique : "Le système a été conçu pour résister à une attaque nucléaire (ben ça va !!)". Mlle Parker éclaire le visage de Raines à la torche et commente : "C'est pratique, ce système, quand on veut faire un coup d'Etat (tu te trompes de gars, petite, j'veux pas t'embêter mais bon...). Je vous ordonne de déverrouiller les portes". Raines s'asseoit sur une marche en répondant : "Impossible". La Dragon Lady s'asseoit à côté : "Si vous croyez que je vais rester là à me tourner les pouces comme vos souris de laboratoire...". "Je suis prisonnier moi aussi, mademoiselle. Ma bouteille d'oxygène est presque vide. (Mlle Parker l'éclaire.) Je n'ai aucune raison de me faire ça (là il marque encore un point. L'est pas candidat au suicide, ça se saurait !). Quelle que soit la personne qui essaie de tuer votre père, elle sait que vous êtes là (Mlle Parker met sa main baguée - la gauche - devant sa figure) et elle s'empressera de venir vous chercher". Mlle Parker se lève et marche vers Sydney, lequel pense comme moi sur le coup : "Raines a marqué un point". Mlle Parker sourit : "Ouais...". Elle va jusqu'à Broots, lequel (c'est marrant comme façon de tourner, ça) explique : "La fermeture des portes est peut-être simplement due aux exercices d'alerte à l'incendie". La réponse parkerienne est virulente : "Ouh ! Il n'y a pas d'exercice, pauvre niais ! Ils voulaient faire le vide au Centre. Et je vous parie 5 contre 1 que notre Nosferatu (elle regarde Raines) a fait embusquer un tireur sur la piste". Sydney s'oppose : "Je ne crois pas que Raines ait quelque chose à voir dans cette histoire". "Vous êtes enrhumé ? Ca sent l'oxygène à cent lieues à la ronde. Raines fait partie de toutes les conspirations (non, pas toutes, non ;-) ). (à Broots) Est-ce que vous arriverez à décoder le dossier Arkham ?". L'informaticien est embêté : "Je peux le faire, mais il y en a au moins pour deux heures. Il va falloir être patient". Parker s'énerve : "Dans deux heures il sera trop tard (elle empoigne Broots par le col et le secoue), mon père sera mort !". Sydney l'arrête : "Eh ! Ca suffit, Parker ! Broots va faire du mieux qu'il peut, d'accord ?". Mlle Parker avance un peu, tandis que Broots émet une hypothèse : "Il se pourrait que les ascenceurs aient leur propre générateur, indépendants du reste du Centre". "C'est pas vrai, oh !! Hayes !". Sydney demande : "Qui ?" "Mon nouveau nettoyeur. Oh, je lui ai laissé un message après vous avoir appelé, il avait ordre de venir me chercher au laboratoire de simulations s'il n'avait pas de mes nouvelles d'ici une heure". Broots regarde l'heure : "Une heure s'est écoulée. Il va nous sortir de là". "C'est ce qu'il fera s'il a eu le message. Le devise de la famille Parker est : "ne jamais compter que sur ses propres forces" (elle allume une cigarette - éteins ça, ma belle !!! Et vite, hein !!! -)".

Dans un couloir, des pas, un Nettoyeur marche. Il ouvre une espèce de boîte en métal fixée au mur, décroche le combiné d'un téléphone, compose un numéro. "Passez-moi le laboratoire de simulation. C'est Hayes. (un temps) Allô ?". Des pas encore, des autres... Des pas de femme. On voit une arme dans l'obscurité, braquée sur Hayes. Quelques déflagrations sans trop de bruit ni lumière. Hayes tombe à terre dans un cri de douleur. Le combiné reste pendu. Derrière la grille d'un conduit d'aération, la tête d'Angelo apparaît. Il est choqué en voyant le corps du Nettoyeur étendu à terre, et repart vite.

Quelque part dans le ciel

Un hélicoptère noir vole. Le pilote annonce : "Je n'arrive pas à contacter le Centre, Monsieur". M. Parker enlève le casque à oreilles et se tourne : "Essayez encore".

Chaîne des Monts Turner, Idaho

Jarod referme le capot de la jeep, tandis que Chris dit : "Essaie encore !" (c'est une transition par dialogue, eh voui !). Jarod grimpe au volant et essaie de démarrer : "Ah ! Faut la faire démarrer en seconde. J'appuie sur l'embrayage et toi tu pousses fort ! Tu vas y arriver ? (il a son regard du jour où il prépare un coup, mais pas un truc spécialement drôle)". Chris lui rend son regard (style "j'suis pas un gamin") et répond : "Ouais, on verra bien" "Prêt ?". Chris pousse fort, la voiture roule et descend la pente tranquille. Seul hic : Jarod a beau appuyer sur les pédales, aucune réaction ! Chris appelle : "Jarod !" "C'est les freins !". La voiture dévale à toute allure, Chris court derrière : "Jaroood ! Jaroood ! Jarod ! Jarod !". Le Jarod hurle : "Aaaahhh !!". La voiture heurte un truc (genre meule de foin en plus costaud) et fait un tonneau. Chris débarque : "Jarod !?". Il court à côté, Jay est étendu sur le sol, les pieds encore dans la voiture, les bras sur le sol. Chris arrive plus près en courant et en criant encore "Jarod !" (plusieurs fois, on a copris au bout d'un moment). Jarod semble avoir perdu connaissance.

Le Centre, Blue Cove, Delaware

Vue de l'entrée principale. On entend la voix de Raines (on se retrouve dans le labo de simulation) : "L'ancienne chaufferie du Centre accède au niveau souterrain et elle débouche sur le grand hall". Mlle Parker, essayant d'ouvrir une porte : "Quelle poisse !", tandis que Raines poursuit : "Et justement le jour de l'anniversaire de la mort de votre mère, de son suicide (mensonge ! "bank" ?lolll)". Mlle Parker rectifie : "Le meurtre (non plus ! LOL) (elle éclaire vers le bas et ordonne) Je vous interdis de parler d'elle (mais il a été son amant, vayons ! )". Echange de regards assassins. Mlle Parker descend les escaliers, murmurant : "Je t'en supplie, aide-moi à sortir de là (alors là à qui parle-t-elle ? A sa môman ?) !"

Flash-Back. Un couloir du Centre. Jeunesse. La voix de Jarod : "Je vais t'aider à sortir de là" (transition par dialogue, bis, spécialité de la série). Apparaît Jarod près d'un conduit d'aréation, parlant à Angelo, et la petite Mlle Parker un peu en retrait qui peu à peu s'avance (oh ! la tenue !! Jupe plissée à carreaux, chemisier blanc, gilet de laine...) : "Salut !". Elle est intriguée par Angelo qui se terre dans le conduit. Jarod interroge : "Mlle Parker ? Est-ce que ça va ? (ça veut dire que ça se situe juste après la "mort" supposée de Catherine Parker)". "Oui (elle a un air un peu pâlot et ailleurs, mais à part ça...). Pourquoi ça n'irait pas ?". Jarod dit doucement : "Ca faisait longtemps qu'on s'était pas vus. Depuis...". Mlle Parker et lui baissent les yeux, tandis que Jarod demande : "Qu'est-ce qui est arrivé à ta mère ?". Mlle Parker répond : "Elle était très malade, Jarod (oh là oui ! Dépression, et malade des agissements de la famille Parker...). Alors elle s'est tuée". Jarod hoche la tête, embêté. Mlle Parker regarde son paquet de Crackers Jack, s'accroupit et regarde Angelo en demandant à Jarod : "Comment il s'appelle ?". "On l'appelle Angelo. Sydney dit qu'il est spécial, il comprend rien". Mlle Parker l'observe et annonce : "Peut-être que moi je peux y arriver". Elle désigne le goûter. Jarod demande : "Crackers Jack ?". "T'en as jamais mangé ? (ma p'tite, les génies, ça se nourrit aux légumes vapeur et à l'eau du robinet, tu savais pas ??) (Jarod hoche la tête négativement) C'est un biscuit avec un jouet surprise (le vala, le "cadeau surprise")". Jarod demande : "Quel intérêt d'avoir une surprise dans un goûter ?". Mlle Parker affirme : "Tu vas voir". Elle regarde vers le conduit, puis pose le goûter sur le bord. Angelo s'accroche à une poignée, s'avance, et saisit le paquet. Il tire une petite pochette (la surprise !) et l'observe attentivement en disant : "Surprise, surprise !". Mlle Parker sourit, fière de cette réussite. Fin du flash-back, retour à la dure réalité.

Mlle Parker éclaire donc avec sa lampe le conduit d'aération (voui, c'est par là que s'échappent tous les Caméléons, ça marche du tonnerre, ma p'tite !). Elle voit une poignée similaire à celle à laquelle Angelo s'était appuyée et la tourne. C'est assez difficile mais elle arrive à faire s'ouvrir quelque chose. Broots demande : "Vous avez réussi ?". La réponse est affirmative : c'est la porte du laboratoire de simulations qui vient de s'ouvrir, c'était donc une commande manuelle ! Mais MP répond par une question : "Et dans le local technique ?" Broots explique : "J'ai trouvé quelques outils. Et ça, regardez ! Ca peut toujours servir. Des talkie-walkies. ". Mlle Parker, d'un ton super cool comme d'hab' (amabilité parkerienne), fait remarquer : "Mon père atterrit dans quatre-vingt dix minutes. Et le dossier Arkham ?" "Ca prendra au moins trois heures...". Raines émet des bruits répugnants genre mec à l'agonie dans de terribles souffrances... On se précipite vers lui. Mlle Parker remarque cyniquement, tandis que Sydney aide son ex-collègue à s'asseoir sur les marches : "Et lui, il n'aura pas le temps de compter jusque là...". Sydney explique : "Je vais rester avec Raines. Son pouls est faible" (et il s'étrangle, c'est vraiment dégueulasse comme bruits !). Mlle Parker marche lentement, bidouillant les talkie-walkies, en lui expliquant : "Très bien. Si vous n'avez pas de nouvelles d'ici vingt minutes... vous laissez tomber Oncle Fétide (référence à "La Famille Adams" pour ceux qui sauraient pas, c'est l'oncle tout chauve et grand de la famille, un mort-vivant) et vous partez. Vous êtes mon arrière-garde, Sydney, au cas où on se ferait coincer". Elle saisit son arme et bidouille, ça fait un bruit métallique, et Broots demande : "Heu... Comment ça ? (les deux le regardent, ça fait comique) Qu'est-ce que vous entendez par "coincer" ?". Ecran noir un moment, lumière sur grillage ensuite.

Mlle Parker éclaire avec sa zoulie torche et Broots aussi, ils avancent prudemment dans un couloir sombre comme pas permis. "En arrière, Broots", tandis qu'elle le plaque, "allez ! Restez où vous êtes !". On entend des pas en effet. Tandis que Broots se risque à un léger coup d'oeil, Mlle Parker se découvre, son arme pointée dans l'obscurité. Elle ordonne : "Halte !". On voit alors un Nettoyeur, reconnaissable à son costume, mais pas sa tête. "...ou vous êtes mort !". Un autre Nettoyeur se précipite derrière elle et plaque une main sur la bouche de Broots en le tirant vers l'arrière. Broots essaie de crier "Mlle Parker", laquelle tourne la tête vite fait, puis finit par lever les mains en l'air d'un geste lent. Elle fait passer son arme dans sa main gauche, se baisse et se met en position de tir. Le Nettoyeur réagit aussi, mais pas assez vite, la Dragon Lady a tiré dans une des bornes incendie. Le gaz carbonique s'en échappe, tandis que l'autre Nettoyeur tire au hasard. Mlle Parker est plus vive que lui et le touche. Les deux Nettoyeurs sont à terre, Broots s'est réfugié dans un coin. Mlle Parker se relève doucement, l'arme pointée sur le Nettoyeur qui lui faisait face. Elle s'adresse à Broots : "Arrêtez de mouiller votre pantalon...". Broots est visiblement soulagé, il s'avance vers elle en demandant : "C'étaient qui ces deux-là ?
- Des Nettoyeurs
(naaaaan ? Sans blague, Parkie ???!!)... Mais nous n'avions pas été présentés".
Sur le sol, l'un des hommes en noir a les poignets croisés, sa lampe émettant un faisceau de lumière blanche. Broots exprime en soufflant comme un boeuf son émotion, et MP s'agace : "
Allez, venez !".

Chaîne des Monts Turner, Idaho

Jarod (il est vraiment beau goooosseuh !! Oops, pardon !) est étendu sur le sol, sans connaissance, avec sa belle chemise en flanelle un peu comme celles de Thomas que MP lui envie et qu'il va donc lui léguer bcp plus tard dans la série... A côté de lui, Chris qui dit : "Jarod" (plus posément que tout à l'heure). "Jarod". Il le secoue. Jarod finit par réagir, il bouge, s'étire en faisant "Ouh" (ah ça, mon p'tit Jay, trop d'efforts physiques intenses cette nuit avec ta psy... heu nan, Parker, pardon... Jay ne serait pas content si je m'égare comme ça dans les... heu, bref... ). Il regarde autour, et demande : "Qu'est-ce qui s'est passé ?
- La jeep s'est renversée. Tu as mal ?
-
(Jarod s'étire et grimace) Ooaaahhh, seulement quand je ferme les yeux ("quand on ferme nos yeux... et puis cette ombre au fond de l'ombre... et puis ces deux mains qui se nouent... ces gestes faits et refaits sans en voir le bout... Et puis cette ombre encore debout..." heu... I'm egaring me... ) ("Le cri d'une sirène, quand le jour a déteint, Parenthèse de peine, L'oubli jusqu'à demain, ..." ooooppps, c une vraie drogue LOLL JJG powwaaa !!)
- Faut que j'te sorte de là !"
Le ton est très décidé, il s'affaire à pousser la jeep. Jarod se met à hurler comme un malade et finit par s'expliquer : "
J'crois qu'ma jambe est cassée... Ahhh. Chris, va chercher du secours ! Ca vaudrait mieux". Chris a l'air embêté, voire très embêté : "Ils vont envoyer des secours... S'ils nous voient pas arriver, ils partiront à notre recherche.
- Rhaaahhh, mais j'vais perdre tout mon sang
(*tu serais pas en train de feinter, mon amour chéri Jaaayyyy ??*) si tu ne te dépêches pas ! Il suffit (il fait un geste du bras droit)... que t'atteignes le sommet. (Chris regarde) ... sur l'autre versant (image), je crois qu'il y a une route. Tu peux le faire.
-
(Chris a l'air de souffrir, fermant les yeux, visage vers le ciel) Je peux pas. Nan, je peux pas...".

Le Centre, Blue Cove, Delaware

"Sydney, on arrive à l'ascenceur".
Broots se glisse entre les battants, tandis que MP surveille grave.

 

 

 

In Idaho, Chris tries to pull Jarod out of the toppled jeep, but Jarod screams in pain when he does that. He tells Chris his leg must be broken, and that he may be bleeding internally, so Chris has to go get help for him. He'll have to climb up the side of the mountain to where a road is, just over the grade. Chris says he can't do it; he can't do anything; he's a coward. Jarod tries to comfort him by telling him that "accidents happen"; and that the accident that killed Chris's friend, Nick, wasn't Chris's fault. "I can help you if you let me. Let me help you," Jarod pleads.

Chris tells him that he lied before when he said Nick died instantly after the crash. Jarod asks him to tell him what really happened. Chris says they were out joy-riding and the car crashed. Nick was pinned behind the steering wheel but wasn't dead. There was blood everywhere... and then a fire started. Chris got himself out of the car and crawled away to safety, leaving Nick inside the burning vehicle. He heard Nick talking to him, and screaming, while he burned to death. For that, Chris cannot forgive himself. He berates himself as a coward and a liar, and says he should be dead, too. Jarod tells him his reaction was "human"; and that he couldn't have gotten Nick out from behind the steering wheel if he had wanted to. It was an accident, a tragedy, but its wasn't Chris's fault.

Jarod then tells Chris a little bit about the van-fire that killed his own brother Kyle. "I watched my brother die in a car accident... Not a day goes by when I don't blame myself; when I wish I could have done something different," Jarod says. "He forgave me. I hear his voice inside of me; just like you hear Nick's. What would he want you to do now?"

Back at The Centre, Miss Parker and Broots are in an elevator, and Broots is trying to hot-wire it to make it go again. Miss Parker looks around the inside of the elevator and is astonished to find that there is still a bullet hole near the ceiling: left there after her mother's killing years before. Broots says he surprised someone hadn't fixed it yet, and Miss Parker responds that that's just The Centre's way: always leaving a reminder, a "message" everywhere. Miss Parker then asks Broots if he'd ever thought of just packing up and leaving The Centre. Broots says the thought had crossed his mind, but... Miss Parker tells him, "Do it for Debbie. Do it now, because the next elevator you get on..." She looks up at the bullet hole.

Broots gets the elevator going again by tapping into its separate power source, and he and Miss Parker ride it up to the lobby. The elevator doors open, and Broots stays inside to secure the wiring until Miss Parker gives him the all-clear. It doesn't come. Miss Parker is attacked by Brigitte in the corridor just outside the elevator.

"I'm getting real sick of you," Miss Parker snarls at Brigitte. And Brigitte counters by asking her where Sydney and Broots are. "I thought Stooges always traveled in threes." The two woman start punching each other, and Miss Parker loses her gun in fracas. As the women beat each other up, Broots sets off an alarm inside the elevator. It distracts Brigitte long enough for Miss Parker to get away from Brigitte and fall back into the elevator. Brigitte fires several rounds into the elevator with her own machine gun, before the doors close and the elevator starts to fall.

The gun fire made Broots drop the elevator connectors, and the elevator's gone dead again. The cab is free-falling back down the shaft. Broots scrambles to get the wiring back together, so he can at least make the brakes kick in. They do... but only when he and Miss Parker are all the way down to SL-26. Once the elevator is stopped, Broots looks over to Miss Parker and realizes she's been struck by one of Brigitte's bullets.

The bullet only grazed Miss Parker's left arm, but is causing her pain and making her lose some blood. Broots ties it off with a strip of fabric, as Miss Parker kicks at the elevator panel hard enough to force the doors open again. She has no gun, so Broots hands her a screw driver as a weapon. She looks at it, and tells Broots, "I want to kill her, not screw her." Broots tells Miss Parker it's the only weapon she has at the moment, so she should get used to it. Besides, he says, he's right behind her. Miss Parker jokes that that makes her feel soooo much safer.

Broots and Miss Parker venture out of the elevator, and come across a connecting corridor -- where Angelo is waiting for them. He offers Miss Parker a crumpled box of Cracker Jacks, and tells her "Toy surprise." At first she refuses to take it, but Angelo persists, so she grabs the box away from him and looks inside of it. He's put the surprise of a DSA inside the box. Miss Parker realizes that it's one that was recorded on the day of her mother's death. Using Broots laptop computer, Miss Parker plays the DSA.

On the DSA we see a younger Sydney and a younger Mr. Parker talking to one another in a corridor of The Centre. Sydney is trying to offer his condolences over the death of Catherine Parker, but Mr. Parker refuses to express any grief. He tells Sydney not to talk to anyone about what happened to Catherine, tells him to go home, and to come back tomorrow ready for work. "Life goes on," he tells Sydney, and Sydney walks away. Only when he believes he's alone, does Mr. Parker repeat, "Life goes on," then collapses on a nearby staircase and starts to cry bitterly. This is the first time Miss Parker has ever seen her father behave like this, and it disturbs her -- and strengthens her resolve to protect him from the assassination attempt. "Daddy sad," Angelo says. "Must save daddy."

Looking over Broots' shoulder at the laptop, Angelo reaches past him and opens the Arkham file again. After fiddling with the keys, he gets the file to sort itself out so Broots and Miss Parker can read it. The file tells them that there is a bomb mounted on the bottom of the helicopter that is bringing Mr. Parker to The Centre. But it's controlled by a distance-sensitive triggering device. When the chopper gets close enough to the triggering mechanism, the bomb will explode.

In Idaho, Chris wraps Jarod in a thick jacket, and gives him a canteen of water, then goes off in search of help. He has to climb through uncomfortable terrain, and sometimes nearly falls, but he keeps going until he reaches the summit of the mountainside, and can see the road on the other side.

At The Centre, Miss Parker finds the old boiler tunnel Raines had been talking about previously, and climbs into it. It has a long ladder the reaches up 26 floors all the way to the lobby. She climbs it; sometimes slipping; sometimes having rungs of the ladder collapse under her, but she keeps going until she makes it all the way to the lobby. She then calls Sydney on the walkie-talkie and tells him to put Raines on the line to her. Sydney tells her that Raines is in severe distress; his oxygen is almost gone. He's hooked Raines up to an oxygen main in the wall of the Sim Lab, but if she can't get the power on, Mr. Raines will die. Before she goes looking for the power switches, Miss Parker demands to speak to Raines.

Miss Parker: "Are you trying to kill my father?"
Raines: "No."
Miss Parker: "Who is?"
Raines: "The same people who killed your mother."
Miss Parker: "WHO?!?!"

Mr. Raines blacks out from lack of oxygen, and Sydney demands that Miss Parker find the power mains. Miss Parker finds the main control room, and restores power to The Centre... just in time for Mr. Raines to get a few good lungsful of oxygen-rich air.

Outside The Centre on the heli-pad, it's dark outside already, and Brigitte is out there with the triggering device for the bomb on Mr. Parker's helicopter. She can see the chopper just coming into sight. She'll let it get within 100 feet before it explodes. The trigger-mechanism starts a backward count-down.

As Brigitte walks back to a door that will get her back inside The Centre, she's shocked to find the door burst out at her. Miss Parker is there, and the two start bare-fist brawling again. Both women seem evenly matched, but Miss Parker is trying to save her father, so she calls on strength that comes from deeper places than anything Brigitte has. She beats Brigitte down into the surface of the heli-pad, and then scrambles to get a hold of the triggering mechanism. She shuts it off, just before the helicopter comes within range.

When the helicopter lands, she rushes into Mr.Parker's arms, and he holds her and supports her against his chest. As he brushes Miss Parker's hair with his hand, we can see his wedding band shining brightly on his ring finger.

In Idaho, it's also starting to get dark, and Jarod is sitting in the back of an ambulance with a splint on his leg. He thanks Chris for helping him, and tells him he'll be all right. "Nick would be proud," Jarod tells Chris, and Chris answers: "I know. He told me..." Chris's father comes over to take Chris back home, and Jarod is left alone at the ambulance for a few minutes. He pulls from his jacket the red notebook with Chris's story in it, then closes it, knowing Chris will be fine from now on. Then Jarod leans over and starts pulling at the velcro strips that hold the splint onto his leg.

"But you're leg is broken," the ambulance attendant says astonished. Jarod pulls the splint off his leg and stands up, perfectly whole. He smiles at the ambulance driver and says, "I eat a lot of ice cream. Calcium: it's good for you." Jarod then walks off to where his recovered jeep is standing. He starts it right up and drives away.

The episode ends with a scene at the graveyard where Catherine Parker is buried. We can see that her tombstone is huge, and has a place on it for Mr. Parker's epitaph when he dies (so he can be buried beside her). Decorating the grave, is a huge bouquet of beautiful fresh flowers. Miss Parker and Mr. Parker are both at the grave site, and Mr. Parker admits that he hadn't been back there since the day of the funeral. He couldn't face Catherine, he tells Miss Parker, but doesn't explain himself further. He does promise Miss Parker, however, that he'll join her at the grave site every year from now on. "Are you all right?" Miss Parker asks him. And he swallows hard and tells her, "Life goes on." Mr. Parker walks away from the grave, and Miss Parker is ready to follow him, but her cell phone rings. It's Jarod on the line.

Jarod says he's thankful that her father survived the assault on his life, and Miss Parker thanks him for his help. He tells her, her mother knows what she feels. "How do you know?" Miss Parker asks him. "Read the card," Jarod answers. Miss Parker reaches into the bouquet of flowers and find a hand-written card there that reads: HER VOICE IS INSIDE YOU.

Almost in tears, Miss Parker presses the card to her heart. Then she kisses the tips of her fingers, and transfers the kiss to the headstone with a gentle touch. As she turns away from the grave and follows after her father, the camera pulls back... to show us Jarod. He's dressed in black, and standing just on the other side of the cemetery fence. He silently watches as Miss Parker walk away.

DISCOVERIES: Nothing really new this time around.

BEST LINES: Jarod to Chris when Chris asks him if his injuries hurt: "Only when I blink."// When Miss Parker tells Brigitte to drop the British accent she's been affecting because no one believes it's real anyway, Brigitte snaps back (in purely American tones), "Fine with me, bitch. Too much damn work anyway."

OUR REVIEW: This was an engaging episode. It moved quickly and was entertaining; and we enjoyed the side-by-side images of Miss Parker climbing her boiler tunnel ladder and Chris climbing his mountain... understanding that both were metaphors for problems that had to be surmounted and challenges that had to be met. We're not too sure, though, that we buy into the whole "Daddy's sad" thing yet. Yes, it's possible that Mr. Parker has been a growling butthead all these years because he never faced his real feelings about his wife's death before... but we're still not entirely convinced that he wasn't, in some way, directly responsible for her death. It's hard to feel sympathy for man who may have been an accessory to murder.

Still, we were given a few more pieces of the puzzle about who is the REAL malevolent force in The Centre and who was (and was not) responsbile for Catherine Parker's death. (Mr. Raines has lied to everyone before, so we're taking his "I have no knowledge of this," comment only with a grain of salt.) We're sure Brigitte's assault on Mr. Parker was in retaliation for what happened to Mr. Lyle [in the "Past Sim" episode], but we don't know who financed her or put her up to it. Was it the Triumvirate... or is Mr. Lyle still alive (missing a few fingers, or other important digits)? Hmmm.

This was definately a "MissParker" episode, so her fans must've enjoyed it a lot. But it was something of a let down for Michael T. Weiss fans, who -- after being put by NBC for almost a month as they pre-empted "The Pretender" for garbage "blooper" shows, second rate movies, and an ice skating exhibition that was an NBC leftover from the poorly rated Winter Olympics -- barely got to see Jarod do anything in this episode.Come on, NBC. This is "The Pretender"... not the "Miss Parker Show".

Crockett: An obvious reference to Davy Crockett, the American pioneer, guide, trail blaiser and sometimes politician.

The Pretend:  Children's Counselor

Jarod "Crockett" takes a young boy (Chris) on a mountain climb/rally to help him
recover from the loss of his best friend in a car accident.   Nearly atop the mountain, Jarod pretends to have broken his leg so that the boy will have to muster the courage to get help on his own.

Asides:  Jarod warns Miss Parker that someone is going to try to kill her father.   Broots and Angelo hack into The Centre's mainframe and uncover a file named ARKHAM, which outlines the murder plot.   Mr. Parker is returning to The Centre early from his vacation in one of The Centre's helicopters, planning for the first time to spend the anniversary of her mother's death with Miss Parker.  Triggered by a device placed near The Centre's helipad, Mr. Parker's helicopter will explode as soon as it nears The Centre. Miss Parker, Sydney and Broots uncover and thwart the plot.   In doing so, they discover that Mr. Raines is not involved in this attempt on Mr. Parker's life, but Brigitte is.   Brigitte drops her British accent.   She and Miss Parker beat each other to a pulp, with Miss Parker emerging as the tougher of the two.   As children, it was Miss Parker who gave Angelo his first box of Cracker Jacks, tempting him with the toy surprise inside.   He gives her one back, but the "surprise" in this one is a DSA that shows Mr. Parker's grief at the loss of his wife, despite his outward appearance of acceptance of the event.

Plot: Miss Parker learns from Jarod that her father is going to be killed by somebody in the Centre. She ends up wounded by that person while trying to save him. Meanwhile, Jarod pretends to be a child counselor in Idaho and helps a young boy cope with the loss of his best friend who was killed in a car accident.
Best Line: When Broots hands Miss Parker a screwdriver to defend herself agaist Brigitte, she says "I wanna kill her, not screw her."
What Did We Learn Today?: Brigitte was faking the accent all along, and behind the assasination attempt of Mr. Parker. Also, we learn that Mr. Parker really grieved over Mrs. Parker

Jarod devient un guide de montagne dans le but de redonner le moral à un garçon qui s'estime responsable de la mort de son ami. Pendant ce temps, Mlle Parker et son père conviennent d'un rendez-vous pour aller se recueillir sur la tombe de sa mère. Mais Jarod prévient Mlle Parker qu'un certain Arkham projette de tuer son père à son arrivée en hélicoptère. Mlle Parker fait alors tout pour sauver son père, et arrête Brigitte, impliquée dans ce projet.

 

 

Mon avis sur cet épisode : Ch

Incohérences : Ch

Trivia : à savoir : Ch

Bon, maintenant, les explications... Arkham... Allez, je vous l'indique, j'ai fait un parallèle il y a un moment... Quelques épisodes plus loin ("Le crash" - "Crash", #2-17), on apprend que Lyle, en plus d'être reconnu comme "Robert "Bobby" Bowman" est aussi listé comme "Bobby Arkham" dans ses papiers originaux d'adoption (z'ont pas mis "Parker", logique, pisqu'il était censé être mort). Donc Arkham = Lyle (ou éventuellement Raines pisque c lui qui l'a élevé les premières années). Ici, Raines a l'air à côté de ses pompes, on a vraiment l'impression qu'il ne sait rien du plan Arkham. S'il a réagi, c'est juste au nom, il a compris instantanément qui se cachait derrière ce plan. On sait de plus que Brigitte, très liée (hum hum !) à Monsieur Lyle, est arrivée en même temps que celui-ci et par moment lui obéit. Donc c'est tout à fait logique qu'elle soit exécutrice de ce plan.

Puis sinon comme je le disais dans la fiche sur Lyle, Arkham est un nom de ville que l'on trouve dans l'univers de Howard Phillips Lovecraft. Même si je ne crois pas que les Loustics aient fait de flagrants parallèles avec ses livres, j'ai néanmoins répéré des détails, et celui-ci est le plus flagrant... Lovecraft décrit un univers torturé et après nous, pôvres télespectateurs qui ne savons pas tout, découvrons l'ésotérisme flagrant. Arkham serait donc une sorte d'avertissement au télespectateur qui sait ainsi que si Lyle est désigné comme Arkham, la série va basculer...

 

 

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