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Section Le Caméléon (The Pretender)

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Dernière danse (partie unique)

Auteur : Shouka ( shouka28@voila.fr )

Où le situer : Il se situe après IOTH.

Genre : Action, Romance J & P

Personnages : Les persos évoqués (Jarod, Parker, Raines, Lyle, Sam, Catherine, Sydney, Broots, ...) sont les personnages habituels du Caméléon, cf disclaimers.

Disclaimers : Bien entendu ni l'auteur de la fic ni l'auteur de ces pages web ne touchent un sou pour cette fic et cette publication... Les personnages de tP ne nous appartiennent (malheureusement) pas, ils sont à Craig W. Van Sickle et Steven Long Mitchell, et les droits aux chaînes possédant la série (cad TNT logiquement, entre autres).

Résumé : Les "Three Stooges" se retrouvent à Paris...

Notes : Note de l'auteur, mise en place de la fic : " (pas de note) "

Notes de Syd : Vala, les commentaires en vert comme d'hab'.

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Mlle Parker marchait dans les longs et froids couloirs du Centre. Après le retour de Carthis, tout semblait être redevenu comme avant sauf que le principal dirigeant n’était pas M. Parker mais Raines aidé de Lyle. Cela ne semblait pas l’affecter tant que ça, du moment que sa tête restait sur ses épaules ça ne pouvait qu’aller bien.
Elle marchait en direction de son bureau où Broots et Sydney l’attendaient. En effet Laurel et Hardy l’avait appelée pour lui signaler qu’une lettre provenant sûrement du petit génie l’attendait sur son bureau. Une fois dans son bureau elle prit la lettre et la lut à haute voix :

Chers chasseurs et chasseuse,
Je ne sais pas à quand remontent vos dernières vacances, d’ailleurs il me semble que depuis mon évasion vous n’avez eu aucun moment de répit, c’est pour cela que je vous ai acheté 3billets pour un concert se déroulant à Paris. Le groupe se nomme KYO
Jarod

MP : eh bien je crois que la chasse au génie se poursuit !
Sydney : je fais préparer le jet, Mlle Parker ?
MP : oui
Sydney s’éloigna afin de réserver le jet.
B : mais pour Debbie ?
MP : ne soyez pas idiot pour une fois, vous n’avez qu'à appeler une nourrice !
S : le jet sera prêt dans 1 heure.
MP : bien allez chercher vos bagages et ne soyez pas en retard !
Mlle Parker avait déjà une valise de prête sur place au cas où justement il faille partir précipitamment ! Elle allait sortir de son bureau lorsque le téléphone sonna.
MP : Quoi ?
J : tu n’es pas encore partie, tu vas être en retard !
MP : en retard pour quoi, le fameux concert n’est que demain !
J : disons que j’ai une surprise pour toi, Sydney et Broots !
MP : je te préviens Jarod, si c’est encore un de tes coups, je…
J : eh j’ai dit que cela était des vacances pas une course poursuite !
Mlle Parker n’eut pas le temps de répondre que Jarod avait déjà raccroché.
MP, à elle-même : si tu me joues un sale tour, Jarod, je te tue !
Il restait ¾ d’heure et comme son devoir en tant qu’employée du centre elle devait prévenir M. Raines qu’elle serait absente 2ou 3 jours ainsi que Sydney et Broots pour ramener Super boy à la maison des horreurs.
Elle frappa à la porte du vampire calciné : "Entrez
Raines : tiens voilà mon ange.
MP : ne m’appelez pas comme ça !
Raines : qu’y a-t-il Mon ange ?
Mlle Parker voulait en terminer au plus vite avec son géniteur alors elle ne releva pas la remarque et elle alla donc droit au but même si elle détestait qu’il l’appelle comme ça : "Broots, Sydney et moi allons à Paris pour deux ou trois jours !
Raines : pour quelle raison ?
MP : ça tient en un mot : Caméléon !
Raines : c’est d’accord ma fille mais ne dépense pas trop d’argent, le Centre en a assez de dépenser de l’argent pour n’obtenir au final qu’une série d’échecs !
Après cette brève discution, déjà trop longue pour Mlle Parker, elle se rendit dans son bureau. Le temps passa très rapidement et les trois acolytes étaient déjà ensemble dans le jet !
Mlle Parker contemplait les nuages, elle repensait à Carthis et ce qui aurait pu s’y passer si Ocee n’était pas rentrée dans la pièce au moment où ils allaient s’embrasser mais elle fut vite retirée de ses pensées par Sydney !
S : Ca va Mlle Parker, vous semblez être ailleurs ? !
MP : hum, non je repensais à quelque chose, rien de plus !
S : si vous voulez en parler, vous savez que vous pouvez
MP : je n’en ai pas besoin mais merci quand même Sydney.
Le reste du voyage se passa dans le silence le plus totale. Lorsqu’ils arrivèrent à Paris deux limousines les attendaient, il faisait déjà nuit.
Mlle Parker dut aller seule dans la première tandis que Broots et Sydney durent aller dans la deuxième. Ils furent conduits dans l’un des hôtels les plus minables de tout Paris. Il était situé non loin de la place Pigalle.
Les trois acolytes avaient des chambres séparées mais côte à côte !
Lorsque Sydney avait découvert la chambre, il avait fait une tête que personne n’avait jamais vu ! Il alla prendre une douche, pris son livre et se coucha après avoir lu une dizaine de page.
Broots lui alla directement se coucher, l’endroit lui faisait peur.
Mlle Parker, prit une douche et se coucha sans trouver le sommeil, l’endroit la répugnait, elle se demanda si Laurel et Hardy avait la même chambre qu’elle : sale, petite et dans laquelle une odeur de renfermé et de pourri s'était installée.
Le matin arriva à grande allure. Le concert commençait à 10h15, ils avaient donc un peu de temps pour se préparer. Le concert se déroulait au Zénith de Paris.
Le taxi arrivait pour 9h15 à cause de la circulation… Ils se rejoignirent à 9h00 au bas de l’hôtel.
Sydney remarqua que Mlle Parker était un peu nerveuse et tendue : Mlle Parker ?
Comme si elle avait pu lire dans ses pensées Mlle Parker regarda Sydney et lui répliqua : Je vais bien, c’est juste que je n’ai pas pu dormir à cause de l’endroit !
B : à vous aussi il fait peur ?
MP : ne dites pas de bêtises Broots !
Le taxi arriva et ils y montèrent tous les trois. Il les déposa devant une immense porte où il était marqué au-dessus : LE ZENITH.
Ils y entrèrent, Une femme les débarrassa de leur manteau et leur donna un ticket afin de les récupérer après le concert, ils avancèrent jusqu’au guichet où quelqu’un leur arracha un morceau du ticket et leur demanda de rejoindre la salle. Des centaines de personnes étaient déjà installées. Ils étaient très bien placés malgré le monde déjà présent. Une dizaine de minutes plus tard, le concert commença, tout le monde était debout. Le groupe commençait sa troisième chanson quand Mlle Parker s’aperçut que Broots et Sydney n’était plus là. Elle essaya de bouger mais il y avait trop de monde. Elle continuait de chercher du regard Broots et Sydney lorsqu’elle sentit une main sur son épaule. Elle se retourna et vit que c’était Jarod. Il la regardait avec un grand sourire.
J : bonjour
Mlle Parker voulut prendre son arme mais elle resta coincée entre les pans de sa veste et ses côtes.
MP : merde !
La foule la compressait, l’arme commençait à lui rentrer dans la peau ce qui lui arracha un petit cri de douleur.
MP : aïe
Le sourire de Jarod s’était effacer pour laisser place à de l’inquiétude.
J : Approche.
Parker s’approcha de Jarod. Il mit sa main dans sa veste et attrapa l’arme, il la tira doucement. Une fois l’arme à l’extérieur de la veste il la lui remit. Geste qui parut stupide à Parker mais quand elle croisa le regard de Jarod elle lui dit : aller va-t-en
J : tu vas avoir un bleu et peux être une contusion. Il faudrait que je t’ausculte pour voir !
MP : tu es sourd je t’ai demandé de partir ! !
J : j’ai une bande dans ma chambre ainsi que de la pommade ! Viens s’il te plait.
Il lui fit ses yeux de cockers et elle ne put résister.
Ils se frayèrent un chemin jusqu'à la sortie de la pièce. Il donnèrent leur ticket et l’hôtesse leur apporta leur manteau. Ils sortirent du Zénith, Jarod entraîna Mlle Parker jusqu’a sa voiture. Il l’emmena à son hôtel. Ils étaient tous les deux dans la chambre.
J : Allonge-toi sur le lit et euh, il faudrait que tu retires ton pull.
MP : voilà c’est fait ! Elle était maintenant en débardeur, allongée sur le lit de Jarod.
Il arriva avec une bande dans une main et de la pommade dans l’autre. Il s’assit à côté d’elle. Avec précaution et emploi, il leva le débardeur jusqu’en haut de la blessure. Il toucha très doucement, Mlle Parker serrait les dents.
Il mit un peu du gel dans sa main et l’appliqua sur la blessure de mlle Parker.
J, en même temps qu’il appliquait la lotion : "on va en profiter pour parler un peu.
MP : parler de quoi ?
J : eh bien je ne sais pas, de Carthis !
MP : il n’y a rien a dire, je n’étais plus moi-même !
J : pourquoi ? Parce que la carapace que tu t‘es forgée ne m’a pas fait fuir !
Parker se sentit rougir mais répondit plus froidement et en lui jeta un regard de marbre : à cause de ces rouleaux et on peut pas parler d’autre chose !
J : j’ai fini !
MP : merci !
Elle se leva et commença à partir mais son Smith et Wesson tomba au sol, elle ne l’avait pas rangé dans son holster.
Elle le saisit mais elle ne put se relever. Elle était en quelques sortes coincée dans cette position.
MP : Jarod, je crois que j’ai un problème !
J : Que se passe-t-il ?
Il arriva et vit que Mlle Parker ne bougeait plus, il la regarda et dit : que fais-tu ?
MP : j’étais en train de ramasser mon arme parce qu’elle est tombée et je n’arrive plus à bouger.
J : tu as te faire un tour de rein, ne bouge pas !
MP : pas de risque, je suis coincée !
J : je vais t’aider mais il faut que tu restes calme et que tu ne fasses aucun mouvement brusque.
Il lui attrapa les épaules et d’un geste la redressa. Elle avait mal, elle en pleurait tellement la douleur lui lançait. Il la porta jusqu’au lit .
MP : merde !
J : je vais appeler Sydney et Broots pour ne pas qu’ils s’inquiètent .
Il s’éloigna pour appeler. Ca ne dura que quelques minutes, il revint auprès d’elle.
MP : c’est de ta faute !
J : si tu étais moins tendue et plus ouverte ce ne te serait pas arriver.
Une dizaine de minutes passa, il s’approcha d’elle avec une autre pommade.
J : je vais te passer une autre crème.
MP : ouais !
Jarod la retourna sur le ventre et remonta son débardeur. Il lui massa tout le dos pendant plusieurs minutes. Même si elle refusait de lui dire, ça lui faisait beaucoup de bien, tellement qu’elle s’endormit.
Il prit une couverture dans un placard et la recouvrit afin qu’elle n’attrape pas froid.
Le lendemain elle se réveilla. Elle regarda autour d’elle mais ne reconnut pas l’endroit . Elle se souvint d’un seul coup. Elle essaya de se lever mais son corps lui sembla peser des tonnes.
Mlle Parker commençait de plus à avoir faim. Elle entendit du bruit et la porte s’ouvrir. Elle regarda Jarod arrivait avec un plateau où plusieurs choses étaient disposées mais ce qui frappa le plus mlle Parker fut la rose de couleur rouge déposée à côté de l’assiette.
J : bien dormi ?
MP : oui, plutôt
Jarod lui adressa un sourire, il l’aida à se mettre droite afin de manger.
MP prit la rose et le regarda : c’est pour qui ?
J : pour toi !
MP ! Mais les roses de couleurs rouges signifient : l’a...
J : l’amour, je sais. Ecoute Parker j’en ai assez de courir, en te regardant dormir hier soir j’ai compris, je le savais déjà mais j’ai compris que je ne pouvais plus me passer de toi !
Mlle Parker ne s’attendait pas a ça, elle réfléchit quelques minutes puis se remémora toute sa vie, la mort de sa mère, de Faith de Thomas et de son « père ». Mais elle ne pouvait pas rester là-dedans avec comme seul but courir. Elle ne voulait pas le perdre, elle le regarda et lui adressa un sourire à faire fondre un Iceberg.
MP : je t’aime Jarod, je t’ai toujours aimé et je t’aimerai toujours mais il y aura toujours le centre !
J : j’ai réuni assez d’information pour le faire détruire, il suffit que j’envoie l’enveloppe au FBI, NSA et à la CIA pour qu’isl l’anéantissent.
MP : Mais pour Sydney, Broots et Angelo ?
J : ne t’inquiète pas, j’ai pensé à tout.
MP : c’est d’accord !

Le Centre fut anéantis par les agents du FBI, Broots. Angelo et Sydney ont été innocentés et ont retrouvé une vie saine.
Mlle Parker et Jarod ont retrouver la trace de l’enfant de Brigitte qui s’est avéré être le leur, ils ont également repris le clone qu’ils ont appeler Dylan lorsque Jarod a retrouver sa famille .
Mlle Parker a renommé Gabriel : Jarod junior en l’honneur de son papa.
Ils ont tous vécu heureux

FIN

Dites moi ce que vous en avez penser c’est important !!!

Fin

Pour m'envoyer vos fanfics (tous formats compatibles avec les logiciels courants de Windows - même Xp, pas de pb), écrivez-moi : delphinevb@chez.com . En général, je m'efforce de lire très vite les textes qu'on m'envoie, même si je ne les publie pas aussitôt (cause forfait, et puis travail aussi ;-) ...), afin de proposer un petit commentaire (un auteur attend généralement des feedbacks, j'en sais qqch...).

Sydnette la Psy Caméléonne.

© Onyssius, 2003, in Le Monde d'Ondinaphaë.

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