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Section Le Caméléon (The Pretender)

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Libérés de l'enfer (partie unique)

Auteur : Vicky ( vickysg1@wanadoo.fr )

Notes : Vicky explique :
"
Commentatrice : Dinou
E-mail :
dinou149@wanadoo.fr
Genre : Romance MP/J comme toujours
Saison : après l'Antre du Diable, on va dire environ un mois plus tard
Résumé : Pendant les vacances de Noël, Jarod devient prof de ski…
Note de l'auteur : Cette fic a été écrite pour le challenge n°2 sur le site Inthemoonlight de Karine.
Spéciale dédicace à Andy56, Juliette, Shouka et à tous ceux qui m'envoient des mails supers ou qui me laissent des reviews. Ca fait plaisir ! Ah oui j'oubliais : merci ma copine de moi d'avoir fait les commentaires avec moi !
Note de la commentatrice : mais je t’en prie copine de moi, tu sais bien que j’adore mettre mes commentaires à deux sous dans tes fics !!! Et merci de me l’avoir proposée, je me suis éclatée !!!

Bonne lecture !! "

Bon, comme d'hab' pour le code couleur : lors de la rédaction Vicky et Dinou et Syd pour les rajouts en archivant ce texte ici !

 

Un mois. Cela faisait un mois qu'ils étaient rentrés de Carthis. (donc pour ceux qui n’ont pas comprit ça fait un mois !!!) Depuis ce coup de fil après leur retour, Jarod n'avait plus appelé Melle Parker. (pouvait pas, un coup il a plus de batterie, un coup y a pas de réseau ! il est pas aidé le petit ! Dinou ? Oui auteuse de mon cœur ? LA FERME ) Il lui laissait seulement comme à son habitude ses petits indices mais, à part ça, il entretenait avec ses poursuivants une relation que l'on pouvait qualifier de normal. (si ça c’est une relation normale, va falloir que tu me dises ce qu’est une relation anormale qu’on rigole !!! Tais-toi et lis !) Il n'appelait plus non plus Sydney, c'est la première fois qu'il semblait rompre ses liens avec le Centre. (comme quoi y a un début à tout !!!)

Cela semblait étrange à Melle Parker, quelque chose au fond d'elle semblait lui manquer. (c’est pas quelque chose mais quelqu’un !!! t’es nul l’auteur !!! Dinou ? Je me tais ! Bien brave petite) Elle n'irait pas jusqu'à l'affirmer à haute voix mais elle sentait que Jarod lui manquait. Elle ne comprenait pas pourquoi il ne l'appelait plus en pleine nuit, non pas que ça lui plaisait d'être réveillée, loin de là ! Aurait-elle dit lors de leur dernière conversation quelque chose qu'il ne fallait pas ? Est-ce le fait qu'elle refusait de prendre le tournant, alors qu'elle savait qu'il était là pour l'attendre ? Elle ne comprenait pas non plus pourquoi elle se posait toutes ces questions. (moi je sais moi je sais !!! comment ça la ferme ??? wow elle se tait toute seule !) Regrettait-elle quelque chose ? Depuis un mois, elle se posait sans cesse les mêmes questions mais elle ne pouvait en parler à personne, même pas à Sydney.

De son côté, Jarod était depuis une semaine moniteur de ski dans une petite station du Maine. Pour une fois, il n'était sur aucune affaire. N'ayant jamais fait ce métier, il avait envie de le découvrir.

Jarod venait de rentrer avec son dernier groupe de la journée quand M. Peldon le patron de la station vint le trouver.

?: Jarod !
J: Oui, monsieur Peldon ?
Peldon: Je voulais vous dire que ce n'était pas la peine de venir demain et les jours qui suivent. Une tempête de neige est annoncée donc les pistes seront fermées.
(pas de chance !!!)
J: Bien. Quand voulez-vous que je revienne ?
Peldon: Après Noël. Elle va durer plusieurs jours d'après ce que dit la météo, il vaut mieux être prudents. Revenez vers le 27 ça sera bien.
J: D'accord. Passez un Joyeux Noël alors !
(c'est vrai, c'est bientôt Noyel !! enfin à l'heure où j'archive, hein !)
Peldon: Vous aussi. Bonsoir.
J: Bonsoir.

M. Peldon s'éloigna de Jarod et retourna vers son bureau. Jarod quand à lui alla vers les vestiaires pour se changer avant de retourner là où il logeait.

Dix minutes plus tard, il démarrait sa voiture et roulait vers son logement. Il y arriva environ 30 minutes plus tard compte-tenu qu'il a commencé à neiger. Il ouvrit la porte qui donnait sur la cuisine et entra. Un homme plus âgé que lui vint à sa rencontre.

?: Ah Jarod ! Tu es enfin rentré ! Je commençais à me faire du souci avec la tempête qui a été annoncée !
J: Désolé Ben ! M. Peldon a voulu me parler après la fin de ma journée. Et après j'ai du rouler doucement à cause de la neige.
Ben: Ok ! Une tasse de café peut-être ?
J: Volontiers ça me réchauffera !

Ben lui tendit une tasse de café. Quand il avait pris ce travail dans le Maine, il s'était rendu compte que c'était près de l'auberge de Ben. Il avait donc décidé de s'y installer. Ben l'avait accueilli les bras ouverts; après tout ce qu'il avait fait il trouvait ça normal. Jarod l'avait rapproché de la fille de Catherine et Ben comptait bien lui rendre la pareille un jour.
(Ce serait sympa mais faut pas qu'il se sente obligé !! Mais arrêtes, laisses-le faire !)

A cette période de l'année, Ben avait l'habitude de fermer son auberge, Jarod était donc le seul client. Mais plus pour longtemps si tout se passait comme il l'avait prévu.

 

Un peu plus tard dans la soirée.

Jarod et Ben venait de finir de laver la vaisselle et avait décidé d'aller un peu au salon avant de monter se coucher. Ben décida de questionner Jarod car il avait remarqué que quelque chose n'allait pas.

Ben: Jarod, il y a une chose que je ne comprends pas.
J: Quoi ?
Ben: La dernière fois que tu es venu ici, tu avais appelé plusieurs fois Melle Parker, et là j'ai remarqué que tu ne l'as pas appelé une seule fois. Or ça fait déjà une semaine que tu es ici. Qu'est-ce qui ne va pas ?
J: Je n'appelle plus Parker.
Ben: Mais pourquoi ? Et depuis quand ?
J: Depuis que nous sommes revenus de Carthis. Quand nous étions là-bas, le Centre a pu constater que nous nous étions entraidés sans aucun souci, ou presque. J'ai peur qu'elle ne soit en danger à cause de ça et je ne veux pas la mettre plus en danger qu'elle ne l'est peut-être déjà.
(ouais ouais je te crois !!! et la marmotte elle met le chocolat dans le papier d’alu, mais bien sûr !!!) (voui, et des fois elle prend même des photos des vaches violettes, sympa la marmotte !)
Ben: Tu sais très bien que Melle Parker sait se défendre.
(il marque un point !)
J: Je le sais bien. Mais je m'inquiète pour elle.
(c’est ti pas mignon !!!)
Ben: C'est normal puisque tu as des sentiments pour elle.
(il est intelligent le petit !!!)
J: Parker était ma meilleure amie quand nous étions enfants.
Ben: Jarod, pourquoi ne veux-tu pas reconnaître que tu éprouves des sentiments bien plus forts que l'amitié pour elle ?
Jarod: Parker est mon amie, rien de plus. Même si elle, elle prétend le contraire, nous sommes toujours amis. Excuse-moi Ben, mais je suis fatigué, je monte me coucher. Bonne nuit.
(oh j’y crois pas ! il fuit !!! ouais ça me rappelle une autre conversation ! Un certain Jack et un certain Daniel ? C'est ça !)
Ben: Bonne nuit, Jarod.

Jarod monta donc se coucher. Mais Ben savait très bien que Jarod n'était nullement fatigué, c'était juste un prétexte pour mettre fin à leur conversation. (lucide le gars !!!) Ce que Jarod ne savait pas, c'est que Ben avait déjà tout prévu. Tôt ou tard tu devras reconnaître tes sentiments, pensa Ben, et ce sera bien plus tôt que tu ne le penses. Ben monta se coucher dix minutes plus tard, après avoir vérifié une dernière fois que tout était fermé.

 

Maison de Melle Parker, Blue Cove, Delaware.

Melle Parker était en train de finir de préparer ses valises. Pour la première fois depuis bien longtemps, elle avait quelqu'un avec qui passer les fêtes de fin d'année. Même lorsque son père était encore en vie, ils ne passaient pas les fêtes ensemble. A chaque fois il trouvait une excuse de dernière minute pour décommander. Une fois, elle n'avait pas été malheureuse qu'il annule, c'était le Noël où Jarod lui avait offert le cadeau dont elle rêvait étant petite: un lapin. Bien qu'elle ait été triste, ce simple cadeau lui a d'un coup remonté le moral. Même si elle ne l'avouerait jamais, elle avait remercié mentalement Jarod pour ce présent. C'est sur ce souvenir qu'elle alla se coucher, car le lendemain, elle devait prendre un vol assez tôt.

 

Le lendemain, dans le Maine, auberge de Ben

Ben était dans la cuisine en train de préparer le petit déjeuner. Jarod n'allait pas tarder à se lever. Effectivement, cinq minutes plus tard, les pas de Jarod résonnèrent dans les escaliers.

J (entrant dans la cuisine): On dirait que la tempête de neige a commencé.
Ben: Oui. Ils viennent d'annoncer aux informations que les derniers avions viennent d'atterrir et que l'aéroport et fermé jusqu'à ce que la tempête soit passée. Tu veux une tasse de café ?
J: Oui, merci. Ca me réchauffera car même bien emmitouflé il fait terriblement froid.
Ben ( se servant une tasse de café) : C'est vrai.

Alors qu'ils buvaient tranquillement leurs tasses de café, ils entendirent la porte de devant s'ouvrir. Ils allèrent voir qui c'était et entendirent quelqu'un pester.

?: Mais c'est pas vrai qui est-ce qui m'a foutu un temps pareil !!!!!!!!
J: Melle Parker ?
MP: Jarod ?
MP/J: Ben ? Qu'est-ce que ça signifie ?
Ben: Je pense qu'il faut que vous parliez tous les deux.
(joli le coup monté ! même moi je l’avais pas senti venir le gars !!!)
MP: Je préfère m'en aller.
Ben: Ca ne sert à rien, l'aéroport vient de fermer à cause de la tempête.
MP: C'est pas vrai, ne me dites pas que je suis bloqué ici avec le p'tit génie.
(ça à pas l’air de lui faire plaisir ??? j’hallucine là ! y en a qui tuerait pour ça !!! n’est ce pas Vicky ? ouaip, faut qu'on trouve un truc toutes les deux pour nous le bloquer ! J'y pense, j'y pense)
J: Je crois bien que si. Désolé Parker.
MP: Ne prononce plus un seul mot, toi ! Je ne veux pas t'entendre du temps que je suis ici, sinon le Centre risque de récupérer leur caméléon dans un sale état ! Je vais m'installer dans la chambre de maman.

Sur ce, Melle Parker partit défaire ses bagages. Ben retourna dans la cuisine et laissa Jarod planté là dans l'entrée. Celui-ci était en train de se demander s'il allait réussir à survivre à quelques jours avec Parker. Bon d'accord, sur Carthis ils étaient seuls et pourtant il était toujours en vie; mais sur l'île ils s'étaient unis pour retrouver les parchemins alors qu'ici… Il décida de couper court sa réflexion et d'aller aider Ben dans la cuisine. (merci j’étais à deux doigts de la migraine !!!) (tant que c'est que la moitié de la graine...)

Une heure plus tard, Melle Parker avait fini d'installer ses affaires dans la chambre de Catherine. En fait ça ne lui avait pas pris plus de dix minutes. Le reste du temps, elle l'avait passé à se demander comment elle allait gérer le fait qu'elle doive passer plusieurs jours avec Jarod. Bien qu'ils aient passés quelques jours tous les deux seuls sur Carthis, elle redoutait d'être si près de lui maintenant. Elle avait peur qu'il lui re-propose de prendre le tournant et cette fois elle ne savait pas si elle aurait le courage de refuser. Ce tournant, elle voulait le prendre mais elle n'avait peur que d'une chose: que le Centre tue Jarod à cause d'elle. Ca elle ne le supporterais pas, elle préférait mourir plutôt que de perdre Jarod. Elle se décida enfin à sortir de sa chambre pour aller rejoindre Ben et Jarod.

Ceux-ci se trouvaient dans le salon en train de boire un autre café pour se réchauffer. Quand Jarod aperçut Melle Parker arriver, il lui remplit une tasse de café et la lui tendit. Celle-ci la prit et en but une gorgée sans penser un seul instant à remercier Jarod. Il ne s'en formalisa pas le moins du monde. Jarod savait que le lien qu'il s'était efforcé de garder avec Melle Parker s'était effrité car il ne l'appelait plus depuis Carthis. Ben trouvant que le silence commençait à devenir pesant, décida de lancer la conversation.

Ben: Il y a une chose que je voudrais savoir. Catherine, quand elle venait ici, me parlait de vous comme étant les deux meilleurs amis du monde. Ce que je ne comprends pas c'est ce qui vous a fait changé dans votre comportement. On ne passe pas de amis à ennemis en deux secondes !

Melle Parker se rappela alors de ce terrible jour lorsqu'elle avait seize ans.

Flash-back :

M. Parker venait de convoquer sa fille dans son bureau. Elle arriva dix minutes plus tard.

MP: Papa ? Tu voulais me voir ?
M. Parker: Oui. Mon ange, tu sais que je veux ce qu'il y a de mieux pour toi.
MP: Oui, tu me le dis sans cesse.
M. Parker: C'est pourquoi je t'envoies continuer ta scolarité à l'étranger.
MP: Quoi ? Mais pourquoi ? Je ne veux pas partir d'ici moi !!!!
M. Parker: C'est pourtant ce qui va se passer. Tu pars dans deux jours.
MP: Pas question !
M. Parker: Ne discute pas ! Tu vas…

Melle Parker n'attendit pas que son père finisse de parler. Elle sortit en courant et en larmes de son bureau. Bien qu'elle n'en ait pas le droit, elle se rendit directement dans le labo de simulation où elle savait trouver Jarod. Elle y entra en trombe. Sydney qui était là avec Jarod.

S: Melle Parker ? Vous ne pouvez pas être là. Il faut que vous partiez.
J (voyant que Parker pleurait) : Melle Parker ? Que se passe-t-il ?
MP: Jarod…

Melle Parker ne put continuer sa phrase. Elle se jeta dans les bras de Jarod. Celui-ci comprenant que quelque chose avait du la bouleverser la serra le plus fort qu'il le put. Elle pleure à chaudes larmes dans les bras de Jarod pendant quelques minutes avant de parler :

MP: C'est papa. Il veut m'envoyer étudier à l'étranger.
J: Quoi ? Mais pourquoi ?

Avant que Melle Parker puisse dire un mot de plus, M. Raines entra dans le laboratoire avec deux nettoyeurs. Ceux-ci arrachèrent Melle Parker des bras de Jarod et l'emmenèrent loin de la salle.
(pas beau Mr Raines !!! méchant !! grrrrr grrrrr !!!)

Fin du Flash-back

Jarod aussi se souvenait de ce moment. Ce fut la dernière fois qu'il vit Melle Parker telle qu'il l'avait toujours connue enfant. Quand il la revit quelques années plus tard, elle était devenue froide envers lui, comme si leur amitié n'avait jamais existé. Puis quelques mois plus tard, commençait leur petit jeu du chat et de la souris.

Pendant ce temps-là, Ben observait ses deux amis. Il comprenait qu'ils devaient se remémorer certains de leurs souvenirs. Il se décida tout de même à prendre la parole après un moment.

Ben: Alors ? L'un de vous va-t-il m'expliquer ?

Ce fut Jarod qui s'en chargea. Melle Parker ne décrocha pas un seul mot. D'autres souvenirs tout aussi douloureux envahissaient son esprit : c'étaient ceux de son retour au Centre quelques années plus tard.

J: Voilà, tu sais tout.
Ben: Mais comment ça se fait que vous n'êtes pas restés amis ?
J: Pour ça il faut demander à Parker, c'est elle qui s'est éloignée à son retour.
MP: Tu peux parler, c'est de ta faute tout ça !
J: Je ne comprends pas.
MP: Quand je suis revenue M. Parker m'a clairement fait comprendre que tu n'avais jamais demandé de mes nouvelles, que tu t'en foutais de moi.
(et ben voilà on progresse !!!)

Elle avait dit ça calmement malgré toute la colère qu'elle éprouvait face à cette impression de rejet de la part de Jarod qui était remontée à la surface.

J: C'est totalement faux ! Chaque jour je demandais à Sydney de tes nouvelles ! Je voulais savoir où tu étais, ce que tu faisais. Et chaque jour il me répondait qu'il n'en savait rien, que M. Parker ne lui avait rien dit.
MP (surprise): Quoi ?
J: Tu ne le savais pas ?
MP: Il m'a menti sur ça aussi !
J: Je suis désolé que tu l'apprennes comme ça.
Ben: Peut-être que M. Parker a fait ça parce que vous deveniez beaucoup trop proches. En vous éloignant l'un de l'autre, en vous faisant vous détester, il s'assurait ainsi de garder le contrôle sur vous.
MP: C'est bien possible. M. Parker a très bien pu le faire pour ça. Au bout d'un moment on aurait pu échapper à son contrôle et qui sait, quitter le Centre un jour.
J: C'est même très probable. Mais il y a une chose sur laquelle tu te trompes Ben.
Ben: Laquelle ?
J: On ne s'est jamais détesté et on ne le fera jamais.
MP: Jarod a raison. J'ai cru te haïr, mais c'est juste parce que j'avais mal.
(jure ? on s’en serait pas douté ! Quoi ? Vicky pourquoi cette batte de base ball derrière ton dos ??? pour rien voyons !!! j’ai comme un mauvais pressentiment… AIE !!! ça fait mal !!! ah aha hah ahaaaaa !!! )
Ben: Et bien c'est bien, on fait des progrès ! Maintenant pourquoi ne redevenez-vous pas amis ? Pourquoi ne cesses-tu pas cette chasse ? demanda-t-il à Parker.
MP: Parce que c'est trop tard. Je suis fatiguée, je vais aller me reposer quelques instants.

Sur ce, elle quitta la pièce. Elle se dirigea vers l'ancienne chambre de Catherine et s'allongea sur le lit en pensant à tout ce qui avait été dit. Le reste de la journée se passa calmement. Aucune des trois personnes ne ré-évoqua le sujet. Ils allèrent se coucher sans que Parker n'ait ré-adressé la parole à Jarod.

 

Dans la nuit, chambre de Melle Parker.

Melle Parker était en train dormir. Mais son sommeil semblait agité.

Cauchemar de Melle Parker :

Il faisait nuit. Melle Parker se trouvait seule avec Broots. Ils étaient dans une sorte de forêt et étaient en train de creuser. Leurs pelles rencontrèrent soudain quelque chose de métallique. Ils finirent de dégager à la main leur découverte qui n'était autre qu'une boite. Melle Parker la prit et l'ouvrit. A l'intérieur se trouvait un papier avec le signe des Vespasiens. Elle se sentit alors propulsée ailleurs. Elle se retrouva sur Carthis. Sur la grande place. Ange était là et lui parla :

Ange: Méfie-toi ! De grands secrets sont sur le points d'être déterrés. Prends garde à toi, Melle Parker.

Elle se sentit ensuite transportée vers un autre endroit, toujours sur l'île. Elle était devant le cottage qui avait abrité son arrière-grand-père et sa famille. Soudain, le cottage fut pris dans les flammes. Parker sentait la chaleur, elle entendit les cris d'Ange qui était en train de périr dans l'incendie. Elle revivait le drame sans pouvoir rien y faire.


Melle Parker se réveilla en hurlant. Elle était en sueur. Jarod et Ben alerté par les cris de Parker se précipitèrent dans la chambre de cette dernière. Ils la trouvèrent assise sur son lit, les genoux ramenés sous son menton. Elle semblait presque absente si ce n'est qu'elle tremblait et que des larmes roulaient sur ses genoux. Jarod alla vers elle et la prit dans ses bras sans que celle-ci ne réagisse. Ben se sentant de trop et sachant qu'il ne pouvait rien faire d'autre, décida de les laisser seuls et ferma la porte derrière lui.

Quelques minutes plus tard, Melle Parker finit par se rendormir toujours dans les bras de Jarod. Celui-ci ne bougea pas de la nuit. Il s'endormit tout de même quelques heures plus tard.

 

Le lendemain matin.

Melle Parker se réveilla dans les bras de Jarod. Lui était déjà réveillé depuis une heure et la regardait dormir. Pour la première fois depuis bien longtemps, Melle Parker prononça ce simple mot:

MP: Merci.
J: Ne me remercie pas, c'était tout à fait normal. Tu veux me parler de ce cauchemar ?
MP: Oui.

Elle décrivit alors son cauchemar dans les moindres détails. Ce faisant elle faisant remonter des images de cette nuit dans sa tête, ce qui la fit trembler. Jarod, le sentant, la serra un peu plus fort dans ses bras. Elle lui répéta alors ce que lui avait dit Ange dans son cauchemar.

MP: Est-ce que tu comprends ce qu'Ange a voulu dire Jarod ?
J: Non, pas du tout. Je crains qu'on ne le saura qu'au moment où ce secret sera dévoilé.
(et un secret ! un !)
MP: Oui.

Melle Parker leva les yeux vers Jarod et tomba sur son regard chocolat. Elle se rapprocha doucement de lui et déposa un léger baiser sur ses lèvres. Elle se leva ensuite mais Jarod la retint et la fit basculer sous lui.

MP (avec un regard glacial) : Je peux savoir ce que tu fais ?
J: Toute action entraîne une réaction
(il va pas nous pondre une théorie dans un moment pareil quand même ?). Or tu m'as embrassé, alors…

Jarod se pencha vers elle et se mit à l'embrasser tout doucement.
(ouf j’ai eut peur à un moment !!!) Celle-ci lui répondit sans tarder. Il lâcha alors les mains qu'il retenait et elle passa ses bras autour du cou de son ami de toujours. Ils continuèrent les baisers auxquels vinrent s'ajouter quelques caresses pendant quelques minutes, puis décidèrent qu'il était temps pour eux de se lever. Ils descendirent les escaliers et rejoignirent Ben dans la cuisine.

Ils arrivèrent main dans la main dans la cuisine. Quand Ben les vit arriver comme ça, un grand sourire fendit son visage tellement il était heureux pour eux. Il savait que de là où elle était Catherine pouvait les voir et était aussi heureuse qu'ils se soient enfin retrouvés. La télévision était allumé
(sur M6 ? non pas un coup sur la tête à coup de batte base ball, stp, regarde : sage là Dinou !!! Elle reste à portée de main la batte, pas de souci !) sur la chaîne des informations :

Présentateur: La vague de froid qui s'est abattue sur le Nord-Est du pays et qui s'étend du Maine au Maryland devrait selon les météorologistes durer encore plusieurs jours. Elle devrait se poursuivre jusqu'après Noël.

Ben coupa le son alors que le présentateur lançait un autre sujet.

J: Apparemment ma chère Parker, tu vas être coincée avec moi pendant un bon moment !
MP: Et c'est loin de me déplaire.
Ben: On dirait que vous avez régler vos problèmes tous les deux. Vous semblez redevenus amis.
J (en regardant Parker dans les yeux) : Je ne sais pas si on peut dire ça.
MP (avec une moue boudeuse) : Je ne suis plus ton amie ?
J: Je crois qu'on est un peu plus que ça non ?
MP: Oui, mais on est amis aussi.
J: Qui aurait cru que Melle Parker me dirait que nous sommes amis !!
MP: Ne commence pas !!
(il commence pas il continue ! Dinou ? Toute sage et gentille la Dinou ! Pas frapper !)
Ben: Je vois que vous avez retrouvé la complicité que me décrivait Catherine. Elle avait raison ça fait plaisir à voir.
J: Ce qui veut dire aussi que Parker va m'entraîner dans toutes sortes de problèmes !
MP: Pourquoi est-ce que c'est toujours de ma faute !
J: Parce que c'est toi qui venait me chercher et qui me disait: "Vient Jarod on va faire ceci !"
MP: Je ne t'ai jamais forcé à ce que je sache !
J: Si j'osais ouvrir la bouche pour dire non, tes yeux se remplissaient de larmes, volontairement, pour que je sois obligé d'accepter !
Ben: Tu veux dire que Parker te manipulait ?
J: Et comment ! (
bah oui ! les femmes manipulent les hommes depuis la nuit des temps ! c’est connu !!! et le premier qui ose nous contredire…)
MP: Quoi ??? J'y crois pas !
Ben: Apparemment, vous semblez avoir fait les 400 coups ensemble ! Et si vous me racontiez un peu ?
MP: Si tu as quelques heures oui !
Ben: Vu qu'on est bloqués ici pendant plusieurs jours, vous pouvez commencer.
J: Si ça te déranges Parker, je vais d'abord expliquer à Ben comment à chaque fois tu venais me chercher.
MP (tout de même méfiante) : Vas-y.
J: Il faut savoir qu'à chaque fois ou presque j'étais en train de faire une simulation. Mademoiselle s'ennuyait alors elle venait dans le labo même si elle n'avait pas le droit. Elle n'arrêtait pas de me questionner sur ce que je faisais et au bout d'un moment elle me disais qu'elle avait envie de se promener et d'aller dans telle ou telle pièce mais qu'elle ne pouvait pas. Je lui disais que je ne pouvais pas sortir d'ici mais elle me faisait ses yeux de cocker et à chaque fois je me faisais avoir. Le problème c'est qu'à chaque fois ou presque on s'est fait attraper et je me faisais punir.
Ben (en train de rigoler) : Mon pauvre Jarod ! On dirait qu'elle t'en a fait voir de toutes les couleurs !
(viens là Jarod que je te console !!! tu l’as vu ma batte de base ball ?!?)
MP: Je ne l'ai pas martyrisé non plus, on s'amusait ! Maintenant si tu veux connaître quelques uns de nos 400 coups comme tu dis, arrêtes de rire !

Ben se calma et Parker et Jarod à tour de rôle racontaient ce qu'ils avaient fait. Cela allait de la rencontre avec Faith au jour où Parker a voulu aller se cacher dans le bureau de Raines, en passant par le jour où ils étaient sortis sur la plage en contrebas du Centre bien sûr sans autorisation ! La journée se passa entre les récits de Parker et Jarod et les fous rires de Ben à ces récits.

 

Deux jours plus tard, veille de Noël.

Depuis leurs premiers baisers deux jours auparavant, Parker et Jarod avaient décidés de passer ces quelques jours où ils étaient ensemble à vivre leur amour. Ils passaient leurs nuits ensemble, sachant que cette phase de bonheur serait de courte durée hélas. Ben essayait de les laisser tranquille le plus souvent possible, comprenant leur besoin de l'autre.

Parker et Jarod savaient qu'à la fin de ces quelques jours, ils devraient retourner à leurs rôles respectifs du chat et de la souris
(alors ça c’est nul !!! lis au lieu de dire ça !), du moins jusqu'à ce qu'ils trouvent une solution.

En ce soir du réveillon de Noël, Ben et Jarod attendaient Melle Parker qui était toujours en train de se changer. Ben portait un costume gris foncé, avec une chemise gris claire, tandis que le costume de Jarod était noir et la chemise bleue, qu'il avait laissé légèrement ouverte en haut. Quand Melle Parker sortit de sa chambre les deux hommes furent totalement subjugués. Elle portait une robe rouge qui lui arrivait juste au-dessus du genou. Elle avait le dos nu jusqu'au creux des reins. Elle ne s'était que légèrement maquillée pour une fois. Ces quelques jours l'avait déjà complètement changée.

Jarod et Ben n'avait pas bougé, toujours fascinés par la tenue de Parker. Jarod se remit quelque peu de l'apparition et avança vers sa bien-aimée qu'il embrassa tendrement. Ils rejoignirent ensuite Ben et ils s'installèrent pour le repas. Ils mangèrent tranquillement et passèrent le reste de la soirée à parler. Pour Jarod, c'était le plus beau Noël qu'il passait et pour cause, il le passait avec Parker, la femme qu'il aimait et qui l'aimait en retour.
(Snif… un mouchoir svp, je sens que mon rimmel va couler !!! tu n’es pas maquillée !!! la ferme !!! ah ces auteurs ! je vous jure !!! Tu sais ce qu'elle te dis l'auteur ? Pas la batte!)

 

Le lendemain matin, jour de Noël.

Jarod et Parker dormait encore dans les bras l'un de l'autre. Parker se réveilla la première et décida de réveiller Jarod en l'embrassant tout doucement sur le torse. Jarod commença à bouger quelque peu et ouvrit doucement les yeux.

J: Je peux savoir ce que tu fais ?
MP (souriante): Je te réveille.
J: Je vois ça. Mais pourquoi, il est quelle heure ?
MP: 9h00.
J: Seulement ! Parker on s'est endormi à 4h00 du mat' !!
(et ben ! qu'est ce qu'ils ont fait de leur nuit ?!? quoi ?? qu'est ce que j'ai dit ???)
MP (faisant la moue) : Mais c'est Noël ! Je veux mes cadeaux !!!!
J: Tu es impossible

Jarod et Parker finirent par se lever et retrouvèrent Ben déjà levé dans le salon. Il leur servit du café et sous les supplications de Parker ils s'installèrent sous le sapin pour ouvrir les cadeaux.
(pire qu’une enfant de 8 ans, j’hallucine !!!)

J: Je peux savoir pourquoi tu es comme ça Parker ?
MP: C'est mon premier vrai Noël depuis longtemps, c'est normal que je sois quelque peu excitée !
J: Tu n'es pas excitée, tu es une vraie petite puce !

Ils commencèrent à distribuer les cadeaux. Ben, tout d'abord, offrit à Jarod une montre et à Melle Parker, il remit un album photo contenant des photos de Catherine lors de ses différents séjours à l'auberge. Melle Parker était très émue, car c'était des photos qu'elles ne connaissaient pas et sur certaines elle était même présente, quand sa mère l'avait emmené tout bébé.

MP (serrant Ben dans ses bras) : Merci Ben, ça me fait très plaisir.
J: Je crois que c'est à moi de t'offrir mon cadeau. J'aurais du te l'envoyer le jour où tu es arrivée alors je me suis dis que j'allais te le remettre en mains propres. (Il lui tendit un petit paquet) Joyeux Noël ma chérie.
MP (méfiante) : Est-ce que je dois m'attendre à une mauvaise blague ?
J: Ne t'inquiètes pas. Allez ouvre !

Melle Parker ouvrit le paquet et y découvrit un fin collier en or blanc avec un pendentif en diamant. Elle en avait le souffle coupé.

MP: Jarod… C'est magnifique !
J: Il appartenait à ta mère. C'est Ben qui l'a retrouvé il y a peu de temps et qui me l'a donné pour que tu puisses l'avoir.
MP: Merci à tous les deux alors. C'est un cadeau magnifique. Tu peux me le mettre Jarod ?

Jarod lui prit le collier des mains et le passa autour de son cou. Après l'avoir accroché, il déposa un baiser dans son cou. Elle s'écarta doucement de lui.

MP: Mais je n'ai rien à t'offrir, moi.
J: Mon cadeau c'est toi, c'est que tu sois là, ici avec moi.
MP: Alors Joyeux Noël, mon cœur.

Il remirent ensuite leurs cadeaux à Ben. Il reçut de Parker une magnifique peinture qui représentait un lac, presque semblable au Lac Catherine. Quant à Jarod, il lui offrit un pull en laine, utile avec le temps qu'il faisait en ce moment.

 

Deux jours plus tard.

Melle Parker venait de boucler ses valises et les déposa dans l'entrée. Elle serra Ben dans ses bras pour lui dire au-revoir. Celui-ci laissa ensuite le couple seul, comprenant qu'il ait besoin d'un dernier moment d'intimité.

J: Pourquoi ne veux-tu pas quitter le Centre et rester avec moi ? J'ai besoin de toi Parker.
MP: Crois-moi Jarod, j'ai besoin de toi, moi aussi. Mais au fond de moi, je sens que je dois rester au Centre. Quelque chose me retient encore la-bas et c'est parce que je ne sais pas quoi, que je dois rester. Tu me comprends ?
J: Oui. Je t'aime Parker.
MP: Je t'aime aussi mon amour. Le fait que je retourne au Centre ne changera pas mes sentiments, jamais.

Ils échangèrent un baiser passionné, puis Parker se détacha à regrets de Jarod.
(POURQUOI ??? mais chut!) Elle prit ses valises et sortit prendre le taxi qui l'attendait. Elle monta dans le taxi et celui-ci démarra et se dirigea vers l'aéroport. Jarod resta un moment à regarder le taxi s'éloigner de plus en plus. Il rentra au moment où il ne put plus le voir.

La vague de froid qui sévissait dans le Nord-Est des Etats-Unis avait maintenant pris place dans les cœurs de Jarod et Parker.


FIN



Ne pouvant pas tout mettre dans cette fic sinon elle ferait je sais pas combien de page, ce n'est qu'une fin provisoire. Tout du moins cette fic étant pour un challenge tous les termes en ont été respectés. La suite viendra bientôt
(va y avoir une suite ! va y avoir une suite !!! oui sage la Dinou, sinon : les petites boules roses !! brave petite !!!)

En tout cas des petits mails sont les bienvenus et même réclamés!!!
vickysg1@wanadoo.fr et dinou149@wanadoo.fr

 

Fin

 

Pour m'envoyer vos fanfics (tous formats compatibles avec les logiciels courants de Windows - même Xp, pas de pb), écrivez-moi : delphinevb@chez.com . En général, je m'efforce de lire très vite les textes qu'on m'envoie, même si je ne les publie pas aussitôt (cause forfait, et puis travail aussi ;-) ...), afin de proposer un petit commentaire (un auteur attend généralement des feedbacks, j'en sais qqch...).

Sydnette la Psy Caméléonne.

 

© Onyssius, 2003, in Le Monde d'Ondinaphaë.

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