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Section Le Caméléon (The Pretender)
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Vacances, amour et pistaches (partie unique)
Auteur : Tania Pretender
Où le situer : Il se situe après IOTH.
Genre : Action, Romance J&P, Mythologie
Personnages : Les persos évoqués (Jarod, Parker, Raines, Lyle, Sam, Catherine, Sydney, Broots, ...) sont les personnages habituels du Caméléon, cf disclaimers.
Disclaimers : Bien entendu ni l'auteur de la fic ni l'auteur de ces pages web ne touchent un sou pour cette fic et cette publication... Les personnages de tP ne nous appartiennent (malheureusement) pas, ils sont à Craig W. Van Sickle et Steven Long Mitchell, et les droits aux chaînes possédant la série (cad TNT logiquement, entre autres).
Résumé : Mlle Parker prend des vacances bien méritées au bord de la mer. Mais un certain Caméléon va s'en mêler...
Notes : Note de l'auteur, mise en place de la fic : " (aucune note particulière) "
Notes de Syd : Commentaires de la cinglée qui héberge ces fics en vert !
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« Alors surette, toujours pas de
nouvelles de Jarod ? senquit M. Lyle en la croisant dans le
couloir
- Arrête de mappeler comme ça Frankenstein ! Et
franchement tu crois que je te parlerais dindices ?
- Je sais que tu nas rien de toute manière
- Tiens ? Tu sais ce nest pas parce que tu ne trouves rien
que moi non plus
rétorqua-t-elle, faisant suivre sa réplique
cinglante dun beau sourire narquois dont elle seule avait
le secret.
- Bah... je me suis dit que puisquil ne tavait pas
appelé depuis notre retour de Carthis
- Comment tu sais ça toi ? fit-elle brusquement
- Jai mes sources !
- Tu mas mise sur écoute ?!
- Allons bon ! La pauvre petite Parker est bien triste que son Caméléon
ne donne plus de nouvelle ?!
- Lyle je te jure que je
! »
Mais Parker neut pas le temps de finir sa phrase
Elle
se plia en deux, coupée de souffle
Devant un Lyle sûrement
amusé par la situation, car il était à présent plus haut quelle
malgré les talons aiguilles que la Dragon Lady portait, elle
avait peine à respirer et commencer à virer rouge.
*****
« Je vais bien, Sydney ! » avait affirmé Parker, alors que le
docteur venait de sortir de la pièce
Bien sûr, pas même
Broots ny croyait, compte tenu du fait que ce dernier lavait
trouvée dans un couloir, pliée en deux
Son très cher frère lavait laissée là, en plan, sans se
préoccuper de son état de santé. Sûrement parce que la chasse
serait plus facile pour lui une fois miss Parker à six pieds
sous terre
Diagnostique du médecin : son ulcère la travaillait plus que
jamais, et si elle ne voulait pas se retrouver encore une fois à
larticle de la mort, il ny avait quune seule
solution : quelle se ménage. Ses conseils ? Des vacances,
et beaucoup de repos
« Il est marrant, lui ! des vacances alors que Jarod cours
toujours et que je risque ma tête
- Ne vous inquiétez pas, Miss Parker
Si Jarod appelle, je
lui dis de se tenir tranquille jusquà votre retour pour
que vous soyez la personne qui le ramène
- Depuis quand vous faites de lhumour docteur Spock ?!! »
Mais Parker, malgré son mal de ventre, ne put sempêcher
de sourire à cette idée
ah ! Des vacances
peut-être
quaprès tout, elle en avait bien besoin ? Cela faisait
bien 6 ans quelle nen avait pas eu
« Alors docteur, vous recommandez quoi ? La campagne ?
- Il fait plutôt beau, non ? Pourquoi pas le bord de mer ?
- Bonne idée ! Autant que je reste dans le Delaware, je pourrais
écourter mes vacances si Jarod donne des nouvelles !
- Je pensais plutôt la Californie ?
- Cest mes vacances, oui ou non ? Bon
Je pars faire
mes valises
»
Parker se dirigea vers sa place de parking quand elle croisa,
pour la deuxième fois dans la journée, son très cher frère
« Parker ! Quelle bonne surprise ! pas encore morte ?
- Quest ce que tu veux, encore ?! Au fait, merci de mavoir
laisser agoniser ce matin
Japprécie
Cest
vrai quon ne sest pas vraiment serré les coudes dans
la famille, mais ce geste de ta part
- Que veux tu
cest une question de survie
- Bah voyons.
- On ma dit que tu partais ? tu abandonnes la chasse ?
- Quand les cochons auront des ailes, petit frère
et quand
tu vireras bon samaritain. Ce qui je suis sûr ne risque pas darriver
de sitôt
je suis curieuse de savoir ce que la police
trouverait au fond de ton jardin
»
Et elle tourna les talons, ignorant un « prends tout ton temps
», et ne voyant pas le regard que son frère avait en regardant
ses longues jambes se mouvoir sensuellement.
« De toute beauté » murmura-t-il.
Parker était déjà en route pour Salbury, un petit village au
sud de la baie du Delaware, quand son téléphone sonna
« Quoi ?! dit-elle, comme à son habitude
- Alors Parker, quoi de neuf ?
- Jarod ?! tu te décides ENFIN à donner des nouvelles ?! je te
signale que ça fait plus dun mois !
- Je sais
mais javais besoin dun peu de repos
repenser à toute cette histoire
à ce qui aurait pu se
passer
- Jarod par pitié arrête avec ça ! on en as déjà parlé
Et
puis tu es toujours libre, non ? tu as eu la fin que tu voulais !
- Pas exactement...
- Tu voulais quoi ?
- Te parler
je voulais te parler, Parker
- Bah cest fait, non ?
- Non
cest
à propos de... de nos mères. Du
fait quelles se connaissaient.
- Très bien
Je técoute !
- Non. Pas ici. Pas au téléphone. Je peux te faire confiance ?
- Comment ça ?
-Si je te donne un rendez-vous, tu viendras seule, et non armée
?
- Quoi ? Bon
de toute façon, je suppose que tu ne me le
diras pas autrement. De toute manière, tu peux me faire
confiance. Je suis en vacances, je suis partie seule comme une
grande sans Nettoyeurs avec moi. Et encore moins avec Lyle. Cest
promis je laisserai mon arme à lhôtel.
- Bon. Tu vas où ?
- Je suis à Salbury dans trois quarts dheures.
- Je te rejoins là-bas !
- Jarod attends comment veux tu
»
Mais le caméléon avait déjà raccroché, encore une fois. Et
Miss Parker, après tout, sen fichait bien sil ne la
trouvait pas, ayant oublié de lui fixer un rendez-vous
Tout ce quelle voulait, elle, cétait avoir des
vacances tranquilles pour se reposer de son ulcère.
Le soleil cognait fort, même avec le vent dEst qui venait
rafraîchir les occupants de la plage. Des enfants couraient ici
et là, jouant dans leau ou construisant des châteaux de
sable. Quel bonheur de se retrouver enfin seule, loin du Centre !
même si ce nétait pas si loin que ça
Miss Parker était habillée de façon très élégante. Elle
portait un short noir coupé très haut qui laissait apparaître
ses interminables jambes et le haut de son corps était couvert
par un chemisier en lin blanc. Elle avait des lunettes de soleil
et un chapeau à bords large pour la protéger des insolations. Etendue
sur une chaise longue, elle profitait du soleil, un peu à légard
des autres, en sirotant un granité citron. Que la vie était agréable
quand on prenait du temps pour soit !
« Tu as lair plutôt bien installée, Parker ! Je peux me
joindre à toi ?
- Jarod ! fit-elle sans même tourner la tête ni même ouvrir
les yeux. Que me vaut ce plaisir ?
- Tu le sais bien
Parker, il faut quon parle
- A propos de nos mères, cest bien ça ?
- Oui
- Franchement
tes gonflé de venir gâcher les seules
vacances que je me prends depuis 6 ans ! tu pouvais pas attendre
quelques jours ?
- Jai pensé que tu voudrais savoir
fit-il en
souriant.
- Viens, on va prendre une glace. Il paraît que tadore ça
»
Il se regardèrent et sourirent
On aurait dit 2 enfants, à
se chamailler gentiment tout en faisant la queue devant le
marchand de glace. Visiblement, Parker avait oublié sa carapace
au Centre et semblait décidée à lui laisser une chance de sexpliquer.
Le soleil, la plage et la mer faisaient des miracles sur la Dragon
Lady !
Et ainsi, Jarod avait enfin trouvé le moyen pour la pouvoir lui
parler sans avoir à subir ses sarcasmes. Tout comme sur Carthis,
Parker était très gentille, éloignée du Centre. Seulement
lorsquelle était à nouveau sous son emprise
« Vous désirez ? demanda le marchant de glace
- Vanille fraise, sil vous plaît, demanda Parker
- Moi jai bien envie dessayer menthe chocolat, fit
Jarod. »
Ils repartirent en direction de la plage, leur glace à la main.
Ces dernières, ayant pris un brusque coup de chaud une fois
sorties de leurs bacs, fondaient à vue dil, et Miss
Parker sen étend aperçue, elle mordit un grand coup
dedans, empêchant les deux boules jaune et rose de se répandre
par terre.
Jarod limita.
« Dommage, le goût du chocolat masque celui de la menthe, dit-il.
- Je suppose que si tu es là ce nest pas uniquement pour
me parler de glace au chocolat
- Exact
hum hum, fit-il en se raclant la gorge. Tu te
souviens de cette photo qu un inconnu
nous
nous...
»
Jarod sarrêta de marcher. Il sarrêta de parler et
de lécher sa glace.
« Jarod ? quest ce quil tarrive ? Jarod ! »
Mais celui ci tomba à la renverse, sur le sable chaud. Sa langue
commençait à gonfler, il manquait de sétouffer.
« Oh mon dieu ! »
Miss Parker goûta la crème glacée.
« Merde ! de la pistache ! oh Jarod ! »
Elle appela une ambulance avec son portable. En moins de 5
minutes, car ils étaient tout près de lhôpital, les
ambulanciers arrivèrent, et accoururent avec une civière.
« Quel est son nom ?
- Jarod.
- Jarod comment ?
- Euh
Jarod Green.
- Très bien. Ecoutez moi, monsieur Green. Vous mentendez ?
- Je crois que sa langue a gonflé
Il est allergique a la
pistache... Il aurait dû faire attention ! cest la faute
de ce foutu vendeur de glace qui disait que cétait de la
menthe
- Calmez vous, ça ne sers à rien de saffoler, ça ne laidera
pas plus
»
Alors que le premier secouriste faisait les premiers soins qui
permettaient à Jarod de respirer malgré la langue ayant triplé
de volume, deux autres le mettaient sur une civière et le
transportaient dans lambulance.
«Excusez moi
qui êtes vous ?
- Je suis miss Parker
- Sa petite amie ?
- Non.. juste une
amie
Laissez moi monter, je vous
en prie !
- Très bien, venez avec nous. »
Jarod était tombé dans linconscience sur le chemin du
retour. Les médecins lavait mis sous perfusion et lavaient
intubé pour laider à respirer. Ils avaient également
fait une piqûre à la gorge pour permettre au tout de dégonfler,
car la gorge était elle aussi bien enflée
Maintenant, il
ne restait plus quà attendre
Et espérer que son
cerveau nait pas manqué doxygène trop longtemps.
Le ciel était mauve à certains moments, argentés à dautres.
La mer, noire, déversait ses rouleaux écumants sur la plage au
doux sable gris. Le paysage était illuminé par une lumière
blanche, très pure, presque irréelle. Elle se rapprochait en vérité
des néons qui éclairaient les sous-sols du Centre.
Notre Jarod actuel, cheveux mi-longs, vêtu des habituels vêtements
du Centre, était assis dans le sable. Parker sapprocha et
sassis en tailleur, repliant sur elle ses longues jambes
magnifiques. Elle était en tailleur, avec une jupe moulante,
comme dhabitude.
« Tiens ! Parker ! Tu es venue ? Comment va ta famille ?
- Bien, merci. Et la tienne ?
- Bof
je me suis fait grondé par papa tout à lheure
parce que jai cassé le jouet de Kyle, mais ça va passer
- Jen suis sûre.
-T u viens maider ?
- Quest ce que tu fais ?
- Un château de sable
Cest pas facile, le sable veut
pas tenir !
- Cest parce quil est trop mouillé, bêta ! il faut
lhumidifier avec leau pour quil tienne mieux
- Tu as lair de ty connaître, dis moi !
- Oui. Avec Maman, on en fait tout le temps. Elle ma appris
que si on alterne sec et mouillé, cest plus solide, pour
faire les créneaux du château ! Tiens ! laisse moi te montrer
quelque chose ! »
Elle prit une poignée de sable très mouillé dans sa main et,
le poing fermé, elle laissa le sable couler tout doucement,
comme de la pâte a gâteau, sur les tours du château, dessinant
des macarons qui montaient en spirale.
« Dis, Jarod
- Quoi ?
- Tu crois pas quil est temps de revenir parmi nous ? »
Bien que complètement engourdi, le Caméléon se réveilla en
sursaut, puis, effrayé de se trouver à lhôpital, il
arracha le tuyau qui se trouvait dans son nez pour laider
à respirer, et se leva. Il ne voulait pas rester, même sil
avait du mal à marcher et que sa gorge le faisait affreusement
souffrir.
« Jarod ! Oh mon dieu ! Mais il faut que tu restes au lit !
- Non
je veux pas rester ici. Cest dangereux
surtout quil y a eu des témoins... si tu es surveillée
- Tu dis nimporte quoi ! allez, va-te recoucher, jappelle
le médecin ! »
Celui ci vint rapidement, et regarda son patient dun air désapprobateur
quand il se rendit compte que celui-ci avait arraché ses
perfusions.
« Comment vous sentez-vous ?
- Bien ! Très bien ! Jai juste la bouche pâteuse
comme ci
comme ci je venais de me prendre une bonne cuite
-Ah parce que ça test arrivé, ça ? demanda Parker, amusée.
- Jai le droit de faire des expériences, non ? Par contre,
je sais vraiment pas comment tu fais pour le faire aussi souvent,
moi je recommencerais plus jamais !
- Cest toujours très dur, la première fois, dit-elle en
plaisantant.
- Très bien, Monsieur Green, commença le docteur Clay, alors
que Jarod regardait Parker dun air amusé en entendant le
nom quelle lui avait donné, il semblerait que tout va bien
! Je préfère vous garder en observation pour la nuit tout de même.
- Ah
ça
tombe très mal, docteur
Je commence
mon nouveau boulot ce soir et
- Bon.. je veux bien vous laisser sortir, ça devrait bien se
passer. Mais appelez-moi si vous avez du mal à respirer ou si
vous avez des vertiges, ou si vous avez des troubles de la
perception, daccord ?
- Promis.
-Vous inquiétez pas, Docteur. Jarod sait ce quil fait »
Ils marchaient tous les deux sur la plage, au soir, qui était
illuminée par des feux de camps autour desquels des jeunes
chantaient et faisaient surtout beaucoup de bruit.
« Merci, Parker
- Pour quoi ?
- Pour avoir pris soin de moi
- Jarod
jallais pas te laisser mourir alors que tu
sais plus de chose que moi sur ma mère !
- Oui, très juste, fit celui ci en riant.
- Alors, cette histoire de photos ?!
- Oui. Je disais donc, cette fameuse photo quun inconnu
nous a envoyée
Jai comparé le visage de nos mères
avec des photos de références, ça ma permis de dater la
photo.
- Et ?
- Figure toi quelle a été prise approximativement entre
1960 et 1965 !
- Quoi ? mais alors
- Alors il est très probable que nos mères se connaissaient
avant même nos naissances. Et visiblement, puisquelles ont
pris la photo devant le Alley Sports Bar, à Boston elles
recherchaient déjà les parchemins.
- Mais comment cest possible ?! comment connaissaientelles
déjà leur existence ?!
- Cest une question intéressante !!! cria un homme du haut
de la dune »
Lyle
Le téléphone de Parker était donc bien sur écoute
!!!
« Merci surette ! tu mévites bien des maux de tête,
avec tes coups de fils ! Jarod, il est temps de rentrer à la
maison !
-non
» fit celui ci qui pouvait à peine y croire
Pas ici. Pas maintenant
Il nétait pas prêt ! Il navait
même pas planqué sa mallette Halliburton, remplie des DSA !
comment faire ? Par où fuir ?
Cela paraissait sans issue. Il y avait au moins 6 Nettoyeurs, et
ils étaient armés. Et Jarod ne pouvait pas senfuir
Ils auraient une très bonne vue, sils voulaient tirer
Willie sapprocha, le sourire aux lèvres. Jarod reculait,
doucement, essayant de retarder au maximum le moment fatidique.
Parker ne disait rien. Il lui semblait être à nouveau sous lemprise
de ces sorciers maléfiques
Puis Jarod sarrêta. Un autre Nettoyeur se trouvait derrière,
tout contre lui, quil navait pas vu, ses yeux étant
rivés sur Willie. Le Nettoyeur lui saisit violemment les bras,
et les bloqua dans son dos. Willie sapprocha et lui passa
les menottes.
Le Caméléon eut un haut le cur en sentant le contact
froid du métal qui lui pinça la peau et lui coupa brusquement
la circulation. Il eut un bref regard vers Parker, qui baissait
des yeux, visiblement décidée à ne rien faire, alors que Lyle
portait un sourire triomphant.
« Bon, fit celui-ci
Il est temps de rentrer à BlueCove.
Je crois que Raines va être content de moi. Tu devrais continuer
tes vacances, Parker. Et profites en, tu en a bien besoin.
- Non, fit elle dune voix faible. Et elle répéta plus
fort : non, je rentre avec vous. Je passerais chercher mes
affaires plus tard.
- Il est hors de question que tu
- Eh bien, Lyle, tu as peur de moi ? Tu me penses plus forte que
toi, pour me craindre ? »
Il ne répondit pas. Elle avait touché un point sensible. Mais
alors que la Dragon Lady montait dans la Lincoln noire, à côté
de Jarod, les yeux toujours baissés, Lyle glissait à Sam : « Ne
la quittez pas des yeux, cest compris ?! » et Sam dacquiescer.
La voiture démarra et se dirigea vite sur lautoroute.
Ils étaient 5 dans la voiture. Willie conduisait, Lyle était à
la place du mort. Jarod au milieu, encadré de Parker et Sam.
Sans que personne ne sen aperçoive, Parker regarda Sam,
Sam regarda Parker, et ils se sourirent.
Sam déboucla sa ceinture, près à mettre sa vie en danger,
alors que Parker se cramponnait de toutes ses forces et bandait
ses muscles. Elle prit la main de Jarod, et celui ci la sentant
tendue, se raidit lui aussi instinctivement. Alors Sam se leva et
assomma à la fois Lyle et Willie, qui neurent pas le temps
de réagir et bondit sur le volant pour le maintenir. Cependant,
il ne réagit pas assez vite et la voiture fit une embardé sur
le bas côté. La voiture fonça sur un chemin en
piteux état pour enfin piler en face dun tronc darbre
« Ca va ? demanda Sam.
- Oui, fit Parker, épongeant un léger filet de sang sur son crâne.
Cest rien. Je me suis blessée avec la bague de Maman
»
Sam attacha Willie et Lyle, puis il détacha Jarod qui sourit.
« Je ne savais pas que vous lui étiez si loyal, Sam
- Elle vaut bien mieux que quiconque, dans ce maudit endroit.
- Enfin
cest relatif, fit celle ci. Tu avais raison
Jarod
je suis désolée.
- Oui
mais tu as au moins fini par le prendre, ce tournant
! »
Ils rebroussèrent chemin, pour chercher les affaires de lun
et de lautre
« Merci Sam. Vous allez faire quoi maintenant ?
- Je crois que le gouvernement est en manque de personnel
Il est temps de se ranger du bon côté, non ? Mais vous allez
avoir besoin daide, une équipe est toujours à Salbury.
- Quest ce que tu fais ? demanda Jarod en voyant Parker
tirer son téléphone
- Jappelle Broots et Sydney. Quils sen aillent
vite avant que la nouvelle se sache. Surtout si mon téléphone
est sur écoute
- Parker ?
- Quoi ?
- Merci. »
FIIIIIIIIN
Alors ? reviews pliiiiiiz
Bises à tous.
Fin
Pour m'envoyer vos fanfics (tous formats compatibles avec les logiciels courants de Windows - même Xp, pas de pb), écrivez-moi : delphinevb@chez.com . En général, je m'efforce de lire très vite les textes qu'on m'envoie, même si je ne les publie pas aussitôt (cause forfait, et puis travail aussi ;-) ...), afin de proposer un petit commentaire (un auteur attend généralement des feedbacks, j'en sais qqch...).
Sydnette la Psy Caméléonne.
© Onyssius, 2003, in Le Monde d'Ondinaphaë.
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