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Section Le Caméléon (The Pretender)
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Obsessions oniriques (All my life) (partie unique)
Auteur : CJ (e-mail : sirmicha@gmx.de (sites : http://home.arcor.de/thepretender et http://www.ffarea.de.vu )
Traductrice : la même dingue que celle qui a fait ce site, cad Sydnette (e-mail) la Psy-Caméléonne.
Fan-fiction terminé le : Traduction commencée le vendredi 23 janvier 2004 et terminée le dimanche 11 avril 2004
Où le situer : Il se situe après IOTH (dixit l'auteur car sinon ce n'est pas net)
Genre : Mythologie, Fantastique, Songfic si l'on veut
Résumé : (traduction de ce qu'a mis l'auteur) Jarod fait toujours le même rêve, après lequel il a toujours cherché. Mais il ne sait pas quoi.
Disclaimers : Disclaimer of the author :
Die bekannten Charaktere der Fernsehserie The Pretender gehören
MTM, NBC, TNT und 20th Century Fox (und leider nicht mir). Die
folgende Geschichte dient keinerlei kommerziellen Zwecken,
sondern wurde nur zum Vergnügen anderer Fans wie mir geschrieben.
Eine Verletzung des Copyrights ist nicht beabsichtigt.
A/N: Nicht meckern, dass ich schon wieder eine Fanfic mit Bezug
zu einem Songs geschrieben habe. Ich liebe diesen Song einfach,
besonders gut ist er, wenn er Live gespielt wird. Sie sind
einfach eine geniale Band, Live noch sogar noch mehr. ? Ich habe
mir nur den Titel All My Life von meiner Zweit
liebsten Band den Foo Fighters ausgesucht.
All my life I've been searching for
something
Something never comes never leads to nothing
Nothing satisfies but I'm getting close
Closer to the prize at the end of the rope
All night long I dream of the day
When it comes around then it's taken away
Leaves me with the feeling that I feel the most
The feeling comes to life when I see your ghost
Disclaimer du traducteur : Bah je fais ça pour m'amuser (et améliorer mon allemand !!) et à cause de ma passion pour Le Caméléon (The Pretender) Donc pas de sous, juste des feedbacks ! lolll (j'en veux bien des feedbacks !). Bon, si vous ne pigez pas l'allemand (c'est assez rare, je reconnais, de nos jours ;o) ), je vous traduis en résumé ce qu'a dit CJ : il a été inspiré d'une chanson dont il ne connaît que le titre, dont un extrait (anglais) est reproduit ci-dessus. J Et merci à C.J. de me laisser publier mes traductions de ses textes, il a été rudement sympa (tous ses textes, waooh !!! de quoi devenir un crack en allemand LOLLLL !)
Notes :
Ce fan-fiction reste une exclusivité de ce site (et ici des sites de C.J.). Comme tous les textes de ces pages Internet (protégés par diverses lois de la propriété intellectuelle, voir début du site), il est bien sûr expressément interdit de le copier, même si vous précisez le nom de l'auteur (je sais que certains sites intéressants regroupent des fan-fictions - j'ai l'intention de faire la même chose - , je ne suis pas intéressée, ne voulant pas que ces récits soient dispersés sur le Net). Le plus simple est de mettre un lien de votre page vers la mienne (pour cela, il n'y a aucun problème. Mais comme je pratique l'échange de liens quasi-systématique, prévenez-moi, je placerai votre adresse dans mes sites partenaires sur la page "Liens").
Note 2 : Ce fanfic est dédié à
Vicky, qui m'a confirmé la méthode à suivre pour devenir
traductrice, à @ndy 56, à Tania Pretender, à TC 33, à Sam
Parker, à Eléa de Lune, à Ange Cavalière, à Dragon Lady, à
Dana, à Cami, à Sassy, aux Anciennes *de tP Forum*, à
Macounet, à Lyyntanhya, à Vivi... à tous les auteurs de fics
que j'adore (et à ceux qui refusent encore de prendre la plume
;o) *flûte, on n'a pas encore fait adhérer tout le monde à la
secte des auteurs de fics LOLLL*
... et à la musique de Placebo ("Sleeping With Ghosts")
qui m'a tenu compagnie durant la fin de la traduction, aux Pensées
Agréables qui au lieu de m'aider à voltiger comme dans "Hook"
ont au moins le mérite de me soutenir dans ce travail assez pénible
j'avoue qu'est la lecture de l'allemand (c'est bien parce que
c'est dur que je le fais ;o) sinon ce ne serait pas du jeu), aux
posters de Mylène (comment, laquelle ? bah comme l'actrice,
allez je vous aide... Frances... F... ah, qd mêmeuh !) qui me
passent le temps quand je bloque sur une phrase, au chocolat
chaud qui est un soutien permanent *merci à lui !!*, à ma
Vatwin, à l'imprimante d'une certaine salle 406 qui m'a permis
d'avoir quelques belles photos à mon mur ;o) pour me réconforter,
à la radio qui me distrait, au versaillais *friandise
incomparable*, au lundi de Pâques qui me permet d'avoir le temps
de placer ceci ici avant de finir mon boulot, et à ceux qui
auront la patience de lire tout ça car je fais des dédicaces à
rallonge (mais y'en a qui aiment, si, si, si ! ;o) kikoo
d'ailleurs, même si je t'ai déjà citée !). Et à ceux (rares
!!) qui écrivent des feedbacks.
Ce rêve lui était venu à nouveau dans la nuit écoulée. Ca lui arrivait souvent ces derniers jours. Chaque fois ça se passait de la même façon : dans son rêve Jarod cherchait quelque chose de précis. Pourtant sa recherche n'était jamais couronnée de succès. Chaque fois qu'il pensait avoir atteint son but, son réveil sonnait, et le tirait de son sommeil. Jarod pouvait passer des jours entiers à ne penser qu'à ces nuits, tout le reste ne lui semblait actuellement pas intéressant. Il se focalisait donc après la journée entière, sur ce qu'il avait cherché la nuit dans son sommeil. Mais ce qu'il ne savait par contre pas, c'est à la recherche de quoi exactement il devait partir. Pourtant cela avait à voir avec sa famille, qui hantait chacun de ses rêves. Mais qui et où devait-il exactement chercher ? Rien ne l'avait marqué suffisamment pour espérer que cela viendrait spontanément, d'où le fait qu'il attendait tout le temps en vain. Il espérait très fort que cela ne le pousserait pas à un moment à la folie. De plus, il ne parvenait pas non plus à joindre Sydney, son mentor, depuis quelques jours. Il ne lui restait donc que les pensées ! Mais il se faisait du souci. Il voulait savoir ce que ça signifiait. Et pourquoi il rencontrait toujours la même personne et pas une autre ! Ca le conduisait déjà un peu au désespoir. Il remarquait que chaque jour sa concentration diminuait, comme il n'avait pas la réponse à sa quête. Son intelligence était si souvent focalisée sur ses rêves qu'il retournait dormir.
Aussi ce soir-là quand il se laissa tomber sur son lit, il était gagné par l'épuisement. Il lui paraissait clair que ça reviendrait cette nuit-là. Peu importe s'il voulait dormir ou pas. Et bien entendu lui revint cette nuit-là qu'il cherchait quelque chose de précis, mais sans savoir ce que ça pouvait être. Cette fois pourtant quelque chose de plus concret que les nuits précédentes lui apparut. D'une manière ou d'une autre, les personnes étaient cette fois si réelles, plus qu'à l'ordinaire. D'un coin indéterminé résonnait : "Jarod, nous sommes ta quête !". Mais Jarod ne voyait personne autour de lui. Il avança donc, dans l'espoir de demander de l'aide à quelqu'un qui pourrait l'aider. Mais il n'y avait rien à voir à cent lieues à la ronde, aucun arbre, aucune maison, simplement un vide autour de lui. Il se rendit à l'évidence qu'il n'y avait rien là.
Même à l'endroit où il avançait il n'y
avait que du vide. Jarod fut effrayé de constater qu'il y avait
également du vide en dessous de lui. Il ne pouvait pas être
suspendu, mais comment se faisait-il qu'il puisse courir s'il n'y
avait pas de sol ? Curieusement il commença à comprendre ce
qu'il se passait. "Jarod, tu es très proche de ce que tu as
cherché en vain tout ce temps !" Mais à nouveau il ne vit
personne autour de lui qui lui parlait.
"S'il y a quelqu'un ici, qu'il se montre !", cria Jarod
dans le vide alentour. Seul son propre écho lui revint. Il hocha
la tête. Était-il réellement dans son rêve ou se trouvait-il
à présent dans la réalité ? Il ne pouvait même pas répondre
correctement à la question tant tout lui semblait tellement
vrai, mais en même temps il ne pouvait rien voir. Donc il avançait
facilement, mais il ne savait pas où. Ses jambes semblaient
pourtant savoir la bonne direction, dans laquelle il allait. Il
ne pouvait de toute façon pas s'y opposer. Donc il se laissait
guider par ses pieds. Mais il aurait souhaité savoir où il se
rendait à présent.
A chaque pas qu'il faisait, la température devenait plus
importante. Mais pas la chaleur de l'été à laquelle il était
habitué, mais plutôt celle dont une mère déciderait de protéger
son fils. "Jarod, tu y es à présent. Là du vas trouver
une réponse à tes questions !". A nouveau il regarda
autour de lui, en espérant enfin trouver la personne qui lui
parlait tout le temps. La voix lui semblait très familière.
"Maman, où es-tu ?" cria Jarod dans le vide. Mais rien
n'arriva. Quelque marque de désespoir apparut sur son visage. Il
savait que ça ne pouvait être que sa mère qui l'appelait tout
le temps. C'est ainsi que ses pieds le menèrent plus loin.
Pourtant ils se postèrent devant l'inconnu après quelques mètres.
Du rien apparut quelque chose devant son corps.
"Que se passait-il à ce moment ? Mais
Ca devait avoir ses raisons d'être ainsi
" pensa Jarod.
Et alors qu'il cherchait à se retourner, il vit dans le visage
un esprit. Ce n'était pas une âme inconnue, mais un esprit à
l'image de sa mère !
"Mon chéri, ne me regarde pas comme ça ! Tu es à présent
parvenu au but que tu voulais atteindre !"
Jarod ne parvenait pas à trouver ses mots, il la fixa donc d'un
air un peu plus étonné.
"Mon garçon, tu étais à ma recherche mais tu ne viens
jamais.
- Non, maman, j'ai désespéré très vite, puisque je n'ai pas
su, pourquoi j'étais toujours à la recherche de quelque chose
de précis !"
Elle vint plus près de lui, mais, étant un esprit, elle ne
pouvait pas le toucher.
"Maman, pourquoi t'ai-je cherchée ?", voulut
absolument savoir Jarod.
"Tu le sauras bientôt ! Mais il doit encore s'écouler un
moment, jusqu'à ce que tu nous trouves pour de bon, afin que
nous soyons à nouveau une famille !"
"Mais, maman, quand est-ce que ça va donc arriver ?"
demanda-t-il, curieux.
Elle disparut de sa vue.
"Tu ne peux pas si facilement revenir, là où j'ai tant
besoin de toi !"
Mais elle n'était plus là, au moment où on parlait. Jarod se
retrouvait à nouveau tout seul.
"Maman", cria-t-il encore une fois, mais il ne vint
aucune réponse. Seul le réveil se mit soudain à sonner.
Il se réveilla trempé de sueur. Il regarda
immédiatement autour de lui et établit, face à la réalité,
que c'était un rêve. Mais de n'importe quelle manière tout
cela lui semblait très réel. Pourtant comment cela pourrait-il
? se demanda-t-il à aussitôt, dès qu'il fut hors du lit. Non,
ça n'avait pas pu s'être passé, ou alors
Aucune réponse
ne lui venait à l'esprit. Mais là le téléphone sonna chez lui.
"Oui, qui est-ce ?"
Aucune réponse.
"Bonjour, à qui ai-je l'honneur ?", demanda-t-il à
son interlocuteur inconnu.
"Je suis la personne que tu cherches !"
"Maman, es-tu vraiment là ?", demanda-t-il, curieux.
"Je suis là, mon fils !"
"Où es-tu ? Quand pourrions-nous nous voir ?", voulut-il
savoir immédiatement. Elle se taisait à l'autre bout du fils.
"Maman, où es-tu exactement ? Je peux venir, afin que nous
puissions enfin nous voir !"
"Non, mon garçon, je vais venir à ta rencontre, quand il
sera certain que nous ne courrons aucun danger !"
"D'accord, maman, mais j'ai si peur pour toi, j'ai cru qu'il
t'était arrivé quelque chose ! J'ai le pressentiment que
quelque chose va arriver !"
"Tu n'as pas à te faire de soucis, mais j'ai également
toujours l'impression qu'ils sont près de toi. Et cela depuis
que tu es à notre recherche. Mais laisse donc tes soucis de côté
! Je vais en finir, mon fils chéri, nous nous verrons bientôt
!"
Et déjà la conversation prit fin. Il ne pouvait pourtant plus
l'appeler. Il ne restait donc que l'espoir qu'il pourrait bientôt
la rencontrer, avant que ses espoirs s'évanouissent. Mais au
moins il savait maintenant ce qu'il cherchait tout le temps dans
ses rêves : SA MÈRE !
Fin
Et à ceux qui trouvent que ce texte est court, voyez donc l'original. A moins d'être un crack en allemand... ... que je ne suis pas ;o) *allergie jadis* Je vous promets que quand on fait la traduction, ça paraît biiiieeeennn looooonnnnggggg... LOL
En attendant, je n'ai rien contre des ch'tits feedbacks, je n'en réclamais pas assez, du coup je n'en recevais pas (et n'en reçois actuellement pas beaucoup). N'ayez pas peur n'inonder ma boîte aux lettres ;o) je vous rassure...
© Onyssius, 2003, in Le Monde d'Ondinaphaë.
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