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Section Le Caméléon (The Pretender)

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Le coeur a des raisons que la raison ignore (partie unique)

Auteur : Shouka ( shouka28@voila.fr )

Où le situer : Il se situe après le meurtre de Thomas, soit dans la saison 3

Genre : Action, Romance J & P

Personnages : Les persos évoqués (Jarod, Parker, Raines, Lyle, Sam, Catherine, Sydney, Broots, ...) sont les personnages habituels du Caméléon, cf disclaimers.

Disclaimers : Bien entendu ni l'auteur de la fic ni l'auteur de ces pages web ne touchent un sou pour cette fic et cette publication... Les personnages de tP ne nous appartiennent (malheureusement) pas, ils sont à Craig W. Van Sickle et Steven Long Mitchell, et les droits aux chaînes possédant la série (cad TNT logiquement, entre autres).

Résumé : " Miss Parker vient d’apprendre que Jarod a des informations sur le meurtre de sa mère mais qu'il refuse de le dire ! Une seule envie l’envahit : la vengeance... Sydney tente de la raisonner mais rien y fait. Boots débarque et dit qu’il a une nouvelle piste sur Jarod ce qui tombe vraiment mal car Sydney sent que son protéger a intérêt à s’être préparé car il va subir : La tempête façon Parker ! "

Notes : Note de l'auteur, mise en place de la fic : " J'ai apporté quelques modifications et changé quelque peu la fin !! bonne lecture "

Notes de Syd : Vala, les commentaires en vert comme d'hab'. Et pis à noter que le titre est une citation du philosophe Blaise Pascal (qui ne disait pas que des imbécillités sur le théâtre - la preuve même Marie-Aude Murail le cite dans "Dinky rouge sang" : "L'Homme n'est ni ange ni bête et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête"... Bon, je suis HS je sais, mais c'était la parenthèse Culture du Docteur Sydnette LOLL)

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Jarod était à Garibaldi depuis plus d’une semaine, il était devenu moniteur de ski mais il n’était pas un simple moniteur de ski mais Le Moniteur de ski . Il était le plus populaire mono qui n’ait jamais été connu dans cette région. Tout le monde l’appréciait et plus particulièrement Betty Bras. En effet Jarod venait d’arrêter un homme du nom de Nicolas Mendeleïev qui rackettait tous les magasins et qui avait faillit tuer Betty parce qu’elle ne voulait plus payer. Heureusement Jarod était là et il l’avait bien aidée.
Jarod sentait qu’il ne devait pas rester mais Betty l’avait convaincu : "Allez, s’il te plait..." puis elle lui fit les yeux doux, il craqua : "ok je reste mais demain ou après demain je m’en vais !"
Betty : "aucun problème, ça me fait tellement plaisir de loger mon héros !" Jarod se sentit rougir, Betty était quelqu’un de très bien . Il but un café puis comme il ne voulait pas s’éterniser il lui déclara : "j’ai des cours de snow-board, j’y vais en train donc je dois y aller, a tout a l’heure !" Il sortit et prit sa planche , il dévala les pentes jusqu'à la gare qui le menait à Garibaldi. Arrivé au quai il allait prendre un ticket quand il sentit une présence familière. Il se retourna et vit sydney.
"J : Sydney, ça fais plaisir de vous revoir mais dites moi vous êtes seul ?
S : Non-Parker arrive et je te conseille de filer car à partir d’aujourd’hui je crois que tu peux la mettre dans le même camp que Lyle ou M. Raines car..."
Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase que le belle pointait le bout de son nez, Jarod courut jusqu’au train, Mlle Parker le suivit ainsi que Broots et Sydney qui eut avaient un peu de mal a courir, leur masse musculaire devait avoisiner le 0 ! (LOLLL Bah alors Patrick "Syd" Bauchau ne s'est tjrs pas mis à la muscu' comme MTW ??!! Comment ça, c'est mieux le chocolat ? Noir, au lait ? Ah, les deux... Heu, j'peux avoir un ch'tit carré aussi. Voui, les carrés, c'est ma grande passion, comprenne qui pourra LOLLLL)
Ils montèrent de justesse, les portes du train venaient de se refermer. Le train démarra et une voie se fit entendre à travers l’ensemble des wagons : « Madame, monsieur la SNCF vous souhaite la bienvenue à bord du train 45456, ce train desservera les gares de Midi Sium, Palladium, Vie Rachi et enfin Garibaldi. Il arrivera à destination dans une période de 3 heures environ. La SNCF vous souhaite un bon trajet. »
MP : Très bien vous deux vous allez dans cette direction et moi je prends celle ci ! Si vous apercevez le petit génie vous m’appelez et vous ne jouez pas au plus malin !
S : Mlle Parker vous…
MP : la ferme, vous allez par là et moi par ici, si j’apprends que vous l’avez aidé, je ne vous ferai pas de cadeau, c‘est compris ?
S, sur un ton lourd de reproche et un regard furieux : "oui, venez monsieur Broots !
Mlle Parker ne prit pas en compte l’intonation de la voix de Sydney et commença à regarder et chercher à travers sa partie du train. Elle marchait en montrant la photo de Jarod à tous les passagers.
Pendant ce temps Sydney et Broots parlaient.
"S : mlle Parker a perdu la tête, j’espère que Jarod est dans notre partie du train sinon..
J : sinon quoi ?" Jarod avait un journal sous les yeux et était assi à un endroit pour 4 personnes.
Sydney se retourna et un large sourire éclaira son visage.
"S : Jarod, tu devrais faire attention, Mlle Parker est vraiment très en colère. Jarod les invita à venir s’assoir avec lui."
Un grésillement puis la même voix se fit entendre : « Madame Monsieur : nous arrivons en gare de : Midi sium. »
Mlle Parker continuait d’avancer mais rien n’y personne ne le reconnaissait jusqu’au moment où quelqu’un le reconnut
"MP : vous connaissez cette homme ?
H : bien sûr c’est Jarod, mon moniteur de ski, il est génial !
MP : et vous l’avez vu aujourd’hui ?
H : non mais je vais le voir pas plus tard que dans 2h et 30 minutes, on a cours à Garibaldi aujourd’hui pour la Descente du Diable ! Mais vous, qui êtes vous ?
MP : vous n’avez pas besoin de le savoir, vous l’avez vu dans le train ?
H : je vous le dis si vous me dites comment vous vous appelez ? !
MP : je m’appelle Mlle Parker, alors où est il monté ?
H : il est à l’opposé, je l’ai vu courir vers l’arrière quand je suis monté !
MP : merci beaucoup !


Sydney raconta tout à Jarod, celui-ci était très surpris, il ne pensait pas que Mlle Parker réagirait de façon aussi excessive.
J : mais ça ne peut pas être à ce point la !
L’informaticien qui n’avait pas encore ouvert la bouche et qui devenait plus pâle de minute en minute explosa !
B : c’est encore bien pire. Sydney nous allons mourir, si Mlle Parker apprend que nous avons aidé Jarod, elle va nous crucifier vivant, oh lala et tous ça le jour de mon anniversaire !

Toujours ce même grésillement et cette même voix se firent entendre à travers tout le train : « Madame Monsieur : nous arrivons en gare de : Palladium. »

J : Ne vous inquiétez pas M. Broots je vais la trouver et lui parler, je ne voudrais avoir votre meurtre sur ma conscience, allez à plus tard et au fait joyeux anniversaire !
S : fais bien attention Jarod !
J : ne vous inquiétez pas" Il les quitta avec un magnifique sourire aux lèvres !


Mlle Parker avançait, comment cela se faisait-t-il que Sydney et Broots ne l’ai pas appelée ? Elle leur avait donné des consignes claires pourtant ! Si le petit génie lui échappait, ils allaient tous les deux passer un sale quart d’heure ! « Non mais et puis quoi encore, je leur avais demandé de m’appeler dès qu’ils verraient le petit génie et euh, comment peuvent ils se permettre de me désobéir, à croire qu’eux non plus ne veulent pas le ramener à la maison des atrocités ! Quoi mais je deviens folle ! je veux et je voudrais toujours le ramener. Plus le temps passe plus je deviens folle, je devrais penser à consulter un psy ! » Ses pensées s’embrouillaient dans son esprit. Elle continuait de marcher.
Jarod l’aperçut, il prit une bouffée d’air et marcha de façon rectiligne dans sa direction. Mlle Parker le vit, elle sortit son arme et le pointa dans sa direction.
MP : cette fois Jarod, tu me suis sans faire d’histoire !
J : tu devrais baisser ton arme avant que quelqu’un ne soit blessé surtout que l’on sait tous les deux que tu n’en feras rien !
MP : c’est ce que tu crois" Elle retira le cran de sûreté et tira une balle en l’air. Les passagers prirent peur, s’éloignèrent, toujours cet affreux grésillement et cette même voix : « Madame Monsieur : nous arrivons en gare de : Vie rachi. »

Jarod la regarda dans les yeux, ce qu’il vit lui fit peur ! Il tenta une nouvelle stratégie étant donné que la première était un échec : "pas très malin, les autorités vont venir tu dois baisser ton arme à moins que tu veuilles te faire arrêter à la prochaine station et que tu rentres a Blue Cove avec les menottes et dans ce cas je ne rentrerai pas tout de suite à la maison des horreurs !". Mlle Parker pesa le pour et le contre, finit par ranger son arme. Il y avait des places de libres alors Jarod invita Mlle Parker à s’asseoir, celle-ci répliqua : "c’est pas parce que je m’asseois avec toi que l’on va parler, je reste simplement pour avoir une chance de te coincer à la sortie !
J : je me rends à la porte si on parle un peu tous les deux, ça te va ?"
Mlle Parker le regarda puis répondit : "Si tu me fais encore un de ses sales coups fourrés, Jarod, je te préviens que je n’aurai plus confiance en toi !
J : ça marche, alors Sydney m'a raconter toute l’histoire, tu sais si je te cache des choses c’est dans ton intérêt et qui te dit que maintenant que je suis là je vais te les dire ?
MP : dans mon intérêt on aura tout entendu... Et crois-moi tu vas me les dire !
J : ta mère était quelqu’un de bien, et ce que j’ai sur elle ne va pas te plaire, je te le dirai quand tu sera prête a l’entendre !
MP : tu n’as pas le droit de juger si oui ou non je suis prête, c’était ma mère !
J : de toute façon ce n’est pas une raison pour te venger sur moi car tu n’as qu'à faire tes propres recherches et puis c’est tout !
MP : Ces pas la modestie qui t’étouffe !
J : tu devrais faire attention à toi, tu es plus fragile que tu ne le crois !
MP : c’est une menace ?
J : non tu sais très bien que je ne te menacerai jamais ! "
La même voix que celle qui avait annoncé le départ du train annonça : « Madame Monsieur : nous arrivons en gare de : Garibaldi. »
Jarod la regarda puis déclara : eh bien je dois y aller !
MP : et ta promesse ?
J : je vais la tenir ! Il se plaça devant la porte, puis annonça : eh bien je me rends !
Mlle Parker le regarda puis dit : je sais que je vais le regretter mais va-t-en ! Jarod ne comprit pas tout de suite mais il s’en alla. Quand mlle Parker sortit du wagon, elle ne vit que quelques personnes dont Broots et Sydney ainsi que les autorités, venues probablement à cause du coup de feu.
Ils rentrèrent tous les trois au Centre, bredouilles une fois de plus ! Sydney questionna Mlle Parker car lui aussi avait entendu le coup de feu, elle lui répondit que son protégé allait bien et qu’il n’avait pas à connaître la suite. M. Raines leur passa un savon pour leur échec ! Mlle Parker était donc de retour dans son bureau aux alentours des 17H30. Elle rédigeait son rapport pour M. Raines. Quelqu’un frappa à sa porte
MP : entrez
Lyle apparut : Alors sœurette, cette chasse au caméléon ?
Le téléphone sonna au même moment : QUOI ?
J : eh bien Mlle Parker, même quand je me rends tu n’es pas capable ne m’attraper !
L : Jarod ?
J : M. Lyle, le mystérieux M.Lyle !
L : Jarod connaît ton numéro ?
MP : c’est un Caméléon !
L : pourquoi appelles-tu, Jarod, pour nous dire que tu es en liberté ?
J : moi je le suis au moins ! Puis il raccrocha.
MP : cherche pas Lyle, tu apprendras que Jarod a une façon particulière de raccrocher et de te parler, ah et j’oubliais : DEHORS !
Mlle Parker rédigea donc son rapport, ce qui ne lui prit que deux ou trois heures et rentra chez elle. Quand elle entra à l’intérieur elle savait que Jarod était venu, elle ne savait pas comment mais elle le savait elle en était sûre il était venu ! Elle ne s’était pas trompée un petit morceau de papier gisait sur la petite table du salon, elle le lut : "LE CŒUR A DES RAISONS QUE LA RAISON IGNORE !"
Ce fut à ce moment que le téléphone sonna.
MP : quoi ?
J : tu ne te décideras jamais à décrocher de façon normale ?!
MP qu’est ce que tu veux Jarod, ma journée a été, on va dire épuisante !
J : je voulais te demander comment ça aller et si tu n’avais pas eu de problème avec les autorités ?
MP : non je n’ai pas eu de problème avec les autorités !
J : et …
MP : et ça va très bien, mais pourquoi ce soudain intérêt ? !
J : Je ne veux pas que ça soit quelqu’un d’autre qui me traque, les autres n’agiraient pas comme toi et ça ne serait plus aussi amusant.
MP : AH, parce que tu trouves ça drôle toi ???!!!
J : non mais je préfère que ça soit toi, tu es tellement… toi !
MP : Jarod, tu m’exaspères mais je vais prendre ça comme un compliment !" Il soupira et comprit qu’il fallait qu’il change de sujet : "tu sais pour le mot, je pense que ça qualifie tout à fait le geste de ce matin .Pour une fois, et heureusement pour moi, tu n’as pas agi avec ta tête mais avec ton cœur .
MP : non Jarod tu as tort, heureusement pour moi !"
Jarod ne répliqua pas et raccrocha le sourire aux lèvres.
Tous les deux allèrent se mettre au lit en même temps, sans le savoir, et chacun pensa à l’autre avec ce petit sourire puis ils s’endormirent chacun étant dans les pensées de l’autre.

Fin !

Voilà j’espère que ces quelques modifications vous auront plu, toujours une pitite dédicace à Vicky et Andy56 qui sont géniales !!
Bisous les filles et bisous à vous tous !

Shouka

Fin

Pour m'envoyer vos fanfics (tous formats compatibles avec les logiciels courants de Windows - même Xp, pas de pb), écrivez-moi : delphinevb@chez.com . En général, je m'efforce de lire très vite les textes qu'on m'envoie, même si je ne les publie pas aussitôt (cause forfait, et puis travail aussi ;-) ...), afin de proposer un petit commentaire (un auteur attend généralement des feedbacks, j'en sais qqch...).

Sydnette la Psy Caméléonne.

© Onyssius, 2003, in Le Monde d'Ondinaphaë.

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