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Saison 9 virtuelle - épisode 3 (partie unique) Vacances

Auteur : G_noun72 ( g_noun72@yahoo.fr )

Où le situer : Il se situe après la saison 8, mais sans tenir compte de tous ce qu'on sait à présent sur les personnages.

Genre : Action, Mythologie, Aventure, Romance

Personnages : Les persos évoqués (Jack O'Neill, Sam Carter, Daniel, Teal'c, Hammond, Thor, ...) sont les personnages habituels de Stargate SG-1, cf disclaimers.

Disclaimers : Bien entendu ni l'auteur de la fic ni l'auteur de ces pages web ne touchent un sou pour cette fic et cette publication... Les personnages de Stargate SG-1 ne nous appartiennent (malheureusement) pas, ils sont à leurs créateurs (l'adaptation pour la TV est de Brad Wright et Jonathan Glassner), et les droits aux chaînes possédant la série.

Résumé : Bah c dans la note !

Notes : Note de l'auteur, mise en place de la fic : "Divinité utilisée : Çiva (Hindouisme) : Destructeur de l'univers."

Notes de Syd : Vu que je commence vaguement à comprendre, je poursuis LOLL La commentatrice folle est toujours là.

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L'équipe SG-1 au complet a été convoquée dans le bureau du Général Hammond. Ce dernier vient de leur annoncer qu'ils vont bénéficier de vacances, afin qu'ils récupèrent après leur face à face avec la nouvelle alliance.
O'NEILL : "Une semaine ?"
HAMMOND : "exactement. Et cette fois-ci, vous ne serez pas dérangé, sauf dans un cas vraiment grave bien sûr. Allez, bonnes vacances à tous !"
Le Général Hammond sorti de la salle de briefing, laissant l'équipe SG-1 dans un état de surprise.
DANIEL : "Euh… Vous pensez faire quoi pendant cette semaine ?"
O'NEILL (avec un grand sourire) : "Rien ! Ça c'est un truc génial !"
(ah bah ça je confirme ! ;-) )
CARTER : "Je ne sais pas. Je crois que je vais rester là pour…"
O'NEILL : "Quoi ! Et Peter ?"
CARTER (soupir) : "Il a beaucoup de travail et il ne rentre que dans trois semaines."
TEAL'C : "Moi je pense que je vais aller voir mon fils. Mais j'aimerais bien en profiter pour voir le fameux triangle en ferrailles."
O'NEILL : "Le quoi ?"
TEAL'C : "Il se situe dans une grande ville. Cette chose étrange possède 4 pattes et devient plus mince en haut. D'après ce livre, c'est la destination la plus appréciée de la Torri."
CARTER (regardant le livre) : "La Tour Eiffel !"
O'NEILL : "Vous voulez aller à Paris ?"
DANIEL : "Si personne n'a rien de prévu, on pourrait y aller tous les quatre ! On peut y aller pendant un jour ou deux !"
CARTER : "Moi ça me va !"
TEAL'C : "Idem ici !"
O'NEILL : "Eh oh ! C'est très joli tout ça mais vous oubliez un détail : Paris ne se situe ni aux Etats-Unis, ni en Russie ! Teal'c ne peut pas se balader dans des pays qui ignorent son existence !"
CARTER : "On peut aller voir le Général Hammond, il aura peut-être une solution !"
O'NEILL : "On peut toujours essayer ! Venez Carter."
DANIEL : "Et pourquoi pas nous aussi ?"
O'NEILL : "Parce que vous n'appartenez pas au corps militaire, tout simplement. Et puis on a pas besoin d'être un grand nombre."

(Dans le bureau du Général Hammond : Hammond, Carter et O'neill)
HAMMOND : "Paris ? Les Etats-Unis ne sont pas assez grands ?"
O'NEILL : "Teal'c a l'air fasciné par la Tour Eiffel."
HAMMOND : "Je comprends bien mais imaginez qu'il vous arrive quelque chose là-bas : Vous voyez notre Président annoncer au Président français qu'il a un allien sur son territoire, venu voir la Tour Eiffel ! Ça serait une véritable catastrophe ! Vous ne vous en rendez pas compte !"
(bah ça pourrait être très très drôle !! ;-) )
O'NEILL : "Pourquoi se passerait t-il quelque chose ?"
CARTER : "On fera très attention mon Général."
O'NEILL : "Aller… pour Teal'c !"
HAMMOND : "…Si cela ne dépendait que de moi, je vous laisserai y aller, bien que je pense que c'est de la folie ! Mais je ne peux rien décider tout seul… Il faut que j'en parle avec Président. Mais ne vous faites pas de fausses idées, je ne garantis rien !"
CARTER : "Merci mon Général."

(un peu plus tard)
HAMMOND (soupir) : "Le Président a dit qu'il n'y avait pas de raison pour que Teal'c ne visite pas d'autres pays, si cela restait discret. Vous pouvez donc y aller pendant deux jours. Mais je vous jure que si…"
O'NEILL : "George, vous êtes mon Général préféré ! (il ouvre la porte) Teal'c, faites votre valise, on part dans 30 minutes !"
HAMMOND : "Jack, attendez. Prenez ce téléphone avec vous : il est directement relié sur une ligne sécurisée de la Maison Blanche (petit sourire d'O'neill). Appelez si vous avez le moindre problème, mais ne jouez pas avec !"
O'NEILL : "Même pas un petit peu ?"
(MDRRR)
HAMMOND : "Jack !"
O'NEILL (soupir) : "Bien mon Général."
HAMMOND : "Vous prenez l'avion demain matin à 8 heures. Vous arriverez à Paris vers 14 heures."
(je crois qu'il y a 6 heures de décalages) (c bon, c ça, ils sont sur la côte Est)

(Le lendemain, dans l'avion : O'neill et Daniel sont côte à côte et Carter et Teal'c sont juste derrière eux)
O'NEILL (se retournant vers Teal'c) : "Teal'c, ça va, pas de problèmes ?"
TEAL'C : "Aucun O'neill. (à Carter) Les Jaffa devraient copier ce genre de vaisseaux, c'est très confortable !"
CARTER : "A vrai dire ce n'est pas un vaisseau. Il ne possède pas d'armes. On appelle ça un avion. Et contre n'importe quels vaisseaux, cet avion n'a aucune chance de faire le poids. De plus, il arrive assez fréquemment (par rapport aux vaisseaux) qu'ils s'écrasent à cause de défaillances."
(Levé de sourcil si propre à Teal'c)
CARTER (regardant Teal'c) : "Teal'c, je n'ai pas dit qu'il allait s'écraser !"


(devant)
O'NEILL : "Daniel, qu'est-ce que vous regardez ?"
DANIEL : "Cette jolie hôtesse là-bas, vous la voyez, celle qui a…"
O'NEILL : "Avec les cheveux blonds ?"
DANIEL : "Non, la Rousse."
CARTER (s'approchant d'eux) "De quoi vous parlez ?"
O'NEILL : "Des hôtesses. On cherche laquelle est la plus jolie."
CARTER (dépitée, et peut-être aussi un peu jalouse) : "C'est pas vrai !"
(LOLLL Il n'a pas dit s'il la préférait à toi, ma p'tite LOLL)
TEAL'C : "Moi je préfère la blonde."
CARTER : "Teal'c !"
TEAL'C : "Quoi ?"
CARTER : "Et que dirait Shannah si elle entendait ça ?"
O'NEILL : "Mais comment voulez-vous qu'elle le sache ? Et puis n'en faites pas toute une histoire, vous savez bien que c'est vous la plus jolie !
(sourire)" (vouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii :-))))))))))) )
Face à cette déclaration, Sam ne savait plus où se mettre, et se sentait commencer à rougir. Elle finit par répondre.
CARTER : "Ça… Je le savais déjà !"
HAUT-PARLEUR : "Nous allons atterrir dans 10 minutes. Veuillez rejoindre vos places et attacher vos ceintures."
DANIEL : "C'est pas trop tôt !"


A la descente de l'avion, ils durent passer par un contrôle dans l'aéroport.
O'NEILL : "Teal'c, vous passez entre Daniel et moi."
TEAL'C : "Bien O'neill."
Le contrôleur fouilla Daniel.
CONTROLEUR : "Vous pouvez passer."
Le contrôleur commença à fouiller Teal'c.
TEAL'C : "O'neill, c'est normal ça ?"
O'NEILL : "Oui Teal'c, c'est obligatoire. Laissez vous faire, tout se passera bien. (Au contrôleur, qui s'était arrêter, surpris de la question de Teal'c) C'est la première fois qu'il prend l'avion !"
CONTROLEUR : "Enlevez votre chapeau s'il vous plaît."
Teal'c ne bougea pas.
CONTROLEUR : "Votre chapeau ! Enlevez votre chapeau !"
Teal'c se tourna vers O'neill.
O'NEILL : "Allez-y, qu'est-ce que vous attendez !"
CONTROLEUR (en voyant le symbole d'Apophis sur le front de Teal'c) : "Mais qu'est-ce que c'est que ça !"
O'NEILL : "Quoi, vous ne connaissez pas ? Ça fait fureur aux Etats-Unis !"
CONTROLEUR : "Et c'est quoi exactement ?"
O'NEILL : "C'est… C'est un mélange entre le tatouage et le piercing. Ça s'appelle le "persitatou"
CONTROLEUR : "Le Persitatou ?"
O'NEILL : "Si si, je vous assure !"
CONTROLEUR : "Et lui, il ne sait pas parler ?"
O'NEILL : "Vous l'intimidez énormément !"
CONTROLEUR (à Teal'c) : "Bon, vous pouvez passer."
(;-) rudement bien joué !!)


Une fois tout le monde passé, ils purent enfin quitter l'aéroport.
O'NEILL : "J'ai faim !"
DANIEL : "A vrai dire, moi aussi ! Le décalage horaire est quand même énorme !"
(surtout depuis qu'il n'y a plus le Concorde !)
CARTER : "On a qu'à chercher un restaurant ou un fast-food ."
O'NEILL : "Moi je vote pour le resto : Le Général Hammond m'a donné une carte de paiement venant tout droit de la Maison Blanche. Il paraît que le Président veut que Teal'c profite du mieux qu'il pourra de son voyage."
CARTER : "C'est vrai, vu sous cet angle !"
DANIEL : "Si vous voulez, j'en connais un sur les Champs-Elysées."
(ben 's'embête pô dis donc !!)
O'NEILL : "Et bien on vous suit !"
DANIEL : "Taxi !"

Après une heure de trajet dans les bouchons, ils arrivèrent enfin au restaurent choisi par Daniel. Ils entrèrent, choisir une table donnant une vue sur les Champs-Elysées et commandèrent leur repas.
(Dans le restaurant)
O'NEILL : "Vous aviez raison Daniel, ch'est délicieux !"
DANIEL : "Jack, vous pouvez me dire ce que vous avez pris, (faisant une mine de dégoût) ça m'a l'air…"
O'NEILL : "Quoi ? C'est délicieux ! C'est du hareng frit avec des flageolets
(merci ma ch'tite Jamesie-cass, si tu ne m'avais pas appelé, je serais resté sur mon chou-fleur !) et de la sauce tomate !" (Ceci est une petite invention de ma part : pas d'inquiétude, on ne mange pas ça sur les Champs-Elysées !!! ni autre part en France d'ailleurs !) (bah ça doit être tellement... heu, nan, même pour rire c pô possible !! lolll)
CARTER : "C'est bizarre, j'ai pas vu ça sur la carte !"
DANIEL : "Moi non plus !"
O'NEILL : "Bah, avec Teal'c, y'avait rien qui nous branchait alors on a prit deux plats différents et on les a mélangé."
(MDRRRRRRRRR)
DANIEL : "Teal'c, vous aimez ça ?"
TEAL'C (grand sourire) : "C'est très bon !"
O'NEILL (tendant une fourchette remplie de cette affreuse mixture) : "Sam, vous voulez goûter ?"
CARTER (écœurée) : "Euh… non-merci, sans façon !"
DANIEL (dégoûté) : "La prochaine fois, on va dans un fast-food !"
(fais gaffe, et s'ils nous font une purée frites-coca-poisson frit... LOL 'pis c beurk les fast food, si, si)


(au moment du dessert)
CARTER : "on va directement à la Tour Eiffel après manger ?"
DANIEL : "On est au pied, on peut y passer l'après-midi. Rien ne nous empêchera de se balader ailleurs demain !"
CARTER : "C'est si agréable d'être loin de la porte des étoiles pendant quelques temps !"
O'NEILL : "Apparemment pas tant que ça puisque vous y pensez encore !"
SERVEUSE : "Voici vos glaces. Alors deux maxi coupes chocolat, mandarine, fruits rouges, pêche, menthe, citron, noix de coco et pamplemousse (elle en pose une devant O'neill et l'autre devant Teal'c), et une coupe ananas et mangue (qu'elle pose devant Daniel)"
DANIEL : "Jack, vous allez manger tout ça !"
O'NEILL : "Non Daniel, avec Sam on a pris une glace pour deux
(LOL ;-) ). Je ne suis pas un goinfre quand même ! (se tournant vers Teal'c qui a pris la même chose) Je ne disais pas ça pour vous !"
Après avoir fini sa glace, O'neill se leva.
O'NEILL : "Bon, je vais payer."
CARTER : "Attendez, je viens avec vous."
Lorsque Daniel et Teal'c eurent fini les leurs, ils sortirent dehors et attendirent que Sam et Jack viennent les rejoindre.
DANIEL : "Alors Teal'c, comment trouvez-vous Paris ?"
TEAL'C : "A première vue, cela m'a l'air assez sympathique. Même si…"
O'NEILL (à Sam) : "Non mais pour qui vous vous prenez ?"
Sam et Jack venaient de sortir.
CARTER : "Pour quelqu'un de plus intelligent que vous en tout cas ! Non mais vous vous êtes regardé !"
DANIEL : "Calmez-vous Jack ! Sam, qu'est-ce qui se passe ?"
O'NEILL : "Ah ! Vous voyez !"
CARTER : "C'est vrai, je ne m'en étais jamais aperçu !"
DANIEL (ne comprenant rien et commençant à légèrement à s'énerver) : "De quoi ?"
O'NEILL : "Même sans rien savoir sur la cause de la dispute, vous me demandez toujours de me calmer et vous demandez toujours gentiment à Sam qu'est-ce qui se passe."
DANIEL : "Hein !"
O'NEILL : "Sam, vous me devez 40 dollars."
CARTER : "Non, vous m'en devez 5. Le fait que vous ayez été congelé pendant un moment n'annule en rien les 45 dollars que vous me devez pour ne pas avoir réussi à faire vos mots-croisés !"
O'NEILL : "Mais j'ai même pas eu le temps de les finir !"
CARTER : "OK. Je vous donne une semaine, pas plus."
O'NEILL : "D'accord !"
DANIEL : "Non mais franchement ça vous amuse ces gamineries !"
CARTER : "Vous voyez Daniel, c'est très désagréable quand on se situe au cœur du pari !"
O'NEILL : "Bon, on y va ?"


(pendant le chemin menant à la Tour Eiffel). Daniel et Sam marchent côte à côte.
DANIEL : "Dites-moi Sam, c'était quoi exactement, ce pari ?"
CARTER : "Jack…"
DANIEL : "Jack ?"
CARTER : "Il m'a dit que vu qu'on est en repos, je pouvais l'appeler Jack. Ça vous gène ?"
DANIEL : "Oh mais pas du tout ! J'ai trouvé ça surprenant, c'est tout ! Mais à prêt tout, ça va dans la logiques de choses."
(LOLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL)
CARTER : "Dans la logique des choses ?"
DANIEL : "Bah oui, tout le monde dit que vous vous rapprochez de plus en plus."
(voui voui voui !!)
CARTER : "… Ah … Ah bon ! Et qu'est-ce qui vous fait dire ça ?"
DANIEL : "Il vous appelle de plus en plus souvent Sam, les disputes sont devenues inexistantes, il vous laisse de plus en plus de responsabilités, et puis il est devenu plus… comment dire… plus câlin !"
(MDRRRRRRRRR !!! Lol, je vais pô m'en remettre !!!)
CARTER : "Plus câlin !"
DANIEL : "Non mais c'est vrai ! Il vous permet de vous reposer sur lui
(j'entends par-là le fait de "dormir", comme dans l'épisode où elle était pourchassée par un super guerrier ou celui où elle a failli se transformer en eau) (hummmmmmmmmmmm), chose qu'il n'a jamais fait avant !"
CARTER : "Daniel, je crois qu'il est vraiment temps pour vous de vous reposer !"
DANIEL : "Mais tout le monde le pense !"
CARTER : "Tout le monde ?"
DANIEL : "Oui… Enfin presque. J'espère que s'il y avait quelque chose entre vous, vous me le diriez !"
O'NEILL : "Qu'est-ce que vous avez à vous disputer ?"
CARTER (accélérant le pas pour se retrouver à côté de Teal'c) : "Rien du tout !"
O'NEILL : "Quoi, j'ai fait quelque chose de mal ?"
DANIEL : "Non, rien du tout."
O'NEILL : "C'est bizarre, j'aurais parié que l'atmosphère était plus détendue que ça il y a encore quelques minutes !"
TEAL'C : "Arrivons-nous bientôt ?"
CARTER (sur un ton pas très commode) : "Teal'c, vous voyez bien qu'elle est en face de vous !"
TEAL'C : "Major Carter, aurais-je fais quelque chose qui vous aurez blessé ou contrarié ?"
CARTER (plus doucement) : "Rien. Je suis désolée de vous avoir parlé sur ce ton. Excusez-moi."


Après une dizaine de minutes de marche, ils arrivèrent enfin au pied de la Tour Eiffel.
HOMME DE LA SECURITE : "Il reste de la place dans l'ascenseur pour deux personnes."
O'NEILL : "Daniel, vous n'avez qu'à y aller avec Teal'c. Sam et moi nous prendrons le prochain."
(LOLLLLLLLLLLLL he he he he he C'est Daniel qui a raison. Et une holà pour l'auteur !!)
DANIEL : "D'accord."


Pendant que Daniel et Teal'c montaient doucement vers le haut (Bah oui, ils ne vont pas monter vers le bas !) de la Tour Eiffel, O'neill essaya de comprendre le brusque changement de comportement de Sam.
O'NEILL : "Sam, qu'est-ce qui se passe ?"
CARTER : "Comment ça ?"
O'NEILL : "C'est simple, d'un seul coup, vous êtes devenue songeuse, triste. Alors moi j'aimerais bien savoir pourquoi."
CARTER : "C'est rien."
O'NEILL : "Sam, je croyais qu'on était des amis !"
CARTER : "Mais je n'ai jamais dis le contraire !"
O'NEILL : "Bon… Si vous ne voulez pas en parler."
CARTER : "Vous allez me faire la tête ?"
O'NEILL : "Pas du tout ! Je respecte votre choix !"
L'atmosphère était devenu froide. Aucun des deux ne parlait. Jack tournait le dos à Sam, et regardait deux automobilistes s'insulter, sans comprendre pourquoi puisqu'il ne parlait pas un traître mot de français. Puis au bout d'un moment, Sam décida de rompre le silence.
CARTER : "Daniel m'a dit que tout le monde pensait qu'on se rapprochait."
O'NEILL : "Qui est-ce qui se rapproche ?"
CARTER : "Vous et moi."
O'NEILL : "Sam, laissez dire ! Tout ceci n'est qu'un mélange de jalousie et de peur !"
CARTER : "Comment ça ?"
O'NEILL : "Le Général Hammond pense prendre sa retraite dans peu de temps. Je suis un de ses successeurs possibles. Le chef d'Etat major m'a même dit que j'étais en tête de liste."
CARTER : "Vous, Général ?"
O'NEILL : "Quoi ? Vous trouvez ça impossible ?"
CARTER (souriant) : "Pas du tout ! Mais vous ne tournerez pas trop en rond dans votre bureau, entouré de diplomates ?"
O'NEILL : "Peut-être, mais ce serait une fin de carrière assez belle !"
A ces mots, Sam perdit son sourire.
O'NEILL (s'en apercevant) : "Eh ! J'ai pas dit que je m'arrêtais bientôt ! J'ai encore envie d'en embêter certains !"
CARTER : "Et ça, qu'est-ce que ça à voir avec moi ?"
O'NEILL : "Bah y'aura une place vaquante, pour diriger SG-1. Et certains gradés ont peur que vous soyez plus apte qu'eux à prendre cette place. Alors ils cherchent un moyen de vous écarter de la liste."
CARTER : "… Mais…Vous pensez que je pourrais avoir le potentiel ?"
O'NEILL : "J'en suis sûre à 200 %"
CARTER : "Merci…C'est très gentil…"
O'NEILL (petit sourire) : "Oh mais de rien ! En attendant, je pense qu'il vaut mieux pour votre tranquillité qu'on oublie "Jack" !"
CARTER : "En effet c'est préférable mon Colonel !"
(c pô malin, et en plus il raconte des andouilleries)
Un ascenseur arriva.

Au bout de quelques minutes, ils rejoignirent Daniel et Teal'c.
O'NEILL : "Alors Teal'c, vous êtes content, c'est ce que vous vouliez voir ?"
TEAL'C : "Non."
O'NEILL : "Comment ça non ?"
TEAL'C : "On ne voit rien. Sur ce papier est dit que l'on doit apercevoir des monuments importants et je ne voit rien. Et en sortant de l'appareil qui nous a monté ici, un homme m'a bousculé et ne s'est pas excusé, et puis…"
O'NEILL (scrutant désespérément autour de lui) : "On voit vraiment rien ?"
DANIEL : "C'est la pollution qui gâche la vue !"
O'NEILL (pointant son doigt dans une direction au hasard) : "Mais non regardez, on voit Notre-Dame !"
DANIEL : "Jack, Notre-Dame, c'est de l'autre côté !"
O'NEILL : "Bon d'accord, on voit rien ! Mais c'est pas de notre faute ! Bon aller, on descend, ça ne sert à rien de rester ici !"
CARTER : "Qu'est-ce qu'on va faire maintenant ?"
DANIEL (regardant sa montre) : "Il est déjà 18 heures, il serait temps de trouver quelque part où manger."
TEAL'C : "Sur ce papier, il y a marqué que le "Moulin Rouge" est absolument à voir."
CARTER : "Teal'c !"
O'NEILL : "Quoi ! C'est une très bonne idée ! Qu'est-ce que vous en pensez Daniel ?"
CARTER : "Daniel je vous en prie, pas vous !"
DANIEL : "C'est vrai que cet endroit ne représente pas la grande culture de la France… Mais je ne suis pas contre pour autant !" (sourire)
(tu m'étonnes ! Petit malin...)
CARTER : "Non mais je n'en reviens pas ! Mais ma parole, vous ne pensez qu'à ça !"
O'NEILL : "Aller Sam, laissez vous tenter !"
DANIEL : "Vous n'avez aucun complexe à avoir vous savez !"
CARTER : "(à Daniel) Comment ça ? (à tout le monde) On va faire un truc très simple : Vous allez à votre soirée et moi, je rentre à l'hôtel !"
Sam commençait déjà à s'éloigner.
O'NEILL : "Sam, revenez !"
Cette dernière ne se retourna pas et continua à marcher droit devant elle.
DANIEL : "Mais qu'est-ce qu'elle a à réagir comme ça ?"
O'NEILL : "Je sais pas. Mais on va quand même pas la laisser toute seule !"
TEAL'C : "Surtout que d'après cette carte, l'hôtel se situe dans la direction inverse d'où elle est partie."
DANIEL : "Alors on dit adieu à notre soirée au Moulin Rouge ?"
O'NEILL : "Daniel, si on a décidé de venir tous les quatre à Paris, ce n'est pas pour ce mettre chacun dans son coin !"
DANIEL : "Et à une contre trois, c'est elle qui gagne ?"
O'NEILL : "Mais qu'est-ce que vous avez contre elle Daniel ?"
DANIEL : "Mais rien ! Je trouve seulement injuste que…"
O'NEILL : "Bon aller, on la rattrape."
Teal'c et Jack se mirent à courir. Jack, sentant que quelqu'un était resté derrière lui, s'arrêta brusquement et se retourna. Daniel n'avait pas bougé.
O'NEILL : "Bon alors, vous venez ?"
DANIEL : "Jack, Teal'c n'aura peut-être pas d'autres opportunités pour venir ici !"
O'NEILL (soupir) : "Daniel, attendez-moi là."
Lorsqu'il fut arrivé à sa hauteur, Jack retint Sam par l'épaule.
O'NEILL : "Eh ! Vous comptez aller où ?"
CARTER : "Je vous ai dit que je rentrais à l'hôtel !"
O'NEILL : "Sam, c'est la mauvaise direction !"
CARTER : "J'aurais fini par trouver !"
O'NEILL : "Mais qu'est-ce qui se passe Carter ?"
CARTER : "Rien… Je suis juste un peu fatiguée. On a marché toute l'après-midi et je crois que je ne suis pas encore tout à fait remise de notre mésaventure sur Bédénak !"
O'NEILL : "D'accord, on vous accompagne."
CARTER : "Vous doutez encore de moi mon Colonel ? J'ai déjà combattu à mains nues contre un chef Mongol, contre…"
O'NEILL : "Bien sûr que j'ai confiance en vous ! N'empêche que je ne suis pas tranquille pour autant !"
CARTER : "Et si je vous promets de vous appeler dès que j'arrive à l'hôtel, ça vous va ?"
O'NEILL (soupir) : "De toute façon, je ne pourrais pas avoir mieux ! Ça serait dommage qu'il vous arrive quelque chose aussi bêtement ! Faites attention à vous."
O'neill s'approcha de Sam et lui fit… un bisou sur la joue
( :-DDDDDD). Puis il rejoignit Teal'c et Daniel, tout en se retournant tous les cinq mètres. Il espérait qu'elle change d'avis. Mais Sam leur avait tourné le dos et se dirigeait vers l'hôtel.


Elle n'en revenait pas ! Lui, si peu habitué à câliner les membres de son équipe, l'avait embrassé sur la joue ! Leur amitié avait évolué, c'est sûr, mais elle ne s'était jamais aperçue de l'ampleur de son attachement envers elle. Lorsqu'ils s'étaient quittés, elle avait remarqué son regard angoissé. La laisser seule en pleine rue semblait l'affoler, bien qu'ils avaient vu des situations biens plus dangereuses et désespérées ! Normalement, dans une situation pareille, il aurait résumé toutes les ruses à connaître et serait parti confiant. Mais ce soir, ce n'était pas le cas. Et ce baiser ! Elle n'arrivait pas à penser à autre chose ! Et même l'image de Peter dans sa mémoire ne faisait pas le poids ! Elle sentait encore le frisson assez plaisant qu'elle avait ressentit lorsque la main de Jack s'était posée sur son épaule, le souffle chaud qui lui avait caressé le cou lorsqu'il s'était approché d'elle, juste avant le contact de ses lèvres sur sa joue…
CARTER : "Oh pardon, excusez-moi !"
PASSANT : … Ce… Ce n'est pas grave. Regardez où vous allez !"
CARTER : "Je suis vraiment désolée !"
Elle était tellement ancrée dans ses pensées qu'elle ne s'était pas rendu compte qu'elle fonçait droit sur un homme ! Un homme étrange d'ailleurs ! Il lui avait semblé avoir vu son regard s'illuminer lorsqu'ils étaient rentrés en collision. Mais elle avait dû rêver. Travailler tous les jours au milieu d'Aliens devait lui provoquer des hallucinations : Voilà qu'elle voyait des Goa'uld partout maintenant !


De son côté, Jack était perdu dans ses pensées. Ils étaient arrivés au Moulin Rouge, avaient choisi une table assez bien placée et commandé à manger. Il n'avait pas prononcé un mot depuis. Ce baiser… Il n'aurait peut-être pas dû le faire…Bien qu'il tienne énormément à elle, il ne voulait pas que son histoire avec Peter prenne l'eau… Elle a l'air si bien près de lui…
DANIEL : "Jack, ça va ?"
O'NEILL : "… Pardon ?"
DANIEL : "Jack, vous êtes à côté de la plaque depuis le début de la soirée ! Deux danseuses à moitié nues sont passées à côté de vous et vous ne les avait même pas remarquées !"
O'NEILL : "Tout va très bien Daniel, je…"
Jack fut interrompu par la sonnerie de son portable.
(Entre nous, je ne suis pas sûre que les portables soient bien acceptés dans le Moulin Rouge mais bon, on va faire avec)
O'NEILL : "Oui ?"
CARTER : "Je viens d'arriver à l'instant. Vous êtes rassuré ?"
O'NEILL : "Reposez-vous bien."
Puis il raccrocha.
DANIEL (en plaisantant) : "Vous voyez, c'est une grande fille !"
O'NEILL : "Ça ne vous arrive jamais de vous inquiéter pour quelqu'un ?"
DANIEL : "Mais je plaisante Jack !"
Malgré quelques brefs moments de tension, la soirée s'écoula sans accrochements, dans la bonne humeur. Teal'c ne pouvait décrocher les yeux des danseuses, en se demandant sûrement pourquoi pourquoi cela n'existait pas sur d'autres planètes. Jack et Daniel se donnaient un malin plaisir à se moquer de lui. Ils sortirent du Moulin Rouge vers 2 h du matin. Après avoir appelé un taxi, ils se dirigèrent vers l'hôtel. Daniel s'endormit dans la voiture, après avoir un peu trop forcé sur la boisson. Arrivés à l'hôtel, Jack dut porter Daniel sur son dos. Mais ce dernier ne se contenta pas de vomir sur Jack : il se mit à chanter le plus fort possible ! Jack demanda à Teal'c de le faire taire : Teal'c ne trouva pas d'autres solutions que de l'assommer. Après avoir du s'expliquer à l'accueil sur l'état de Daniel, ils atteignirent enfin leurs chambres. A 2h30, il régnait dans l'hôtel un silence paisible.


Le lendemain matin, Jack fut le premier à se lever, vers 9h30. Après avoir pris une douche
(hummmm !!! Qu'est-ce que je donnerais pour voir ça !!!!) (oh bah ça moua aussi hummmmm) et s'être habillé, il descendit prendre son petit déjeuner. Sam le rejoignit quelques instants plus tard.
O'NEILL : "Bien dormi ?"
CARTER : Comme un bébé ! Hier soir, il était vraiment temps que j'aille me coucher. Dans la rue, je voyais des Goa'uld !"
O'NEILL : "Ah oui ? Effectivement, il était plus que temps !"
CARTER : "Et vous, comment s'est passée votre soirée ?"
O'NEILL : "Magnifique ! Teal'c ne voulait plus partir, Daniel s'est pris une cuite, a vomi sur moi et pour finir, il s'est mit à brailler devant l'hôtel ! Teal'c a du l'assommer pour qu'il se taise !"
CARTER (se retenant d'éclater de rire) : "Quoi ? J'ai raté tout ça ? J'aurais donné gros pour voir Daniel vous vomir dessus !"
O'NEILL : "Ah Ah, très drôle !"
CARTER : "Mais dites-moi, la soirée a quand même été agréable pour vous ?"
O'NEILL : "C'était une bonne soirée, rien de plus."
CARTER : "Quoi ? Ne me dites pas que d'admirer des femmes dévêtues ne vous a rien fait !"
O'NEILL (petit sourire) : "Pas le moindre du monde !"
CARTER (ne pouvant plus se retenir de rire) : "Non mais qu'est-ce qui ne faut pas entendre !"
O'NEILL : "Comment ça ?"
CARTER : "Je ne vous crois pas !"
O'NEILL (regardant Sam droit dans les yeux) : "J'ai d'autres fantasmes bien plus alléchants !"
(LOLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL)
Sam, brusquement gênée et se sentant rougir, baissa les yeux et mordit dans un croissant. Jack continua à la regarder quelques instants, visiblement heureux de l'effet de ses paroles.


De son côté, Teal'c venait à peine de se réveiller. Il avait encore dans la tête les images de la soirée. Mais comment ce genre de spectacle pouvait exister ! Après s'être préparé, il ouvrit la porte de sa chambre et…
DANIEL : "Teal'c ! Mais faites donc attention !"
Teal'c n'avait pas vu que Daniel se trouvait derrière. La porte percuta de plein fouet Daniel, lui faisant perdre son équilibre.
TEAL'C (aidant Daniel à se relever) : "Désolé Daniel Jackson, je ne vous avais pas vu."
DANIEL : "Mon Dieu, j'ai la tête prête à exploser ! Vous ne savez pas ce qui c'est passé hier soir ? J'ai l'impression de m'être cogné !"
TEAL'C : "Pas du tout."
Daniel et Teal'c rejoignirent Sam et Jack.
O'NEILL : "Alors, qu'est-ce qu'on fait aujourd'hui ? N'oubliez pas que c'est notre dernier jour ici."
DANIEL : "On peut aller visiter Notre-Dame. Qu'en pensez-vous Teal'c ?"
TEAL'C : "Ça me va."
O'NEILL : "Et vous Sam ?"
CARTER : "Moi aussi."
O'NEILL : "Bon alors on y va tout de suite. Je vais rendre les clefs des chambres et après on part."
Daniel et Teal'c avalèrent du jus d'orange, prirent des petits pains pour la route, et sortirent de l'hôtel avec Sam, attendre Jack. Ce dernier sortit à son tour et rejoignit le reste de l'équipe.
CARTER : "D'après le plan, ce n'est pas trop loin, on pourrait y aller à pied."
O'NEILL : "Eh bien on vous suit !"
Après avoir longé deux avenues et traversé la Seine, ils se dirigèrent vers Notre-Dame en passant par des petites rues.
O'NEILL : "Vous êtes sûre que c'est par-là ?"
CARTER : "Mais c'est l'homme que j'ai vu hier soir !"
CARTER : "Oui ! Enfin… Je crois… En fait…"
FEMME : "Au secours ! A l'aide ! Mmmmm !…"
O'NEILL : "Je ne suis loin d'être un boss en français mais je crois qu'une femme demande de l'aide !"
DANIEL : "Vous avez raison ! Ça vient de l'impasse en face !"
O'NEILL : "Allons voir ce qui se passe !"
Une femme était effectivement en difficulté, allongé par terre. Elle avait hurlé le plus fort possible mais un homme lui avait mit un bâillon sur la bouche pour la faire taire. A présent, l'homme tentait de la poignarder avec un couteau sur lequel était écrit "J'aime Paris".
CARTER : "Mais c'est l'homme que j'ai vu hier soir !"
DANIEL : "Mais quel homme ?"
O'NEILL : "Peu importe ! Il faut aider cette femme ! (à l'homme) Eh ! Lâchez-la !"
GOA'ULD (se retournant, surpris) : "Vous ? Je croyais que le Seigneur Shou vous avez tué de ses propres mains !"
DANIEL : "Et bien, apparemment non !"
GOA'ULD : "Ne vous approchez pas plus où je vous tue tous !"
O'NEILL : "Arrête ça tu veux ! Tu es encerclé, seul contre nous quatre. Lâche la femme et rend toi !"
GOA'ULD : "Jamais !"
Le Goa'uld laissa tomber la femme, qui venait de perdre connaissance, et se rua sur Teal'c.
GOA'ULD : "Jaffa ! Tu vas payer pour ta traîtrise !"
Sous l'impact des deux corps, ils perdirent équilibre et s'étalèrent par terre. Bien que la force de Teal'c soit spectaculaire, le Goa'uld dominait dans la lutte qui venait de s'engager. Le Goa'uld se tenait su Teal'c, empêchant toutes tentatives de se relever, et avec ses mains, tentait de l'étouffer. Sam se jeta sur le Goa'uld . Mais il l'envoya valses pratiquement à l'autre bout de l'impasse, d'un simple geste du bras, qu'elle se prit dans le visage.
(en gros elle vient de se prendre une belle baffe !). Jack tenta sa chance à son tour : Il mit les bras autour du cou du Goa'uld et tira de toutes ses forces en arrière. Celui-ci, privé d'oxygène, fini par lâcher prise. Teal'c lui bloqua les mains et les jambes : le Goa'uld ne pouvait plus bouger.
O'NEILL : "Qui es-tu ?"
GOA'ULD : "Je suis Çiva."
O'NEILL : "Et que fais-tu ici ?"
ÇIVA : "Cela ne vous regarde pas !"
Jack resserra un peu plus ses bras.
ÇIVA : "AAAHHH !"
O'NEILL : "Alors ?"
Çiva se dégagea brusquement. Ayant les deux mains libres, il prit avec sa mains droite son pouce gauche, et le tordit. Un bruit de brisure se fit entendre, et un étrange liquide vert fluorescent commença à se propager sous sa peau. Le liquide atteignit très rapidement le cœur, sans que SG-1 puisse faire quoi que se soit. En moins d'une minute, Çiva était mort, sans avoir rien révélé.
O'NEILL (furieux) : "C'est pas vrai !"
TEAL'C : "Qu'est-ce qu'un Goa'uld peut bien faire sur Terre ?"
O'NEILL : "Je n'en sais rien. (regardant Çiva) Et on ne le saura sûrement jamais d'ailleurs !"
TEAL'C : "Le plus curieux est qu'il soit seul !"
Jack se dégagea de sous Çiva, et se retourna vers Daniel, resté près de Sam.
O'NEILL : "Comment va t-elle ?"
DANIEL : "Par miracle, rien de cassé. Elle est simplement sérieusement sonnée !"
O'NEILL : "Et la femme ?"
Teal'c s'était accroupi auprès d'elle.
TEAL'C : "Morte. De plus, elle a comme un grand vide à la place du bassin."
O'NEILL : "Un grand vide ?"
Daniel s'approcha à son tour de la femme. D'un seul coup, il devint blanc, prêt à vomir.
DANIEL : "Oh… Oh mon Dieu !"
O'NEILL (resté près de Çiva) : "Qu'est-ce qu'il y a ?"
DANIEL : "Elle… Elle n'a plus de… de…"
O'NEILL (qui commençait à s'impatienter) : "Plus de quoi ?"
DANIEL : "De… De bassin !… Il y a du liquide vert partout… Il n'y a plus… rien !"
Daniel ne pu résister plus longtemps. Il se releva à toute vitesse et alla vomir dans un coin.
O'NEILL : "Mais qu'est-ce qu'il a bien pu faire de ce… qui manque ? Il ne l'a pas… mangé quand même !"
TEAL'C : "C'est très peu probable. En tout cas, il va falloir se débarrasser du corps de ce Goa'uld !"
O'NEILL : "On a qu'à le brûler !"
Pendant que Teal'c s'occupait de Çiva, Jack alla voir Daniel.
O'NEILL : "Aller Daniel, il est temps pour nous de partir d'ici ! (s'approchant de Sam, qui venait de se relever) Ça va aller ?"
CARTER : "Je… Je crois."
Sam faillit s'écrouler.
O'NEILL : "Attendez, je vais vous aider. Appuyez-vous sur moi. Teal'c, aidez Daniel !"


Une fois sortis de l'impasse, ils se lâchèrent, essayant ainsi de paraître comme si rien ne s'était passé.
O'NEILL : "Teal'c, je suis désolé pour Notre-Dame, mais ça sera pour une autre fois !"
DANIEL (qui avait reprit quelques couleurs) : "Jack, vous ne devriez pas appeler la Maison Blanche ?"
O'NEILL : "Si, je vais le faire tout de suite."
(prenant le portable)
"Nous avons eu un problème… Non, pas avec Teal'c. Un Goa'uld…. Oui, il a tué une femme et lui a arraché une partie de son corps… Il s'est suicidé avec un drôle de liquide, sûrement du poison. Nous avons fait un prélèvement… Brûlé, on a pas trouvé d'autres solutions…. D'accord."
Jack raccrocha.
DANIEL : "Alors ?"
O'NEILL : "Un jet privé nous attend à l'Ambassade des Etats-Unis. On rentre tout de suite."

 

Fin de la fic

 

Pour m'envoyer vos fanfics (tous formats compatibles avec les logiciels courants de Windows - même Xp, pas de pb), écrivez-moi : delphinevb@chez.com . En général, je m'efforce de lire très vite les textes qu'on m'envoie, même si je ne les publie pas aussitôt (cause forfait, et puis travail aussi ;-) ...), afin de proposer un petit commentaire (un auteur attend généralement des feedbacks, j'en sais qqch...).

Sydnette la Psy Caméléonne.

 

© Onyssius, 2003, in Le Monde d'Ondinaphaë.

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