Un choix du coeur

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Un choix du coeur (partie unique)

Où le situer : Il ne se situe pas, c'est une réécriture, un "et si", en l'occurence et si Thomas n'était pas mort.

Genre : Action, Romance J & P, Humour, Parodie, Réécriture

Personnages : Les persos évoqués (Jarod, Parker, Raines, Lyle, Sam, Catherine, Sydney, Broots, ...) sont les personnages habituels du Caméléon, cf disclaimers.

Disclaimers : Bien entendu ni l'auteur de la fic ni l'auteur de ces pages web ne touchent un sou pour cette fic et cette publication... Les personnages de tP ne nous appartiennent (malheureusement) pas, ils sont à Craig W. Van Sickle et Steven Long Mitchell, et les droits aux chaînes possédant la série (cad TNT logiquement, entre autres).

Résumé : Voir notes

Notes : Note de l'auteur, mise en place de la fic : " Thomas a échappé de peu à la mort. En effet la balle est passée à 5 cm de sa tête, si Parker n’était pas intervenue… Maintenant tout s’est rétabli, Thomas et Parker sont ensemble et la jeune femme continue d’exercer le même métier aux « assurances » ! "

Notes de Syd : Vala, les commentaires en vert comme d'hab'. Et en bleu les commentaires de Pauline (@ndy 56 quoi !) et en orange ceux de Shouka.

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Chapitre I : Une soirée difficile

Parker arrivait chez elle, épuisée, après une journée où elle avait passé son temps à courir à travers tout New York à la quête des indices laissés par le petit génie. Une fois entrée chez elle, elle exécuta son petit rituel : enlever son manteau, poser les clés et ranger son arme. Une fois la tradition passée elle s’avança vers le salon. Un feu était allumé dans la cheminée, cela lui fit tout de suite penser à Tommy et ce soir où elle l’avait rejoint dans les bois. Alors qu’elle s’avançait vers la cuisine elle entendit des éclats de rire. Elle reconnut tout de suite celui de Thomas : fin, gracieux, fort et puissant. Quant à la deuxième personne, elle aurait juré avoir déjà entendu ce timbre de voix quelque part. Elle réfléchit quelques instants à l’identité de cette personne, qui cela pouvait-il être ? Peut être J…, non c’était impossible. L’envie de savoir qui était cette personne prit le dessus et, en quelques enjambés, elle fut dans la cuisine. Elle poussa la porte et se retrouva en face de Thomas qui était en train de boire un verre de son Whisky préféré avec ce qui était censé être son frère : Lyle .

Lyle : Bonsoir soeurette !
MP avec un sourire crispé : Lyle, quelle surprise…
Thomas : Lyle passait dans le coin, il avait des dossiers importants à te remettre pour ton travail. Il m’a dit que vous travailliez au même endroit mais que vous n’aviez pas tout à fait les même fonctions. Nous avons échangé quelques anecdotes puis nous avons parlé de nous et justement de nos emplois respectifs. Tu aurais pu me dire que les bâtiments des assurances tombaient en ruine !
MP : Tu comptes travailler sur ce projet ?
T : C’est possible, ça serait vraiment génial, je te verrais tous les jours !
Lyle : Et puis les bâtiments ont vraiment besoin d’être rénovés.
MP : Bien, je ne me permettrais pas de bouleverser vos petits projets…
T : M. Lyle, je ne voudrais pas vous mettre à la porte mais il se fait tard et je suppose que, comme nous, vous Êtes un peu fatigué ?
Lyle : Bien sûr, je ne vais pas vous importuner plus longtemps. Au revoir soeurette, Thomas.
MP : C’est ça.
T : Au revoir.

Lyle venait de partir, Thomas jeta à peine un coup d’œil à Parker mais cela lui suffit à deviner qu’elle était particulièrement tendue et nerveuse.

Thomas, inquiet : Qu’est ce qui ne va pas ma chérie ?
MP : Rien, c’est juste que le travail a été particulièrement épuisant aujourd’hui.
T : Hum, tu devrais aller prendre une douche et te coucher, je vais me changer et on se rejoint dans la chambre. Okay ?
MP : Okay.

Thomas se dirigea vers la salle de bain du rez-de-chaussée, quant à Parker, elle monta les escaliers qui menaient à sa chambre et donc à sa salle de bain. Elle prit une douche chaude, la seule chose, avec des bras rassurants, qui l’aidait un tant soit peu à oublier le monde du Centre. Quand elle sortit, elle était vêtue d’une nuisette en soie de couleur prune. Thomas lui, portait un pyjama qui se résumait simplement à un caleçon.
Le jeune homme se mit le premier sous les couvertures et tira les draps pour Parker. Alors qu’elle s’avançait, il la contemplait avec autant d’admiration qu’Adam portait à Eve.
Elle était magnifique même si son visage reflétait une immense fatigue.
Parker s’approcha du lit, se glissa entre les draps pour finir dans les larges et robustes bras de Tommy. Elle se sentait si bien qu’à peine avait-elle fermé les yeux, qu’elle s’endormit.
Un silence de mort pesait dans la chambre quand la sonnerie du téléphone, puissante, stridente et vide, retentit dans la pièce. Parker, encore à demi ensommeillée, décrocha : QUOI ???
J : Parker, je te réveille ? Tu m’en vois vraiment désolé !!
MP : Jarod il est,………3 h 14 du matin ! Que me vaut l’honneur de cette appel ?
J : Désolé mais ce n’est pas à toi que j’aimerais parler, tu peux me passer Thomas, s’il te plaît ?
MP : Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire ? D’où tu connais Thomas ?
J : Parker…
MP : Non.

Thomas s’était réveillé sous les réponses un peu brutes de Parker, il saisit le combiné sans qu’elle ne puisse réagir.

T : Jarod,…..oui bien sûr,…. Génial,…. Ne t’inquiète pas pour ça, j’en fais mon affaire,…. Non bien sûr, au revoir !

Thomas remit le combiné en place et voulut reprendre sa belle dans les bras mais Parker ne le voyait pas du tout de cet œil, elle le regarda et demanda : Qu’est-ce qu’il te voulait ?
T : Rien d’important, aller, rendors-toi !
MP : Pas avant de savoir ce qui se passe.
T : Je te le dirai demain, allez rendors-toi !

Parker vint se blottir et s’endormir dans les bras de Thomas en pensant qu’elle saurait bientôt le fin mot de cette histoire.

7h00 sonna. Parker se leva et pris sa douche. Quand elle sortit de la salle de bain, elle se dirigea automatiquement vers la cuisine dont une bonne odeur s’échappait. Elle s’approcha, observant Thomas en train de préparer des toasts. Elle repensa à tous ces instants magnifiques mais elle se remémora aussi la tentative de meurtre, ce qui la plongea dans un état un peu comateux. Thomas, qui essayait de l’appeler, la regarda et cria : Parker !

Elle sortit de sa psychose et regarda Thomas comme si celui-ci était un fantôme.

T : Ca ne va pas ?
MP : Si, si, je réfléchissais
T : A quoi ?
MP : A nous deux !
T : Hum !! Allez, viens déjeuner.
MP : J’arrive.

Ils prirent tous deux le petit déjeuner, l’un en face de l’autre. Une heure passa et il fut temps pour chacun des deux de rejoindre son travail respectif. Parker aux « assurances » et Thomas sur un nouveau chantier.

[ Notes de la partie 1 : "@ suivre ! J'espère que ça vous a plu ! je sais que c'est tres court mais ce n'est que le debut !!! Merci à Pauline pour sa relecture !! Laissez des reviews pour dire si ça vous a plu ou non !! thanks Shouka ]

Chapitre II : Un début de journée psychoépuisante

Le Centre

Parker venait d’arriver dans son bureau. A peine assise, la porte s’ouvrit sur un Lyle hors de lui

L : Parker, soeurette chérie, cette fois tu dépasses les bornes.

Parker, qui ne comprenait pas ce que son frère lui reprochait, resta muette quelques instants, sous le choc, puis se reprit et le questionna, furieuse.

MP : Lyle, frérot de …. ! De quoi tu parles ? Qu’est-ce que j’ai encore fait pour que le Centre…
Lyle, lui coupant la parole : Le Centre n’a rien à voir là-dedans ! Un charpentier, un charpentier, ma sœur est amoureuse d’un simple charpentier ! Tu n’as rien trouvé de mieux ? Tu me déçois, je voyais bien une fin avec le petit génie, pas avec “Thomamounet’’. On se croirait dans une mauvaise série TV comme quand Joey sortait avec Pacey dans Dawson ! (là c'est vrai, ils poussaient mémé dans les orties. Si Joey sort pas avec Dawson, alors où est l'intérêt de la série ? ... dit la Syd qui regarde presque jamais Dawson - si, j'ai regardé le jour où ma mère a fait un blocage respiratoire cet été, c'était avant "Cat's Eyes" que je n'ai pas vu - et sait donc tout juste qui sont les personnages dont on parle là)
MP : Premièrement, on n’est pas dans une série là, mais dans la réalité ! Deuxièmement, ce n’est pas “Thomamounet’’ mais Thomas et pour finir jamais je ne sortirai avec Dawson, euh… Jarod…
Lyle : Je faisais une comparaison avec cette série, c’est tout !
MP : De toute façon cette série n’est pas un bon choix car à la fin, Joey finit bien avec Pacey. (Elle finit pas avec un autre type ? un écrivain avec qui elle vit ? Et puis, Parker semble connaisseuse… lol) (bah voyons Pauline, non a la fin elle casse avec et finit avec Pacey même que dans le dernier épisode elle regarde un épisode de la série que Dawson a faite !) (ah bon ??? je croyais qu'elle était avec Dawson ? LOLLL ... dit la Syd qui a vu de très anciens épisodes cet été LOLLLL - 2 en tout je crois et un jadis, pas en entier les 3 en prime LOLLL)
Lyle : Peu importe tu…
MP : Tu quoi ? Tu te comportes en grand frère, c’est nouveau ça ? Ca vient de sortir, non mais pour qui te prends-tu ? Ce que j’éprouve pour Tommy…
Lyle : N’est pas de l’amour.
MP : Mais qu’est-ce que tu en sais ? Je suis avec Thomas parce que je l’ai …

Elle ne put pas finir sa phrase car le téléphone sonna. Elle décrocha, encore de plus mauvaise humeur.

MP : QUOI ?
J : Merci pour mes tympans !
MP : Qu’est-ce que tu veux toi ?
J : Je te sens énervée, c’est parce que j’ai appelé cette nuit et que j’ai voulu parler à Thomas et non à toi ?
MP : Peut-être un peu de ça, mais ça ne me dit pas ce que tu veux !
J : Bien, bien… Je voulais juste te prévenir que les surprises les plus inattendues sont les plus belles.
MP : Quelle surprise ?
J : Je pense que…
MP : Il faut un cerveau pour penser. (Non mais comment elle parle à l’homme de sa vie ?) (Parker, ta gu... Nan, mais ferme-là, il est foutu de se tirer une balle après !!)
J : Exacte ! Je suis dehors et toi tu es dedans. (Et paf, un partout, la balle au Centre ! Quel jeu de mots… lol)
MP entre ses dents : Quelle est cette surprise, qu’on en finisse !
J : Parker, la patience est une vertu !
MP : ….
J : Parker ? Ca va ?
MP : Je te préviens que je déteste les surprises.
J : Mais tu ne me détestes pas ! (Oh ! Bien dit !)

Sur ce, il raccrocha. Parker resta dans l’incertitude un moment, elle ne comprenait plus rien, Lyle lui pique une crise à propos de Tommy, Jarod lui réserve encore quelque chose… Elle pensait, enfin, plutôt se disait que maintenant elle serait tranquille, les catastrophes avaient assez surgi comme ça : « je suis maudite » se répétait-elle. Quelqu’un frappa à sa porte et se permit d’entrer sans attendre qu’elle en donne la permission. C’était Sydney, un petit sourire aux lèvres, qui la regardait.

MP : Quoi ?
S : Rien, je réfléchissais à une situation, disons… intéressante !
MP : Quelle situation ?
S : Deux personnes qui…

Sydney ne put poursuivre son explication car Broots arriva, essoufflé et plus apeuré qu’une souris en face d’un chat !

Broots : Mlle Parker, Mlle Parker !
MP : Du calme Broots ! Que se passe-t-il ?
Broots : Il est là… le… il est là…
MP : Du calme j’a dit, qui est là ?
Broots : Le Caméléon, Jarod, il travaille avec un Tho…
MP : Laissez moi deviner… Thomas ?
Broots : Vous étiez au courant ?
MP : Idiot, vous deux vous me préparez une équipe et vous cerclez le bâtiment ! Moi je m’occupe du reste ! Je suis vraiment maudite !

Elle ne s’occupa plus de rien et se dirigea d’un pas pressé vers les ascenseurs. Elle attendait que celui-ci soit arrivé à son étage. Les portes s’ouvrirent, elle monta dedans. Elle allait appuyer sur le bouton menant au hall quand Lyle apparut et la devança. Ils se regardèrent dans les yeux.

Lyle : Ainsi tu es au courant ?
MP : A ce que je vois, toi aussi !
L : A la différence que je pourrai agir et pas toi !
MP : Faux, il y a bon nombre de civils, de plus, il y a une équipe du SAMU car Thomas prend toujours ses précautions quand il s’agit de gros chantiers. Ce qui veut dire qu’il y a risque de blessés donc… tu es toi aussi dans l’incapacité de sortir ton arme !
L : Hum mais tu peux faire quelque chose…
MP : Je ne sais pas encore mais je pense que je peux m’arranger.
L : On verra bien sur place !

Mlle Parker ne dit mot. Elle réfléchissait au moyen d’arranger cette galère ! Mais qu’est-ce que Thomas et Jarod pouvaient bien fourrer tous les deux ? En plus elle ne pensait pas que Tommy allait réellement travailler au Centre, c’était une idée qu’il avait évoquée la veille. Elle réfléchit puis se tourna vers Lyle.

MP : C’est un de tes sales coups !
L : De quoi ?
MP : Thomas, ici, au Centre !
L : Oui je l’avoue mais la présence du petit génie est comme qui dirait… inattendue ! Mais sache que si j’avais su que c’était la solution je l’aurais expérimentée beaucoup plus tôt.

L’ascenseur arriva à destination.

@ suivre ...

[ Merci pour les reviews que vous avez laissé et j'espère que cette suite vous plaira ! Merci également a Pauline pour avoir relu et commenté cette fic. Dédicace à cristelle et my sister ! Thanks ! BY shouka ]

Chapitre 3 : Quand le chat n'est pas là les souris dansent !! Mais qui est le chat ??

L’ascenseur arriva à destination. Ils marchèrent tous deux en direction du hall où on leur avait indiqué la présence de Thomas et de Jarod.
Lorsque Parker fut dans le hall elle fut stupéfaite de voir le petit génie, un café à la main, en train de parler avec Thomas comme s’il n’y avait rien de plus normal. Elle se dirigea vers eux, d’un pas décidé, suivie de Lyle.

MP : Bonjour.
T : Ma chérie, mon nouveau chantier te plaît ?
Parker fit un faible mais tendre sourire à Thomas et lança un regard foudroyant à Jarod !
T : Je suis désolé Parker mais Jarod et moi avons du travail.
MP : Hum… Jarod et toi ?
T : Eh oui, Jarod est un apprenti qui apprend vite et bien !
MP : Je n’en doute pas, je n’en doute pas, d’ailleurs j’aimerais avoir une conversation privée avec lui.

Thomas fit mine de s’en aller. Il se retourna en cours de route et dit : Jarod tu me rejoins dans 5 minutes okay !

J : Si je suis toujours en vie, je ne pense pas qu’il y ait de problème !
Thomas eut l’air surpris : Parker ?
MP se força à rire : De l’humour, Jarod est un grand comique !

Thomas reprit sa route et disparut derrière un couloir.

MP : Bien, qu’est-ce que tu cherches ? Si tu voulais te faire capturer tu n’avais qu’à m’envoyer un mail !
Jarod, d’un air détendu : Je travaille, c’est interdit ?
MP : Ca t’amuse ?
J : Non, ce travail n’a rien d’amusant, crois moi ! (mais quel gamin !) (pourquoi ? bah nan, il blague un peu c'est tout, rien de grave. *bave*)

Parker le fusilla du regard si intensément que pour la première fois de sa vie Jarod ressentit comme une légère inquiétude. (hé hé, arrête Parker, tu vas le faire fuir ! Ce sera de ta faute après !)

J : Je sauve et aide des inconnus tous les jours mais je ne t’ai jamais aidée alors que nous sommes…amis… alliés plutôt !
MP : Moi ton amie ? Ton alliée ? Alors là c’est officiel : tu n’es pas un génie !
L : Exact, un génie ne se jetterait pas dans la gueule du loup comme tu viens de le faire. Tu es à la merci du Centre !
J : En fait non ! Avec mon QI de moineau (LOLLLLLLLLLLL), j’ai conçu un petit quelque chose au cas où le Centre voudrait faire une regrettable erreur envers ma personne.
MP : Des précautions de quel genre ?
J : Du genre trinitrotoluène alias TNT ! (yyyyeeeaaahhh ça c'est bien joué Jay !)
L : Tu nous prends pour qui Jarod ? On sait très bien que jamais tu ne feras exploser le Centre, il y a énormément de civils ! (et d’infos précieuses sur sa famille aussi !)
J : Qui a dit que je ferais exploser le Centre entièrement ?
MP : Tu bluffes !
J : Très bien, une démonstration ?

Mlle Parker et Lyle se regardèrent et échangèrent un regard !

MP : Et bien si tu souhaites avoir d’autres morts sur la conscience, à toi l’honneur !

Jarod lui lança un regard qui en disait long sur ce qu’il pensait, puis il sortit une sorte de petite télécommande pas plus grande qu’un portable, où plusieurs boutons étaient alignés.

J : Choisis un bouton au hasard !

Mlle Parker le regarda incrédule puis désigna un bouton au hasard. Jarod appuya dessus. Il attendirent quelques minutes mais rien ne se passa !

Lyle le regarda avec un sourire de vainqueur !

L : On attend quoi ? La fin du monde ?

A peine Lyle eut-il prononcé ses mots qu’un groupe d’agents fonça droit sur eux. Jarod attrapa Parker par la taille afin qu’elle ne se fasse pas happer et écraser par la foule. (Oh mon hérooos !)

MP : Lâche moi ou je te promets que tu n’auras pas assez de toute ta vie pour le regretter !
J : Ne promets pas quelque chose que tu puisses toi-même regretter et puis tu n’es pas bien là ?
MP : J’ai jamais été aussi mal !

Jarod la regarda droit dans les yeux et il n’eut pas besoin de dire une parole pour qu’elle comprenne le sens de ce regard. Parker se sentit un peu perdue et ne savait vraiment plus quoi penser. D’habitude, les mots, les regards ou les insinuations du petit génie lui faisaient un effet plutôt limité alors que ce regard là l’avait profondément émue. C’est vrai qu’elle était terriblement bien dans les bras de Tommy mais dans ceux de Jarod c’était comme si elle était dans un état d’euphorie totale ! Elle se mit à imaginer le goût de ses lèvres sur les siennes et à avoir des pensées sur lui très peu catholiques (hummmmm hummmmmm Je vois très bien quel genre d'histoires NC 17 perso ;-) ) quand elle fut interrompue par l’arrivée plus que fracassante de Thomas.

T : Vous avez ressenti cette secousse ?
MP : Non, pas vraiment.
T : Hum, dis donc, juste comme ça… 5 minutes ce n’est pas une demi-heure !
MP : Tu sais comment c’est, on parle de choses et d’autres et on ne voit pas le temps passer…
T : Bon vous parlerez plus tard car sans Jarod on va être en retard sur le chantier et je ne veux passer mes soirées à rattraper le temps perdu !
J : Bien bien, je suis tout à toi !

Thomas et Jarod s’éclipsèrent laissant Mlle Parker en la compagnie de Lyle.

L : Il me le paiera !
MP : Je ne te le fais pas dire !

Mlle Parker reprit le chemin inverse afin de retourner dans son bureau. Elle y trouva Broots ainsi que Sydney.

S : Mlle Parker, ce que m’a dit Broots est-il vrai ?
MP : Hum, oui.
S : Mais pourquoi n’est-il pas encore …
MP : Encore sous les barreaux ? Parce que Monsieur s’est amusé à truffer le Centre de TNT et a déjà fait sauter je ne sais quel étage !
S : C’était lui ? Ce n’est pas possible Jarod n’a pas pu, c’est impossible ! En tout cas si c’est lui, il a bien eu de la chance car personne n’a été blessé !
MP : De la chance ! Sûrement pas ! Personne ne peut avoir de chance à partir du moment où il connaît le Centre !!! Il sait ce qu’il fait, je ne peux pas intervenir car il y a Thomas et les autres et non plus à cause du trop grand nombre de témoins !
S : C’est un génie.
MP : Un génie ? Et bien il est grand temps qu’il exerce mes vœux alors !
S : Et quels sont ils ? Le voir enfermé ? Partir loin d’ici ?
MP : Et bien Freud, quelle perspicacité !
S : Hum, je vous laisse vaquer à vos occupations, venez Broots !

Ils sortirent du bureau, laissant Mlle Parker seule. Celle-ci prit un dossier et se mit à le consulter. Les heures défilèrent si vite qu’elle n’eut pas le temps de finir d’étudier le dossier entièrement. Elle enfila son manteau et partit en direction de son domicile.
Elle rentra chez elle, une fois à l’intérieur, elle exécuta son petit rituel, poser les clefs, enlever son manteau et ranger son arme.

P : Tommy, tu es là ?

Comme la veille, elle entendit des éclats de rire. Oh non pensa t’elle : « Lyle le retour ! ». Elle décida que cette fois elle le tuerait de ses mains s’ils touchaient de nouveau à sa bouteille de whisky ! Elle entra dans la cuisine et fut à moitié surprise de trouver Jarod, un sourire aux lèvres, qui était probablement en train de discuter avec Thomas qui lui aussi souriait !

T : Enfin rentrée, je commençais à m’inquiéter !
MP : Tout va bien, juste de la paperasserie !
J : Si tu as besoin d’aide fais-moi signe !
MP : Ne m’tente pas !

Le téléphone sonna, Thomas se dirigea vers celui-ci qui se trouvait dans le salon.
J : Je t’ai causé tant de soucis que ça ?
MP : Plus que tu ne peux l’imaginer.
J : Tant mieux.

Mlle Parker n’eut pas le temps de lui lancer une pique bien méritée que Thomas revenait, l’air irrité !

T : Ils veulent que je revienne pour remplir une fiche.
J : Je viens avec toi !
T : Non, reste ici, j’ai pas besoin d’aide c’est juste une feuille ou quelque chose à remplir sur place, j’en ai pour 15 minutes tout au plus !
J : C’est que je peux pas rester ici, enfin c’est que …
T : Si, je ne vois pas où est le problème, Parker ? (LLOOOLLLLLL aucun mon p'tit Tommy !! LOLL)

Mlle Parker ne dit rien.

T : Parker ?
MP avec un soupir qui en disait long : C’est bon !

[ @suivre... La fin le prochain chapitre !!! Merci a andy56 pour ses comments ! Bisous et merci pour les reviews !! by shouka ]

Chapitre 4 : Le choix

MP avec un soupir : C’est bon !

Thomas disparut en un rien de temps. Mlle Parker regarda Jarod et se dit que Thomas avait intérêt à revenir vite s’il voulait récupérer son apprenti en un seul morceau !

Jarod l’observa en souriant puis lui dit : C’est la première fois que je reste ici à ta demande et que je ne rentre pas par effraction !
MP : Faux, ce n’est pas à ma demande mais à celle de Thomas ! (oula, la fin shipper a l’air mal barrée… lol) (bah c'est mal connaître Shouka ;-) LOLLLL Toutes ses fins sont shippeuses jusqu'à présent lol)
J : A ce que je sache, tu ne lui as pas opposé une sérieuse résistance !
MP : …
J : « Qui ne dit mot consent. »
MP : La parole est d’argent mais le silence est d’or !
Jarod, en rigolant : C’est le contraire, tu ne connais pas tes classiques ! (bah non, c’est ma MP qui a raison, c’est toi qui connaît pas Jarod !!)
MP : Tu sais Jarod, Dieu t’a peut être donné la parole (pas con du tout cette allusion mythologique, ayé elle cause en parabole aussi, la Andy !! rhôô minceeuuuhhh !!) mais c’est pas pour ça que tu dois l’ouvrir ! (wouaw ! Cassé… oooooh Cassé… Nolwenn… tu connais ça Jarod ??? :-) )
J : Tu m’as l’air tendue… (noon, pas du tout !)
MP : J’aimerais bien savoir pourquoi tu es là ?
J : Pour affaire. Et pour toi fut-il tenté de rajouter !
MP : Bien sûr tu restes avec moi ici pour affaire ! Tu me prends pour qui Jarod ?
J : Bien, je vois que tu es ouverte à la conversation alors je vais en profiter !
MP : Allons-y.
J : Où est ma famille ?
MP : Tu recommences avec ça, je te l’ai déjà dit une centaine de fois, je n’en sais rien !
J : Tu en es sûre ?
MP : Plus sûre en tout cas que le fait d’être capable te garder en vie !
J : Alors vas-y, tue moi, qu’est-ce que tu attends ? Dis moi ? Me voir enfermé au Centre c’est ce que tu veux ?
MP : j’en… j’en sais rien !

Jarod se rapprocha de Parker.

J : De quoi as-tu si peur au point qu’il t’ai fallu construire ce masque !
MP : Je n’ai peur de rien !
J : Ah, oui j’oubliais, je m’adresse à la grande Mlle Parker, celle qui n’a peur de rien et qui ne ressent rien !

En prononçant ces mots il s’était rapproché (oh, ooohh, oooohhhhh....), ils étaient si proches que Parker pouvait sentir le souffle chaud et doux de Jarod contre sa joue. Jarod se baissa lentement et légèrement, le tout en la regardant droit dans les yeux. Ils s’embrassèrent !

T : Je suis de…

Jarod et Parker se séparèrent sur le champs. Parker regarda Thomas, celui-ci semblait effondré, ses yeux reflétaient une telle tristesse et une telle colère que Parker se demanda s’il n’allait pas frapper Jarod. Le pire dans cette histoire, c’était qu’elle ne le regrettait même pas et qu’au contraire elle avait pris un plaisir fou dans les bras de Jarod. (8-/ le pire c'est que toute shippeuse que je suis, j'suis triste pour Thomas qd même, j'imagine sa tête, le pôôôvreeeeuuuhhhh qd même !)

MP : Thomas je…
T : Ne dis rien, je crois que je n’ai plus rien à faire ici !
J : Thomas laisse moi t’expliquer, viens s’il te plait.

Thomas n’écoutait plus, il fit mine de s’en aller. Jarod le rattrapa. Parker était installée sur le canapé, à se maudire. Elle n’entendait pas les deux hommes parler mais elle priait pour qu’ils ne se tapent pas dessus !
Au bout de quelques instants, les deux hommes apparurent. En les regardant elle ne sut dire lequel des deux était le plus tendu. Les deux hommes se regardèrent et Thomas prit la parole.

T : Parker, tu dois faire un choix, je ne peux pas et ne veux pas vivre dans l’incertitude que je ne fais pas ton bonheur ! Alors fais un choix : moi ou Jarod !

Mlle Parker les regarda un à un et dit d’un ton cassant : Je ne choisis pas quelqu’un comme une paire de chaussure !

T : Mais tu nous a essayés tous les deux comme tels alors maintenant assume et choisis ! Ne choisis pas en fonction de nous mais de toi, qui te rendra la plus heureuse, avec qui as-tu envie de faire ta vie ?

Parker regarda longuement dans le vide puis fit un pas en direction de Thomas. Elle vit alors dans les yeux de Jarod une telle tristesse qu’elle ne put le supporter ! Elle se jeta littéralement dans les bras de celui-ci.

T : Je n’ai plus rien à faire ici, soyeux heureux !
J : merci.

Thomas disparut tout de suite après ça, il avait le cœur brisé mais il était à la fois heureux car il savait que Parker serait comblée.

Quant à Parker et Jarod, ils s’embrassaient avec tant de passion qu’une centaine de Raines aurait pu passer à coté d’eux qu’ils ne s’en seraient pas rendu compte. (mdr, j’suis sûre que si, il est tellement atroce !)

J : tu en as mis du temps à voir tes sentiments ! Allez viens maintenant.

Il la prit dans ses bras et ils disparurent derrière la porte de la chambre ! Quant à la suite des évènements, qui vivra saura !

[ Merci à Pauline (Andy56) pour sa relecture ainsi que ses comments ! Bisous ma chirie
Dédicace à Cristelle (Lorna) : Bisou ma puce !!
Je vous remercie tous pour vos reviews et à la prochaine fic !!!
zoubis
shouka ]

Fin

Pour m'envoyer vos fanfics (tous formats compatibles avec les logiciels courants de Windows - même Xp, pas de pb), écrivez-moi : delphinevb@chez.com . En général, je m'efforce de lire très vite les textes qu'on m'envoie, même si je ne les publie pas aussitôt (cause forfait, et puis travail aussi ;-) ...), afin de proposer un petit commentaire (un auteur attend généralement des feedbacks, j'en sais qqch...).

Sydnette la Psy Caméléonne.

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