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Section Le Caméléon (The Pretender)

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Libérés de l'enfer (partie unique)

Auteur : Vicky ( vickysg1@wanadoo.fr )

Notes : Vicky explique :
"Saison : après les deux téléfilms et il vaut mieux les avoir vu pour comprendre environ un mois après le retour de Carthis.
Catégorie : romance J/MP
Résumé : Bien que les tests lui aient révélé que Raines était son père, Melle Parker veut savoir si c'est vrai et Jarod décide de l'aider à découvrir la vérité.
Disclaimer : Les persos et la série ne m'appartiennent pas et je touche pas de sous. Non mais si vraiment ça m'appartenait j'aurais pas arrêté la série !
Note de l'auteur : J'ai décidé de baser cette fic sur deux phrases prononcées l'une dans Instinct Naturel (1ère partie) et l'autre dans le 1er Téléfilm. Je vous les transcris ici :
Sydney connaît tous les mensonges et tous les secrets Angelo dans "Instinct Naturel".
Demande à ton père, il connaît tous les secrets Catherine Parker dans le 1er téléfilm. " " (Parallèle classique, j'ai joué à la même chose sur le forum jadis, ça fait rudement plaisir de retrouver un peu de mythologie dans les fics !)

Maison de Melle Parker, Blue Cove, Delaware.

Cela faisait un mois. Un mois que Sydney et Broots lui avaient appris que Raines était son père. Un mois que l'homme qu'elle croyait être son père durant toutes ces années était mort, emportant avec lui des rouleaux qui auraient pu lui révéler son avenir.

Elle ne pouvait pas s'empêcher de penser que les résultats des tests de paternité étaient un mensonge.

- Un de plus dans l'escarcelle du Centre, se dit-elle à haute voix tandis qu'elle remplissait encore son verre de Whisky. Mais comment faire pour savoir la vérité ? La seule personne qui m'ait toujours dit la vérité est celle que je dois capturer. De plus après cette conversation téléphonique à notre retour de Carthis, je n'ai plus eu aucune nouvelle de lui. Ça me fait bizarre de dire ça mais ces petits coups de fil en pleine nuit et ses petits cadeaux me manquent. J'aimerais pourtant qu'il soit là aujourd'hui pour que je puisse lui parler de tout ça, et lui demander de l'aide. Qui aurait pu penser que moi la grande Melle Parker j'aurais besoin de l'aide du Caméléon et que je l'admettrais ? dit-elle sur un ton ironique. Mais Jarod où es-tu passé ? lança-t-elle comme s'il l'entendait.
- Derrière toi, lui répondit une voix qui lui manquait.
- Jarod ? Mais comment es-tu entré ?
- Par la porte, dit-il comme si c'était une évidence.

Au regard qu'elle lui lança, il comprit que ce n'était pas le moment de plaisanter.

- J'étais en train de t'observer de derrière une fenêtre et quand je t'ai entendu parler, je me suis décidé à venir te rejoindre.
- Où étais-tu passé ? J'ai cru que cette fois tu étais parti définitivement et que plus jamais on aurait de tes nouvelles.
- Ca t'aurait manqué de ne plus me chasser ? Pourtant un emploi de bureau à plein temps ça devrait te plaire.
- Tu ne comprends rien, cria-t-elle. Ce n'est pas ça ! Tu crois que ça m'aurait fait plaisir que tu m'abandonnes à ce moment-là !
- Eh ! Calme-toi, je ne suis pas parti, j'avais besoin de quelques temps pour retrouver ma mère.
- Tu l'as retrouvée ? Il opina du chef. Je suis heureuse pour toi, dit-elle sincèrement. Maintenant tu peux disparaître complètement pour que le Centre ne te retrouve pas.
- Non, je ne peux pas.
- Pourquoi ? Tu as retrouvé toute ta famille, tu n'as plus besoin d'être à découvert, tu peux disparaître à jamais. Tu en es capable.
- Pas vraiment. A la tête qu'elle fit quand il lui dit ça il comprit qu'il fallait qu'il lui explique. Tu ne t'es jamais demandé pourquoi je suis resté à la portée du Centre toutes ces années. Ce n'était pas seulement pour retrouver ma famille, j'aurais pu le faire en me fondant dans la foule.. En fait, si je suis resté, c'était pour toi.
- Pour moi ?
- Disparaître signifiait te laisser, ne plus jamais te revoir et je ne pouvais pas supporter cette idée. Je ne peux toujours pas la supporter, avoua-t-il en la regardant dans les yeux.
- Et qu'est-ce que tu es venu faire ici
- Te demander de partir avec moi.
- Quoi ??? Tu n'es pas sérieux.
- Dans la limousine, tu disais que tu prendrais le tournant si quelqu'un t'y attendait. Eh bien, je suis là.
- Ecoute Jarod, ce n'est pas le moment. Pour le moment, si tu veux m'aider, aides-moi à trouver qui est mon vrai père.
- Je croyais que tu avais demandé des tests et que ceux-ci ont révélé que c'était Raines, demanda Jarod.
- Oui mais j'aimerais savoir si c'est vrai. On ne sait jamais, si le Centre a eu vent que j'ai fait faire ces tests, ils ont pu truquer ces résultats.
- Ce n'est pas impossible. Mais que veux-tu que je fasse ?
- Je vais demander à Broots de me trouver des prélèvements de Raines et tu vas me prendre un peu de mon sang pour qu'on sache enfin la vérité.
- Tu ne crois pas que tu devrais comparer avec une autre personne aussi.
- Pourquoi faire ? répliqua Parker.
- Parce que si comme tu le dis ce n'est pas Raines, tu voudras savoir qui c'est alors autant tout en une fois.
- Tu as raison mais qui ?
- Comme tu veux. Mais pourquoi pas une personne dont tu es proche et qui ne rechignera pas à te donne un peu de son sang ?
- Tu parles de Sydney ?
- Exactement.
- Il ne peut pas être mon père. Il me l'aurait dit..
- A moins qu'il ne le sache pas lui-même.
- Ok ! Comme tu veux. Demain, quand j'arriverai au Centre, je les ferais venir et je leur parlerai de tout ça.
- Sauf que ce sera moi qui ferai ces tests. Personne ne devra savoir. Si au Centre, ils savent que tu coopère avec leur Caméléon, ils risquent de te faire du mal.
- Ne t'inquiète pas pour moi, p'tit génie. Mais comment je ferai pour te remettre les prélèvements ?
- Je t'appellerai demain en début d'après-midi et je te dirais où me rejoindre pour qu'on fasse les analyses immédiatement. Je te prélèverai moi-même un peu de sang.
- Merci Jarod.
- C'est normal, on est amis.

Elle ne protesta pas et commença à aller vers sa chambre.

- Tu sais où est la sortie.

Après qu'elle eut fermé la porte de sa chambre, il sortit discrètement de la maison après avoir branché son alarme.

Le lendemain, sur une route.

Broots lui avait ramené un prélèvement sanguin de Raines à sa demande bien qu'il eut un peu peur de se faire prendre. Quant à Sydney, il lui laissa faire son prélèvement bien qu'il se demandait qu'est-ce qui la poussait à faire ça.

Jarod l'appela comme promis peu après le déjeuner et maintenant elle roulait vers le lieu de rendez-vous qui était un laboratoire à une centaine de kilomètres de Blue Cove. Elle faisait sans cesse attention à ce que des nettoyeurs du Centre ne la suivent pas. Elle n'était plus très loin. En effet, quelques minutes plus tard, elle arriva à destination. Elle demanda au réceptionniste où travaillait le professeur Carter. Elle se dirigea vers le laboratoire qu'on lui indiqua et quelle ne fut pas sa surprise quand elle vit qui était avec Jarod.

- Ethan, dit-elle. Et elle se jeta dans les bras de son petit frère. S'écartant un peu de lui elle demanda: mais où étais-tu passé ? Je me suis fait un sang d'encre.
- Les voix m'avait dit que je devais partir pour retrouver une personne. J'étais réticent à partir comme ça mais elles m'ont dit de ne pas m'en faire que je vous retrouverai bientôt tous les deux.
- Cette personne c'était ma mère, intervint Jarod. En fait, pour tout te dire ce sont plutôt eux qui m'ont retrouvé. Avant que tu ne continues de discuter avec notre frère, tu pourrais peut-être me donner les prélèvements et me prêter ton bras pour que je puisse faire le tien, dit-il ironiquement.
- C'est bon ne t'énerve pas. Elle lui tendit les tubes puis son bras. Il lui fit une prise de sang et commença son travail.

Une demi-heure après, Parker remarqua que Jarod s'était arrêté de travailler.

- Eh p'tit génie, l'interpella-t-elle. Tu devrais pas être entrain de travailler là ?
- J'ai juste fait la première partie du travail. Cette machine s'occupe du reste, c'est-à-dire de comparer les ADN.
- Et ça prendra combien de temps ?
- D'ici une petite heure, on aura les résultats et tu sauras si Raines est bien ton père.
- Ou si c'est Sydney…
- Je sais que tu l'as toujours vu comme un père.
- Il était plus un père pour moi que M. Parker ne l'a jamais été. Et si c'était vraiment lui mon père biologique, je crois que j'en serais très heureuse.

Ils continuèrent ainsi à discuter. Cela fait longtemps que Parker n'avait pas eu une conversation comme ça avec Jarod, face à face, parlant de tout et de rien. Ça remontait leur enfance si elle s'en souvenait bien. Jarod pensait à la même chose. Parker était là à côté de lui et elle ne cherchait pas à le ramener à la "maison", elle était seulement là pour avoir des réponses.

Une heure passa et les résultats des tests étaient enfin prêt.

- Tu es sûre que tu veux savoir ? demanda Jarod.
- J'ai besoin de savoir. Je sais qu'il y a un risque que le Centre n'ait pas falsifié les premiers résultats et que Raines soit bien mon père. Mais il faut que je sache, tu comprends. Après qu'il lui ait fait un signe de la tête elle dit: vas-y, je suis prête, lis-moi ce que ça dit.
- Alors, commença Jarod, le Centre avait bien falsifié les résultats, il n'y a aucune similitude entre ton ADN et celui de Raines. Et Sydney est bien ton père biologique.
- Tu en sûr, demanda Parker. Quand il inclina la tête pour dire oui, elle lui sauta au cou. Merci Jarod.
- Je vais vous attendre dehors, dit Ethan.

Aucun des deux pourtant ne remarqua son départ mais il ne s'en formalisa. Il savait que son frère et sa sœur avaient besoin de se retrouver seuls et de parler.

- Et maintenant qu'est-ce qu'on fait ? demanda Jarod.
- Je vais retourner au Centre et apprendre la nouvelle à Sydney, lui dire qu'il a une fille…
- Je parlais de nous, la coupa Jarod.
- Il n'y a pas de nous Jarod, je te l'ai déjà dit.
- Pas encore mais il pourrait y en avoir un. Pars avec moi, tu vivras avec nous. Tu pourras enfin laisser le Centre derrière toi et tu pourras apprendre à connaître mieux Ethan.
- Je ne crois pas que je serais la bienvenue, dit Parker, toujours dans les bras de Jarod. Et puis je ne peux pas laisser Sydney, je veux dire mon père, et Broots au Centre. Ils risqueraient de s'en prendre à eux si je pars.
- Alors ils partiront avec nous, et Debbie et Angelo aussi bien entendu.
- Le Centre ne nous laissera pas partir comme ça.
- Ne t'inquiète pas pour ça, j'en fait mon affaire, lui dit-il avant de l'embrasser du bout des lèvres. Voyant qu'elle ne le repoussait pas, bien au contraire, il continua.

Au bout de quelques minutes, ils s'arrêtèrent de s'embrasser. Alors Jarod dit :

- Il vaut mieux qu'on y aille, Ethan va se demander ce qu'il se passe et toi tu dois encore retourner à Blue Cove.
- Comment on fait pour ce dont on vient de discuter ?
- Ah parce qu'on vient de parler maintenant ? se moqua-t-il.
- Idiot !
- Je t'appellerai mais n'en parle pas encore à Sydney ou à Broots. Il est préférable que ça reste entre nous pour le moment.
- D'accord.

Ils descendirent rejoindre Ethan et se firent leurs au-revoirs. Melle Parker était triste de devoir se séparer d'eux mais elle savait que c'était plus facile comme ça. Elle retourna donc directement chez elle vu l'heure. Elle était rentrée depuis quelques minutes seulement quand on frappa à la porte. Elle alla ouvrir et vit que c'était Sydney.

- Mais qu'est-ce que vous faites là ?
- Je me demandais où vous étiez passée
- J'étais allée faire faire les tests.
- Et…, voulut-il savoir.
- Mes félicitations, vous êtes l'heureux père d'une petite fill !
- Vous en êtes sûr ? lui demanda-t-il.
- Sûre et certaine papa.

Il la prit dans ces bras et tous deux restèrent ainsi un long moment, heureux l'un comme l'autre de ce qui leur arriver mais triste de ne pas en avoir profiter plus tôt.

- Je suis désolée, dit Parker toujours dans les bras de son père.
- Pourquoi ? lui demanda-t-il surpris en s'éloignant un peu d'elle.
- Parce que ça signifie que Lyle est aussi votre fils.
- Ce n'est pas grave parce que j'ai la plus merveilleuse des filles, dit-il avec un grand sourire.
- Il ne faut le dire à personne pour le moment, tu es d'accord, fit-elle en le tutoyant comme si c'était naturel. (waooh gonflée, la Parker !!!)
- Tu as raison, il vaut mieux garder ça pour nous, même Broots ne devra pas être au courant.

Un mois se passa sans que Parker n'ait de nouvelles de Jarod mais elle savait qu'il valait mieux qu'ils soient prudents. Un jour, Broots vint l'informer que Jarod avait été repéré à New-York et que Lyle était déjà parti avec une équipe de nettoyeur. Au moment où elle allait sortir de son bureau, accompagnée de Sydney et Broots pour partir sur sa piste, le téléphone sonna.

- Quoi ? fit-elle en décrochant.
- C'est moi dit la voix de Jarod. C'est le moment, toi et Broots et Sydney allaient faire ce que je vais te dire. Alors…

Après qu'il eut fini, ils raccrochèrent.

- Qui était-ce ? demanda Broots.
- Ca ne vous concerne pas, répondit-elle sèchement.. Allez chercher Angelo, on va peut-être avoir besoin de lui. On se retrouve à ma voiture.
- Bien Melle Parker.

Dix minutes plus tard, ils étaient tous les quatre dans la voiture, Melle Parker au volant, Sydney à côté d'elle et Broots et Angelo derrière.

- Melle, se risqua Broots, ce n'est pas le chemin de l'aéroport.
- Je sais.

Ils s'arrêtèrent bientôt devant une école, celle de Debbie.

- Allez chercher votre fille et dépêchez-vous.
- Bien, Melle Parker.
- Que se passe-t-il ? questionna Sydney.
- Ne t'en fait pas tu sauras bientôt la réponse.

Après que Broots et Debbie soient revenus, la voiture repartit en direction de l'aéroport. Arrivés là-bas, ils descendirent de la voiture et se dirigèrent vers un jet qui semblait les attendre.

- Euh, mais ce n'est pas le jet du Centre, s'étonna Broots.
- Vous êtes bien perspicace aujourd'hui ! railla Parker.

Ils montèrent à bord et dès qu'ils furent installés l'avion décolla. Quelques minutes après, le commandant de bord vint les voir. Parker lui sauta au cou quand elle le vit.

- Tu m'as tellement manqué, lui dit-elle avant de l'embrasser.
- Toi aussi, tu m'as manqué, dit Jarod après qu'ils eurent rompu leur baiser.
- Jarod ! s'exclama Sydney. Mais que fais-tu là ?
- Je suis venu vous chercher comme je l'ai promis à Parker.
- Mais pour aller où ? demanda Broots.
- Loin du Centre et de ses manipulations répondit Jarod.
- J'espère que tu ne m'en veux pas de ne t'avoir rien dit, papa, dit Parker toujours dans les bras de Jarod.
- A propos de quoi de ça ou du fait que toi et Jarod êtes ensemble ?
- Attendez, s'écria Broots, alors Sydney est bien le père de Melle Parker.
- Oui, dirent en même temps le père et la fille.
- Et où on va ? demanda Debbie.
- C'est vrai ça, dit Parker en se tournant vers Jarod. Tu ne m'as rien dit.
- On va en France, à Paris plus précisément dit une voix derrière eux.
C'était Margaret, la mère de Jarod. Elle s'approcha d'eux.
- Vous ressemblez vraiment à votre mère, dit-elle en s'adressa à Parker. Les deux femmes se serrèrent dans leurs bras puis Jarod la présenta aux autres. Elle remercia chaleureusement Sydney d'avoir pris soin de son fils et lui dit qu'elle ne lui en voulait pas de ce qu'il avait fait car c'était le Centre le seul responsable.

Au bout de quelques heures de voyage, ils arrivèrent à destination. Les autres les attendaient déjà; il y avait le Major Charles, Emily, et le clone de Jarod qui se faisait maintenant appeler JJ. Ce dernier était content de leur arrivée et fut subjugué par une certaine petite Debbie. Jarod, avec l'argent qu'il avait pris au Centre avait acheté une grande maison où ils pourraient tous vivre.

Dans leur chambre, Parker et Jarod étaient allongés sur le lit serrés l'un contre l'autre, heureux de s'être enfin retrouvés après toutes ces années.

- Tu sais, dit Parker, je crois que JJ a craqué sur Debbie et je crois aussi que c'est réciproque.
- Je suis de ton avis. Il me rappelle moi à son âge, à peu près, quand je suis tombé amoureux de cette merveilleuse petite fille.
- Dis-le.
- Quoi ?
- Dis son prénom, je suis sûre qu'elle à envie d'entre son prénom sortir de ta bouche.
- Meg*
- Ca me plait !
- Quoi ?
- Que tu m'appelles Meg. Melle Parker est la femme du Centre, ici je suis Meg et personne d'autre.

Ils s'embrassèrent puis Meg s'écarta de lui et lui dit ces trois petits mots :

- Je t'aime
- Moi aussi je t'aime, lui répondit-il.

Et ils reprirent leur activité favorite.



Quelques mois plus tard.

C'est Noël, et toute la famille dîne ensemble. Ils sont tous réunis autour du sapin car c'est maintenant l'heure d'ouvrir les cadeaux. C'est au tour de Jarod et Meg.

- Mon cœur, commença Jarod, j'ai longtemps cherché quel cadeau je pouvais te faire et j'espère ne pas m'être trompé. Il sortit un petite boîte de sa poche et la tendit à Meg. Elle l'ouvrit, et presque aussitôt ses yeux se remplirent de larmes. Jarod continua :

- Meg Parker, acceptes-tu de devenir ma femme ?
- Oui, répondit-elle instantanément avant de l'embrasser. Les autres applaudirent les nouveaux fiancés. Sydney était ravi, il savait que sa fille serait heureuse avec Jarod. Durant ces derniers mois, il l'avait vu s'épanouir, elle avait de nouveau ce regard remplit de bonheur.
- A mon tour, maintenant, dit Parker après avoir un peu séché ses larmes. Ce que j'ai à t'offrir ne se met pas dans une boîte, au contraire. Elles s'arrêta un moment. Ce n'est pas facile à dire, reprit-elle, je… on… on va avoir un bébé.
- Tu es enceinte ? demanda Jarod incrédule.
- Oui, d'un peu plus d'un mois, cinq semaines pour être précise. Tu es heureux ?
- Bien sûr que je le suis, lui dit-il en la serrant dans ses bras. Je suis le plus heureux du monde.

Tous les autres se levèrent alors pour les féliciter.

Le mariage eu lieu un mois plus tard et Meg accoucha de jumeaux quelques mois après qu'ils nommèrent Catherine et Kyle.



FIN



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Fin

Pour m'envoyer vos fanfics (tous formats compatibles avec les logiciels courants de Windows - même Xp, pas de pb), écrivez-moi : delphinevb@chez.com . En général, je m'efforce de lire très vite les textes qu'on m'envoie, même si je ne les publie pas aussitôt (cause forfait, et puis travail aussi ;-) ...), afin de proposer un petit commentaire (un auteur attend généralement des feedbacks, j'en sais qqch...).

Sydnette la Psy Caméléonne.

© Onyssius, 2003, in Le Monde d'Ondinaphaë.

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