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Section Le Caméléon (The Pretender)

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Variations (page 7)

Auteur : Tania Pretender

Où le situer : Il se situe après IOTH.

Genre : Action, Romance J&P

Personnages : Les persos évoqués (Jarod, Parker, Raines, Lyle, Sam, Catherine, Sydney, Broots, ...) sont les personnages habituels du Caméléon, cf disclaimers.

Disclaimers : Bien entendu ni l'auteur de la fic ni l'auteur de ces pages web ne touchent un sou pour cette fic et cette publication... Les personnages de tP ne nous appartiennent (malheureusement) pas, ils sont à Craig W. Van Sickle et Steven Long Mitchell, et les droits aux chaînes possédant la série (cad TNT logiquement, entre autres).

Résumé : Bah c dans la note !

Notes : Note de l'auteur, mise en place de la fic : "Voilà la numéro 7 !!! :o) j’ai eu l’idée de celle-là sur le quai de la gare, à côté d’une dame qui sentait la vanille :p… donc les mots se sont formés peu à peu dans ma tête et voilà ce que ça donne. OUI, je sais, cette fic n’est pas SI shippeuse que ça…Mais c’est moi l’auteuse ! "

Notes de Syd : Commentaires de la cinglée qui héberge ces fics en vert ! Heu c pô vraiment un drabble (t'es sûre que y'a 100 mots là ?? LOLL), disons une fic courte. Mais lisez qd même, si, si, si... *saisit son Smith & Wesson* Bon, alors vous z'attendez quoi ?!

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La douce voix féminine se faisait retentir dans le haut parleur ( « arrivée du train n° 1432 en provenance de Phœnix et à destination de Los Angeles va entrer en gare voie 2 ! merci de s’éloigner de ne pas s’approcher du train avant arrêt du wagon. Compostage avant entrée . ») tandis que le va-et-vient incessant remplissait la gare.
Jarod aimait la gare. Ce brassage d’hommes, de femmes et d’enfants, ces retrouvailles, ces séparations… Il y avait beaucoup à apprendre. On pouvait savoir, par exemple, combien de temps les gens partaient à la taille de leurs bagages, ou encore où ils allaient, s’ils partaient ou revenaient.

Assis sur un banc, à attendre la correspondance de son train pour Santa Fe, le Caméléon observait le monde tourner…

Il regardait un vieil homme, chapeau sur la tête, pipe à la bouche, donner une friandise à la petite fille qu’il tenait par la main ; il était grand, imposant, avait des rides d’expression au coin des yeux et une grosse barbe de père noël. La petite fille portait des couettes, attachées par des élastiques rouges à pompons. Ils voyageaient légers.

Il regardait un homme d’environ 40 ans qui récupérait 2 gosses de 5 et 7 ans, un garçon et une fille, habillés sobrement, un carton d’information au cou. Une dame les avait laissé là, en caressant leur joue pour tout au revoir, tandis que l’homme avait d’une main saisi le chariot à bagages et de l’autre tendu la main au plus jeune des deux.

Il regardait une jeune fille, habillée en noir et violet, baladeur aux oreilles, qui tapotait du doigt sur son genou en chantonnant la mélodie qui jouait dans ses oreilles.

Il regardait une dame, peut-être mère de famille, habillée très chic, avec un chapeau sur la tête, qui lisait la presse mondaine, les jambes croisées, les lèvres pincées.

Il regardait une femme un peu plus jeune, habillée comme dans les années 70, avec des vêtements larges en lin et les cheveux un peu sales, qui s’essayait près de lui, clope au bec, - « ça ne vous dérange pas, si je fume ? – je vous en prie… » - et qui sentait délicieusement la vanille.

Il regardait deux gosses de 10 ans courir entre les bagages, jouant au chat et à la souris, riant à gorge déployée, et se chatouillant dès qu’ils s’attrapaient.

Il regardait une fille descendre d’un train et sauter violemment et passionnément dans les bras d’un homme à peine plus âgé qu’elle, et qui tentait de dégager le passage alors que l’étreinte se faisait plus douce et câline.

Il regardait le monde et pensait…pensait que lui n’appartenait à aucune de ces catégories. Qu’il était seul, parce qu’il n’avait personne, et parce qu’il ne ressemblait à personne. Il ressentait leur douceur, leur douleur, mais ne leur ressemblait pas. Et la seule personne qui aurait pu lui ressembler était trop loin.
Une légende dit qu’il y a bien longtemps, les hommes naissaient par deux. Et que les dieux, un jour fâchés, brisèrent cette union, et que depuis, on n’était que moitié, et que pour être heureux, il fallait trouver son autre moitié. Il savait où était la sienne. Si seulement elle voulait bien croire aux contes de fées !

Jarod monta dans son train qui venait juste d’arriver, et chercha la place réservée indiquée sur son ticket. Il s’assit près d’une dame qui lisait Colette en français…Arrivèrent toute une colonie de gosses, accompagnés de jeunes hommes et filles. Ils étaient plus bruyants les uns que les autres et pas timides pour deux sous ( « bonjour monsieur, comment tu t’appelles ?! » )

Le train démarra.

 

Suite de la fic (vers variation suivante)

 

Pour m'envoyer vos fanfics (tous formats compatibles avec les logiciels courants de Windows - même Xp, pas de pb), écrivez-moi : delphinevb@chez.com . En général, je m'efforce de lire très vite les textes qu'on m'envoie, même si je ne les publie pas aussitôt (cause forfait, et puis travail aussi ;-) ...), afin de proposer un petit commentaire (un auteur attend généralement des feedbacks, j'en sais qqch...).

Sydnette la Psy Caméléonne.

 

© Onyssius, 2003, in Le Monde d'Ondinaphaë.

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