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Section Le Caméléon (The Pretender)
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Variations (page 4) Fait pour l'autre
Auteur : Tania Pretender
Où le situer : Il se situe aux alentours de l'épisode "Les puissances au pouvoir" ("The Power That Be" - # 3-16), je dirais juste après, pisque avant la mort de Thomas, puis après IOTH.
Genre : Action, Romance
Personnages : Les persos évoqués (Jarod, Parker, Raines, Lyle, Sam, Catherine, Sydney, Broots, ...) sont les personnages habituels du Caméléon, cf disclaimers.
Disclaimers : Bien entendu ni l'auteur de la fic ni l'auteur de ces pages web ne touchent un sou pour cette fic et cette publication... Les personnages de tP ne nous appartiennent (malheureusement) pas, ils sont à Craig W. Van Sickle et Steven Long Mitchell, et les droits aux chaînes possédant la série (cad TNT logiquement, entre autres).
Résumé : Bah c dans la note !
Notes : Note
de l'auteur, mise en place de la fic : " Bon alors me
tapez pas si jécris ça. Il faut savoir que je viens juste
de lire la sublime fic de Elea_de_lune sur ITML, « point de
fuite » ( je ten veux toujours de lavoir tué
bouhouhouh ! ) (moi
aussi LOLLL mais la fic est trèèèèès belle qd même). Cest elle qui ma inspiré,
notamment quand lauteuse ( :p ) dit que Thomas ne pourra
jamais comprendre totalement MP, puisque ils ne sont pas du même
monde. De plus je viens de me re-re-re-re-garder « going under
», le clip vidéo de ZsaZsa, décidément ça me lassera jamais.
Que celles qui connaissent pas me contactent par mail, que je répare
tout de suite ce tort ! :p (je connais pô !! tu rattrapes dis ??)
A oui, aussi je suis dans un état particulier, car jécoute
le sublississime « S&M » de Metallica, et que ça me fait
qqchose a chaque fois
Donc voilà, bonne lecture ! "
Notes de Syd : Bon ze tape personne m'enfin LOLLL y'en a qui vont grincer des dents. Et même s'Il est plutôt sympa, bah heu greeuuuhhh... loll
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« On peux savoir ce qui tarrive,
Parker ? » fit Thomas pour la énième fois depuis leur toute
première rencontre (c'est vrai !! il arrête pas de
s'interroger, j'ai revu qques épisodes et... quoi ? que je me
taise ? heeeuuu oki !! Non, Clo, j'suis pas asiatique, pas la
peine de m'envoyer Lyle. Enfin, si, il va pas louper sa séance
aujourd'hui ! Allez, sur le divan, hop !).
Cette femme était tout simplement surprenante. A chaque fois quil
croyait avoir cerné sa personnalité, avoir compris qui elle était
et avoir réussi à lapprivoiser, elle devenait plus
troublante encore, retournait à létat sauvage, chaque
fois plus vite, et plus fougueuse à chaque fois.
« Tu ne peux pas comprendre.
- Je sais. Mais jaimerais bien, justement ! explique moi
dis-moi, une bonne fois pour toutes, ce qui te retiens, pourquoi
tu choisis cette vie de misère !
- Cest trop compliqué
- Rien nest compliqué, Parker ! cest toi qui
complique tout ! explique moi pourquoi tu préfères rester ici,
et si la raison est bonne, je te laisserai tranquille !
- Jai des obligations ! des responsabilités ! tu crois
franchement que je peux partir ? tout plaquer du jour au
lendemain ? Quitter cette vie ?
- Des obligations ? Des responsabilités ? Dis moi, Parker, de
quelle vie tu me parles ? Dune vie où tu passes le plus
clair de ton temps au boulot, dans lentreprise dune
famille qui semble te faire souffrir ! Est-ce une vie, que de
vivre pour son boulot, qui te fait porter une arme, pour des gens
qui te manipulent ? Est ce une vie, que de se réveiller chaque
jour et de faire de ses journées des « il faut » ? Tu nas
de comptes a rendre à personne !
- Cest facile pour toi de dire ça ! toi qui te fous de
tout ! tu pars sur les routes, tu cherches une maison à bâtir,
tu la revends et tu repars ! tu rentres dans la vie des gens sans
te poser de questions ! sans te demander ce qui pourrait bien
arriver si tu allait trop loin !
- Quoi ?
- Tu es allé trop loin.
- De quoi veux-tu parler ?
- Laisse-tomber. Je tai déjà dis, tu ne peux pas
comprendre.
- Cest ton travail, encore une fois ? Mais quest ce
que tu fais, bon sang ? Tu mas dis que tu travaillais dans
les assurances, mais je nai jamais vu une « petite
entreprise » posséder daussi grands locaux, ni daussi
grande sécurité ! sans parler du temps que lui consacrent ses
employés !
- Thomas, sil te plaît, ne juge pas mon travail ! tu ny
connais rien ! tu ne connais rien à ce monde, dans lequel jai
grandi. Tu ne peux pas comprendre.
- Je ne demande que ça ! fais moi entrer dans ton monde, Parker
! Quattends tu pour mouvrir la porte ?
- Je nai peut-être pas envie ? »
Elle lavait dit. Elle lui avait dit cette chose, quelle
ne pensait pas. Mais il lavait énervé ! à vouloir tout
savoir sur elle, à vouloir lui dire comment vivre
Sil savait
Sil savait quelle passait son
temps, depuis trois ans, à traquer sans relâche un homme qui
avait le droit dêtre libre, et quelle sefforçait
de lui passer les menottes et de lenfermer dans une pièce
lugubre ou il serait torturé pour avoir osé senfuire, et
tout ça pour pouvoir enfin quitter le Centre.
Alors que penserait-il delle ? Quelle est inhumaine ?
Que cest un monstre ? Quelle est dépourvue de
sentiments ?
Mieux valait-il jouer franc-jeu avec lui, dès le début. Oui,
elle était dépourvue de sentiments. Il était entré dans sa
vie et voulait tout modifier. Sans se préoccuper des conséquences.
*****
« Salut, ça va ?
- Pas vraiment, soupira Tommy.
- Encore une dispute, mmh ?
- Comment tu le sais ?
- Je connais bien Parker.
- Vous avez grandi ensemble ?
- Plus ou moins »
Jarod avala une gorgée de sa limonade. Il nétait guère
aisé de parler de ça
Rien quy penser ressassait des
souvenirs à la fois tendres et douloureux, car il souhaitait
tellement que tout soit comme avant, mais savait quelque part que
cétait impossible.
Et en parler à la seule personne ayant le droit dapprocher
Parker
« Je ne comprends rien, Jarod. Tu dois maider. Elle refuse
totalement de me parler delle. Elle ne veut pas me faire
entrer dans sa vie.
- Ce nest pas ça. Tu dois lui laisser du temps. Un peu
plus de temps. Elle a
des zones dombres dans sa vie.
Beaucoup.
- La mort de sa mère ?
- Entre autres. Elle a peur de sattacher à nouveau, de
subir encore des pertes. (ça c très vrai !)
- Tu étais là, quand ça cest produit ?
- Oui. Moi et
un autre ami. Nous étions les seules
personnes qui aient porté un quelconque intérêt à ce quelle
pouvait ressentir.
- Même pas son père ? Même pas son frère ? M
Lyle ?
- Je préférais quon évite ce sujet sil te plaît (LOLLLLLLLLL Bizarre
!!). Je
naime pas vraiment sa famille. Parker, elle, ressemble plus
à sa mère. Quand elle veut bien laisser tomber son masque
- Tu as lair de bien la connaître.
- Plutôt, oui. Mais elle me surprend toujours. Au sens figuré,
comme au propre
(LOLLLLL bis !!!)
- Vous devez être très proches.
- Nous létions, soupira Jarod. Nous létions. Les
choses se sont gâtées, et maintenant il ne vaux mieux pas quon
se rencontre
Ça vaut mieux pour moi, je crois.
- Jai limpression parfois
quelle ne me
laissera jamais entrer dans son monde
Que nous sommes trop
différents.
- Vous lêtes. Pour une personne qui na pas grandi près
de ce monde, cest incompréhensible. On ne peut pas
comprendre Parker sans connaître son entourage, son
environnement. (c clair et net, c bien pour ça qu'ils ont
du mal ces deux-là)
- Le même que le tien
- Oui.
- Vous avez lair davoir beaucoup plus de choses en
commun quelle et moi.
-Ne soit pas jaloux. Cest
impossible entre elle et moi.
Malgré ce monde que nous avons en commun, il y a un grand fossé.
- Lequel ?
- Le Centre. Son boulot. Mon statut. Sa famille
»
Jarod plongea les yeux dans ceux de son ami. Involontairement. Il
en disait beaucoup. Beaucoup trop. (minceuh, là j'ai une larmette !!
Ce que c que de se sentir proche d'un perso... :-/ ) Mais Thomas ne
devait pas abandonner. Il avait vu Parker, lavait entendue.
Il comprenait à quel point il la rendait heureuse. Jaloux ? Peut-être,
un peu
beaucoup. Mais surtout il voulait la voir heureuse.
Thomas sourit. Il était loin dêtre idiot, et comprenait
bien plus quil ne le laissait croire. Même si ce monde lui
était inaccessible, il comprenait quon ne pouvait pas en
parler comme ça. Pourtant, cest ce que faisait Jarod. Avec
un grand courage
Car Tommy lisait toute la détresse quil
y avait dans le regard sombre et profond de son ami. Ce regard
torturé quil avait remarqué la première fois que leurs
yeux sétaient croisés
(joliment dit :-) le regard des
enfants du Centre, suis ma pensée Taniap' - K, HL, Tania, ... -
)
« Thomas il faut que je te dise quelque chose. De très
important.
- Quoi ? Parle, Jarod. Tu me fais peur, là.
- Comme toi, la mère de Parker voulait lemmener loin. Loin
du Centre, de son influence néfaste. Elle voulait NOUS emmener.
En Europe.
- Pourquoi ça ne sest pas fait ?
- Alors que le plan était presque près, elle sest suicidée
Enfin
Parker et moi sommes persuadés quelle a été
tuée.
- Parce quelle essayait de partir ?
- Oui. Parker te la dit. On ne quitte pas le Centre si
facilement.
- Tu las bien fait, toi, non ?
- Pas vraiment. Mais je préfère ne pas parler de ça avec toi.
Pas maintenant. Bon écoute, je dois te laisser
jai
du boulot. Prends soin de toi. Et prends soin delle
»
***
Thomas lavait dit : Parker et Jarod appartenaient au même
monde. Et cétait ainsi quils pouvaient se comprendre
lun lautre. Quil pouvaient se consoler. Même
si ce grand fossé naidait pas vraiment
Cette présence
irréelle et confuse que chacun ressentait, même loin de lautre,
les réconfortait et leur rappelait quils nétaient
pas seuls. Quil y avait quelquun sur cette Terre fait
pour eux. LAutre.
« Quoi ?!
- Cest moi, fit une voix masculine à lautre bout de
la ligne.
- Jarod
quest-ce que tu veux ?!
- Tu sais quel jour on est ?
- Oui je sais
Merci de remuer le couteau dans la plaie !
- Désolé
je voulais juste savoir comment tu vas
- comme quelquun qui travaille au Centre tous les jours et
qui, depuis deux ans, dois accepter le fait quelle travail
à côté de meurtriers. Des meurtriers de lhomme quelle
aimait. »
Le cur de Jarod se resserra un peu plus.
«Alors pars !
- Jarod ! on en a déjà parlé »
Bien sûr. Dans cette fameuse Lincoln noire, au retour de Carthis.
Il se remémorait parfaitement la scène. Lui, menotté,
suppliant pour la première fois de sa vie la femme quil
aimait depuis toujours de partir avec lui. Et elle, plus glaciale
que jamais, refusant sans hésitation. Comme si
comme si le
Centre, encore et toujours, était plus important. Plus fort que
tout. Plus fort que leur Amour.
« Et toi ?
- Pardon ?
- Comment tu te sens ?
- Pourquoi ?
- Thomas était ton ami, non ? Cest TOI qui la mis
sur mon chemin
Si tu ne lavais pas fait
- Il serait encore vivant, je sais
tu narriveras pas
à me faire culpabiliser encore plus que je ne le fais déjà. Ce
nest pas moi qui lait tué
cest le Centre
- Désolée
je ne voulais pas te dire ça.
- Tu sais quel jour cest, aussi
- Lanniversaire de mort de cette pétasse ! ça me fait un
poids au cur, répondit elle avec ironie. Cest
affreux !
- Et ?
- Et les 1 ans de mon petit frère
Une autre énigme, si jai
bien compris ?
- Ce nest pas moi qui fait le jeu, Parker. Mais tu ferais
mieux de retrouver ton petit frère avant quil ne devienne
comme
comme
- Comme MOI ?
- Ou comme Lyle
(ça c bien envoyé, mais alors bien de
bien !!)
- Et je suis supposée commencer OU ?
- Je nen ai aucune idée !
- Le pti génie sèche ? »
Parker regretta amèrement cette réaction en sentant quà
lautre bout, Jarod souffrait de sa réplique. (et là la Syd a
souffert aussi, c pourtant qu'une réplique - Taniap', tu vois à
quoi, enfin à qui, enfin à quelle période je pense :-/ *
"The power of goodbye" de Madonna aide à la déprime
faut dire, elle est trop belle cette chanson)
« Je mexcuse.
- Cest bien la première fois ! »
Parker ne put sempêcher de rire. Un rire clair et
communicatif. Si rare, dont seul Thomas avait pu profiter.
« Cest de bonne guerre
- Parker
Je voulais te dire quelque chose
Que thomas mavait
raconté, la veille de sa
sa mort. Quelque chose quil
avait dit.
- Quoi ?
- Il disait
il disait que toi et moi
nous
nous
sommes liés par ce monde si mystérieux quest le Centre.
Que cet univers dans lequel nous vivons, que nous sommes les
seuls à pouvoir comprendre, cet univers qui nous rapproche et
nous sépare à la fois, cet univers qui fait que nous sommes à
part
cet univers nous unis, que nous nous comprenons parce
que nous avons vécu les mêmes choses, subit les même épreuves,
et que nous sommes les seuls à pouvoir nous comprendre
- Jarod je
»
Mais trop tard. Jarod avait raccroché
Pas par jeu. Pas
pour la faire enrager. Par timidité
(c
mignonnnnnnnnnnnnnnnnn * j'en connais une qui a réussi à faire
verser des larmes à une Syd *) par peur de sa réponse. Peur que
celle si soit la même que celle dans cette Lincoln, lannée
passée : « Il ny a pas de tournant à prendre, quand on a
rien vers quoi se tourner »
« tu as moi »
soupira Jarod avant de ranger son téléphone
dans sa poche intérieur.
Adossé à un arbre, dans le vaste cimetière, il observait une
Parker triste et effacée, en peine, qui déposait des fleurs sur
la tombe de la seule personne que lavait jamais approchée,
qui lavait jamais touchée
« Puissé-je être le deuxième. Le dernier »
Parker sen voulait. LUI en voulait
si seulement il ne
lui avait pas raccroché au nez, encore ! Elle aurait pu lui dire
lui dire quelle aussi, elle souffrait. Quelle aussi,
avait le droit dêtre jalouse quand elle sillonnait lAmérique
à la recherche de Jarod et quelle tombait sur sa dernière
conquête, la seule qui ait jamais touché sa peau, qui ait
jamais vu ses sentiments, qui lait jamais touché
Si
seulement elle pouvait le voir, sans arme, sans menace derrière
eux
Elle lui dirait
« Puissé-je être la prochaine. La dernière »
chuchota-t-elle
en déposant un baiser du bout des doigts sur la tombe de Thomas.
A jamais
FIIIIN !
Voilà, jespère que ça vous a plu !
je vous lai déjà dit, jaime pas les fin un peu trop
gnangnan, dans lesquelles ils se marient, détruisent le Centre
et blabla
Mais ça veut pas dire que quand vous le faites,
je trouve votre fic nulle ! :p jaime mieux quand cest
comme ça, comme à la fin dun épisode de la 4eme saison où
il laissait Parker en plan, et après je passais la semaine, en
cours, à me ronger les ongles et imaginer la suite !!! (idem sans les
ongles, j'ai perdu l'habitude à peu près qd j'ai arrêté de
sucer mon pouce LOLL - c pô si tôt... hum hum - )
Et comme le dit si bien andy56 : « je nai plus dongles
depuis que je regarde tP » :p (Bah moua si, ils sont bien longs même
en général LOLL comme quoi...)
Suite de la fic (vers variation suivante)
Pour m'envoyer vos fanfics (tous formats compatibles avec les logiciels courants de Windows - même Xp, pas de pb), écrivez-moi : delphinevb@chez.com . En général, je m'efforce de lire très vite les textes qu'on m'envoie, même si je ne les publie pas aussitôt (cause forfait, et puis travail aussi ;-) ...), afin de proposer un petit commentaire (un auteur attend généralement des feedbacks, j'en sais qqch...).
Sydnette la Psy Caméléonne.
© Onyssius, 2003, in Le Monde d'Ondinaphaë.
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